• Les sangles et la cagoule…

    Ce fut une séance toute simple, comme je les aime.
    J’étais nu et ne portais qu’une cagoule de coton écru très épais fermée par un jeu de lacet à l’arrière de la tête et qui descendait jusqu’à la base du cou.
     
    J’aime que Madame m’attache, mais elle n’aime pas beaucoup cela. Elle n’a pas la patience des nœuds, des cordes que l’on enroule et noue lentement sur le corps de sa victime…

    Victime qui n’attend que cela, prête à tout pour se retrouver à la merci de sa belle Dame, saucissonnée comme une rosette de Lyon.
    J’ai donc apporté à ma Dame une trentaine de sangles de beau cuir fauve épais. De toutes les longueurs, larges de 6 cm. Si je compte bien, 6 cm fois 30, cela fait 180 cm.


    Lorsque Madame a bouclé l’avant-dernière sangle sur moi, il ne devait rester quasi plus de peau à voir de mon corps. J’étais un gros boudin de cuir fauve.

    Seule ma tête encagoulée de toile raide émergeait de cet amas de sangles étroitement serrées, des chevilles aux épaules. Je savais à peine respirer. Et c’était bon d’être ainsi à sa merci.
     
    Je dois dire un mot de la cagoule. Elle m'a plu dès que je l'ai vue. Elle est parfaitement opaque et couvre parfaitement toute la tête. Une pièce de même matière peut s’enlever, permettant de
    découvrir la bouche et le nez.

    Au niveau des narines, deux petits boutons métalliques, comme des pressions, peuvent se placer ou s’enlever, laissant apparaître deux œillets, selon les circonstances, permettant au soumis de respirer plus ou moins difficilement. Cette pièce de toile était fixée à la cagoule lorsque Madame me l’a mise sur la tête.
     
    Il devait rester une sangle courte aux pieds de Madame car elle me l’a serrée autour du cou, juste sous la pomme d’Adam, si étroitement que j’ai senti aussitôt une vague de chaleur me monter à la tête.

    J’ai senti alors le poids de Madame sur moi. Elle a marché sur moi. Sur mon ventre, sur mon torse, sur mes cuisses, sur mes jambes, a écrasé mon sexe caché sous les sangles serrées.

    Puis Madame a fait rouler sur lui-même le boudin de cuir que j’étais, rouler sur le ventre, rouler sur le dos. Cela a duré longtemps. La tête me tournait.
     
    Enfin, Madame a ôté la pièce de toile de la cagoule qui cachait ma bouche et mes narines.

    Elle m’a ouvert les lèvres de ses doigts gantés et y a enfoui une pièce de tissu qui semblait un fin coton. J’ai compris à la saveur du tissu qu’il s’agissait d’une petite culotte de madame.

    J’ai senti mon sexe gonfler sous les sangles dès que ma salive mélangée à la culotte longtemps portée a dissout lentement les secrétions absorbées par le coton.

    Quel beau cadeau que me fit Madame, ce jour-là, lorsqu’en plus de cette petite culotte dans ma bouche, Madame posa lourdement ses fesses et son con humide sur ma bouche et mon nez qui s’emplit de son odeur intime forte.

    Ce parfum unique et profond comme celui d’une marée. Je sentais que Madame imprimait à ses hanches un mouvement de rotation légère et mon nez entrait en elle.

    e suffoquais, je l’entendais gémir faiblement.

    J’avais la bouche et le nez inondés par le jus du con de Madame qui est savoureux.

    Je ne peux que le comparer à la mer sauvage chargée d’algues et de sel. 
    Quelle belle mort, que de mourir dans ces circonstances, ai-je pensé…

     

    Les sangles et la cagoule…


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  • Période de chasse…

    Période de chasse…

    Oui la chasse et ouverte, chasser le naturel et il revient au galop, ou à la période de la chasse dans sa forêt natale la grande prêtresse et chasseuse d'esclave, Madame S a levé le pourceaux de sa tanière, le stupide animal au mœurs lubriques, le porc humain et dressé comme ces congénères, dehors ou parqué, dès capturé le sagouin est marqué aux initiales MS : la propriété de la fermière, il est sorti fréquemment par tous les temps de son boiton pour lui faire prendre l'air et faire ces besoins de cochon.

    Il s'adonne à ses instincts naturels de soumis à gambader dans le jardin au soir de cette pluie qui n'a de bon que de se rouler dans la boue de son enclos.

     Période de chasse…

    Période de chasse…

    Que ne serais je pas de vous dévoiler tous mes secrets, de me dévoiler encore plus sur mes moments de déviance si profond à vous devoir une plus grande servitude, de commettre le crime parfait à mon désir de me donner à vous, je suis ce soumis que vous avez conquis depuis des années sans omettre sa moindre pudeur et lâchant sa plus grande laideur, je suis ce porc que je veux être pour vous, triturant mon lard et mon esprit de devenir en tous… 

    (Ce cochon qui s'en dédit ).

     

    Période de chasse…

    Se dit pour marquer la conclusion d’une affaire, un engagement, etc., celui qui ne respecterait pas la parole donnée serait indigne de respect.

    Période de chasse…

    J’aime te savoir animal, dressé à la dure, dans le froid, dans la boue, en attente pour ta nourriture, pour ta liberté.

    D’un geste pour te dire que tu existes.

    Tu es mien, animal et envieux d’être ce cochon, cette cochonne…. A « Moi »…

    Ces photos me plaisent car tu es vraiment animal, abandonné à ma cause.

    Madame. S

    Période de chasse…


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  • La femme dominatrice ; Par Albin.

