Madame.S, Je viens vous raconter mes dernières aventures…

Il y a quelques jours j’ai donc eu droit à un réel chez ma nouvelle Maîtresse, elle me fait penser beaucoup à vous et dans les coups plus durs hier vous m’avez aidé à recevoir la douleur…

Oui Maitresse je suis un soumis j’ai aimé comme à l’hôtel Hilton où nous étions ensemble.

Elle m’a confié être très courageux et elle aime l’inde, je l’ai donc invitée dans un restaurant indien ensuite nous sommes allés chez elle.

Elle m’a fait me déshabiller sauf la cage de chasteté que j’ai dû conserver, elle m’a passé une cagoule de cuir hyper chaude qui fait perdre tout vue ouïe, vue...

Ensuite, elle est partie se changer c’était interminable !

Puis j’ai eu droit aux pinces à tétons et du Paddle beaucoup de Paddle ! Les trois lanières de son fouet rouge, terrible pour laisser de ci de là trois petits traits. J’avais les chevilles enchevêtrées de collier d’esclave et quand je bougeais cela accroissait sa colère !

Elle aimait s’asseoir sur mon dos s’appuyer avec ses talons sur ma cage etc… Quand elle me retira la cagoule, je pensais que c’était terminé oh que non ! Elle me montra l’objet impressionnant et me dit c’est pour lui que je t’ai imposé un lavement ! Moi qui n’ai mis que des carottes pour le dîner ! Me voilà servi il rentre en me déflorant, elle tire, joue, tourne et là me dit c’est en le retirant le plus douloureux ! Oh je deviens pâle.... sauf mon derrière et là une sensation incroyable que je voulais vivre avec vous m’est arrivée.

Elle me laisse me rhabiller et m’oblige à lui donner les clés de ma cage..... Me voilà encagé à son bon vouloir, un orgasme ruiné me sera admis lors de ma prochaine visite.... mais quand ?

Voici quelques photos.

Moi… Sixtytwo. Caniche royal de Madame C.

 

 

 

Bonjour Maîtresse,

Ne travaillant pas aujourd’hui, je vais passer une partie de la journée à demi-nue avec un collier, un petit corset noir, des bas, bourses annelées à tenir en laisse avec ces pensées perpétuelles d'être amenée à vos pieds.

En cette journée, je me sens pute soumise, sexe et anus à fouetter aux orties, anus à élargir, à pénétrer, à remplir...

Sissy servante à terre pour vos envies et désirs…

Et chienne que je suis, à vidanger ma liqueur maturée dans un réceptacle pour le boire en honneur et en communion de vénération.

Votre soumise souffrante Godeline enchaînée dépendante, esclave de ses pensées permanentes à vous imaginer prenant livraison de la chienne fidèle que vous avez façonnée et créée.

Belle journée Maîtresse.

Godeline.

 

Chère Maîtresse,

      Voici quelques nouvelles, les préparatifs à un nouveau réel, une rencontre avec Madame. C

Ma Maitresse de substitution m’a imposé une nouvelle cage, encore plus petite.
Son objectif : me rendre eunuque.

Voilà pourquoi j’espère que vous prendrez votre décision avant que ça n’arrive, jeudi matin je dois me faire un lavement, allé la chercher. Et nous irons manger dans un resto indien en compagnie d’un nouveau soumis qui voudrait aussi faire du réel, elle profite de ma présence pour le juger, par sécurité, je suis un peu son body Gard avant le réel.

Elle m’a bien promis qu’après le resto nous irons chez elle, rien que nous deux, mais rien ne filtre !

Je vous en dirai plus après la séance, promis, mais vous serez dans ma tête car grâce à ça je serai plus fort....

Vous savez, on la dit capable de tout et parfois un peu folle alors.... j’ai vraiment besoin de Madame S en mon esprit.

Sixtytwo...

 

 

 

Bonjour Maîtresse,

Je n’arrête pas de penser que je suis votre chienne....

Là, je me suis mise nue à 4 pattes pour vous écrire...

