• Aout 2018 - Abstinence estivale par Anton.

     

     

    Aout 2018 - Abstinence estivale par Anton.

     

    -           1er aout

    Je suis en vacances depuis quelques jours quand je reçois la notification indiquant la pause de votre blog. Étant en congés, je n’ai pas pu lire l’intégralité du post, et c’est le soir, quand je suis seul, avant d’aller me coucher, que je découvre que vous nous demandez une période d’abstinence. J’avoue que cette demande ne me fait pas vraiment plaisir en cette période estivale, mais comment refuser une sollicitation de votre part.

    Et bien sûr, avec toute la perversité qui vous caractérise, nous avons une date de début mais pas de date de fin. Avant d’aller me coucher, je me fais jouir rapidement afin de marquer le début de ma période d’abstinence.

    Cette année, j’ai réservé un gite en Alsace. Aujourd’hui, je suis allé me promener au mont Saint Odile. J’ai vu la direction de votre village, des noms de villes que je connais par nos échanges, et j’aurais presque eu l’envie de venir sonner à votre porte. Je me suis abstenu, évidemment, mais vous sentir si proche sans possibilité de vous voir me fait mal.

    -           2 aout

    Aujourd’hui, nous sommes allés nous promener à Kaysersberg, jolie petite ville proche de Colmar. Je suis allé faire un tour dans un magasin qui vend des savons originaux, et j’ai acheté le tout dernier savon qui représente deux escarpins roses sur fond rouge, une pensée pour vous, Maitresse. Cela me rappelle des souvenirs.

    -           3 aout

    Alors que je suis en Alsace, vous avez pris la route en direction du sud. Quelle cruauté ! Nous sommes à nouveau loin de l’autre, heureusement qu’un filin invisible nous relie, celui de mes pensées.

    -           5 aout

    Les effets de l’abstinence commencent à se faire ressentir. Quand la soirée avance et que ma famille est partie se coucher, j’ai des envies irrépressibles de me toucher. Et la chaleur alsacienne renforce ce besoin.

    Afin de me calmer, et afin de me sentir un peu plus soumis, je profite de me trouver seul dans le jardin pour faire pipi dans un verre et déguster ce breuvage alsacien sous l’objectif de mon appareil photo. Avant d’aller dormir, je vous envoie une petite photo de teasing. Cette petite séance m’a calmé et je m’endors plus serein, en pensant à vous.

    -           7 aout

    J’ai pris un rendez-vous pour demain chez le coiffeur et le barbier à Obernai.  Dans la soirée, je demande à ma femme, sous forme de boutade, ce qu’elle aimerait que je fasse dessiner dans ma barbe. Elle me répond : « un double S » ! Pourquoi cette réponse, je n’ose engager la discussion.

    -           8 aout

    Finalement, ma femme ne m’a fait aucune autre allusion. Mieux, elle a trouvé que ma coupe de cheveux et de barbe étaient réussies, et elle a été câline comme rarement. A suivre !

    Ce soir, à nouveau seul dans le jardin, mes envies me reprennent. Mon pipi, toujours mon pipi, meilleur moyen de calmer mes ardeurs. Cette fois-ci, j’ai envie de sentir la chaleur de mon urine couler sur moi, sur mes fesses. Je réalise un nouveau reportage pour vous, entendant les voisins de la maison d’hôtes comme s’ils étaient dans mon jardin, accentuant le côté risqué de mes activités nocturnes. Quelques photos et vidéos, et je file me coucher.

    -           13 aout

    Aujourd’hui, les photos que vous m’avez envoyées sont particulièrement sensuelles, presque provocantes. La température est encore montée d’un cran. Vous aimez me sentir ainsi à la limite. Merci.

    -           14 aout

    Cette fois ci, je trouve vos photos encore plus évocatrices. Je reconnais là votre douce perversité.

    Toutes ces images tellement excitantes ne font que renforcer ma frustration et mon envie de me montrer à vous.

    Ce soir, j’ai décidé de boire mon urine directement à la source, et je vais prendre quelques photos dégradantes dans le jardin du gite. Je vous ai envoyé un petit reportage.