    La femme dominatrice


    Sous une apparence plutôt calme et réservée
    Se cache un étonnant caractère bien trempé
    Qu'elle aime affirmer avec les hommes ses sujets

    Une fois qu'elle a revêtu sa guêpière toute noire
    Elle devient une terrible maîtresse l'espace d'un soir
    Aimant manier le fouet et bien d'autres accessoires

    Elle aime humilier et forcer ses boniches mâles
    Qui apprécient son autorité maximale
    Son pouvoir de donner le plaisir par le mal

    Entraves, fessées et coups de cravache bien dosés
    L'espoir d'une libération savamment orchestrée
    Elle maîtrise sa puissance sur le sexe opposé

    Mi-ange mi-démon elle adore bander les yeux
    Avec un foulard de soie c'est encore bien mieux
    Qu'elle attache sans vraiment serrer juste pour le jeu

    Ainsi, elle administre de merveilleux supplices
    Flatte votre intimité, vos orifices complices
    Vous entraîne vers de savants plaisirs, des délices

     

    La femme dominatrice ; Par Albin.


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  • Tout le cérémonial pour « Marquer »…

    Maîtresse, 

    Je fus particulièrement ébahi l'autre jour, alors que je rentrais de courses, je découvre peint sur la vitrine de ce magasin... Vos Initiales.

    Cela m'a rappelé une vérité qui Vous comblerait : marquer un esclave, de Vos Initiales, au fer rouge. 

    Tout le cérémonial pour « Marquer »…

    En faisant abstraction à la conformité, accepter un tel geste pour prouver mon appartenance et mon amour platonique, mais définitif à ma Maîtresse, me fait frissonner et tourner la tête. 

    J’imagine tout le cérémonial pour marquer, Votre petite chose. 

    Pour être sûre de Votre Emprise, Vous me marqueriez à vie, en profondeur en assimilant cette grandeur, à l'intensité de Votre Regard d'Émeraude, tout en m'équipant d'un appareil de chasteté, dont Vous Seule, garderiez bien sûr la clé.

    Tout le cérémonial pour « Marquer »…

    Cela me colle au corps, parce que Votre Logique me colle à l'âme.  

    Votre Emprise serait ainsi gravée, pour la vie.

    Je deviendrais Votre Objet attaché à Votre Cheville, pour exister uniquement, que par Vous-même.

    Je pense très humblement qu'il existe une tendresse entre Vous et moi, mais cette dernière s'exprime au travers de repères non conformistes...

    Le fait de Vous respecter me fait vibrer... Vous m'avez fait vivre des pulsions d'une intensité fabuleuse, il s'agit là du Lien que Vous avez doucement enlace, autour de mon cœur, en le statufiant impassiblement, devant Votre Beauté Captivante. 

    Servilement.

    Aaron.

     

    Tout le cérémonial pour « Marquer »…

    Pratique ultime, intense, immensément engagée, pour toujours…

    J’en rêve oui je l’avoue sans détours.


    Madame. S

    Tout le cérémonial pour « Marquer »…


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  • Joyeuse Saint Valentin… Par Aaron.

    Joyeuse Saint Valentin… Par Aaron.

    Maîtresse, 

    Vous nous avez demandé de Vous écrire un texte par rapport à la Saint Valentin.

    Vous m'avez toujours amené au plus près de Votre Sensualité, de Votre Lucidité, de Votre Finesse d'Esprit, de la Profondeur de Votre Âme et de Votre Regard, et surtout de Votre Intimité, 

    En effet, célébrer la Saint Valentin, avec Vous, c'est aussi et avant tout, la fêter en pensant à la légitimité de Votre Vie Amoureuse pour "C", cet Esthète Musclé et Vigoureux.

    Par une chaîne abstraite, Vous m'avez lié les membres, en me soumettant à la pensée mentale, faisant de Vous, une Perfection Voluptueuse et pourtant Inatteignable. 

    Vous m'avez fait signer un contrat, voici pratiquement 15 ans, où il est stipulé qu'il m'est interdit de tomber amoureux, de Votre Personne, cependant de La servir jusqu'à la fin de mon existence.

    Vous savez que c'est un sujet qui me rend anxieux et qui m'angoisse.

    Vous êtes une Dame Désirable à tout point de vue, et chaque fois où Votre Destin nous fait nous retrouver, mon cœur s'affole et mes mains tremblent.

    Vous en connaissez la raison, je Vous l'ai avoué, il y 2 ans lors de nos retrouvailles...

    Je ne suis que Votre serviteur aussi je Vous souhaiterais une bonne Saint Valentin à Vous et à Votre Compagnon, pour que l'Elégance de Votre Amour,  puisse toujours Vous rendre Triomphante. 

    Ce que je trouve particulièrement Intimidant, et en même temps divin, c'est la Noblesse de Vos Sentiments portée à Votre Conjoint. 

    J’espère pouvoir Vous servir encore très longtemps, en ne me fixant que sur Votre Volonté, si Éblouissante et Providentielle à la fois.

    Ce qui me fait vibrer, c'est de m'avoir rendu captif de Votre Bonheur Souverain. 

    Je pense à Vous malgré mes silences, qui respectent la difficulté du moment, nous allons vers le printemps... 

    Servilement. 

    Aaron.

     

    Joyeuse Saint Valentin… Par Aaron.

    Joyeuse Saint Valentin… Par Aaron.

    Joyeuse Saint Valentin… Par Aaron.


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  • « J’étais à Strasbourg pour 24 heures… »

    Madame Sylvania.
     
    Voici le rêve que j'ai fait dans une nuit de la semaine dernière. Bien sûr, un rêve est habité par le fantasme et il tient forcément compte davantage des miens que des vôtres que je connais encore peu. Et sa transcription sur le papier (ou sur l'écran) le transforme en littérature.

    Il n'en reste pas moins que ce rêve n'a existé que parce que vous existez.