J’ai  trouvé  ce dessin magnifique.

Bourses serties fortement, liqueur prisonnière, clitoris percé, annelé tenu en laisse inutile...,

Je trouve que le perçage est un symbole fort, j’admire Aaron avec son anneau au téton et Chriss avec ces 2 tétons percés. Cela scelle une alliance forte.

Un bel anneau sur notre sexe nous esclavagiste encore plus pour notre Maîtresse.

Et puis encore ce dessin... perte de notre virilité pour basculer féminine, corolle anale offerte au symbole de votre pouvoir de possession... être prise profondément par un gode siglé de votre S..... la badine pour accepter d’être  Encore plus parfaite dans mon dressage…

Esclave vous me faites.., dessinez... avec art Vous savez nous prendre... nous modeler..

Merci Maîtresse.

Godeline.

 

 

 

 

Bonjour Maîtresse,

Aujourd’hui le 23 !

Cela fait 3 mois que vous Vous nous avez plongées dans l’abstinence. Je vous en remercie.

Cet état nous met dans un sacerdoce de vénération de votre personne.

Il y a quelque chose de Divinatoire.

Vous êtes notre Divine Maîtresse propriétaire de notre corps et sexualité.

Vous savez que votre  Godeline petite chienne soumise est en cage intellectuelle connectée, enchaînée à Vous vénérer.

Merci de me conditionner ainsi, toute prisonnière, encagée, brûlante intérieurement... mes tétons rêvent d’être Tendus, pincés, ma liqueur gonfle mes bourses, ma corolle appelle au godage... mais votre cage me suspend dans cet état magnifique de lévitation en chasteté... d’interdit... et de dévotion.

Je sais que je suis à Vous.

Votre force de nous conditionner nous conduit dans notre quotidien.

Toutes mes pensées vont vers Vous Divine Maîtresse en ce jour 23!

Votre chienne Fidèle Godeline.

 

  

Bonjour Madame S,

Chose promise, chose due, je vais donc vous narrer ma dernière séance avec ma Divine, mardi dernier :

Comme je vous l’ai déjà dit, j’adore ma Maîtresse et il m’importe donc de passer le maximum de temps avec elle, j’ai donc souvent la chance d’être invité à déjeuner chez elle, évidemment avec tenue et Discipline !

Je me suis donc présenté mardi à 12h, au donjon de ma Divine, avec une bonne bouteille de vin et une tarte au fromage, car ma Maîtresse l’adore !

Nous avons donc déjeuné en discutant de tout de rien et ce, très librement, jusqu’à ce que la sonnette retentisse, à 13h45, alors que Maîtresse avait convoqué élève Louis pour 14 h !

Il fut invité à se déshabiller puis de venir au réfectoire à quatre pattes, alors que nous étions sur le point de prendre le dessert !

Maîtresse l’invita à se placer à ses pieds, en lui disant que comme il avait désobéi en arrivant trop tôt, elle allait lui offrir un bon dessert pour une première leçon de bonne manière !

Elle alla chercher nos parts de tarte au fromage, élève Louis s’apprêtait à se relever pour déguster à table, en notre compagnie, mais Maîtresse usa immédiatement du martinet, en lui ordonnant de rester à genoux à ses pieds et en revenant avec une écuelle garnie d’un baba au vinaigre et s’exclama bon appétit !

Soumis Louis se jetait sur l’écuelle en espérant autre chose, et fit mine de rendre quand l’odeur du vinaigre arriva à son nez !

Aussitôt, le martinet reprit et Maîtresse lui expliqua que chez elle les plats étaient dégustés de gré ou de force !

Il fit une colère en disant qu’il ne pourrait pas et Maîtresse lui laissa quelques minutes de réflexion.

Réfléchis, je vais préparer élève Pascal pour sa sieste et m’occuperais de toi après :

Elle me prit par l’oreille, me fit allonger sur sa table, en garnissant mon gland d’une pastille de Javel et d’une pince pour éviter tout départ et n’oublia pas mes tétons qui eurent droits aux pinces étaux très sévères que vous connaissez !

