• Période de chasse…

    Période de chasse…

    Oui la chasse et ouverte, chasser le naturel et il revient au galop, ou à la période de la chasse dans sa forêt natale la grande prêtresse et chasseuse d'esclave, Madame S a levé le pourceaux de sa tanière, le stupide animal au mœurs lubriques, le porc humain et dressé comme ces congénères, dehors ou parqué, dès capturé le sagouin est marqué aux initiales MS : la propriété de la fermière, il est sorti fréquemment par tous les temps de son boiton pour lui faire prendre l'air et faire ces besoins de cochon.

    Il s'adonne à ses instincts naturels de soumis à gambader dans le jardin au soir de cette pluie qui n'a de bon que de se rouler dans la boue de son enclos.

     Période de chasse…

    Période de chasse…

    Que ne serais je pas de vous dévoiler tous mes secrets, de me dévoiler encore plus sur mes moments de déviance si profond à vous devoir une plus grande servitude, de commettre le crime parfait à mon désir de me donner à vous, je suis ce soumis que vous avez conquis depuis des années sans omettre sa moindre pudeur et lâchant sa plus grande laideur, je suis ce porc que je veux être pour vous, triturant mon lard et mon esprit de devenir en tous… 

    (Ce cochon qui s'en dédit ).

     

    Période de chasse…

    Se dit pour marquer la conclusion d’une affaire, un engagement, etc., celui qui ne respecterait pas la parole donnée serait indigne de respect.

    Période de chasse…

    J’aime te savoir animal, dressé à la dure, dans le froid, dans la boue, en attente pour ta nourriture, pour ta liberté.

    D’un geste pour te dire que tu existes.

    Tu es mien, animal et envieux d’être ce cochon, cette cochonne…. A « Moi »…

    Ces photos me plaisent car tu es vraiment animal, abandonné à ma cause.

    Madame. S

    Période de chasse…


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  • Troublée…

    Mon Chriss,

    J'ai vraiment adoré les photos de toi pour votre dernier fête déguisée !

    Je trouve que tu as un charme fou et que tu es vraiment dans ton personnage.

    Et la tenue, le maquillage, tout était vraiment parfait ! 

    Je suis troublée je l'avoue par tout cela.

    Madame. S

     


     

     

    Oui je suis moi-même troublé par votre trouble ou ne sachant quoi dire, que de sentir votre regard sur moi, de pouvoir vous séduire dans ma transformation et de vous charmer.

    Vous aimez mon charme ? Pour vous j’aime Vous séduire en tant qu'homme travesti.

    D'être votre putain ou la Reine des salopes qui vous séduis le plus.

    Dans une soirée de tous les délires vestiaires ou dévisageant l'assistance croisant nos regards indiscrets, vous déchargez votre dévolu sur la putain au cheveux rouges, rien ne m'attendait à cette éventualité faisant partie simplement de cette soirée costumée, l'insistance à me dévisager me trouble d'emblée.

    Que dois-je faire à cet instant, sentant sous ma jupe l'effrontément de mon appendice, une panique humaine me prend de court, subjugué par votre regard, à l'instant je ne sais plus où me mettre...

    L'effet escompté est imparable à mon devoir de putain aguichée d'une somptueuse Dame au désir de son regard insistant.

    J'essaie encore de l'éviter mais l'endroit exigus est le piège qui se referme sur moi me laissant désiré du pire.

    Elle s'approche de moi, sans un mot, me regarde de la tête aux pieds, ma main tremble tenant mon sceptre de l'autre, les secondes qui passent sont interminables, elle s'avance et dépose prêt de mon oreille : "quel et ton non de putain" je la laisse à sa guise de le choisir pour moi, d'être affublé pour sa soirée de mon nom de catin "tu seras pour moi ma Petite chose."

    Je sens sa main glisser sous ma jupe, toucher ma peau devenue dure à ces paroles, je suis sous son emprise totale.