    Vous êtes entrée dans ma vie et dans mon esprit comme une ombre. Et vous planez sur moi.
     
    Depuis notre rencontre, bien que virtuelle, j'ai le sommeil agité et bref. Au réveil, me sont revenues devant les yeux les images de mon rêve.

    Rêve ou cauchemar ? Je penche pour la première proposition, mais mon rêve n'a pas eu de fin... Peut-être se termine-t-il en cauchemar !
     
    J'étais à Strasbourg pour 24 heures. Il était 13h. Un jour frisquet. Était ce déjà l'automne, ma saison préférée, ou un caprice du climat ? L’hiver ?
    Vous m'attendiez en face de la grande verrière. Je vous ai repérée au premier coup d'œil. Votre chevelure sombre, vos lèvres carminées. Le noir de votre manteau ciré.
     
    J'avais réservé une chambre dans un petit hôtel modeste proche de la gare, car j'ai peu de moyens.
    La cerbère qui tenait la réception, après que j'eusse complété la fiche, nous donna la clef de la chambre la moins chère, au dernier étage, sous les combles. Le confort de ma chambre m'importait peu. J'étais à Strasbourg pour recevoir de vos mains la punition bien méritée. Nous avons pris l'ascenseur qui nous a élevé jusqu'au dernier étage. Au bout d'un couloir étroit, un escalier et en haut, une porte identique à toutes les autres. Je me suis effacé pour vous laisser entrer, j'ai refermé la porte derrière nous. Mon sort était scellé. Plus de marche arrière possible.
     
    C'était une pièce mansardée de 5 à 6 m sur 4. Au fond, un lit de bois doré et un placard. Des poutres au plafond, un plancher de bois sombre. Une table ronde, trois fauteuils type bergère, des tentures de velours lie de vin.
     
    Etrangement, mon rêve était muet. Je n'ai aucun souvenir de paroles échangées entre nous... La raison en est probablement que je ne connaissais pas le son de votre voix. Ou bien, notre connivence sera-t-elle à ce point forte qu'aucun mot ne soit nécessaire pour nous exprimer nos sentiments, nos ressentis, nos peurs, nos joies ?... Les deux raisons mêlée, certainement.
     
    Je me suis mis nu, près de l'un des fauteuils où vous vous êtes assise avoir posé votre sac sur la table.
    Vous en avez sorti une corde de cinq ou six mètres de long et plusieurs larges ceintures de cuir brun. Je me suis approché de vous. Vous avez bouclé une ceinture étroitement autour de ma taille puis vous m'avez attaché les poignets joints à l'aide d'une ceinture et noué l'extrémité de la corde autour de la ceinture, entre mes poignets, les séparant par un espace de d'un centimètre. Vous vous êtes levée, me tirant à reculons vers le centre de la pièce. Vous avez passé l'autre extrémité de la corde au-dessus d'une poutre et vous l'avez tirée lentement, m'étirant les bras vers l'arrière et vers le haut, m'obligeant à pencher la tête vers les genoux. Puis vous m'avez enfilé sur la tête un sac de toile épaisse qui a dû être maintenu à l'aide d'une autre ceinture bouclée autour du cou. Ma respiration s'est aussitôt ralentie. J'ai senti que Vous nouiez un lacet à la base de mon gland. Erection naissante. Un coup sur la queue m'a fait retomber illico. Vous m'avez fait écarter les jambes et avez tiré fort sur le lacet, ramenant mon sexe vers l'arrière, entre les testicules puis vous avez attaché le lacet à la ceinture de la taille bouclée sur les reins. Quelques claques sur le cul, du plat de la main, je pense, m'ont obligé à resserrer les cuisses et vous avez bouclé deux ceintures en dessous et au-dessus de mes genoux, étroitement serrés, ayant pour effet de comprimer mes testicules.  Pour ajouter un peu de restriction, vous avez placé une autre ceinture autour de mes coudes, les rapprochant le plus possible. Puis j'ai senti les premiers coups reçus sur les fesses et l'arrière des cuisses. A l'aide d'une autre ceinture, je suppose. Les coups n'étaient pas très forts, mais rapides et ils m'obligeaient quand même à bouger au bout de ma corde, manquant de perdre l'équilibre à tout mouvement, obligé de garder les pieds écartés du mieux que je le pouvais, les genoux entravés, afin de garder un peu de stabilité. Les épaules, les bras et les poignets me faisait mal par les tensions exercées.
     
    Puis vous m'avez laissé dans cette posture après avoir entouré ma tête au niveau des yeux et de la bouche, à l'aide de ce j'ai cru être de la bande adhésive, restreignant encore ma respiration sans l'empêcher totalement, bien sûr. J'avais le vertige. Je n'ai pas la notion du temps qui s'était écoulé. Je sentais un bourdonnement constant, j'avais les tambours du Bronx dans ma tête et dans ma poitrine.

    Lorsque vous êtes revenue vers moi, vous avez dû détacher la corde de la poutre, car j'ai pu me redresser assez brièvement, juste une dizaine de secondes, car la corde s'est à nouveau tendue, étirant mes poignets plus haut qu'auparavant, m'obligeant à rester sur la pointe des pieds. Et là, j'ai pu apprécier votre art du détail qui a rendu cette punition totalement enivrante et extrêmement perverse:  vous m'avez entravé les chevilles jointes par une dernière ceinture réduisant à néant le peu d'équilibre que j'avais. Puis de nouvelles volées de coups de ceinture ont plu sur mes fesses, mes cuisses et mes mollets. Et J'ai senti des larmes couler sous le sac recouvrant ma tête et j'ai grommelé "Merci Madame Sylvania".
     