Je remerciais évidemment Maîtresse, qui me fit taire, en faisant couler quelques gouttes de Javel pure sur la pastille pour une effervescence plus savoureuse et me dit, tu peux remercier ta Maîtresse maintenant.

Cela commençait à piquer mais je remerciais Maîtresse.

A nous deux élèves Louis :

Tu ne veux pas manger ton dessert parce qu’il est au sol ?

Très bien Maîtresse va arranger cela, mets-toi debout devant la chaise d’élève Pascal et attends-moi :

Elle revint avec un bandeau qu’elle plaça sur le visage d’élève Louis, plaça un énorme bouquet d’orties sur la chaise et invita élève Louis à s’asseoir mais à peine au contact des plantes, il se releva en poussant un cri strident !

Qu’est que j’ai dit ?

Assis et déguste ton dessert ou je reprends le martinet !

Il s’asseyait et prit son courage à deux mains pour avaler très rapidement son dessert :

Oh, mais tu sembles adorer cela ? Maîtresse va aller t’en chercher un deuxième, bien trempé et elle va faire couler un peu de vinaigre sur les orties, pour un second dessert encore plus savoureux !

Élève Louis savoura, supplia indulgence en vain, et eut pour seule réponse, encore un mot et c’est un 3ème dessert !

Pitié non svp Maîtresse !

Pendant ce temps, la Javel faisait effet et les pinces me coupaient les tétons et je ne pu me retenir, j’étais en érection !!!

Maîtresse était furieuse :

Qu’est-ce que je vois là ? Tu sais ce que mérites ?

Oui Maîtresse , les orties !

Exactement, et sans rincer, Maîtresse enfila une paire de gants pour me frotter vigoureusement gland et testicule, mon érection ne faisait que croître mais Maîtresse était contente, et elle redoublait le traitement pour m’enseigner la bonne conduite alors qu’élève Louis riait de mes cris, tant la punition était sévère.

Tu te payes la tête de ton camarade, tu peux venir ici, tu vas aussi être puni pour ta désobéissance, mais pour toi, ce sera recto-verso !

D’abord ce minuscule sexe puis je te garnirai la raie des fesses de bonnes orties, avant de garnir ta couche de vinaigre, pour une longue sieste en silence !

Je remerciais aussitôt Maîtresse et obtenu l’autorisation de vénérer ses doux pieds pendant qu’elle s’occupait d’élève Louis !

Inutile de vous dire qu’elle a dû grandement apprécier, tant Louis a été très sévèrement puni !!!

Ma sévère Maîtresse est magique et je l’adore comme personne, si belle naturellement, exceptionnellement jolie quand elle sévit, bref plus attrayante encore !

Je fus autorisé à me doucher et nous prîmes un café alors qu’élève Louis était enchaîné en cage, pour une longue sieste et Maîtresse termina la séance par un petit jeu :

À chaque fois que je buvais une gorgée de café, elle faisait couler le vinaigre dans la couche de Louis qui suppliait indulgence, et qui eut droit à 30 coups de martinet en fin de séance, pour apprendre à arrêter de se plaindre !

 

Vous savez tout, Madame S et espère vous avoir donné quelques idées pour d’excellents traitements biologiques et futurs !!!

Très respectueusement, j’ai hâte de vous lire car je vous sais très sévère aussi !

 Élève P.

 

A nouveau, j’aime lire ton récit et ce moment partagé à trois, toi et ta Maîtresse, que tu vénères fortement et ce petit sujet, Louis, qui mérite d’être fortement corrigé car il a l’air très désobéissant ! Un dressage intensif s’avère nécessaire je crois ; Mais cela, c’est au bon vouloir de Ta Maîtresse ; Qui saura quoi faire de lui j’en suis certaine.

J’aime lire ces instants, forts de sens et que tu racontes avec passion, avec ton cœur ; J’apprécie.
Madame.S

 

 

 

 

Bonjour Maîtresse,

Comme souvent, je regarde votre photo.

