• Maîtresse Isabella…

    Bonjour,

     En reprenant le fil de votre blog, j'ai retrouvé votre demande de vous raconter nos meilleurs et pires souvenirs BDSM. Je me souviens que vous nous aviez déjà sollicité sur ce sujet, et que j'avais eu du mal à choisir le meilleur moment.

    Je vous envoie ce soir le récit d'une des rencontres qui a contribué à créer le soumis que je suis aujourd'hui.

     Anton.

     

    Maîtresse Isabella

     

    Ma rencontre avec Maitresse Marika, à Toulouse, a ouvert la boîte de pandore. J’ai découvert le BDSM et cela m’a donné envie d’explorer cette voie.

    A l’occasion d’un déplacement en Avignon, j’ai pris contact avec Maîtresse Isabella. Elle se présente comme une femme mure, expérimentée, je ne pense pas courir beaucoup de risque à m’abandonner entre ses griffes.

     

    J’ai rendez-vous avec Maîtresse Isabella ce soir vers 23 heures. J’ai cependant réussi à me libérer un peu plus tôt que prévu, et j’ai pu avancer d’une demi-heure notre rencontre.

    Elle habite dans un petit village à côté de l’aéroport d’Avignon, un pavillon cossu caché derrière un portail imposant. Elle a laissé la porte ouverte le portail ouvert afin que je puisse garer ma voiture, à côté d’un 4x4 et d’une Mercedes. Maîtresse Isabella semble à l’abri du besoin, j’en déduis qu’elle pratique le BDSM pour son plaisir.

    Je l’appelle au téléphone dans la cour pour qu’elle vienne me chercher, et elle m’accueille sur le perron de son pavillon.

     Maitresse Isabella est une belle femme d’une quarantaine d’année. Blonde aux yeux bleus, elle a revêtu une jolie tenue de dominatrice : une mini-jupe en cuir noire, des bas de la même couleur, et un bustier qui met en valeur sa poitrine.

    Elle m’accueille fermement et me conduit directement à l’étage dans une pièce mansardée agencée en donjon.

    Elle me montre un vestiaire et me quitte le temps que je me déshabille. La pièce est petite, mais présente un matériel assez fourni. Un sling accroché à des chaînes, une poulie d’où pend une corde, une chaise en cuir et un carcan.

    J’ai le temps de détailler le contenu de la pièce pendant que j’ôte mes vêtements, et je sens la pression monter le temps que dure cette attente qui me parait interminable.

     Maîtresse Isabella pénètre enfin dans la pièce, et me découvre à genoux sur le tapis. Elle me questionne rapidement pour connaitre mon niveau, et découvre que je suis novice en la matière, ce qui ne semble pas l’émouvoir.

    Profitant de ma position, elle s’installe confortablement sur la chaise et me donne ses chaussures à lécher. C’est une première pour moi, et je m’applique de mon mieux à lustrer ses escarpins. Elle retire alors ses chaussures, pour me donner ses pieds odorants à sucer. J’ai instinctivement un mouvement de recul et elle me fourre son pied dans la bouche pour me forcer la main. Je vais alors m’appliquer à suivre ses injonctions, et cette humiliation inconnue pour moi jusqu’à ce jour commence à me faire de l’effet. Je vais donc me lâcher, et m’occuper des pieds de cette Maîtresse avec ferveur. Je suis vraiment fait pour être aux pieds d’une dominatrice !

    Elle me fait mettre à quatre pattes, et s’assied sur moi. Ainsi à cheval sur son soumis, elle me donne une fessée magistrale. Appuyant sur mon dos de tout son poids, je ne peux fuir la punition, et je sens mes fesses chauffer, ce qui n’est bientôt plus aussi désagréable qu’on pourrait le croire.

     Après cette séance à ses pieds, Maîtresse Isabella me demande de me redresser devant elle. Je bande légèrement pour l’instant. La voilà qui prend une corde, et qui me ligote le sexe, ce qui le fait durcir immédiatement. Une fois bien serré, elle passe la corde dans la poulie accrochée au plafond, qu’elle tire au maximum. Je suis donc maintenant attaché par la queue, les mains menottées dans le dos. Elle accroche quelques pinces à linge sur mes seins et sur mes couilles, sans que cela ne me fasse trop souffrir. Me voici dorénavant à la merci de Maîtresse Isabella. De ses mains gantées, elle brutalise mon sexe en le giflant, en le tordant. Cela me fait mal, mais me fait bander encore plus fort. Elle prend alors des baguettes avec lesquelles elle me frappe le sexe. Cela me fait mal, mais si je recule, je tire sur la corde et je ne peux donc pas m'enfuir. Maîtresse Isabella est en train d’éveiller mon côté masochiste, soft à cette époque, mais néanmoins sous-jacent.

    Cette séance me semble durer des heures, mais ce n’est certainement qu’une impression.

     Maîtresse Isabella me détache bientôt, et me conduit vers le sling.

    Je m’allonge dessus en suivant ses instructions, puis elle me passe des bracelets en cuir aux poignets et aux chevilles. Elle accroche ensuite mes mains aux chaînes, les bras tendus, avant de faire de même avec les pieds. Je suis maintenant allongé face à elle, les cuisses outrageusement écartées, à son entière disposition. Je la vois alors s’équiper d’un gode ceinture, ce qui est une nouveauté pour moi. Le gode dont elle est équipée me parait énorme, et je ne sais pas comment je vais accueillir cet engin dans mon fondement. Elle a mis des gants en latex pour enduire le trou du cul de gel, et elle se place à l’entrée de mon anus. Je ne suis pas encore ouvert à cette époque, et quand elle force l’entrée, je sens comme une déchirure. J’ai mal, mais je n’ose le dire. Petit à petit, elle fait pénétrer le gode dans mon boyau, et la douleur ne cesse pas. Elle m’encule maintenant jusqu’à la garde, et entame des mouvements de va et vient. Je tente de me retirer, mais je suis attaché et ne peux me sauver. Elle sait manifestement manier le gode ceinture, et semble prendre du plaisir à me sodomiser, un plaisir qui n’est malheureusement pas partagé. Je refuse cependant de me plaindre, mais ma queue a complètement débandé, malgré ses tentatives de masturbation.

    Cette sodomie va durer trop longtemps à mon gout, même si mon anus commence à s’habituer à cette sensation.

     Maîtresse Isabella me détache enfin, en me demandant si je suis content. Pour ne pas la décevoir, je lui réponds par l’affirmative. Elle me propose alors de prendre une douche, et me conduit dans une petite pièce attenante, prévue à cet effet. Je commence à faire couler l’eau froide sur mon corps sous le regard de Maîtresse Isabella. Elle m’ordonne brusquement de m'assoir dans la douche, face à elle. Elle écarte son string en cuir, et me donne sa chatte à lécher. Je me jette sur son sexe pour lui donner du plaisir, en me masturbant frénétiquement. Soudain, je sens un goût âcre dans ma bouche. Ce n’est pas l’odeur d’une femme qui jouit. Maîtresse Isabella est en train de me pisser dessus. Son goût est bizarre, amer et salé, mais je ne peux m’empêcher d’avaler quelques jets de son urine. Je suis en train de goûter, pour la première fois, au bonheur de la douche dorée, et j’y prends un plaisir intense immédiatement. En moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, j’éjacule au fond de la douche, avec une sensation intense, et tout en continuant à lécher la chatte de ma dominatrice d’un soir. Je sais maintenant que je ne suis bon qu’à être un WC, et j’y prends du plaisir.

     C’est la première et dernière fois que j’ai été dominé par Maîtresse Isabella, et sans le savoir, elle vient de me conforter. Je suis un soumis, j’aime être aux pieds des dominants, leur obéir, souffrir pour leur plaisir, et c’est ainsi que je prends le mien.

     

    Que vais-je donc devenir ?

     

    Maîtresse Isabella…


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  • A la source…

    A la source…

     

    Je suis de plus en plus excité par le manque de jouissance. Et mes précédents jeux uro m’ont laissé sur ma faim, ou plutôt sur ma soif.

    J’ai besoin de plus, j’ai besoin de me montrer à vous, d’aller toujours plus loin.

    Ce soir, j’ai décidé de boire mon pipi, directement à la source, après avoir vu de jolies photos de femmes réussissant à se pisser directement dans la bouche.

    Il est tard, tout le monde est enfin couché. Me voici à nouveau dans le jardin, seul, nu comme un vers, et j’entends les voisins de la chambre d’hôtes discuter sur leur terrasse. Nul doute que, s’ils tournent leurs regards vers mon jardin, ils pourraient apercevoir ma silhouette.

    Je n’ai certainement pas la souplesse des jolies jeunes femmes que j’ai vues sur Internet.

    Pour réussir à me faire pipi dans la bouche, je dois me mettre en position de chandelle et pour ce faire, je prends appui sur le mur extérieur du gite.

    0Me voici à l’équerre, la tête en bas, l’appareil de photo dans la main. Je teste plusieurs positions en regardant le résultat sur mon téléphone.

    Enfin, je pense avoir trouvé la bonne position, et je peux lâcher le flot de mon pipi. Difficile de viser, je réussi à trouver la bouche, parfois j’en ai dans les yeux.

    J’aime boire mon urine, j’aime me sentir inondé par ma pisse, j’aime sentir votre regard posé sur moi au travers de l’objectif de mon téléphone.

    J’ai enfin vidé ma vessie et je me redresse. Mon urine coule le long de ma poitrine, le long de ma barbichette, j’en ai dans les cheveux. Il faut que j’aille prendre une douche.

    En rentrant à la maison, je croise ma belle-mère qui sort de sa chambre pour aller aux toilettes. En me voyant nu sortir du jardin, elle fait une brusque volte-face et rentre rapidement dans sa chambre. Je me demande ce qu’elle a pu penser de me voir me balader nu à cette heure tardive.