    Dès cette soirée devenue sa putain, je la sers au mieux, divinatoire déesse elle accomplit cet imprévu troublant qui ne s'efface pas mais enrichi ma dévotion de vous avoir ainsi troublée.

    Entre la réalité et fantasme, je suis ému(e) à cette idée de transformation et de vous plaire ainsi vêtue, d’être un cours instant votre femelle rouge ou que votre plaisir soit le mien.

    Petite chose.


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  • La montée…

    Arrivant sans prévenir elle me prend par surprise, souvent au réveil, sournois sentiments d'impuissance face cette envie de soumission et de servitude intense, elle irradie mon esprit de fantasmes les plus sombres.

    J'ai compris avec le temps qu'elle était là, croupie dans l'ombre, comme à attendre de sortir dans les moments de vulnérabilité, quand je suis fatigué ou le lendemain d'une fête bien arrosée.

    J'ai réussi à la maîtriser du mieux que je pouvais, j'essaie de ne pas me toucher de rester le plus petit possible, j’aime cette sensation de petitesse ridicule dans une position d'infériorité, de ne pas gâcher ce moment survenu.

    Se masturber n'aurait que la conséquence d'un pansement sur une jambe de bois et d'un côté je me sentirais coupable envers l'idée que je serais sous l'autorité de Madame S avec son interdiction absolue.

    J'exploite ces moments de perte de contrôle pour écrire mes sentiments de servitude ou trouver une alternative créative.

    J'aime ce sentiment d'être dépourvu de résistance, c’est ma nature et je ne peux et ne veux m'en défaire, je me suis offert à Madame S il y a bien des années et cette montée et en partie à elle et grâce à elle que je me dévoile. 

    Chriss SV 68 VD 175 20

    La montée…

    Une perte de contrôle, maîtrisée et une envie de ma plaire et d’être un bon sujet.

    Voilà ce qui me touche dans tes mots, toujours écrits avec sincérité et qui confirment que même à distance, une relation peut se développer et faire de belles étincelles.

    Madame. S

     


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  •  Manipulation…

     

    Elle sait me manipuler sans vraiment le faire mais à me sentir très proche de nos désirs si profonds, elle connait ma vie, mes envies mon corps et mon esprit.

    Un matin comme un autre, un weekend plutôt sage à rester au lit un moment de plus, mains baladeuses sur mon corps ne tenant compte à mon érection matinale rien que du plaisir cérébral à se manipuler à s'offrir du rêve à fantasmer sans pudeur et sans limite.

    Rien qu'à elle je m'abandonne à ses désirs pervers que je manipule à exagération.

    Elle remonte mon corps ; traverse ses seins sur ma queue sans s’y arrêter mais se dépose et s'assied sur mon pubis dépliant mes bras de chaque côté sans devoir les attacher restant ainsi déployé à toutes ses contraintes.

    Elle arrive à moi, petit à petit, déposant son humidité en petite flaque sur mon buste, son poids maintenant m'écrase et ajuste ses premières tortures mammaires, ses ongles me pénètrent les seins arrachant mes tétons, mes piercings se rebellent et tournent de chaque côté et finissent sur le bord de la table de nuit.

    Elle précise son statut de dominante par de cinglantes gifles et par un acharnement particulier à mes tétons, délivrant mes gémissements et hurlements, je la manipule à volonté changeant son plaisir pour le mien restant toujours dans la limite du respect que je lui dois.

    Je la regarde dans les yeux légèrement penchée, ses cheveux fin viennent à ses joues, sa poitrine opulente surplombant la mienne se touchent, elle surplombe maintenant mon visage et ma bouche d'esclave s'ouvre naturellement, sa salive onctueuse plonge délicatement au fond de ma bouche, son filet s'allonge en une ficelle nous reliant plus épaisse encore qu'au début, je manipule encore sa domination et augmente sa progression et chaque minute, tout peut changer encore.