    -           15 aout

    Ce matin, je me suis réveillé avec une grosse érection et le souvenir de mon rêve. Dans ce rêve, mon épouse me prodiguait une fellation. Je ne ressentais pas grand plaisir, mais je sentais vraiment que j’étais dur comme du bois. A un moment, elle m’a caressé les fesses et mis un doigt dans le cul. Je me souviens m’être réjoui de cette pratique et m’être demandé comment elle savait que j’aimais cela. Et je me souviens également m’être dit que je ne devais surtout pas jouir car j’étais en période d’abstinence. Je pense que c’est à ce moment que je me suis réveillé.

    -           16 aout

    Ce soir, je suis encore bien excité. Mon abstinence commence à me monter au cerveau.

    Ma belle-mère m’a fait remarquer dans la journée que des orties poussaient au fond du jardin. Cela m’a évidemment donné une idée.   Dans la soirée, j’ai pris l’habitude de regarder un épisode d’une série américaine (smallville) avec mon jeune fils. Avant de me mettre devant l’écran, je vais au fonds du jardin, j’arrache quelques orties et les glisse dans mon slip. Je regarde la série ainsi, sentant les petites aiguilles me torturer le sexe et les fesses. J’adore cette souffrance, cela me ramène toujours plus à vous.

    Avant d’aller me coucher, je retire les orties et je sens les brulures des orties alors que je regagne le lit conjugal. Étrange sensation.

    -           17 aout

    J’apprends que vous êtes de retour chez vous. Moi, je rentre à la maison demain matin ! Quel dommage, nous n’aurons pas réussi à nous croiser, même furtivement. C’est triste.

    -           19 aout

    Je suis de retour à la maison, et c’est demain la reprise. J’ai trop envie de me montrer devant vous, et, avant d’aller me coucher, je m’encule dans le garage avec ma hache.

    -           20 et 21 Aout

    Je n’en peux plus de cette abstinence. Depuis les grosses chaleurs, j’ai pris l’habitude de dormir seul dans la chambre du bas, plus fraiche. Du coup, seul le soir, je pense à vous et j’ai envie de me montrer, encore et toujours. Ce soir, j’ai une pensée pour Aline, cette spécialiste des bondages sur votre blog et je me ligature les bourses. Pas vraiment satisfait du résultat, je recommence le lendemain soir. Cette fois, je suis tellement excité que je manque de jouir. Ouf

    -           26 aout

    Dimanche soir, je me sens seul, j’ai besoin de me rapprocher de vous, j’ai besoin de souffrir pour vous, pour moi, parce que je suis soumis dans mon âme et dans mon corps.

    Ce sera avec des orties, je vais frotter mon sexe, mes fesses, mon anus, encore et toujours jusqu’à savoir que des cloques seront visibles sur mes photos.

    Ma nuit sera bien difficile tant je me suis frotté l’entrecuisse. Et je vais ressentir la douleur toute la nuit. Je me réveille épuisé, mais j’ai pensé à vous une grande partie de la nuit.

    Ce que je ne sais pas encore, c’est que vous avez décidé de rouvrir votre blog lundi matin. Cette réouverture va provoquer de nouvelles histoires, mais je vous les raconterais dans un autre texte.

    Anton.

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  • Commentaires

    1
    Sixtytwo
    Mardi 4 Septembre 2018 à 07:49
    Ouf je ne suis pas le seul à vivre difficilement cette abstinence d'été ! Merci Anton pour ce récit aoûtien
      • Mardi 4 Septembre 2018 à 20:42

        L’entraide et l’écoute entre frères de soumission est importante !

    2
    aaron
    Mardi 4 Septembre 2018 à 08:31
    Maîtresse,
    Chacun de nous avons notre propre manière de ressentir l'abstinence.
    aaron
    3
    Anton
    Mercredi 5 Septembre 2018 à 13:05

    Comme à chaque fois, l'abstinence renforce le lien invible qui me relie à vous.

      • Mercredi 5 Septembre 2018 à 17:44

        Je sais que pour toi ces périodes sont intenses et te rapprochent de moi. Cela me plaît.

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