Je Vous trouve si Belle…

Et j’ai la sensation d’être de suite à terre ligaturée de partout...

Je me sens chienne vaincue,  à 4 pattes en laisse menée et tenue par Vous.

Heureuse, enfin !...

Godeline en souffrance, chaste en pénitence…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ma Maitresse de substitution m’a proposé de me mettre une nouvelle cage, un peu plus renfermée encore ! Où il n’y a plus moyen ni de toucher, ni de voir la nouille du soumis ! (que je ne voyais quand même plus avec mon ventre).

Lors d’un changement de cage elle me permet de me traire, ne sachant le nombre de jours qu’elle compte m’enfermer…

Nouveaux ordres. Cette fois-ci elle m’a envoyé dans une grande surface et par portable m’envoya les ordres petit à petit, moi je devais en rendre compte par photos !

J’ai dû me rendre dans une cabine d’essayages, me déshabiller complètement et me masturber devant le miroir.

Je flippais que quelqu’un n’ouvre la tenture ! Une fois fait je me suis encagé, et sans savoir le temps, voilà la méthode de Maitresse C. !

Il y a quelques jours, elle m’a demandé l’endroit où je mon commerce de vente à emporter ! En me disant d’avoir toujours mes clés sur moi, et elle m’a fait la surprise de venir à mon stand les réclamer et ce alors que ma femme était à mes côtés !

Mon adrénaline a monté subitement, j’ai eu très peur et j’ai mis les clés dans une serviette !

Il n’y a plus qu’à espérer qu’elle ne les perde pas maintenant ! Me voilà encagé sans clés…

Sixtytwo.

 

 

Bonjour Maîtresse,

Quand une petite chienne ne dort pas, elle s'imagine sous votre autorité.

Trouvant ce dessin, je me vois installée par vos soins, prête à recevoir ce lavement nocturne.

Et là, je ne pense qu’à être remplie d’un liquide choisi par vos soins. Je vous entends: « Donne-moi ta chatte qui m’appartient Godeline ! »

Je pousse alors ma corolle affolée pour la dilater et m’offrir à l’insémination.

« Enfin! Tu te livres ! Petite chienne ! Comment as-tu pu attendre aussi longtemps pour te donner à mon autorité ! Petite Godeline… »

Sentant cette canule qui me pénètre, je suis heureuse... je sens son glissement en moi. Je vous remercie, je me sens inséminée, je suis toute en désir.... vous me faites patienter... puis cet écoulement frais et lent... en moi qui prend possession et s’insinue dans mon ventre.... premiers petits spasmes...

Avec malice, vous placez devant ma bouche un gode « Suce ! ».

Je me mets à téter avec avidité.

Je suis enfin moi...

« Petite chose qui m’appartient, je vais féconder ton ventre avec 1,5 litre de liquide ! »

Je tête encore plus...

Tout à coup !

Ayant augmenté le débit, je me sens inondée, Je crie de jouissance d’appartenance !

« Je suis à Vous Maîtresse ! »

A chaque giclement de liquide, je gémis en vous remerciant me sentant enfin féminine toute à Vous.

Vous seule m’ayant conduite à révéler ma personnalité.

Je sens mon ventre gonfler.

Je me trémousse livrée avide d’être Remplie !

 

Puis, Vous allez probablement me boucher d’un plug pour que je me promène avec mes formes arrondies en me tordant sous l’effet de spasmes.

J’espère rester ainsi le plus longtemps possible fière que vous m’ayez fécondée.

Votre Godeline insomniaque de vous appartenir...

 

      

 

Il y a quelques temps je vous écrivais… « Oser franchir le pas… Je me pose toujours des questions vous le savez, aujourd’hui j’aimerais savoir ce qui vous à « aidé » à basculer du fantasme à la réalité. Je veux dire que mon questionnement, passe tout d’abord par une première question :

-           Comment avez-vous découvert le bdsm et ce qui vous a fait vibrer !?