    Je file sous la douche pour retirer l’odeur de mon urine et retrouver le lit conjugal.          

    Encore une belle séance d’humiliation, pour vous.

    Anton.

    A la source…

    A la source…

     

    J’ai retrouvé ce récit et ces photos datant du 14.08.2018 et j’en ai encore l’eau à la bouche.

    Publier cet hommage que tu me faisais est fort de sens et j’aime revenir dans le passé pour redécouvrir des instants comme ceux-ci…
    Madame. S

     


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  • Dernière bêtise du mois d’août… Par Anton…

    Fin de pause estivale.

    Madame, Vous avez réouvert votre blog, après une période que j’ai trouvé longue, vous publiez moins car vous Avez vos occupations…

    Toujours est-il que ce lundi, je suis contacté par un membre d’un site que je fréquente. Il s’agit du site « plan pisse » qui, comme son nom le laisse à penser, met en relation des hommes pour des plans uro.

    J’ai déjà rencontré des hommes ainsi, dont je vous ai envoyé le récit d’une rencontre il y a quelques mois.

    Le garçon me propose une rencontre le soir même. J’ai déjà discuté avec lui, mais il habite à l’autre bout de paris. Nous sommes encore au mois d’aout, la circulation est encore fluide et je décide d’accepter son invitation. Pour m’exciter un peu plus, il m’envoie une photo de lui, le boxer un peu humide de ses sécrétions. Il n’a pas besoin de me chauffer, après bientôt un mois d’abstinence, je suis carrément chaud !

    Je bâcle mon boulot pour arriver au plus tôt au rendez-vous, et me voici à l’adresse indiquée. Je sonne à l’entrée d’un pavillon cossu en ville. Un homme de 35 ans environ m’ouvre le portail électrique et m’invite à entrer dans sa demeure cossue.

    Le jeune homme est d’un physique plutôt agréable, probablement un mètre quatre-vingts, une belle carrure, un visage avenant et souriant. Il me conduit au salon, et me propose une bière pour l’accompagner. Il regarde un film sur sa tablette. Des hommes se pissent dessus, entre autres. Il me pose quelques questions, cherche à savoir si j’ai l’habitude de ce genre de rencontres, si je me suis déjà fait pisser dessus. Je ne suis pas très bavard, il me propose alors de me mettre à l’aise.

    Il retire son short et je me mets à poil ou presque, je préfère conserver mon slip pour l’instant. Assis côtes à côtes sur le canapé, je ne résiste pas longtemps à mettre ma main sur son boxer, du moins sur la bosse qui déforme le tissu. Je sens son sexe bien dur, un peu large mais pas trop gros. Ma bouche vient rapidement gouter son sexe à travers le boxer, humer son odeur, le lécher à travers le coton pour l’exciter un peu plus, pour son plaisir, pour mon plaisir de l’entendre gémir. Rapidement, il ôte son boxer pour me dévoiler un sexe tendu à l’extrême. Comme je l’avais perçu, son sexe est assez large, pas trop long, et entouré de poils blonds. Je lui montre mes talents de suceur, lui léchant le gland, lui avalant la queue, lui gobant les couilles, lui offrant ma bouche chaude et humide. Je lui prodigue une fellation qu’il semble apprécier si j’en crois ses gémissements et ses commentaires.

    A son tour, il prend les choses en mains et me montre son aspect dominateur. Il me prend le visage et entreprend de me baiser la bouche, debout sur le canapé. Puis il se tourne pour m’offrir son cul à lécher. Excité, il s’essuie carrément le cul sur mon visage, il m’utilise comme un objet sexuel, et cela commence à me procurer de plus en plus de plaisir.

    Soudain, il décide de changer d’endroit et me conduit au deuxième étage de son pavillon dans une pièce sous les combles où se trouve un lit comme seul mobilier. Il s’allonge et je le suce, encore et encore. Il me tripote un peu l’anus, pour mon plus grand plaisir. Il me fait bientôt mettre en 69 pour me sucer également, mais j’ai vraiment trop peur de jouir instantanément après tous ces jours d’abstinence. Finalement, il décide de changer encore de pièce et me conduit dans la salle de bain.

    Il m’invite à pénétrer dans une grande douche à l’italienne. Je me mets à genoux devant lui, et il entreprend de me baiser la bouche, de plus en plus fort. Il a réellement pris possession de ma volonté, il me donne ses couilles, son cul sa bite, encore et encore. Je l’entends prendre du plaisir et quand il durcit encore un peu plus, je sais qu’il va jouir. Malheureusement, il ne veut pas jouir dans ma bouche et préfère éjaculer sur mon visage et ma barbe. Même si j’aime sentir la jouissance couler dans ma bouche, j’adore sentir le sperme chaud couler sur mon visage, je me sens totalement soumis et humilié.

    Mais j’avoue que je reste un encore sur ma faim, ou sur ma soif, car je suis venu pour boire sa pisse. Il a bien l’intention de me pisser dessus, mais après plusieurs minutes, il me fait comprendre qu’il n’y arrivera pas.

    Je prends une douche, pas de pisse à mon grand regret, et je rentre chez moi, frustré de ce plan à moitié réussi.

    Le lendemain, je découvre que je m’étais fait des illusions en croyant que l’abstinence était terminée.

    Je suis finalement soulagé que ce plan n’ait pas été totalement réussi, car s’il m’avait pissé dessus, je suis certain que j’aurais joui. Ouf !

    Finalement, je me rends compte que j’aurais pu fauter, et j’en aurais sincèrement été désolé.


     

    Anton,

    J’aime toujours te lire. Tu développes si bien les instants passés ; tes pensées et ressentis, envies, sans gêne et tu oses tout dévoiler. J’aime cette sincérité dans ton vécu et j’aime que tu le partages avec moi et mes lecteurs.

    Qui doivent t’envier quelquefois…

    Je me souviens de ces périodes d’abstinence que je t’imposais à toi et aux autres soumis de mon cheptel. J’aimais alors vous savoir tous ensemble dans ces moments d’attente ; ou rien n’est possible car Maîtresse l’avait décidé.

    S’abstenir, pour Son Plaisir.
    J’aime tant ces moments où vous êtes encagés, sages et que vous ne pensez qu’à Moi. C’est tellement jouissif !

    Il faudra vraiment que je programme une nouvelle période d’abstinence…

    Madame. S

     


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  • Une fessée entre adultes consentants - 4 mai 2009...

    Une fessée entre adultes consentants - 4 mai 2009...

    Une fessée entre adultes consentants - 4 mai 2009...

    Une fessée entre adultes consentants - 4 mai 2009...

     

    Une fessée entre adultes consentants - 4 mai 2009...

     

    Cela fait déjà quelques années que je fréquente le monde du BDSM. J’ai commencé par une attirance pour la fessée, et ma première rencontre fut déclenchée par une annonce dédiée à la fessée, et c’est un homme, Francis, qui m’a initié. J’ai depuis rencontré plusieurs Dominatrices lors de séances plus ou moins réussies.

    Je me suis également inscrit sur un site dédié à la fessée entre hommes. Ce site permet des rencontres le week-end dans un club parisien, mais également de faire des rencontres. C’est en répondant à une annonce sur ce site que j’ai rencontré le fesseur qui m’a mis en scène dans ce reportage.

     

    Nous n’avons eu que peu d’échanges. Il est fesseur, je suis fessé, il reçoit chez lui, et comme je ne crains jamais de faire une nouvelle rencontre, tous les ingrédients sont réunis pour concrétiser une rencontre.

    Il habite dans un appartement proche de la gare de Lyon, et nous avons rendez-vous à la sortie d’une bouche de métro. Aucune photo n’a été échangée, l’usage des smartphones ne s’est pas encore démocratisé.

    Stressé de nature, je suis arrivé largement en avance, et j’attends de longues longues minutes.

    Comment vais-je le reconnaitre, ne vais-je pas tomber dans un traquenard, et s’il ne venait pas, et bla bla bla. Mon cerveau bouillonne, l’attente me pèse. Le stress est à son comble quand un homme, que je n’ai pas vu arriver, m’interpelle.

    C’est lui, il s’excuse pour son retard et me demande de le suivre chez lui. Il me questionne, me parle de choses et d’autres en marchant vite. Il me questionne, je réponds, mais de quoi, impossible de m’en souvenir. Je sais que je suis déjà dans un état de stress intense, à la fois inquiet et impatient de ce qui va suivre.

    Nous sommes enfin arrivés chez lui, un petit une pièce, et il me conduit dans un salon dans lequel se trouvent un lit d’une place, une petite table et un mini bureau.

    Je suis invité à me déshabiller en conservant mon slip, ce que je fais dans le couloir. Je suis encore très timide. Lui bien sûr est resté habillé.

    Le déroulé de cette séance est aujourd’hui bien flou dans ma mémoire. Heureusement, il a décidé d’immortaliser ces instants en me prenant en photos tout au long de la séance.

    Il me rougit les fesses de manière progressive, me fait prendre des positions de soumission, les mains sur la tête, à quatre pattes, sur le lit, à terre, penché sur la table, debout, les fesses blanches puis rouges. Nul doute qu’il aime les fesses rouges car il mitraille mon fessier avec insistance.

    Il ligature mon sexe, il me sodomise avec un gode sans que cela ait été prévu. Entre chaque séance de photo, il me rougit les fesses, encore et encore.

    Peu de souvenir du déroulé, mais un souvenir ému de cette séance, à une époque où je suis encore en découverte du monde du BDSM.

    Cette séance de fessée m’a conforté dans mon parcours vers le BDSM et j’ai hâte de revivre un tel moment.

    Pour moi, la fessée est une des pratiques les plus jouissives dans le BDSM si elle est administrée par la bonne personne. Ce fut le cas ce jour-là, alors merci Madame S de m’avoir encouragé à me remémorer cet épisode, et je pense que les photos parleront d’elles-mêmes.