    Voilà. C'était mon rêve sans fin. Qu'a-t-il pu se produire par la suite ? Les gestes que je vous ai prêtés sont-ils ceux que vous auriez pu exécuter ? Peut-être pas. Je n'ai encore de vous que des impressions (qui m'impressionnent) mais qui surtout m'émeuvent.
     
    Attaché à vos pieds,
     
    A.

    « J’étais à Strasbourg pour 24 heures… »


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  • Pour la St Valentin, je vous offre un très joli poème.

    Il n’est certes pas interdit de vous occuper de votre Divine lors des 365 jours de l’année. Mais à l’occasion de la St Valentin, pourquoi ne pas la chouchouter, Celle qui vous épanouie, Votre Maîtresse, dites lui que c’est la plus Belle à vos yeux et qu’Elle représente beaucoup pour vous.

    Et pourquoi pas lui écrire des mots doux ou des poèmes…
    Madame. S

     

    Pour répondre à l’Amour, je te fais promesse

    D’être toujours là et de t’aimer sans cesse.

    Et puisque tu sais que ce n’est pas un rôle

    Je prends l’engagement de te faire oublier

    Tes souffrances sans mots, tes maux aux paroles

    Tu es dans un silence épais qu’un mur mure.

    Et parce que je t’aime, je saurai plier

    Ton corps qui me parle, ta peau qui murmure

    De la douleur voulue au plaisir qui t’est du.

     

    Mon fouet écrit sur ton corps des phrases écarlates

    Que ponctuent de leurs points de cire d’incandescentes bougies.

    J’écris ces mots d’Amour qui dessinent

    La Carte du Tendre de la douleur désirée, du plaisir attendu.

    M.

    Pour la St Valentin, je vous offre un très joli poème.


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  •  

     

    La preuve de Votre Domination…

    Maîtresse,

    J'admire la manière que Vous avez pour décrire l'occupation de Vos Journées...

    Cela me laisse songeur et même rêveur. 

    Peut-être que Vous le faites sans Vous en rendre compte, mais lorsque Vous parlez de l'ourlet de Votre Robe, puis d'acheter une nouvelle Paire de Chaussures, j'ai toujours cette même impression du lâcher prise....

    Excusez moi mais cela est plus fort que moi ou plutôt, c'est la preuve de Votre Domination...

    Aaron.

     


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  • Troublée…

    Mon Chriss,

    J'ai vraiment adoré les photos de toi pour votre dernier fête déguisée !

    Je trouve que tu as un charme fou et que tu es vraiment dans ton personnage.

    Et la tenue, le maquillage, tout était vraiment parfait ! 

    Je suis troublée je l'avoue par tout cela.

    Madame. S

     


     

     

    Oui je suis moi-même troublé par votre trouble ou ne sachant quoi dire, que de sentir votre regard sur moi, de pouvoir vous séduire dans ma transformation et de vous charmer.

    Vous aimez mon charme ? Pour vous j’aime Vous séduire en tant qu'homme travesti.

    D'être votre putain ou la Reine des salopes qui vous séduis le plus.

    Dans une soirée de tous les délires vestiaires ou dévisageant l'assistance croisant nos regards indiscrets, vous déchargez votre dévolu sur la putain au cheveux rouges, rien ne m'attendait à cette éventualité faisant partie simplement de cette soirée costumée, l'insistance à me dévisager me trouble d'emblée.

    Que dois-je faire à cet instant, sentant sous ma jupe l'effrontément de mon appendice, une panique humaine me prend de court, subjugué par votre regard, à l'instant je ne sais plus où me mettre...

    L'effet escompté est imparable à mon devoir de putain aguichée d'une somptueuse Dame au désir de son regard insistant.

    J'essaie encore de l'éviter mais l'endroit exigus est le piège qui se referme sur moi me laissant désiré du pire.

    Elle s'approche de moi, sans un mot, me regarde de la tête aux pieds, ma main tremble tenant mon sceptre de l'autre, les secondes qui passent sont interminables, elle s'avance et dépose prêt de mon oreille : "quel et ton non de putain" je la laisse à sa guise de le choisir pour moi, d'être affublé pour sa soirée de mon nom de catin "tu seras pour moi ma Petite chose."

    Je sens sa main glisser sous ma jupe, toucher ma peau devenue dure à ces paroles, je suis sous son emprise totale.

    Dès cette soirée devenue sa putain, je la sers au mieux, divinatoire déesse elle accomplit cet imprévu troublant qui ne s'efface pas mais enrichi ma dévotion de vous avoir ainsi troublée.

    Entre la réalité et fantasme, je suis ému(e) à cette idée de transformation et de vous plaire ainsi vêtue, d’être un cours instant votre femelle rouge ou que votre plaisir soit le mien.

    Petite chose.


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  • La jalousie dans la relation BDSM ?

    Je me suis posé une question et j'aimerais que vous y répondiez avec sincérité, comme toujours j'entends.

    J'ai publié il y a quelques jours le fait de permettre à un nouveau soumis d'être à mes pieds.

    Il ne sera finalement pas mon soumis. Mais le prochain à venir ?

    Je voudrais donc savoir, ce que vous ressentez quand vous lisez cela sur mon blog ?

    Je parle ici du fait qu'il puisse y avoir une pointe de jalousie. Ou pas du tout ?

    Comme souvent, je répète qu'il n'y a aucunement besoin d'être jaloux, car pour moi vous êtes tous avec vos caractères et vos envies et vision du BDSM, personnelles, et vous m'apportez à votre façon des choses bien différentes et vous ne vous ressemblez en rien.

    Mais oui, j'aimerais savoir ce que vous ressentez précisément et comment vous percevez tout cela ?

    Je suis curieuse de votre retour.

    Et vous lectrices et lecteurs, qu’en pensez-vous ?


    Madame. S

     

    La jalousie dans la relation BDSM ?