    Sa langue fine et longue et à portée de bouche en respectant l'usage, mes lèvres pratique sa fellation aspirant son jus titillant son bout de mes dents, vénérant sa langue si parfaite et ses gouttelettes salivaires précieuses, je gémis de douleur par son étreinte de tétons, deux combinaisons possibles et inimaginable à cet instant magique.

    Je la manipule encore dans mon esprit libre et place son entre cuisse sous ma bouche, étouffant sous ses fluides j'aspire sa mouille ; lèche à profusion chaque partie offerte à ma langue, mon nez posé contre sa peau ma bouche disparue dans son gouffre creusant les parois de ces lèvres humide je récolte sa cyprine douce activant ma langue pour ses plaisirs multiples, sans limite de temps j'attends de ma propre imagination sa manipulation suivante.

    Je la veux suave et remplie de bienfaits ainsi dis-je car je sens son liquide chaud envahir ma bouche, de petites doses bien chaudes se soulagent en moi, divine liqueur que son urine m'abreuve à chaque gorgée, un moment très fort que de boire son liquide amer et concentré est la plus belle des manières de lui montrer ma dévotion sans limites...

    Ma manipulation dure encore jusqu'au moment où je décide de la retourner d'un demi-tour, ses fesses si belles sont à ma portée pour ma déferlante dévotion à sous anus, à la tranchée qui la sépare de lui donner le reste de ma servitude à son cul merveilleux, enfoncé au plus profond elle va et viens sur ma bouche et ma langue tendue relâchant son plaisir sur mon torse, pissant à nouveau mon breuvage préféré elle, se frottant de désir sur mon visage luisant de pisse, mes tétons arraché dans une ultime douleur d'esclave, me laissant ainsi pathétique à mon devoir de mémoire de lui appartenir.

    J'ai donc écrit ce texte en hommage à ma divine Maîtresse à nos années passées à nous faire confiance sans rien se cacher, par nos échanges spontanés, de me sentir responsable de mon envie lui offrant simplement ma cérébrale envie de la manipuler mais dans son écrin de soumission qui n'appartient qu'à elle, lui donner ce que j'ai de meilleur en moi pour le meilleure et pour le pire.

    Chriss SV 68 VD 175 20

     

     Manipulation…

    Chriss,

    Bravo pour ton honnêteté intellectuelle et cérébrale, de te livrer ainsi, à corps et à cœur ouvert.

    Je trouve vraiment beau de me dire que tu oses tout me dire, que tu es honnête avec moi et mes lecteurs.

    Que tu puisses ainsi oser des choses, car nous avons acquis il est vrai, un niveau de confiance élevée, ou tu peux te livrer ouvertement, sans craindre ma punition. Sourires.

    C’est vraiment beau de voir combien tu es capable de rêver ainsi, d’un moment d’extrême de soumission sexuelle et torrides images qui nous font imaginer aisément ce que tu aurais aimé vivre.

    On reste sur notre « faim » et tu nous mets en appétit…

    Madame. S

     


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  • Quand je l’ai ensorcelé et qu’il, qu’elle est à moi…

     

    Voilà donc une si jolie expression qu'elle en devient une authentique réalité à destination de ses pensionnaires.

    Déesse ensorceleuse, elle illumine de sa splendeur et de son charme si convainquant, faisant la parenthèse "de ce monde de fou si triste et insupportable de ces soi-disant influenceur(se) qui me donne la nausée".

    Notre monde serait-il le dernier rempart de ce poison infâme, oui notre monde est bien plus sain au pays de notre ensorceleuse et par-dessus tout notre sanctuaire rempli de bienveillance, de respect et d'amour que nous seuls pouvons comprendre…

    Je n'utiliserais pas ce vilain mot qui ne nous rassemblent pas ici, mais nous guide à travers nos pensées, sans aucune forme de moutonnerie, notre Maîtresse, notre divine Madame S, avec qui nous partageons tous, elle ne vend rien, mais déploie ses ailes sur notre destin, impose la loi de son royaume unique ou chacun trouve sa place.