             Et dans tout logique, la seconde question…

-           Quelle est la personne qui vous a donné réellement envie de franchir le pas et de vous lancer dans une relation réelle ? J’attends vos réponses par mail… A vos claviers.»                         madame.sdu67@yahoo.fr

Voici le récit d’Élève Pascal, que je trouve très instructif et sincère.

 

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Bonjour chère Madame S,

Votre blog est si envoûtant que je vais tenter de répondre à votre question :

Vous devez d’abord savoir que depuis le plus jeune âge, vers 6 ans, j’ai toujours été attiré par la femme autoritaire, supérieure et sévère.

J’ai eu la chance au CE1 d’avoir une institutrice, elle se nommait Mme Loiseau, qui était de la vieille école et qui n’hésitait, à administrer de bonnes fessées déculottées, à la moindre incartade, en classe !

Une Discipline de fer régnait dans sa classe et elle était souvent occupée à punir les enfants désobéissants des autres classes, pendant les récréations !

J’ai toujours rêvé de passer sur ses genoux, mais étant un élève poli et réservé, elle n’a jamais dû y avoir recours.

Bon an, mal an, je vivais avec ce désir d’être puni et c’est vers 19 ans, en promenade à Paris, que je décidai de faire le grand saut :

J’avais acheté le Pariscop, petit guide de toutes les animations de Paris et découvrit en dernière page, l’annonce suivante :

Nurse très sévère propose à élève dissipé et indiscipliné, de les remettre dans le droit chemin !

Je pris mon courage à deux mains, et alla à la 1ère cabine téléphonique pour prendre un rendez-vous :

La Maîtresse décrocha avec un bonjour strict et une douce voix me dit : « Alors on a désobéi ? »

« Oui Maîtresse, j’ai fait pipi dans ma couche pendant la sieste ! »

« Je vois, je vais t’apprendre la propreté, je suis dans le 15eme et suis dispo dans une demi-heure ! 

N’oublies pas les 100 francs pour les frais de pensionnat, je t’attends martinet en mains et sois à l’heure ! »

« Très bien Maîtresse, à toute à l’heure ! »

Je garais ma voiture, près de chez ma nounou et sonna à l’interphone à 17h30 pile, comme prévu !

« Bonjour, sale garçon 5ème gauche ! »

Je fus accueilli par une dame sévère qui adorait ce qu’elle faisait et reçu une bonne fessée, quand elle sentit ma couche tachée !

Elle m’a nettoyé le sexe à l’eau de Javel, je la suppliais d’arrêter mais j’adorais, à tel point que je l’ai invitée à dîner et eu droit à une nouvelle fessée après le repas, pour passer une meilleure nuit, au pied de son lit, mais sous le contrôle continu du martinet, attaché au mur et à portée de mains de ma geôlière !

Je l’ai quitté le lendemain matin et lui ai rendu un certains nombres de visites après, avant de connaître Maîtresse Cleo de Châteauroux qui m’a attiré car plus sévère encore !

 

Mes respects, Madame S.

Élève P.

 

Encore une fois, il est intéressant de lire les confessions de chaque personne soumise. Des choses qui font vibrer, des évènements qui ont amenés à la soumission. J’aime vous lire, j’apprends de vous et j’apprécie votre sincérité.

J’aime découvrir des univers et envies différentes. Et je te remercie Élève pascal pour  nous avoir parlé de tes débuts dans la soumission. Bravo pour ton parcours ; Car il faut souligner que je te sens particulièrement respectueux et cela est très important pour moi.
Madame.S

 

 

 

Oh Maîtresse !

C’est affreux !

Tellement je me sens chienne, offerte à 4 pattes, je sens la cordelette qui tire mes attributs, un objet froid touche ma corolle et s’enfonce en moi. Je sens la pression qui écarte ma corolle. Je vous entends dire « ouvre-toi pour ta Maîtresse ! ». Vous me dilatez. Je ressens de l’air. J’entends « tu es ma chienne, tu dois te présenter ouverte impudique.... maintenant, je vais te remplir ! ».