    Merci encore.

    Anton.

     

    Une fessée entre adultes consentants - 4 mai 2009...

    Une fessée entre adultes consentants - 4 mai 2009...

    Une fessée entre adultes consentants - 4 mai 2009...

    Une fessée entre adultes consentants - 4 mai 2009...

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    J’apprécie encore une fois ce partage intime venant de toi. Il nous fait découvrir une facette de ta personnalité de soumis que j’aime découvrir, sur ton cheminement vers la soumission.
    Bravo pour oser nous écrire ces mots et les photos qui accompagnent ce récit touchant et émouvant.

    Madame.S

    Une fessée entre adultes consentants - 4 mai 2009...

    Une fessée entre adultes consentants - 4 mai 2009...

    Une fessée entre adultes consentants - 4 mai 2009...


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  •  

    Séance dégustation…

    Bonjour Maîtresse,

    Je vous envoie mon premier reportage de mes bêtises de vacances.

    J'espère que cela vous amusera.

     Anton.

    Séance dégustation…

    Le 5/08/2018

    Séance dégustation…

     

    Je suis en congés depuis quelques jours dans un jolie gite alsacien. Le gite possède un jardin, à peine fermé par une haie. A quelques mètres se trouve un grand gite qui fait maison d’hôtes, une terrasse donne vers notre jardin.

    Il fait chaud en ce mois d’aout, la température est caniculaire, je suis abstinent depuis le début du mois. Tout le monde est allé se coucher, ma femme dans la chambre à l’étage et ma belle-mère dans la chambre du rez-de-chaussée, elle pourrait me surprendre à tout moment. Mais j’ai trop envie de faire des bêtises.

    J’attrape un papier sur lequel j’écris la région de notre Maitresse, et j’entoure le S pour lui montrer mon appartenance.

    Je vais dans le jardin, pose un verre et le papier sur une chaise de jardin, et je me mets nu, au risque de me faire apercevoir par les clients de la maison d’hôte.

    Et je commence à faire couler mon breuvage. Difficile de viser le verre, de prendre des photos et de ne pas trop éclaboussé.

    Une fois la source tarie, je retourne à la maison et je déguste de breuvage alsacien sans en laisser la moindre goutte. Il est délicieux, il est pervers, je pense à vous ! Espérons qu’un jour je pourrais déguster le vôtre !

     

    Séance dégustation…

    J’adore quand on prend des risques ; Que tout est plus fort que tout et que l’on a envie de se sentir fraudant mais tout autant excité à l’idée que l’on puisse être surpris par quiconque !

    L’adrénaline est alors au rendez-vous et nous rends euphoriques et cela en devient magique !

    Moi j’ai adoré ce récit, de plus vécu en Alsace, sur mes terres.
    J’ai beaucoup aimé retrouvé cet écrit de ta part et les photos qui étaient jointes.

    Bravo Anton. C’est bien toi que je reconnais sous ces mots et ces clichés. Et j’aime…


    Madame. S

    Séance dégustation…

     

    Séance dégustation…


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  •  Première rencontre avec Madame S...

    21 Aout 2020

    Première rencontre avec Madame S.

     

    Je connais Madame S depuis plusieurs années, j’ai été son soumis actif et fidèle mais je ne l’ai jamais rencontrée.

    Je me suis éloigné du monde BDSM et de ses pratiques, mais j’ai conservé le contact avec Elle.

    Ce soir, grâce à un court séjour en Alsace marquant la fin de mes congés d’été, j’ai enfin réussi à organiser une rencontre avec Madame S. Cette rencontre sera bien sage car je ne suis plus soumis et que cette rencontre se fera dans le cadre d’un diner au restaurant. Nous serons trois car mon fils sera avec nous.

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    Nous sommes arrivés un peu en avance, et c’est en discutant de tout et de rien que j’attends votre arrivée, avec une certaine impatience et un peu de stress. Je repense à la manière dont j’avais imaginé, alors que j’étais votre soumis, notre première rencontre. Je savais à l’époque que ce premier contact commencerait à genoux par un baiser sur vos deux pieds, que cette rencontre ait lieu en privé ou en public. Cela n’aura évidemment pas lieu ce soir, et je le regrette un peu.

    Enfin, je vous vois franchir le seuil du restaurant. Vous portez le masque, obligatoire pour traverser la salle. Je me suis levé de table pour vous accueillir, et je vois vos yeux qui brillent et me sourient avec malice. Vous ne pouvez cacher votre sourire radieux derrière votre masque, et je pense que vous jouissez de l’instant présent et à venir, de l’idée de ce repas au cours duquel vous serez Madame S en toute discrétion, où seuls vous et moi saurons pourquoi cette rencontre en présence de mon fils et ce qui nous lie. Nous avons précédemment échangé sur cette soirée et vous savez également que je vais vouvoyer Madame S et qu’Elle va me tutoyer, ce qui accentue votre plaisir.

    Vous me proposez de m’embrasser en conservant le masque, et je ne sais pas si vous avez constaté mon trouble pour ne pas dire mon émoi. Si vos yeux brillent de plaisir, les miens s’humidifient de larmes de l’émotion qui me gagne instantanément. Je n’ose imaginer mon état si cette rencontre avait eu lieu à l’époque où je vous appartenais.

    Difficile de raconter ce qui s’est passé ensuite. Xavier, mon fils, excité par cette rencontre impromptue pour lui et par votre contact si facile, est bavard au possible. Il vous parle, encore et encore, et vous l’écoutez avec l’empathie qui vous caractérise. Vous souriez, vous rigolez, vous semblez heureuse.  Vos yeux, votre regard, dans lesquels j’ai l’habitude de voir une profonde mélancolie, brillent de mille feux malicieux. Dès que vous en avez l’occasion, vous me faites remarquer discrètement mes manquements à la courtoisie élémentaire, pour montrer que vous êtes toujours Dominatrice, renforçant ainsi notre complicité.

    Ce soir, j’ai l’impression de vous connaitre depuis toujours, que vous faites partie de ma famille. Vous êtes tour à tour la maman qui écoute Xavier, la confidente qui m’écoute avec compassion, une maman qui me parle de son fils, la femme qui rentre de vacances et Madame S !

    Bien sûr je vous ai regardé. J'ai beaucoup aimé votre robe et les jolies chaussures rouges que vous aviez chaussées.

    J'ai également apprécié votre décolleté, et j'ai l'impression ne pas avoir été très discret quand mon regard s'est oublié entre vos seins.

    Je me suis d'ailleurs fait la remarque que vous aviez choisi votre tenue avec goût.

    Pour être tout à fait sincère, j'ai le souvenir d'avoir été plus concentré sur vos yeux, votre voix et votre sourire, que j'ai trouvé tellement radieux alors que c'est généralement un léger sourire mélancolique que vous arborez sur vos photos, que sur vos formes même si elles ne me laissent nullement indifférent.

    Et pour conclure, je ne regrette d'autant pas cette rencontre tant elle fut un rayon de soleil pour moi.

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    Cette soirée est passée trop vite, une soirée placée sous le signe de la confiance, de l’écoute, mais surtout des sourires partagés et du plaisir de retrouvailles d’une famille après un mois de vacances, d’une complicité de tous les instants.

    La confiance est réciproque, vous connaissez beaucoup de moi, de mes joies et de mes peines, et vous m’avez beaucoup confiées des vôtres. Je connaissais votre empathie par nos échanges épistolaires, je l’ai vécu ce soir à travers cette rencontre.

    Vous avez été lumineuse ce soir !

    Merci d’avoir accepté cette rencontre.
     

    Anton.

     

    Première rencontre avec Madame S...

     


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  • Le grand jour pour Anton !

    Ce soir, je vais enfin rencontrer Anton…
    Voilà des années que nous échangeons lui et moi, qu’il a été mon soumis certes virtuel mais sincère, fidèle et dévoué.

    Un évènement tragique à fait basculer sa vie.
    Des années que nous partageons nos peines, nos sourires et nos moments de doutes, nos tristesses, réelles, fortes, intensément partagées, lui et moi.
    Je suis si heureuse de le rencontrer enfin. Il fait une halte en Alsace pendant ses vacances.

    Nous allons partager un dîner sage, car il sera accompagné de son fils. Ce repas va être troublant sous différents aspects et j’aime l’idée que cela se passe ainsi.

    Je vais être Madame.S, discrètement, mais assurément…

    Madame.S est heureuse, elle a hâte de rencontrer enfin Anton, le parisien avec qui elle partage tant de choses depuis si longtemps.
    Nous allons faire encore des jaloux.

    Madame.S

     


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  • Madame.S vous pose ses questions…

    Vous le savez, Madame.S est curieuse…

    Aujourd’hui, elle aimerait savoir quel est votre meilleur souvenir BDSM. Celui qui vous a fait le plus vibrer ?

    Vous a envoyé au septième ciel ? Vous a rendu encore plus soumis et heureux de votre condition…

    Et légitimement, ma seconde question sera…

    Votre souvenir, le plus douloureux !? Le plus compliqué, le pire à vivre. Celui qui vous a causé des difficultés pour le réaliser et ou l’accepter ?

    J’ai hâte de vous lire… Madame.S

     

    Meilleur souvenir BDSM par Anton.

    Bonsoir Madame,

    J'avais prévu de participer à votre blog sur ce thème quand vous nous avez sollicité il y a déjà plusieurs semaines, car je pensais bien trouver matière dans mes souvenirs.

    Alors, j'ai commencé à reprendre le fil de mon passé de soumis, et j'ai tenté de hiérarchiser les rencontres et les instants. Par facilité d'esprit, je me suis dit que les meilleurs instants devaient se confondre avec les premiers instants. Et j'ai égrené ces rencontres :

     - Ma première fessée chez Francis ?