    Anonyme ou possédés nous respectons les règles de bienséance, solidaires de chaque pensée et de soutien, libre de rester ou de partir, nous ne likons ou ne cliquons pas mais souhaitons les claques qui nous marquent à vie.

    De ce choix si beau de s'abandonner volontairement dans la servitude.

    Sortant de sa caisse à jouets, ces petites choses, ces poupées et marionnettes manipulant leurs secrets de petites salope, elle joue avec nous sans discrétion telle une enfante capricieuse et sadique "parce qu’elles sont à moi "… 

    Chriss SV 68 VD 175 20

    Quand je l’ai ensorcelé et qu’il, qu’elle est à moi…

    Tu as raison, oui ce monde est impitoyable et devient fou. Moi j’avance à mon rythme et selon mes possibilités.

    Et je n’offre rien, à part la multitude d’efforts et de bienveillance que j’ai envers mon cheptel.

    Cette constance et cet investissement, qui me demande du temps, de l’énergie et je n’en ai pas toujours pourtant.

    Mais cet univers est le mien et je tiens à garder ces liens, forts de sens, tissés avec le temps et qui font comme tu le dis si bien que je suis cette enfante capricieuse et sadique et que ces soumis et soumises sont à MOI…

    Parce que je les ai ensorcelés ou qu’ils ont bien voulu se plier face à moi…

    Vous n’êtes obligés à rien, oui certes, à part respecter notre histoire, à partir de l’instant ou vous acceptez d’être mien(ne)…

    Je n’oblige à rien, je ne force à rien, juste d’être sincère et d’avoir envie de m’accompagner dans mon monde.

    Madame. S

    Quand je l’ai ensorcelé et qu’il, qu’elle est à moi…


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  • Je suis son « souffre chaleur »… Cris et « suffoquement »…

     

    N'y a-t-il pas à cet instant quelques chose de surréaliste lié à cette chaleur à venir, de cette journée de dimanche qui s'annonce très chaude, un érotisme pèse sur nos consciences de délivrer le message les plus pervers, comme le soleil de ces irruptions, il chamboule nos désirs et fantasmes les plus inavouables ce matin à cette heure-ci 7 heures 45 mon esprit si proche de vous, je ne serais que la petite chose désirée d'une futur journée de canicule ou rien ne lui serait pardonné, ou peut être encore plus incrédule et sans pitié Madame S abandonnerait la plus grande de ces pitié d'une maltraitance à sa suffocation, l'après-midi s'annonce sous de meilleurs hospices pour la petite chose en mal de maintenance ou sera contraint de vivre l'enfer de l'enfer.

    Elle peut par cette canicule se montrer si impitoyable, d’une cruauté sans limite à son devoir de Maîtresse suprême, ce matin je suis en nage de bonheur de la servir de défoulement à son excès de chaleur, fautif de cette moiteur, je paye le prix de ma dévotion, son humeur barométrique est affichée, je ne vis que dans l'ombre de sa grandeur, le pare-soleil de ma nudité, l'éclipse fascinante de son regard sur ma nuque baissée, mon soleil divin de mes nuits glaciale.

    Je souffre pour elle de la chaleur, je bois sa sueur salée, son jus de peau, ces aisselles lisses coulent toujours sur ma langue servile, esclave de son corps et de sa peau, nu en plein soleil sans ombrage, ma gamelle d'eau se vide je bois mon bonheur de son oasis cruelle, ma peau rougissante de son soleil, elle imprime mon corps de traces cinglantes, étouffe mon égo dans la chaleur de la souffrance, la niche où je vis et la fournaise qu'elle me donne ; je suis son souffre chaleur.

    La piété c'est pour les faibles et vivons dans l'instant présent d'une fable que l'on voudrait si réaliste à cet instant d'abandonner sa liberté à Madame S.