    Bonjour Madame S,

    Non aucun problème pour moi-même si je ne mets pas toujours de commentaire je lis toujours vos publications sur le blog et j’aime vous lire et découvrir vos articles.

    Je n’ai pas un super moral avec ses fêtes et c’est pour cela que je suis assez discret un peu las de tout, mais je ne vous oublie pas, soyez en certaine, vous faites partie de ma vie.

    Bonne fin d’année.

    Soumis Albin.  


     

     

    Madame.S,

    Je serai bien sûr sincère et dans aucun cas je ne serai jaloux mais je suis plutôt indifférent ce qui pourrait passer pour de la jalousie refoulée.

    D'un côté aussi très amusé de voir son comportement à votre rencontre, je crois que je suis aussi un peu blasé de tous ces comportements qui le trouble.

    De mon côté le BDSM prend une partie de ma vie par le partages, les idées et les envies mais cela et devenu beaucoup plus simple pour moi de vivre mon BDSM sans me prendre la tête, je crois que je n'aurais plus le courage de recommencer une nouvelle relation et de retrouver dans sa situation.

    Je n'ai pas vraiment d'avis tranché sur le sujet mais beaucoup de compassion et de compréhension.

    Je respecte bien sûr vos choix et tellement heureux pour vous si vous trouvez un bon soumis qui puisse vous apporter un peu de sérénité et qui vous fasse oublier l'espace de ces instants tous ce qui ne va pas.

    Oui comme vous le dites si bien nous avons chacun notre rôle et notre façon de voir les choses.

    Votre Chriss.


     

     

    Maîtresse,

    Je savais que le 27 décembre, était prévu Votre Repas avec Franck, Votre nouveau soumis, si Vous me le permettez et par rapport au message que Vous m'avez envoyé ce matin, je suis heureux si Votre Cheptel s'agrandit, plus jeune je Vous avoue que j'aurais eu le cœur un peu déchiré, alors qu'aujourd'hui, cela me réjouit… un peu comme devoir Vous servir avec Votre Homme (votre mari pour ne pas le nommer…) à Vos Côtés… est-ce le fait de vieillir qui me rend comme cela ??? je crois que oui malheureusement… Le seul soumis où je me sens en concurrence, c'est Chriss où je ressens comme une proximité dans notre manière commune, de Vous parler de soumission… mais cela ne reste qu'une impression.

    Aaron.

     


     

    A vous,

    Mes sujets,

    J’aime et j’admire, vraiment, la sincérité de mes sujets, quand je leur pose une question.

    Ce nouveau sujet, qui a dorénavant sa place dans mon cheptel, est important pour moi et vous le découvrirez un peu plus au fil de mes publications.

    Un nouvel arrivé, peut laisser un doute, voire une jalousie quelquefois.
    Je sais que pour Albin, lui a largement dépassé tout cela et qu’il se réjouit pour moi, de loin… Nous avons un respect commun dans notre relation virtuelle et j’apprécie cela.

    Pour Chriss, lui ayant confié qui il était à son épouse et ayant une Maîtresse près de lui en Suisse, il vit certes différemment ces relations. Et je comprends qu’il dise être « loin » de tout cela. Et ne plus voir de la même façon la relation entre une Maîtresse et son soumis.
    Je respecte, donc également son point de vue, même si je le trouve un peu, comment dire, « blasé » mais est-ce le mot adéquat à employer ?

     

    Pour Aaron, oui je sais qu’à nos débuts tu étais vraiment jaloux et je l’ai compris. Et je respecte ce point aussi. Car je ne peux que comprendre que de partager Celle qui vous fait vibrer, Celle pour qui vous êtes prêts à beaucoup pour l’honorer, il n’est pas toujours facile d’imaginer cette Dame, avec une autre personne. Mais il faut d’abord penser à Elle, à son Bien-être et ce dont Elle a besoin pour s’épanouir. Voilà votre priorité.

    Elle et ce qu’Elle souhaite et vous demande, avec ses ordres et autres pratiques diverses.

    Soyez un bon sujet et vous mériterez alors son attention…

    Mais je comprendrais, tout à fait, qu’il puisse y avoir une pointe de jalousie, à la lecture de tel ou tel article, ou de telle ou telle évocation !


    Nous sommes tous d’accord sur un point, le fait que chaque personne puisse m’apporter, à sa façon, des heureux moments, même de loin. Et qu’il est important de me savoir bien entourée.

    Que Madame. S soit heureuse, épanouie en tant que Maîtresse.
    Et qu’il y ait un soumis, qui soit plutôt proche géographiquement et qui puisse me voir, de temps en temps, pour être dominé et apaiser la Dame que je suis dans son quotidien…

    Madame. S


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  • Franck n’est « déjà » plus qu’un souvenir…

    Eh bien oui, cruelle déception, Franck est remis dans le lot de ceux que je considère comme des mauvais sujets, qui ne savent pas vraiment ce qu’ils cherchent ou alors sont en attente d’une relation spécifique, qui ne convient pas aux deux personnes, à savoir la Maîtresse et le soumis et les diverses obligations, qui pour ma part sont familiales, mon travail et des projets à venir.
    Ce qui m’attriste spécifiquement, c’est que je croyais en ce soumis, mais je me suis trompée et je suis lasse de tout cela.

    Je me questionne véritablement sur les suites à donner à mes recherches. Tant je suis lasse.

    Tant d’énergie pour finir de me rendre compte que ce soumis n’était pas fait pour moi.

    Ce monsieur mériterait une bonne correction !

    Heureusement, j’ai mon cheptel pour me soutenir dans une situation inattendue dans ma vie ces derniers jours et qui me touche personnellement, qui m’affecte.