Je sens une canule qui rentre en moi que vous poussez assez loin pendant que vous tirez sur mes bourses... et là un liquide froid m’envahit doucement. Je le sens se répandre en moi... 1 litre ... peut-être plus…

Je suis prise, sodomisée par Vous, ouverte à Vous, remplie par Vous, ligaturée en votre possession. « Maintenant je vais te boucher par un plug large et épais ! »

Vous poussez le plug et retirez le spéculum.

Ma corolle se referme sur le plug, puis vous fixez et maintenez le plug par des attaches cuir.

Un tuyau sort du plug…

Étant toujours à 4 pattes, vous placez l’extrémité du tuyau dans ma bouche.

« Retiens-toi le plus longtemps possible.. » Et là vous donnez un coup sec à la cordelette… avec la douleur, je ne peux retenir une poussée de ma corolle.

Dominée, je subis totalement…

Godeline.

 

 

 

Bonjour Chère Madame S,

Suivant de plus en plus âprement votre site, puis-je me permettre, pour l’avoir testé, le conseil du gant de crin, particulièrement recommande, après un long traitement aux orties fraîches, pour frotter tétons, testicules et zones de votre choix, encore plus savoureux, bien imbibé de vinaigre !

Godeline devrait être ravie et vous allez vous en donner à cœur joie !!!!

Une sévère punition étant idéale pour nous soumis(e)s et si agréable à administrer pour de merveilleuses dominatrices.

Plus que respectueusement, j’embrasse et flatte vos pieds si vous me l’autorisez ou me place en position, pour tester vos plantes,

Élève Pascal.

 

 

Bonjour Maîtresse,

Petite catin soumise que je suis à penser à votre emprise, je regardais des dessins de soumission cette nuit. Je suis tombée sur celui-ci symbole de ma condition rêvée à vos pieds. Prisonnière soumise de votre autorité, zébrée d’un réveil à la badine, chaste, bourses douloureuses étirées avec ce sentiment de castration... je ne suis que anale... brûlante... je sens l’effleurement Du gode... mais abstinente... je dois rester… quelques coups de badine me chauffent à nouveau les fesses et en me tortillant mes bourses s’étirent exsangues, douloureuses... tenue par mes attributs, corolle avide de gode...vous m’avez faite analement Vôtre.

Votre Godeline en pensée quotidiennes à ma Divine Maîtresse.

 

          

 

Il y a quelques temps je vous écrivais… « Oser franchir le pas… Je me pose toujours des questions vous le savez, aujourd’hui j’aimerais savoir ce qui vous à « aidé » à basculer du fantasme à la réalité.

Je veux dire que mon questionnement, passe tout d’abord par une première question :

-           Comment avez-vous découvert le bdsm et ce qui vous a fait vibrer !?

             Et dans tout logique, la seconde question…

-           Quelle est la personne qui vous a donné réellement envie de franchir le pas et de vous lancer dans une relation réelle ? J’attends vos réponses par mail… A vos claviers.                         madame.sdu67@yahoo.fr »

Voici le récit de Solange, que je trouve très touchant et authentique.

 

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Bonjour Madame,

Vous demandiez, voilà quelques jours, à vos lecteurs et soumis(es) ce qui les avaient poussé dans la voie de la soumission.

Il me sera difficile de déterminer avec précision, le cheminement intellectuel qui me conduit sur ce terrain si fertile d’excitations, avec un "s" parce que je ne suis que rarement excitée par une seule chose.

Vous vous souvenez peut être que je suis une travestie (plutôt transgenre dans mon fort intérieur), fétichiste de satin, nylon ou soie et surtout des blouses en nylon et tabliers nylon et encore même dans ce domaine rien n’est figé ou juste marqué sur un seul point.

Ma nature est pourtant dominante de base, même dans la vie.

Il n’a pas été rare que je donne des ordres à mes ami(e)s, chefs ou inconnu, sans pour autant avoir une tonalité autoritaire. Bizarrement je ne supporte pas l’autoritarisme dans la vie, puisque je suis libertaire du moins je le crois.