    Elle est le soleil de toutes nos saisons…

     

    Chriss SV 68 VD 175 20

     

    Je suis son « souffre chaleur »… Cris et « suffoquement »…

    La chaleur te monte à la tête et au cerveau mon Chriss sourires !

    Mais moi j’aime quand tu rêves ainsi, « profondément » en toi et que tu exprimes librement tes fantasmes et autres rêves à mes côtés ;

    Il y a ce je ne sais quoi de très troublant, tu es entier, tu te livres et tu oses dire ce qui se passerait alors…

    La chaleur de l’été, l’instant et l’émotion ; la chaleur et la moiteur des corps. Les situations et le sujet maltraité par sa Maîtresse, mais qui est si heureux finalement d’appartenir à Celle qui est la Maîtresse.

    J’aime ces évocations érotiques, ma sueur salée, mon jus de peau. Mes aisselles. C’est si joliment évoqué.

    Et toi, ta gamelle de chien servile vide.

    Tu dois la servir, peu importe la température ! Tu es soumis et tu dois veiller à son bien-être, celui de ta Divine.

    Nous allons dans ton récit dans des extrêmes et j’aime toucher ce qui est « inatteignable » en général, tester tes limites et voir jusqu’où tu irais.

    Oui, cette vision et ton rêve me trouble indéniablement et me faire chavirer dans mes rêves l’espace d’un instant…

    Madame. S

     


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  •             Etapes de son engagement par l’écoute…

    « Tu es mon chien, obéissant et heureux de ta condition à mes pieds… »

     

    J'aime cette phrase elle résume bien l'idée d'être un bon soumis heureux, ne demandant rien, il a fait le choix d'être une propriété de suivre le chemin de la soumission.

    D'être conditionné, éduqué aux exigences de sa propriétaire, dès le début il a fallu surmonter les obstacles, passer outres ses propres envies pour accepter d'être un bon soumis, il ne suffit pas de vouloir être soumis mais bien de le devenir encore plus à chaque moment, d’avaler sa fierté et son égaux de s'engager durablement dans cette relation si simple mais à la fois très compliquée.

    Passant les premières étapes de son engagement par l'écoute et des réponses humble à sa condition de soumis, d'une totale et servile obéissance ,je suis sa petite chose comme elle aime à me le dire.

    Chriss SV 68 VD 175 20

     

     Etapes de son engagement par l’écoute…

    Chriss,

    Tu soulignes très justement un point très important dans la soumission.

    Pour accepter d’être un bon soumis, il ne SUFFIT PAS DE VOULOIR ËTRE SOUMIS mais bien de le devenir encore plus à chaque moment…

    Je pense que tout véritable soumis de cœur saura lire tes mots et surtout les « entendre ». Comprendre ce qui à un sens dans la relation et ce qui compte pour un homme capable de se prosterner devant une femme.

    La relation D/s demande un investissement fort, qui n’est pas acquis par tout le monde. Car il est complexe d’être soumis à chaque instant. Et pourtant, tout au fond de nous, nous le savons, nous sommes soit soumis soit dominants et pour moi chaque individu à sa place véritable, si la sincérité est de mise et que l’on trouve les bonnes personnes.
    Mais là c’est une autre histoire…

    Mais merci d’avoir soulevé ici un point important. Être un bon soumis n’est pas si facile…
    Madame. S

     Etapes de son engagement par l’écoute…


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  • Je me sens si proche de Vous…

    Madame, j'ai toujours ressenti cette passion chez Vous, votre empathie et votre générosité, c'est bien pour ça que vous en êtes là, d'avoir réussi beaucoup de choses dans votre Vie depuis plusieurs mois.

    Je le sais votre sourire ma toujours sublimé, vos mots d'encouragements et votre soutien m’ont toujours rendu si fort et si heureux et vos mots si forts qui me remplissent aussi d'émotion et de plaisir de lire vos intimes convictions.