    - Ma première séance de domination chez Maitresse Marika ?

    - Ma première expérience uro avec Maîtresse Isabella ?

    - Mon exhibition dans un sex-shop Lyonnais tenu en laisse par Maitresse Sulfure ?

    - Ma première visite à l'Antre de la bête, première rencontre avec Maîtresse Olivia ?

    - Mon mariage avec Maitresse Olivia ?

    - Mes exhibitions réalisées pour vous Madame, mes défis accompagnés de vos encouragements et parfois de vos compliments ?

    Et cette nuit, dans un moment d'insomnie, j'ai retrouvé cet instant magique qui, à ce jour marque le point d'orgue de mes aventures BDSM.

     

    Nous sommes le 20 février 2010.

    Cela se déroule pendant le mariage de Maître Caïman avec sa soumise Orca. Le début de journée a été éprouvant. Je me suis levé tôt après une courte nuit passée auprès de ma Maîtresse, après une soirée « gang-bang » organisée pour une soumise. Maitresse Olivia a dû aller travailler. Moi, je suis allé aider à l'organisation du mariage tant bien que mal, et j'ai hâte qu'Elle revienne à mes côtés, je me sens seul.

    Je harcèle Madame Isis pour savoir à quelle heure arrivera ma Maitresse, quand soudain, elle me fait signe de la suivre dans la salle prévue pour se changer. Maitresse Olivia vient d’arriver, et je me précipite à ces pieds pour les lui baiser avec dévotion. Elle n’est pas encore dans le jeu, manifestement d’assez mauvaise humeur, et je crains le pire pour la suite. Je l’aide à s’habiller et à se maquiller, et quand elle est enfin prête, qu’elle a accroché mon collier à la laisse, je la sens parfaitement détendue. Et moi donc !

    Nous descendons à la salle où discutent et jouent les invités, et je suis fier d’être trainé ainsi par Maitresse Olivia. D’ailleurs, moi qui étais transparent pendant toute la journée, je deviens visible. Ma Maitresse est manifestement connue de la majorité des invités, avec qui elle discute volontiers.

    Nous croisons une dominatrice qui nous explique être assez novice dans cette pratique, et qui prend des conseils auprès de ma Maitresse. Elles discutent de mon éducation, comme si je n’étais pas là, en utilisant la plupart du temps des termes peu élogieux. Elles prennent un malin plaisir à m’humilier, mais pour l’instant, rien ne peut atteindre mon moral, car j’ai enfin retrouvé ma Maitresse, et elle me tient en laisse. Je suis sa chose, et c’est tout ce qui compte pour moi.

    Nous changeons de salle, et ma Maitresse imagine comment elle va pouvoir s’amuser. Elle trouve un carcan dans lequel elle pourra emprisonner mes mains et ma tête, pendant que j’aurai les fesses totalement à sa merci.

    Elle se lance alors dans une démonstration de cravache, fessées et martinets. Les coups pleuvent, les instruments changent, mes fesses rougissent. J’adore les moments où les lanières des martinets caressent mon dos et mes fesses et je trouve cet instrument très sensuel quand il est utilisé ainsi. J’aime moins quand les mêmes martinets s’abattent violemment en séries de 5 coups, portés à pleine puissance par ma Maitresse, mais j’arrive tant bien que mal à étouffer mes cris. Pour les cravaches, la douleur est plus vive, et j’ai plus de mal à ne pas crier, mais je veux me montrer digne de ma Maitresse.

    La séance va durer de longues minutes, et il m’est absolument impossible de vous en donner le décompte. Je me suis enfermé dans ma bulle, j’ai eu l’impression que cela a duré une éternité. Quand ma Maitresse me détache, j’ai du mal à tenir debout sur mes jambes, et je mets un peu de temps à atterrir. Mais il serait difficile de masquer le plaisir que j’ai pris, tant mon sourire est éloquent.

    Après une pause au bar, ma Maitresse trouve une place auprès d’un masseur. Moi qui suis parfaitement nul en massage, je vais tenter d’observer ses gestes, afin d’apprendre. Mais il s’agit d’un spécialiste, et ceux-ci seront difficiles à reproduire. En tout état de cause, il fait beaucoup de bien à Maitresse Olivia, qui s’abandonne à ces massages. Je suis un peu jaloux de la voir si heureuse entre les mains d’un autre, alors que je devrais simplement être content pour elle.

    Après ce moment de détente pour elle, nous retournons au bar, où ma Maitresse discute à nouveau avec quelques invités. Elle a admiré la dextérité de Maitre Patrick, un grand spécialiste du bondage et de la suspension, et elle me propose, s’il l’accepte, qu’il exerce son art sur moi. Je suis totalement ravi de tenter cette nouvelle expérience, et je peux vous assurer, Madame, que ce moment restera gravé à jamais dans ma mémoire, et m’aura permis d’oublier tous les moments de solitude que j’ai vécu aujourd’hui.

    Maitre Patrick avait rangé ses cordes, mais il accepte de ressortir son attirail. Ma Maitresse lui demande de me suspendre dans une position où elle pourra jouer avec moi, où je serai à sa disposition.

    Je me déshabille, ne conservant que mes sous-vêtements et me présente devant lui. Je me sens en confiance devant ce Maitre, qui fait tout pour diminuer mon stress. Je le vois réfléchir longuement à la manière dont il va me suspendre, étant entendu qu’il ne pratique jamais sur les hommes, et qu’il ne fait jamais le même ouvrage.

    Il commence par entourer mon torse de cordes, s’arrangeant à laisser libres mes tétons, ma Maitresse ayant la ferme intention d’y accrocher les pinces à seins qui me font si mal. Un de ses amis arrive sur ces entrefaites avec un bambou, qui va servir à me suspendre. Il l’attache dernière mes épaules, et me montre que je pourrais m’en servir pour reposer mes bras. Le bambou est maintenant accroché au portique, et Maitre Patrick me pousse en arrière afin de me faire sentir que je suis déjà à moitié suspendu. Je peux totalement me relâcher et me détendre, je ne pourrai plus tomber.

    Il enroule maintenant des cordes autours de mes cuisses, qu’il accroche au portique. Je me retrouve dorénavant accroché à quelques centimètres du sol, les jambes écartées de manière obscène.

    Il va continuer à tirer sur les cordes, les unes après les autres, et brusquement, il me bascule vers l’avant. Je ne sais pas bien comment décrire cette position, que je vis de l’intérieur, et dont je ne peux voir le résultat. J’ai les fesses qui sont maintenant plus haut que la tête, les jambes outrageusement écartées, les bras accrochés au bambou.

    Cette sensation nouvelle est tout à fait indescriptible, et me procure un grand bien être. Je ne sens plus mon poids, j’ai l’impression d’être en apesanteur, de voler, sans ressentir la moindre douleur. Quel bonheur !

    Maitre Patrick, qui a été très proche de moi pendant tout le travail de suspension, afin de vérifier que les cordes étaient bien positionnées et ne risquaient pas de me couper la circulation, me laisse entre les mains de ma Maitresse.

    Maitresse Olivia commence par se pencher vers moi pour m’embrasser langoureusement, ce qui augmente encore mon plaisir. Elle accroche ensuite les pinces sur mes tétons encore sensibles de la veille. Elle me montre maintenant ses mains, me demandant de choisir l’une ou l’autre. Quand je lui propose la gauche, je sens bien que cela ne lui convient pas, elle me demande donc si je parle de la sienne ou de la mienne. Mauvaise réponse, je choisis la main qui contenait le poids le plus lourd. Heureusement, elle ne retrouvera pas son petit frère, et ce sont finalement les petits poids qu’elle accroche au bout des pinces.

    J’ai maintenant les yeux fermés, je m’enferme dans ma bulle, totalement à l’écoute de mon corps, de mes sensations.

    Quelques coups de cravache ou de martinet pour réveiller mes sens, et je l’entends jouer du briquet. Je ne suis donc pas surpris lorsque je sens les premières coulures de cire chaude bruler mon dos et mes fesses. Je donnerais cher pour admirer les dessins que ma Maitresse effectue sur mon corps immobilisé. Quelques gouttes de cire sur mes fesses rougies par le martinet m’arrachent un souffle de douleur, mais globalement, je commence à perdre pied mentalement, à vivre un moment du plaisir indescriptible.

    Ma Maitresse semble contente de son ouvrage, et je l’entends à nouveau fouiller dans son sac de Mary Poppins.

    Maintenant, c’est le froid qui m’assaille entre les fesses. De sa main gantée, Maitresse Olivia est en train de m’enduire l’anus de gel. Je sens ses doigts s’introduire un à un dans mon cul, deux, puis trois, et commence à gémir de plaisir.

    C’est le moment que choisit une marquise soumise pour me questionner et tenter d’en savoir plus au cas où elle se retrouverait un jour à cette même place. Je tente de lui décrire mes sensations, et en mettant des mots sur celles-ci, j’apprécie encore plus le plaisir que je ressens. Je lui explique à quel point je me sens léger, que je ne subis aucune douleur, que je ne sens même plus la douleur des pinces qui me font tant souffrir habituellement. Cette élévation me procure un bien être proche du nirvana.

    Maitresse Olivia introduit ses doigts un à un dans mon cul. Elle doit s'arrêter à quatre, et elle entreprend de me baiser littéralement le cul avec sa main. Suspendu comme je le suis, mon corps entame un mouvement de balancier qui accentue le plaisir de cette sodomie. Je commence à gémir de plaisir, sous le regard de la marquise. Mon cul est totalement écartelé, mon dos balafré des coups de martinets et des coulures de cire, mes seins torturés par les pinces. Je m'abandonne totalement, je deviens le jouet de ma Maîtresse et mon corps est devenu un immense réceptacle de plaisir.

    Je suis au nirvana, merci ma Maîtresse.