    La place est libre mes petites choses, si vous êtes véritablement soumis et envieux d’avancer ensemble, sérieux et proche de ma région, contactez moi, je vous répondrai.

    madame.du67@yahoo.fr

    Bon dimanche !

     


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  • J’ai fait un rêve…

    Madame Sylvania.
     
    Voici le rêve que j'ai fait dans une nuit de la semaine dernière. Bien sûr, un rêve est habité par le fantasme et il tient forcément compte davantage des miens que des vôtres que je connais peu.

    Et sa transcription sur le papier (ou sur l'écran) le transforme en littérature. Il n'en reste pas moins que ce rêve n'a existé que parce que vous existez.

    Vous êtes entrée dans ma vie et dans mon esprit comme une ombre. Et vous planez sur moi.
     
    Depuis notre rencontre, bien que virtuelle, j'ai le sommeil agité et bref. Au réveil, me sont revenues devant les yeux les images de mon rêve. Rêve ou cauchemar ? Je penche pour la première proposition, mais mon rêve n'a pas eu de fin... Peut-être se termine-t-il en cauchemar !
     
    J'étais à Strasbourg pour 24 heures. Il était 13h. Un jour frisquet. Était ce déjà l'automne, ma saison préférée, ou un caprice du climat ? 
    Vous m'attendiez en face de la grande verrière. Je vous ai repérée au premier coup d'œil. Votre chevelure sombre, vos lèvres carminées. Le noir de votre manteau ciré.
     
    J'avais réservé une chambre dans un petit hôtel modeste proche de la gare, car j'ai peu de moyens.
    La cerbère qui tenait la réception, après que j'eusse complété la fiche, nous donna la clef de la chambre la moins chère, au dernier étage, sous les combles. Le confort de ma chambre m'importait peu. J'étais à Strasbourg pour recevoir de vos mains la punition bien méritée. Nous avons pris l'ascenseur qui nous a élevé jusqu'au dernier étage. Au bout d'un couloir étroit, un escalier et en haut, une porte identique à toutes les autres. Je me suis effacé pour vous laisser entrer, j'ai refermé la porte derrière nous. Mon sort était scellé. Plus de marche arrière possible.
     
    C'était une pièce mansardée de 5 à 6 m sur 4. Au fond, un lit de bois doré et un placard. Des poutres au plafond, un plancher de bois sombre. Une table ronde, trois fauteuils type bergère, des tentures de velours lie de vin.
     
    Etrangement, mon rêve était muet. Je n'ai aucun souvenir de paroles échangées entre nous... La raison en est probablement que je ne connaissais pas le son de votre voix. Ou bien, notre connivence sera-t-elle à ce point forte qu'aucun mot ne soit nécessaire pour nous exprimer nos sentiments, nos ressentis, nos peurs, nos joies ?... Les deux raisons mêlée, certainement.
     
    Je me suis mis nu, près de l'un des fauteuils où vous vous êtes assise avoir posé votre sac sur la table.
    Vous en avez sorti une corde de cinq ou six mètres de long et plusieurs larges ceintures de cuir brun. Je me suis approché de vous. Vous avez bouclé une ceinture étroitement autour de ma taille puis vous m'avez attaché les poignets joints à l'aide d'une ceinture et noué l'extrémité de la corde autour de la ceinture, entre mes poignets, les séparant par un espace de d'un centimètre. Vous vous êtes levée, me tirant à reculons vers le centre de la pièce. Vous avez passé l'autre extrémité de la corde au-dessus d'une poutre et vous l'avez tirée lentement, m'étirant les bras vers l'arrière et vers le haut, m'obligeant à pencher la tête vers les genoux. Puis vous m'avez enfilé sur la tête un sac de toile épaisse qui a dû être maintenu à l'aide d'une autre ceinture bouclée autour du cou. Ma respiration s'est aussitôt ralentie. J'ai senti que Vous nouiez un lacet à la base de mon gland. Erection naissante. Un coup sur la queue m'a fait retomber illico. Vous m'avez fait écarter les jambes et avez tiré fort sur le lacet, ramenant mon sexe vers l'arrière, entre les testicules puis vous avez attaché le lacet à la ceinture de la taille bouclée sur les reins. Quelques claques sur le cul, du plat de la main, je pense, m'ont obligé à resserrer les cuisses et vous avez bouclé deux ceintures en dessous et au-dessus de mes genoux, étroitement serrés, ayant pour effet de comprimer mes testicules. Pour ajouter un peu de restriction, vous avez placé une autre ceinture autour de mes coudes, les rapprochant le plus possible. Puis j'ai senti les premiers coups reçus sur les fesses et l'arrière des cuisses. A l'aide d'une autre ceinture, je suppose. Les coups n'étaient pas très forts, mais rapides et ils m'obligeaient quand même à bouger au bout de ma corde, manquant de perdre l'équilibre à tout mouvement, obligé de garder les pieds écartés du mieux que je le pouvais, les genoux entravés, afin de garder un peu de stabilité. Les épaules, les bras et les poignets me faisait mal par les tensions exercées.
     
    Puis vous m'avez laissé dans cette posture après avoir entouré ma tête au niveau des yeux et de la bouche, à l'aide de ce j'ai cru être de la bande adhésive, restreignant encore ma respiration sans l'empêcher totalement, bien sûr. J'avais le vertige. Je n'ai pas la notion du temps qui s'était écoulé. Je sentais un bourdonnement constant, j'avais les tambours du Bronx dans ma tête et dans ma poitrine.