Cependant, le jeu, les jeux du sexe sont à part et sont peut-être un exutoire à mon regard.

Une des choses qui me donnent envie d’être parfois soumise est assurément, en partie, conditionnées par ma part féminine.

Les tenues y ont certainement une origine, bien que la blouse soit autant la tenue de la soumission que de l’autorité.

C’est cette ambivalence qui me mène vers l’envie de vivre une relation qui comblerait tant, mon désir de soumission que, de domination.

Il me plait à punir, humilier, dresser, soumettre, surtout les femmes, mais également les hommes; considérant ces derniers plutôt comme des jouets, godes vivant, puisque salope dans l’âme j’aime la bite, les bites, les faire bander et juter.

D’ailleurs avec les bites, même lorsque je suis dans la soumission, j’ai toujours une sorte de pouvoir sur les mâles que je fais juter, gicler, jouir.

Je pourrais avoir le même constat quand je fais mouiller, couler, dégouliner et jouir les femmes, mais je ne le ressens pas de la même façon, ce doit être lié au fait que je n’ai pas une chatte, frustration du clito masculin de tous travestis... je catégorise, j’ai tort, les travestis sont multiples et complexes.

Je me perds dans les travers cérébraux, l’excitation de la confidence, les idées, les souvenirs et les désirs.

Pour revenir au sujet, c’est un homme qui m’a fait franchir le pas de la soumission, enfin surtout lui… Il était tendre, attentionné tant que son sexe n’était pas totalement dur. Puis cru et molestant dans l’excitation, qu’il aimait faire durer.

D’abord les caresses se faisant pelotage, les mots doux, les dents qui se serrent puis les insultes féminisantes.

À peine audibles au début, le souffle dans ma nuque mélangé aux bisous les jeux des matières qui glissent et bruissent, puis le chuchotement des mots crus et commentaires humiliants, dans mon oreille, sa bite tendue entre mes fesses qu’il réajuste en permanence sur le nylon de ma blouse, de ma jupe et ma combinaison...

Ses mains qui flattent ma croupe et les ordres.

Penché, cambré, plus, droite voilà une bonne salope… tu la sens? Tu feras moins ta belle connasse quand je vais te baiser sale putain de grosse…

Il me manipulait comme une poupée de chiffons.

Assise, debout, jetée sur le lit prise par la nuque pour être giflée et baisée par la bouche.

Remise debout, soulèvement des couches successives de nylon pour regarder et commenter ma tenue puis contre le mur pour être prise par des coups de reins bien prononcés, bien appuyés, pour bien me stipuler que je lui appartient et qu’ il fait ce qu’il veut de moi. Fessés, petites gifles plus pour l’humiliation que pour faire mal.

La première fois, pas prévenue j’avais eu un sentiment mitigé, une certaine frayeur même, peut être que l’effet de surprise y a contribué.

Mais je m’étais sentie tellement femme que j’en avais oublié que je n’étais qu’un travesti.

Il redevenait toujours tendre, doux et attentionné après avoir juté, puis revenait à la charge en se faisant servir, pour ensuite me traiter comme une pute, malgré mon style vieille fille, ménagère.

Bien qu’avant lui j’avais connu des relations, avec des femmes aussi, où j’étais dans une posture de soumission, c’était léger et la nature dominante reprenait toujours sa position, puisque c’était moi qui menait le jeux même avec les pseudos dominateurs à qui je devais dire ce qu’ils devaient faire ou dire.

Lui, je ne lui avais rien dit, demandé, de plus, à l’époque il n’y avait pas le net, je passais par un magazine (swing) et m’étais affiché en domina.

Il a de suite pris sa place, il prenait des initiatives, il était entreprenant, il a été un des plus hard et cru dans sa façon d’être, étrangement un des plus caressant aussi.

A la suite j’ai toujours eu envie de vivre une relation qui me permettrait de jouer dans le deux rôles.