    Finalement, la suspension commence à tirer sur mes bras, et Maître Patrick préfère me descendre en douceur. Quand mon corps touche le plancher, j’ai du mal à tenir sur mes jambes, sous le poids de l’apesanteur retrouvée.

    Une fois totalement libéré de mes liens, je me précipite dans les bras de ma Maitresse, pour la serrer fort dans mes bras, les yeux embués de larmes, tant l'émotion fut intense.

    Je sais que je viens de vivre un grand moment dans ma vie de soumis !

    Je vais essayer de raconter mon pire souvenir, mais je vous remercie de m'accorder un peu de temps pour cela.

    Bien à vous.

    Anton.

     Meilleur souvenir BDSM par Anton.

    Merci, sincèrement, pour tes mots, les détails, les émotions, l’instant, fort en émotions. Il y aurait tant à raconter, je le sais, pour moi aussi.
    Des souvenirs, marquants, d’autres cuisants ; D’autres, tristes. Oui il y a tant à dire, dans un passé BDSM. Des instants vécus, partagés. Intenses voir « intensifiés » ! Des instants que l’on ne peut pas toujours décrire. Tant l’émotion est là, grande, forte, déterminante dans la vie d’un soumis ; Déterminante dans la vie de la Dominatrice ;
    Un partage si immense ; La valeur de l’instant ; Des mots, des chuchotements. Du toucher, de l’odorat ;
    Tant de choses qui rentrent en compte.

    C’est beau. Toujours avec ta sincérité et les détails qui nous font presque vivre l’instant et croire que nous aussi, nous sommes là, à tes côtés, juste un instant ; Et que l’on regarde par le petit trou de la souris. Curieux et curieuses que nous sommes et serons toujours.
    Merci. Pour ce partage.

    Et je veux bien avoir également ton retour pour le pire souvenir ; Une nouvelle rubrique pour mes pages à venir.

    Madame.S

     


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  •  

    Tenue du soumis ; Par Anton suite…


    Bonjour Madame,

    En commentant votre post, sur la tenue du soumis, je me suis souvenu que Maitresse Olivia avait fait coudre un tablier de couleur rouge pour moi et sur mesure pour me l'offrir.

    J'ai retrouvé une photo où je le porte.

    Portez-vous bien.

    Anton.

     


    Je suis touchée par cette photo que je partage avec délice avec mes lecteurs.
    J’adore, pour moi tu es un véritable serviteur soubrette et tu le portes bien ce tablier !

    Madame.S 

     


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  • Le vêtement porté par la Dominatrice ? Par Anton…

    Une question que je me suis posée et qui me questionne fortement…

    La tenue que porte la Maîtresse quand elle vous domine est-elle très importante pour vous ?

    Être apprêtée est certes important pour moi, le regard de l’autre me semble incontournable, quand on est face à des personnes.

    Mais votre Maîtresse ?

    Faut-il qu’elle soit forcément habillée en femme dominatrice et cela la rend-t-elle alors plus sévère à vos yeux ?

    Sa tenue va alors accentuer et multiplier votre soumission ?

    Qu’elle porte du cuir ? Du latex ou tout autre ? Des dessous suggérés, en dentelle affriolante ? Cela vous excite ? Fait partie du décorum ?

    Qu’elle soit nue vous inspire ? Vous dérange qui sait ? Vous intimide ?

    Qu’elle soit habillée en tenue de ville ?

    Doit-elle être maquillée ? Mais si elle aime être naturelle et sans fards ?

    Sa coupe de cheveux est-elle importante également à vos yeux ? La couleur de ses yeux ? Sa bouche ?

    Son parfum ? Ses chaussures ? Ses bijoux ?

    Son look en tenue de « ville » aura une importance ?

    A vos claviers ! J’ai hâte de vous lire… Madame.S


     

     Bonjour,

    J’avais envisagé de répondre à cette question à l'époque de sa publication, et emporté par le maelstrom de ma vie, j'ai laissé cette réponse dans ma tête. Et votre question sur la tenue du soumis à réveiller mon esprit.

    Je vais vous livrer mes réflexions qui seront peut-être un tantinet hors sujet.

    En fait, votre demande a questionné mon passé et mes premières expériences, mes premières rencontres avec des dominatrices. Je voudrais commencer à nous narrer ce passé pour étayer mon propos à suivre.

    La première Dominatrice que j'ai rencontrée se faisait appeler Maîtresse Marika. A l'époque, je cherchais juste à prendre une fessée, et je ne connaissais pas grand-chose à la domination. Au premier contact téléphonique destiné à organiser le rendez-vous, Maîtresse Marika m'a convaincu de prendre une séance de domination et d'aller au-delà de la simple fessée.

    Je me suis alors renseigné sur Internet et découvert un florilège de Dominatrices, toutes arborant des tenues en cuir ou en latex, des jambes galbées de bas ou de nylon, les pieds habillés d'escarpins avec des talons aiguilles vertigineux ou de bottes, parfois arborant de profonds décolletés, dans des couleurs noirs ou rouges. Je venais de découvrir la représentation de ce que les Dominatrices du Web voulaient montrer. Et j'avoue que cela ne m'a pas laissé indifférent

    Quelques jours plus tard, j'arrive devant l'immeuble de mon rendez-vous toulousains. Un appel, deux appels, trois appels, elle décroche enfin, me donne les codes d'entrée, et me voilà devant sa porte. Dring, elle ouvre.

    Maîtresse Marika m'ouvre. Il s'agit d'une petite femme, vêtue d'une robe un peu indienne baba cool. Sa voix fluette montre un léger défaut de diction, un léger bégaiement que je n'avais pas remarqué au téléphone. A ce premier contact, je me sens trahi, embarqué dans une mauvaise histoire.

    Avec assurance, elle me conduit dans une chambre transformée en donjon, m'ordonne de me mettre nu, à genoux et les mains sur la tête, et elle sort de la pièce.

    De longues minutes plus tard, elle revient habillée en Dominatrice, des bottes en cuir, une jupe en cuir, et je me sens rassuré.

    La séance commence, et je ne la raconterai pas car ce n'est pas l'objet, mais gageons qu'elle ne m'a pas laissé indifférent puisque j'ai continué dans cette voie de soumission.

    J'ai été un peu long sur cette première aventure pour expliquer que, lors de mon premier contact avec une Dominatrice, j'ai été accueilli par une femme qui s'est transformé en Dominatrice après avoir vêtu son "déguisement", mais qu'il s'agissait d'une véritable Dominatrice.

    Ma seconde rencontre fut avec Maîtresse Isabella, à Avignon. A nouveau, elle m'a accueilli habillée en "femme", m'a conduit dans son donjon pour me retrouver, de longues et interminables minutes plus tard, habillée en "Dominatrice". Je ne peux m’empêcher de glisser que ce fut ma découverte de l'uro, souvenir ému.

    Mairesse Sulfure était Lyonnaise. Ce fut ma première Maîtresse "régulière". Maîtresse Sulfure n'aimait pas les tenues de Dominatrices. Elle était toujours en robe et bas ou collants, mais peu de chichis, jamais de cuir, pas de maquillage. Elle m'a beaucoup appris avant de me dégoutter des Dominatrices professionnelles. Mais ce n'est pas le sujet.

    Ce que je voulais expliquer à travers ces trois histoires, c'est que la domination n'est pas affaire de look mais de savoir-faire et surtout de savoir être de la Dominatrice. La domination ne s’habille pas.

    Une petite anecdote. A un moment, mon gout pour la soumission devint si fort que mon épouse s'en est rendu compte. Je lui ai confié que j'aimerais qu'elle devienne ma Maîtresse. Elle m'aimait vraiment très fort, si fort qu'elle s'est documenté, et tout comme moi quelques années plus tôt, elle a découvert toutes ces Dominatrices sur Internet, habillées en cuir ou latex, et toujours de manière provocante. Elle m'a avoué qu'elle ne sentait pas s'habiller de la sorte, et qu'elle ne serait jamais une Dominatrice. Je n'ai pas osé lui dire que les Dominatrices n'étaient pas toutes comme ces caricatures outrageusement provocantes.

    Pour conclure, je veux dire que, pour moi, la Dominatrice n'a pas de tenue. La Dominatrice a principalement une voix pour vous montrer la voie, des mains, des bras et des jouets. Mais avant tout une voix charismatique.

    Serait-elle nue qu'il ne serait pas possible de la regarder. J'ai plusieurs fois bu le champagne de Dominatrices, jamais elles ne m’ont laissé voir leur intimité. La nudité de sa Maîtresse, ne serait-ce pas le Graal inaccessible ?

    Tout ce que je viens d'écrire vaut pour les Dominatrices femmes.

    J'ai été le soumis de Maîtresse Olivia, travesti, et les choses furent très différentes avec Elle.

    Voilà, j'espère ne pas avoir été trop brouillon, et je me doute n'avoir pas vraiment répondu à la question.

    Mais je voulais juste intervenir sur ce sujet.

    Portez-vous bien. Madame.

    Anton.


     

    Merci pour ce long texte, tu développes fort bien un parcours, même écrit en grandes lignes.

    Et je trouve que tu exposes très bien ton point de vue.

    Car il est vrai que pour moi, la tenue n’est donc pas essentielle, je l’ai écrit à plusieurs reprises ;

    D’autant plus que c’est moi qui décide de comment je m’habille quand je reçois un soumis ou un autre. Il faut avant tout que j’ai décidé d’être sexy, simple ou décontractée ; L’essentiel est donc que ce soit mon choix, cela m’importe beaucoup. Et si le soumis n’apprécie pas, pour moi cela n’a pas d’importance.
    Je ne suis pas idiote et je sais fort bien qu’un soumis est sensible à une tenue de décorum, sexy et endiablée.