    Lorsque vous êtes revenue vers moi, vous avez dû détacher la corde de la poutre, car j'ai pu me redresser assez brièvement, juste une dizaine de secondes, car la corde s'est à nouveau tendue, étirant mes poignets plus haut qu'auparavant, m'obligeant à rester sur la pointe des pieds. Et là, j'ai pu apprécier votre art du détail qui a rendu cette punition totalement enivrante et extrêmement perverse :  vous m'avez entravé les chevilles jointes par une dernière ceinture réduisant à néant le peu d'équilibre que j'avais. Puis de nouvelles volées de coups de ceinture ont plu sur mes fesses, mes cuisses et mes mollets. Et J'ai senti des larmes couler sous le sac recouvrant ma tête et j'ai grommelé "Merci Madame Sylvania".
     
    Voilà. C'était mon rêve sans fin. Qu'a-t-il pu se produire par la suite ? Les gestes que je vous ai prêtés sont-ils ceux que vous auriez pu exécuter ? Peut-être pas. Je n'ai encore de vous que des impressions (qui m'impressionnent) mais qui surtout m'émeuvent.
     
    Attaché à vos pieds,
     
    A.

    J’ai fait un rêve…


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  • L’heureuse nouvelle pour mon soumis. Pouvoir lui dire « Maîtresse ». Enfin… Devenir « Mon Franck ».

     

    Bonjour,
    Comme je te le disais hier soir lors de notre entretien téléphonique, j’ai décidé de te prendre à mes pieds, comme soumis attitré !

    J’ai alors entendu ta voix changer, ton souffle s’accélérer et je t’ai alors entendu très… Comment dire ? L’émotion t’a submergée et tu n’as pu le cacher. Cela m’a vraiment touchée et m’a confortée dans ma décision de te prendre sous mon aile. Et quand tu as ajouté que tu te mettais à genoux, j’ai sans peine imaginer la scène et cela était délicieux.

    Et t’entendre me dire « Maîtresse » a été bien agréable pour moi. Tu as une façon bien précise de l’exprimer, convaincu et cela est très beau. Comme un soulagement dans ta voix à le prononcer, alors que tu n’avais pas pu le dire depuis bien longtemps. C’est que tu devais me rencontrer. Moi, Madame. S, celle qui devient officiellement ta nouvelle Reine, celle à qui tu dois tout. Respect et obéissance.

    Comme je te l’ai dit, le premier point à aborder et ce pour être transparente dans ma réflexion à ton égard est le fait d’avoir eu peur de ne pas avoir assez de temps à te consacrer, car tu en as plus de ton côté ; C’est un point que j’ai mis dans la balance avant de me décider. Mais hier lors de notre échange, tu m’as un peu rassurée sur le sujet.

    Un déménagement à venir pour ma part, beaucoup de travail ces dernières semaines…

    Et puis, finalement, c’est bien mon sujet qui doit être en attente et non l’inverse ! Et puis je me dis également que quand je m’engage, je fais de mon mieux pour être attentive à mon soumis et je tiens à le souligner ici dans mon engagement envers toi. Je ferais ce qui est en mon pouvoir pour te guider et ce dès que je le pourrais.

    Mais dorénavant, je fais partie de cette vie et cela est important pour moi de le souligner ici.

    Je te fais confiance, déjà, pour être dévoué, fidèle et attentif à ta Maîtresse. Je ressens cela en toi. Ton regard posé sur moi lors de notre déjeuner à Obernai me l’a confirmé. Tu étais, déjà, un peu « mon » soumis.

    J’aime te savoir entier et engagé de la sorte envers moi. Envieux de faire de ton mieux et surtout cette envie d’être un bon soumis pour mériter mon attention.

     

    Le second point évoqué au téléphone, comme je te le disais, c’est que je vais imposer une période d’essai et je vais pour cela décider m’engager avec toi et ce pour 6 mois. Ensuite, tu deviendras définitivement mon soumis. Je veux, par cette période, voir qui tu es, prendre le temps de te découvrir et approfondir notre relation, naissante.

     

    Troisième point. Ton nom va changer. Il commencera impérativement par un « A ». Je vais te permettre de choisir parmi plusieurs prénoms, avec la symbolique que tu pourras trouver pour chaque prénom. Tu m’enverras cela par mail, rien ne presse. Mais je pourrais en choisir un de ta liste, ou non.

    Moi seule décidera au final de ton prénom de soumis.

     

    Une première règle va s’installer chaque matin à ton réveil. Regarder ma photo, celle que tu as installée dans ton téléphone et faire une « prière », un hommage à mon égard.

    Tu pourras de temps en temps partager cet hommage par SMS ou mail, avec tes mots, humeurs du moment, de l’instant. Mais tu pourras aussi garder pour toi certains hommages du matin, en secret.

     

    Je vais t’envoyer d’autres photos de moi, pour varier chaque matin. Il faudra également en faire développer, pour que je puisse avoir une place sur ta table de nuit. Cela te semble envisageable pour ton entourage ? Je ne souhaite pas compliquer ton quotidien et comme je te l’ai dit, si un point ou un autre te causait soucis, il faudra m’en parler. Je ne souhaite vraiment pas être envahissante, même si je crois que je vais le devenir, un « peu » ! Mais pour ton plus grand plaisir.

     

    Je veux également, que dorénavant, tu portes, dès que cela sera possible, des sous-vêtements féminins et que tu m’en rendes compte chaque jour.

     

    Une autre règle incontournable. Que tu sois soigné et présentable tous les jours et quand tu te présenteras à moi. Un laisser-aller ne me conviendrait pas.

     

    Je te veux sérieux, engagé, motivé, capable d’être un bon soumis, à vénérer sa Maîtresse.

    Je sais que nous avons des belles choses à vivre, à partager, à échanger, évoluer sur ce même chemin, que nous avons décidé d’emprunter ensemble en secret.

     

    Je vais faire de belles choses avec toi.

     

    Madame. S

     

    L’heureuse nouvelle pour mon soumis. Pouvoir lui dire « Maîtresse ». Enfin… Devenir « Mon Franck ».