Aujourd’hui j’ai une soumise, une femme biologique, qui est ma femme, depuis une quinzaine d’années, elle est cochonne et vicieuse et j’aime l’impliquer dans mes relations mais ne l’oblige pas, parfois elle est juste voyeuse.

Je ne saurai dire si j’appartiens vraiment au monde S/m dans toute sa splendeur.

Puisque il faut qu’il y ait du sexuel dans mes jeux.

Il est rare que je me contente de donner des ordres ou de punir et inversement sans qu’il y ait du sexe ; même si avec les hommes je n’ai pas besoin de jouir en leur présence. Ce qui est souvent le cas avec les hommes même sur simple rapport vanille.

Je ne cherche qu’à les faire jouir et y trouve grande satisfaction…

Aujourd’hui j’ai envie d’être l’assistante d’une dominatrice qui me soumettrait tout en me laissant soumettre, ses soumis(e)s, évidement elle jouerait de la présence de ma bonne que l’on dirigerait ensemble.

Elle me ferait baiser par ses soumis devant ma bonne tout en lui faisant remarquer comment sa Maitresse s’en prend bien.

Ma bonne adepte de l’humiliation appréciera que nous rigolions d’elle.

Elle aime aussi pouvoir diriger de temps à autres.

Je ne connais pas mon degrés de soumission, je sais que je ne suis pas maso pour autant une fessée, une gifle, un coup de martinet, si l’excitation est bien montée ou que le jeu soit bien mené, vont me plaire.

En revanche je sais que j’ai moins de réserves dans mes pratiques dominatrices, je ligote, je punis, je me fais servir, j’ordonne.

Je sais que ma posture switch ne convient pas aux puristes, du genre.

L’essence, la base de mon plaisir est surtout fétichiste le nylon (blouses, impers, tabliers) toujours présent dans les jeux même le plus vanille.

Pardonnez la nature succincte de ces quelques lignes.

Peut-être les publierais je sur mon blog?

Une révérence pour vous Madame.

Solange.

 

Solange, soit certaine que je sais, enfin je peux dire que je connais un peu tes goûts et surtout pour le nylon. Je sais que cela te fait vibrer. Je ne juge en rien les préférences des uns et des autres, je trouve même que cela est clairement un complément dans la relation. Tant on aime ceci ou cela et que de ce fait, tout ceci peut être partagé et donc, à mes yeux, valorisé. Les matières, diverses, peuvent être excitantes, objets, vêtements, odeurs qui nous « parlent ».

Je ne t’imaginais pas, par contre, avec cette tendance dominante, forte en autorité ; Je découvre.

Tu te demandes si tu fais partie du monde SM ? Je pense que oui, cela n’engage que moi. Mais ce que tu décris est clairement fort, des envies caractérisées par le masochisme, mais le sadisme également ; Tu as l’ambivalence, ce que j’appelle l’alternance ; J’ai déjà écrit sur le sujet, pour moi cela est un sujet complexe ; Je respecte cette « position » switch même si j’ai du mal à la comprendre intellectuellement. Mais je comprends.

J’aime ton écrit, car il parle de douceur, mais aussi de sexe, cru, d’envies, de mots, d’ambiance.

Quant aux mots crus que tu emploies, j’aime la sincérité dans ta démarche et cet écrit ; Confessions intimes qui moi me touchent. J’apprécie vraiment ta sincérité.

Madame.S

 

 

Bonjour Maîtresse,

Ne dormant pas cette nuit pensant à votre emprise qui me domine et qui me prend, je ressens cet état d’être En appartenance.

L’image d’être Féminisée et pénétrée analement sur votre ordre me hante.

Elle représente sans doute mon acte de don de moi-même.

Ouverte, offerte, cambrée, j’attends le contact du gode, imaginant sa progression lente et profonde... et je vous entends déjà… « Tu es à moi Godeline ! »... et « désormais tu subiras ce réveil matin particulier réglé sur 7 h ».

L’image de cette machine de réveil empaleuse me fait fondre et me met en grand émoi.

Votre petite chienne Godeline.