    Mais je pense sincèrement comme toi. Un vêtement ne fait pas la Maîtresse ;
    Sa voix, son assurance, sa prestance, sa présence, cela est tellement plus fort…

    Savoir-faire et savoir-être. Tout est résumé me semble-t-il.

    Tout dépendra des gouts, des sensibilités et variantes de chaque personne. Et il y en a pour tous les goûts c’est formidable non !

    Mais comme toujours je vais ajouter, à chacune et chacun de trouver son équilibre dans une relation et de trouver la tenue idéale qui fera vibrer l’un et l’autre au diapason…

    Prends soin de toi.


    Madame.S

     


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  • La tenue du soumis ? Par Anton…

    Je vous demandais à quoi ressemblait votre dominatrice idéale et si la tenue qu’elle portait, son parfum ou autres influençait votre regard sur Elle ? Waldog posait à son tour une bonne question. A laquelle je vous demande de répondre…

    « Le soumis doit-il porter une tenue particulière pour agréer à sa Maitresse ?

    Lui exprimer de façon vestimentaire sa dévotion ? » A vos claviers.

     

    Bonjour,

    Cette question m'a initialement parue incongrue. A la première lecture, la réponse m'a semblé évidente : le soumis est nu devant sa Maîtresse. Au cas où le soumis a la chance d'être un soumis "officiel", idéalement sous contrat, il pourra porter le collier que sa Maîtresse lui aura offert. Et le cas échéant, il portera sa cage de chasteté.

    Mais après réflexion, je me suis souvenu de la période au cours de laquelle j'ai été sous contrat d'appartenance à Maîtresse Olivia, je n'étais jamais nu devant Elle. J'étais féminisé, bas et porte-jarretelle rouges et des escarpins sans talons. Je portais fièrement le collier qu'Elle m'avait offert, ainsi que le rosebud pour agrémenter mon petit trou.

    C'était ma tenue de soumis, et j'avoue que j'aimais ça !

    Anton.


     Merci pour ton point de vue.

    Je suis bien d’accord avec toi. Pour moi, un soumis doit être nu. Point.
    Ensuite, s’il s’agit d’un contrat d’appartenance, un collier est effectivement le complément pour la tenue d’Adam.

    Mais comme tu l’as souligné ensuite, selon les Maîtresses et leur souhait, un soumis peut porter telle ou telle tenue. Mais cela n’est pas une généralité. C’est selon les directives de Madame. Le soumis obéit aux ordres.

    Madame.S

     


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  • Pulsion urticante… Par Anton…

    Pulsion urticante… Par Anton…

    Pulsion urticante… Par Anton…

    Bonjour Madame,

    J’ai profité de ce dernier vendredi férié et du beau temps pour tondre la pelouse, et je constate que les orties ont bien poussé !

    Je ne peux résister à une pulsion urticante, à arracher quelques orties et à me fouetter avec…

    Je me filme pour vous envoyer ces vidéos et quelques photos.

    Je pense que les vidéos ne passeront pas par mail.

    Portez-vous bien.

    Anton.

     

    Pulsion urticante… Par Anton…

    Pulsion urticante… Par Anton…

    Pulsion urticante… Par Anton…


    Je suis vraiment contente de retrouver Anton, pour quelques images, quelques photos ;

    J’espère le retrouver pour de nouvelles aventures, car Anton me manque.
    Je ne publierais pas tes vidéos, volontairement ; Je vais garder cela pour moi. Jalousement.
    J’ai fortement apprécié et j’en salive encore.

    J’imagine ta peau qui brûle. Tes sens bouleversés…
    Merci pour ce partage.


    Madame.S


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  •  

    Bonjour,

    Bien que ne participant plus à votre blog, j'ai voulu vous donner le point de vue d'un ancien soumis à travers mon histoire. Par facilité, je vous écrirai au présent, même si je narre mon passé.

    Personnellement, je me considère plus comme soumis que comme maso.

    Surprenant d'écrire cela quand je me remémore mes premières expériences SM.

    A l'époque, internet se démocratise et je découvre toutes sortes de sites Internet. Mes recherches se focalisent sur la fessée. Pourquoi ? J'ai une théorie de psychologie de comptoir en réponse à cette question, mais ce n'est pas le sujet. La première annonce qui m'attire émane d'un homme qui se propose de fesser des hommes sur Arras, une ville que je fréquente beaucoup à l'époque pour le boulot.

    Cette première rencontre, que j'ai déjà décrite il me semble, est une véritable révélation. J'aime cette fessée humiliante et je jouis comme rarement. Au point que je vais acheter quelques jours plus tard un Paddle à Pigalle dans le but d'une nouvelle rencontre. Erreur, il s'agit d'un véritable instrument de destruction, je devrais me cacher de mon épouse plus d'une semaine tant mes fesses sont devenues bleues puis marron.

    Je décide d'arrêter mes bêtises.

     

    Mais au bout de quelques mois, l'envie est trop forte. Je trouve cette fois les coordonnées d'une femme, espérant qu'une femme sera plus douce. J'ai répondu à son annonce pour une fessée, elle me propose une séance de domination avec une petite voix fluette qui me met en confiance. A juste titre car notre séance toulousaine me laissera un très bon souvenir.

    A cette époque, je parcours la France dans le cadre professionnel, et cela me donne l'occasion de rencontres avec des dominatrices professionnelles. Ces rencontres me comblent, en général, mais les pratiques sont rarement très violentes, difficile en effet de jauger le soumis sur une ou deux séances.

    Cette époque me confirme mon plaisir à être soumis, obéissant, très obéissant, mais que très légèrement masochiste. J'adore sentir des mains sur mes fesses, mais est-ce vraiment du masochisme ?

    Le tournant de cette histoire BDSM va se faire quand je vais participer au blog d'un club parisien, l'antre, aujourd'hui fermé. C'est sur un heureux malentendu que je vais rencontrer Maîtresse Olivia, et c'est elle qui va me faire connaître de l'intérieur le milieu SM parisien, enfin quelques personnes pratiquant régulièrement.

    Maîtresse Olivia est plutôt novice, elle pratique surtout avec Maitre Caïman,  propriétaire de l'Antre, et Mphil, maître de celle qui deviendra ma copine soumise Ral (une véritable masochiste pour le coup).

    Là, je vais découvrir de véritables masochistes, hommes et femmes, subissant des coups de fouets, de cannes, à en saigner et en jouir !

    J'ai appris, petit à petit, à accepter cette douleur,  pour rendre ma Maîtresse fière de son soumis, et au fur et à mesure,  j'ai commencé à prendre goût à la douleur.

    Je me suis surpris, au fil du temps, à chercher cette sensation masochiste, alors qu'au fond de moi, mon bonheur était avant tout dans la soumission.

    Je sens que j'ai été un peu long, alors je vais livrer mon point de vue.

    La soumission, en confiance d'une Dominatrice sincère et juste, conduit au masochisme.

     

    Voilà, c'était la maxime du jour, d'un ancien soumis.

    Anton.

     

    Votre point de vue sur le masochisme ; Par Anton, suite…

    Je te remercie, Anton, pour ton point de vue. Celui-ci est à nouveau différent des autres personnes qui ont répondu à ma demande et je suis contente de te lire alors que je sais que le monde du BDSM est pour toi dorénavant vu du loin.

    Nous avons nos vies, nos tristesses et à vivre après certains évènements qui peuvent nous affecter profondément.

    Ne dis pas « ancien soumis » ; moi j’espère qu’un jour tu reviendras à moi. Quand le temps, t’aura, peut-être et je te le souhaite sincèrement, permis de t’apaiser, un « peu »… Et que tu retrouveras l’envie de te faire fesser et avoir justement ce fessier bleu et ou marron !

    Moi je veux y croire… Car tu signes ton mail avec « Anton » et ce prénom, c’est moi qui te l’a offert…

    Ce que j’ajouterais à ton texte, c’est la richesse des moments que tu as pu vivre, dans différentes villes de France. Les rencontres qui ont fait ton histoire bien évidement et qui ont construit ton parcours de soumis. Et qui ont confirmé ta position.

    Tu dis ne pas être maso, il est vrai que te connaissant je suis un peu surprise de ton positionnement mais je le comprends dorénavant.

    Mais surtout, ce que moi je retiens, c’est quand tu écris :

    « J'ai appris, petit à petit, à accepter cette douleur,  pour rendre ma Maîtresse fière de son soumis, et au fur et à mesure,  j'ai commencé à prendre goût à la douleur. »

    Je trouve cela tout simplement très beau. C’est sans doute cela que d’être un bon soumis à mon sens, accepter la douleur, pour plaire à sa Maîtresse, lui permettre d’exposer son soumis aux yeux des autres et de démontrer tout ce que l’on est en mesure d’accepter pour Elle. Cette douleur qui nous semblait sans doute insupportable et qui au final, sera « acceptée » et par fierté.

    Merci pour ton témoignage, riche de sens et d’émotions.
    Madame.S

     


     

     

    Note à un lecteur : F. de Belfort, impossible de répondre à ton mail de lundi, mon courrier me revient comme non délivré ?
    Il faut me renvoyer une adresse mail ou un numéro de téléphone !

     


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  • « Rappel de ma demande.

    Le souvenir…

    Je souhaite que vous m’écriviez, en commentaire ou par mail et je publierais ensuite vos écrits…
    Mais sur quel sujet ?

    J’aimerais que vous me racontiez votre plus fort, votre plus beau souvenir BDSM.

    Vos émotions, vos craintes qui sait, vos émois, le lieu, le ou la, les personnes. Tout ! Je veux tout savoir ! Détaillez moi cet instant qui vous a semblé magique.

    Avec moi ? Ou bien j’imagine que cela ne sera pas forcément avec moi pour ceux qui ne m’ont pas rencontrés mais je vous permets de me parler du passé et donc osez tout dire. Je ne serais pas jalouse !