    Maîtresse,

    Je m'engage solennellement à Vous servir Maitresse; et à vous obéir.

    Je vous rendrai culte, Ma Reine, chaque matin; je me prosternerai devant Votre Grandeur en signe d'adoration

    Je ferai développer vos photos à cet effet, Maitresse.

    Je ferai attention à mon apparence, chaque jour, j'entretiendrai ma pilosité, 

    Aucun laisser-aller, Maitresse, je vous le promets.

    Je porterai toujours , sauf cas spécial, des sous-vêtements féminins, en Votre honneur, Maitresse.

    Je prendrai le nom de soumis que vous voudrez bien me donner, Maitresse; j'en dresserai la liste.

    Je suis ému aux larmes, Maitresse.

    Je couvre vos mains de baisers respectueux.

    Vous êtes Ma Maitresse.

    Je suis Votre soumis ; je vous appartiens, Maitresse.

    Merci infiniment pour ce cadeau divin.

    Votre Franck.

     


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  • Bonne année 2024…

    A mes lectrices et lecteurs, aux passantes et aux passants,

    je présente pour l’année 2024 mes meilleurs vœux BDSM (Bonheur, Douceur, Santé, Monnaie)

    - un peu particuliers certes...

    Mais comment ne pas avoir envie de

    sourire tendrement en cette nuit ?

    Réalisez vos rêves, pourquoi pas les plus fous.

    Osez et franchir le pas vous sera bénéfique

    et vous serez heureux.

    Belle Année 2024.

    Madame. S

    Bonne année 2024…


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  • Notre rencontre…

     

    Mes profonds respects, Madame, 

    Aujourd'hui, c'est le grand jour... enfin... celui qui me tient en haleine depuis notre premier contact.
    Nous échangeons, depuis deux semaines, par courriel, par téléphone, par photos interposées... par SMS.... beaucoup...!

    Je ne vous ai jamais vue, Madame, Je ne connais que vos yeux...


    Mais là, nous y sommes ; je vais pouvoir croiser le regard de Madame S; et effleurer Sa main...!


    Cette main que je convoite tant, dont j'ai tellement besoin...pour me guider,  me rassurer... vais-je enfin la sentir, posée sur ma tête, quand je m'inclinerai, avec la plus grande déférence, devant Vous, Madame...?

    Ma nuit a été difficile, peuplée de rêves, d'interrogations, d'excitation, d’inquiétudes aussi. Vous le savez, je Vous l'ai confié, à mon réveil.


    Je dois faire la route, parcourir ces kilomètres qui nous séparent, j'appréhende un peu... mais Vous êtes là Madame, dès le petit matin, pour m'apaiser, me tranquilliser, avec vos messages, vos photos...déjà, à cet instant, vous me guidez, vous me rassurez...serait-ce prémonitoire...?

     

    Et puis voilà, Madame, je suis au rendez-vous; vous venez de m'appeler, vous aller arriver. Je vous cherche du regard, il y a foule, vais-je vous trouver...?


    Non Madame, c'est Vous qui me trouvez ; j'entends votre voix, vous êtes derrière moi ; je me retourne, et je vous vois...Vous êtes là.


    Je suis immédiatement impressionné, réduit, tout "petit". Votre regard clair et limpide me pénètre, je découvre votre allure, votre prestance, votre gestuelle, votre sourire, adorable, que je devine terrible, aussi...tout cela forme un bloc... (je vais me répéter, pardonnez moi Madame)... ce que j'appelle Votre Aura.


    Votre Aura d'où émane la plus grande assurance, la plus grande certitude ; une autorité sans partage, implacable, matriarcale, absolue, et en même temps, une grande douceur, un respect certain; une considération apaisante pour le sujet que je suis.

     

    Alors, une fois à table, à peine assis, je l'avoue Madame, vous me parlez, je vous réponds, je vous entends, mais je ne vous écoute pas ; je ne peux pas ; mes réponses doivent être hasardeuses... je suis presque voyeur à cet instant ; je ne peux détacher mon regard de vos yeux ; ils me pénètrent, je ne peux les soutenir...et vos mains sont là, ornées de ce beau vernis rouges, l'une porte un verre à vos lèvres, l'autre saisit une fourchette ; corrige une mèche de vos cheveux... et je n'ai qu'une envie ; les toucher, les embrasser...à un moment, je ne peux plus, j'ai l'audace d'en effleurer une, je crains votre réaction...mais vous me souriez... merci Madame.

     

    Nous bavardons, plus de deux heures, tant de sujets sont abordés ; nos vies privées, nos vies d'avant, nos descendants, nos ancêtres, nos expériences, nos pratiques, nos envies, nos interdits, notre progression, notre évolution, nos projections... notre avenir... et pour ma part ; le sentiment que je retiens de ce long entretien ; c'est la fluidité ; je n'ai pas perçu de contradictions fortes entre nos visions, même si bien sûr, il subsiste différents points de vue.

     

    Et puis l'heure de se séparer est venue, Madame, le restaurant est vide...et nous sommes là, dehors, mon cœur bat la chamade, mon "test" a-t-il été positif...?


    Est-ce l'heure du verdict...?


    Non, pas encore... je vous salue, Madame, vous me tendez la main, j'y dépose un baiser, et vous vous éloignez sous mon regard incrédule...

     

    Je vais attendre encore, Madame, tout le temps qu'il faudra, avec le fol espoir de pouvoir, un jour, porter votre collier, être votre sujet; me prosterner devant Vous.


    Mon plus grand souhait est de vous servir Madame, vous vénérer sans partage, avec abnégation et dévouement, et obtenir ainsi le privilège ultime de pouvoir vous appeler Maitresse.

    Respectueusement.

    Franck.

    Notre rencontre…

     


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