    Et puis pour ceux qui ne m’ont pas rencontrés, pourquoi ne pas me conter vos pensées secrètes et ce que vous aimeriez vivre à mes pieds… A vos claviers !!

    Madame .S »

     

    Le souvenir par Anton…

     

    L’antre - Concours de soumis

     

    Je suis devenu accro aux après-midi de l’Antre, organisées par Maitresse Olivia et Madame Isis. Lors de ma dernière soirée, j’avais prévenu que mon emploi du temps ne me permettrait pas de revenir avant le mois de juillet, mais je n’ai pas pu attendre, et j’ai torturé mon planning pour venir subir la torture de ces deux dominatrices si chaleureuses et complémentaires.

    Deux jours avant la date fatidique, j’apprends que le Cercle Noir organise une soirée consécutive à cette après-midi, au cours de laquelle est organisé un concours de soumis. L’intitulé de la soirée spécifie que « les soumis maso et endurants » sont les bienvenus. J’avoue que cette perspective a le don de m’inquiéter, car si je commence à avoir une petite expérience de la soumission, mon côté maso est assez récent. J’ai vraiment peur de ne pas être à la hauteur, et je déteste cette idée. Mais il est maintenant trop tard pour reculer. Je me suis engagé à venir auprès de ma Maitresse, et je n’ai pas l’intention de la décevoir.

    Il est 16 H 30 quand j’arrive enfin au donjon. L’accueil est comme toujours assuré par Madame Isis, de manière chaleureuse et conviviale. Je commence à me sentir ici un peu comme chez moi.

    Je leur ai réservé une surprise : outre mon collier autour du cou, j’ai revêtu mes bas rouges attachés par le porte-jarretelles noir que m’offrit en son temps Maitresse Sulfure, et j’ai passé un string noir pour cacher mon sexe.


    Je salue avec déférence Maitresse Olivia et Maitre Caïman, qui me complimentent sur ma tenue, ce qui me fait chaud au cœur. Madame Isis a gardé son côté joueur, et elle me fait rapidement courir après ma balle. Quel bonheur !


    Maitresse Olivia et Madame Isis sont comme toujours divinement vêtues, et je découvre rapidement que Madame Isis ne porte pas de culotte. J’avoue que cela m’excite un tantinet.

    Pendant qu’elle jauge les deux nouveaux soumis qui arrivent seulement, je la taquine du regard, non pour me moquer d’elle comme elle semble le croire, mais pour qu’on s’occupe de moi. Et je sais maintenant qu’elle saura s’en souvenir dans la soirée, et que mes fesses s’en rappelleront pendant de nombreuses heures.


    Nous descendons enfin au donjon, où je subis- je me demande si ce verbe est vraiment approprié – où je reçois avec bonheur mon premier échauffement des fesses, pendant qu’Aldin subit – alors pour le coup je crois que le verbe est vraiment le bon – ses premières chatouilles, en gesticulant et en hurlant. Peu de détails me concernant, une première pause au cours de laquelle je m’emploie à taquiner Madame Isis, qui semble ne pas être dans son assiette.
    Avant de reprendre le chemin du donjon, ma Maitresse me demande de retirer mes sous-vêtements. Je suis très déçu que ma tenue ne lui convienne pas, essaie de tergiverser, mais je comprends rapidement au ton qu’elle emploie que je dois m’exécuter. Je vous demande pardon, Maitresse Olivia, d’avoir douté de vous à cet instant précis. Car c’est la meilleure surprise qu’on m’a fait depuis longtemps qui m’attend. Ma Maitresse me conduit, nu dans la douche, et c’est une belle douche dorée que je vais prendre. C’est à genoux dans la douche que j’ai le privilège de téter la belle queue de ma Maitresse, queue qui rapidement commence à couler. Je me délecte des premières giclées, votre pipi est doux et savoureux, tout comme vous, ma Maitresse. Je ne peux tout avaler, alors ma Maitresse me fait prendre une véritable douche, le visage, les cheveux, c’est chaud, c’est bon. J’essaie de boire ce que je peux, je suis inondé de cette douche chaude, je suis au bord de la jouissance quand vous lâchez les dernières gouttes dans ma bouche avide.


    Quand je redescends au sous-sol après une vraie douche (merci Maitre Caïman pour nous garantir cette hygiène) Maitresse Olivia vient de réaliser un bondage à un soumis, et s’approche de moi pour me ligoter à mon tour. Les mains tendues dans le dos fermement attachées, je me retrouve rapidement à genoux dans l’impossibilité d’effectuer le moindre mouvement. Je suis à la merci de la moindre perversité de ma Maitresse, et gageons qu’elle a de la ressource en ce domaine. J’aime me sentir ainsi immobilisé.

    Ce que j’aime moins, c’est ce que Maitresse Olivia tient dans ces mains : les pinces à seins. Mes tétons sont trop petits, et les pinces sont difficiles à accrocher, ce qui me fait généralement souffrir le martyre. Et je ne m’étais pas trompé, la douleur est violente et continue. Mais le pire est à venir. Madame Isis en profite pour se venger de mon impertinence, et je ne peux esquiver le moindre mouvement de recul, ligoté comme je suis. Elle vient tirer sur la chaine qui relie les deux pinces en me toisant d’un regard vengeur. Je me confonds en excuses, j’ai les larmes aux yeux, mais je ne veux rien laisser paraitre, si ce n’est un rictus de douleur. Maitresse Olivia s’amuse beaucoup de cette situation. Elle me met la chaine dans la bouche, et je dois lever la tête, ce qui a pour effet évident de tirer sur les pinces. Je souffre de plus en plus, mais le calvaire est loin de se terminer car je dois compter lentement jusqu’à 100 dans cette position. Arrivé à 30, Maitresse Olivia juge que j’ai compté trop vite, et le comptage reprend bien sûr à zéro, entrecoupés d’un « Mississipi » pour assurer la lenteur de l’énumération des chiffres. Je crois me souvenir que c’est à 26 que je fais une erreur qui me vaut un nouveau retour à zéro du compteur. Pendant ce temps, Madame Isis a entrepris de sodomiser au gode ceinture un soumis juste sous mes yeux, ce qui me rend fou de jalousie. Quand j’arrive enfin au dernier numéro, c’est presque dans un hurlement que je lâche le chiffre 100. Maitresse Olivia a enfin pitié de moi. Elle enlève les pinces, ce qui m’arrache inévitablement un cri de douleur, et me les torture une dernière fois pour faire circuler le sang.
    J’avais certainement mérité cette punition, mais je suis bien content qu’elle s’arrête enfin.


    La suite de l’après-midi sera plus soft pour moi. Encore que …

    S, la soumise de Maitre Caïman, vient d’arriver. Elle salue avec déférence son Maitre, mais celui-ci surprend un tutoiement qui n’est pas de son gout. A peine arrivée, voilà la pauvre S mise en position debout et les fesses bien cambrées, dans l’attente de la punition qui s’impose. Maitre Caïman a choisi d’utiliser l’hélice. Cela ressemble à une petite pale d’hélicoptère, constitué d’un matériau qui ressemble à du balsa, mais je vous garantis que c’est bien plus solide. Elle reçoit une véritable dérouillée, à travers son pantalon pour débuter, puis à travers le tissu de sa culotte. Maitre Caïman lui baisse enfin son dernier rempart, et fait apparaitre des fesses déjà bien marquées par de précédentes punitions. Les coups pleuvent, S se tortille et tente d’y échapper, et quand cesse la punition, elle est au bord des larmes.
    Mais Maitre Caïman n’a pas apprécié que j’ose admirer la punition et regarder les fesses de sa soumise. Je suis donc attrapé par le bras, mis en position, et reçoit à mon tour une punition avec cet instrument surprenant. Et la douleur qu’il procure ne l’est pas moins. Maitre Caïman sera moins cruel avec moi qu’avec sa soumise, mais il m’a bien fait comprendre où était ma place.


    Je me suis un peu remis de mes émotions, et je continue de taquiner Madame Isis qui brule de l’envie de me punir à nouveau, mais elle me ménage en prévision de la soirée qui devrait être musclée.


    Nous parlons d’exhibition, et Maitre Caïman m’entraine vers le pas de la porte, faisant mine de me faire sortir dehors, simplement vêtu de mes bas et de mon collier. Il en sera pour ses frais car je suis tellement en confiance avec cet homme qu’il pourrait me conduire ainsi où il le souhaite, et c’est finalement lui qui se dégonfle.

     
    Maitre Caïman… Il s’agit d’un bel homme, serein et tellement à l’écoute. Tout en lui rassure. Sa voix, ses intonations, ses mains, son sourire.

    Il doit aller faire une course. Madame Isis lui suggère donc de m’amener avec lui, habillé mais en conservant mon collier. J’accepte avec joie, mais enfin, aurais-je pu refuser ? Maitre Caïman est connu dans le quartier. Au bureau de tabac, on lui sort sa marque de cigares favoris avant qu’il ne passe la moindre commande, et mon collier n’est pas passé inaperçu. Dommage que je ne sois pas en laisse ! Maitre Caïman me propose d’aller boire un verre dans le bistrot d’à côté, et à nouveau je saute de joie. Ici aussi il est connu comme le loup blanc. Et j’aime voir un des serveurs loucher sur mon collier. Trop brève, mais j’ai adoré cette petite sortie exhibition – humiliation.


    Nous rentrons juste à temps pour découvrir les nouvelles tenues dont se sont parées Maitresse Olivia et Madame Isis, et pour accueillir le couple dominant organisateur de la fin de soirée, Maitresse DOMIN-O et son mentor, Maitre Philippe.

    Maitresse DOMIN-O est vraiment une belle femme, et sa tenue de dominatrice (un corset en tissu orné de motifs chinois, un string qui magnifie son fessier envoutant et des bottes mettant en valeur ses petits pieds) lui donne un port altier. Au premier regard, nul doute que nous avons affaire à une véritable dominatrice. Son visage harmonieux est néanmoins paradoxal. Il affiche une grande sévérité par ses yeux sombres qui vous transpercent de part en part et par ses traits appuyés qui montrent une détermination sans faille, mais son sourire qui l’illumine démontre une grande humanité. J’ai de suite un grand respect pour cette Dominatrice.

    Maitresse DOMIN-O et son mentor sont manifestement des amis de mes hôtes, ce qui se traduit par une franche complicité. Nul besoin de présentation, ce qui me laisse frustré par une certaine indifférence.


    Pendant que je range avec Aldin le donjon, les soumis de Maitresse DOMIN-O sont arrivés. « Chien fou » sera le roi de la soirée, il semble être le favori de Maitresse DOMIN-O et c’est le jour de son anniversaire. Et je comprends qu’il soit bien placé dans l’ordre des soumis, car il est vraiment bien de sa personne, de corps et de visage. Bref, il est beau. Il est accompagné de « l’artiste » et du « poète », des soumis qui ont une belle prestance. On sent le besoin d’esthétique de Maitresse DOMIN-O, et je vais pouvoir le vérifier au fur et à mesure de l’avancement de cette soirée. Paillasson ne va pas tarder à nous rejoindre, et comme son pseudo l’indique, son rôle se cantonnera à se faire marcher dessus.
    En attendant son arrivée (nous venons d’apprendre qu’il attendait bêtement dans un café), Maitresse DOMIN-O procède à une revue de détail de ses soumis. Ils sont classes, parés de colliers et de bracelets, la position parfaite, tous attentifs aux ordres de leur Maitresse.

    Madame Isis aime toujours autant me faire jouer à la balle. Elle la lance au milieu des soumis de Maitresse DOMIN-O, et je cours à quatre pattes la chercher. Pas de chance, elle s’est logée entre les jambes d’un soumis agenouillé en position d’attente. Je tente de la récupérer avec la bouche sans le toucher. Ma première tentative échoue de peu, ce qui me vaut une correction, et je réussi enfin à attraper ma balle et la présenter à Madame Isis en faisant le beau.

    Pendant ce temps, le jury destiné à nommer le meilleur soumis de la soirée s’est enfin constitué.
    Maitre Philippe en est le leader de fait.


    Un couple est arrivé. Julie, une grande et belle femme, très classe, servira d’assistante à Maitresse DOMIN-O, et Maitre Nicolas participera au jury.

    Maitre Phil sera quant à lui un membre imminent de ce jury. Il est d’une grande beauté, avec sa quarantaine rugissante. Sa queue de cheval et sa barbichette grisonnent, mais son regard pétille. Je serai homo, je tomberai illico amoureux, de lui, et je pense qu’il doit faire tourner bien des têtes.

    Maitre Caïman fera également parti du jury.

    Chaque membre a reçu des grilles de notations, une par soumis, avec une liste non exhaustive des épreuves qu’ils devront endurer. Je sens ma motivation grimper, d’autant que tout le monde m’ignore. Je suis au milieu d’un groupe de personnes qui se connaissent, qui sont à l’aise dans ce milieu, et j’ai le sentiment d’être totalement transparent.
    Mais je vais leur montrer que j’existe.


    Maitresse DOMIN-O prend les choses en main. Les soumis descendent au donjon, et elle les place en rond au centre de la pièce, en position d’attente. Elle vérifie et rectifie les positions, et nous voilà maintenant tous bien cambrés, la tête baissée, dans l’attente du jury, qui arrive enfin et semble satisfait du spectacle.

    Madame Isis, pour montrer comme je suis obéissant, me demande de faire le beau, et me lance ma balle au travers de la pièce, que j’attrape au vol, sous le regard amusé des membres du jury.

     
    Le concours débute avec « chien fou ». Positionné sur la croix, il se fait rougir le dos et les fesses par sa Maitresse. Il est vraiment résistant et sera difficile à battre.

    Les soumis de Maitresse DOMIN-O reçoivent tour à tour les punitions choisies par elle, alors que Maitresse Olivia et Madame Isis se partagent entre Aldin et moi… Je vais devoir faire une démonstration de ma résistance, car elles m’ont positionné sur le banc à fesser muni d’un carcan. Entravé de la sorte, Maitresse Olivia me donne une grosse fessée, destinée à réchauffer mes fesses. Puis, Madame Isis, qui a un petit compte à régler avec moi à la suite de mes nombreuses taquineries de l’après-midi, prend en main un Paddle, et là, je dérouille. Les coups pleuvent, de la fesse gauche à la fesse droite, sous le regard flatteur du jury. Je résiste et refuse de crier pitié, car je veux montrer que je suis à la hauteur. A la couleur de mes fesses le lendemain, je comprendrais qu’elle n’a pas fait semblant. Quelques coups de cravache vont suivre, pour profiter de ma position, et Madame Isis finira cette séance par quelques coulures de bougies, dont certaines vont fortement accentuer la sensation de brûlure de mes fesses déjà plus que rouges. Quand on me détache enfin, j’ai du mal à tenir sur mes jambes, mais je suis plutôt fier de moi, et ce d’autant plus que j’ai surpris quelques commentaires élogieux du jury.

    Après quelques minutes de répits, je suis positionné debout en face de « chien fou ». Nous sommes accrochés ensemble par une paire de pinces à seins reliées par des fils, et on nous demande de nous écarter l’un de l’autre pour exercer une tension maximum et tirer sur les pinces. Je souffre la martyre, alors que « chien fou » reste totalement impassible. Et Maitresse DOMIN-O ajoute des poids sur la ficelle, les uns après les autres, afin d’augmenter encore le tiraillement. Sentant que j’ai du mal à résister, Caïman s’approche de moi pour ma coacher. Il tente de me faire oublier cette pression lancinante qui inonde ma poitrine, il me rappelle tous les bons souvenirs que je lui ai racontés de ma relation avec Maitresse Sulfure. Mais d’un seul coup, une des pinces se détache, et je ne peux réprimer un souffle de douleur. Mes tétons sont trop petits et les pinces glissent. On tente de la remettre, mais la douleur est trop forte, et le jury décide d’arrêter l’épreuve. Ouf !

    Afin de compléter mes épreuves, Maitresse DOMIN-O, à la demande de Madame Isis, m’assène quelques coups d’un énorme martinet, pendant que Madame Isis me maintient la tête entre ses cuisses. Elle n’y va pas trop fort pour éviter de me laisser trop de marques. Et pour finir, je vais tester un nouvel instrument de torture, la cane anglaise. C’est une première pour moi, et c’est ma Maitresse qui va s’en charger. Quelques petits coups pour s’échauffer, et je dois ensuite compter jusqu’à dix. La douleur est vive et aigue, mais je lui fais honneur en allant à nouveau au bout de l’épreuve.


    Tous les soumis ont subi à peu près les mêmes épreuves, et il est décidé d’arrêter là le concours.
    Nous remontons à l’étage, où deux gâteaux brillent de mille feux, ornés des bougies d’anniversaire de « chien fou » et d’un autre soumis. Nous passons un petit moment convivial de détente bien mérité, tant pour nous que pour les dominatrices présentes.
    Avant la fin de cette récréation, Maitresse Domina emmène « chien fou » et « l’artiste » dans le donjon, pour une surprise. Quand nous descendons enfin, nous les découvrons à quatre pattes, fesses contre fesses. Ils sont reliés par un double gode profondément introduit dans leur cul, et Maitresse DOMIN-O finit de les bondager et de leur accrocher des poids sur les couilles. Très beau spectacle.


    Les soumis sont alignés en face du jury, qui va enfin délivrer son verdict de manière solennelle. Après de longues minutes de suspens, le nom du gagnant est annoncé, dans un silence révérencieux.

    Le vainqueur de cette soirée mémorable, élu par ce jury totalement impartial, est …

    « CHIEN FOU » a gagné de peu, mais il fut vraiment le roi de la soirée.
    Il reçoit une superbe médaille d’or, que Maitresse DOMIN-O lui délivre avec un grand sourire. Elle est très fière du résultat de son soumis, et cela se voit.


    Après une salve d’applaudissements, le président annonce le nom du second, en précisant que « chien fou » a gagné de très peu. Je suis surpris et fier d’apprendre que c’est Titou qui a talonné le vainqueur. C’est moi, et j’avoue que je suis super content. Ce matin, j’étais très anxieux à l’idée de participer à ce concours, à me comparer à des soumis d’expérience. Je me suis même demandé si je resterais à la soirée. Mais ma Maitresse a su me transmettre la confiance nécessaire. Merci Maitresse Olivia.


    Il est l’heure de nous séparer. Je salue tout le monde, une poignée de main chaleureuse à Maitre Caïman, une embrassade à Madame Isis. La poignée de main plus qu’amicale de « chien fou » me va droit au cœur. Je salue bien bas Maitresse DOMIN-O, et à ma grande surprise, elle me complimente sur mon comportement, et semble sincèrement heureuse de m’avoir rencontré. Elle félicite également ma Maitresse pour mon obéissance et mon éducation. J’ai cru toute la soirée que Maitresse DOMIN-O ne m’avais pas même regardé de la soirée, et c’est avec une grande joie que je prends ses compliments.

    Je salue avec dévotion Maitresse Olivia, et j’espère revenir le plus vite possible dans ce donjon magique.


    Merci à Toutes et à Tous.

    Merci Maitresse Olivia.

    Le souvenir par Anton…

     


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    Juste des images,

    pour toi Anton,

    car tu viens de perdre un être cher

    et je souhaitais lui rendre hommage aujourd’hui…

    Je suis triste avec toi,

    car une Maîtresse aussi proche,

    c’est cela aussi…

    Courage et condoléances pour toi et ceux que tu aimes.

    Madame.S


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