    Alors comment ne pas tomber à genoux devant vous, devant la perfection que j'aime si fortement au fond de moi, moi qui suis si des fois si inexcusable de mes erreurs, si imparfait, si stupide, mais pourtant je sais au fond de moi que nous partageons les mêmes sentiments et les mêmes frustrations, je me sens si proche de Vous et à la fois si loin, mais Vous restez à jamais et ce pour toujours, dans mon cœur.

    Votre Chriss.

     


     

    Mon Chriss,

    Des mots simples, d’un véritable soumis reconnaissant et heureux de m’avoir dans sa vie…

    Madame. S

     


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  • Dans une relation consensuelle…

    Dans une relation consensuelle D/s FLR les partenaires se font confiance et acceptent dès le début de prendre soins l'un de l'autre, avec l'expérience une maîtresse impose son autorité et ses désirs, le soumis s'engage à obéir et à suivre sa propriétaire sur le chemin qui l'amènera à trouver le bonheur et l'alchimie qui les unis.

    Dans cette relation très forte un couple unis depuis 10 ans a fait le choix de partager tous les côtés de leurs réalité quotidienne, elle décidé de marquer à jamais son amour pour lui et la reconnaissance de sa servitude, après une épilation définitive, elle a donc fait tatouer sa propriété de son numéro d'esclave.

    Elle aime voir sa propriété et savoir à chaque instant à qui il appartient, elle aime aussi exhiber sa propriété et le montrer aux autres pour que tout le monde sache aussi qu'il est fier de son numéro et qu'à l'avenir son appartenance et officiellement déclarée et absolue.

    Voilà un petit dossier qui j'espère vous inspirera, ce couple habite au Etats Unis, je discute souvent avec lui, c'est une fabuleuse relation qu'ils ont ensemble, il a beaucoup de plaisir dans sa soumission 24/7 il a beaucoup de liberté de s'exprimer sur sa relation, elle aussi m’a souvent laissé de joli messages, son engagement est complet et ils sont un couple très heureux…

    Votre Chriss.

     


     

    Merci pour ce partage, je publierais ces lignes sur mon blog.

    Il y a effectivement des couples, heureux, sachant chacun où se trouve sa place et qui vivent ainsi au quotidien.

    Je l'ai déjà dit, mais pour moi cela serait inenvisageable dans ma vie personnelle.

    Mais je respecte fortement ces couples, rares il faut le souligner, qui arrivent à allier vie quotidienne et relation BDSM.

    Je reste admirative. Mais je me pose beaucoup de questions.

    Mais ce tatouage est si beau et comme un engagement à vie, auquel on ne peut plus reculer. C’est si fort…

    Je souhaite simplement qu'ils arrivent à vivre en harmonie leur histoire et certains partages ont une force, certaines relations, fortes de sens.

    Merci à toi mon Chriss.

    Madame. S

    Dans une relation consensuelle…


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  • La chaise de bondage…

    La chaise de bondage…

    La chaise de bondage…

    J'avais à l'esprit depuis longtemps de fabriquer une chaise de bondage mais il me restait à trouver une base solide, j'ai donc trouvé dans le rural voisin à l'abandon cette vieille presse à fagot très solide, après quelques coup de meule et quelques soudure la base elle fut prête à peintre.

    Quelques plateau laqué de récupération en bon état.

    Dès cet instant tous s'est mis en place dans mon esprit, le plan de montage allait de soi, percé, coupé et poncer ces courbes, aussi bien son assise que son dossier ornée d'un filet rouge et de ces boucles fatal la voilà sous son charmes inquisitrice ne demandant qu'un hôte à emprisonner.

    Chriss SV 68 VD 175 20

    La chaise de bondage…

    La chaise de bondage…

    La chaise de bondage…

    La chaise de bondage…

    Les objets, faits mains, pensés par un soumis et surtout quand ils sont utilisés à des fins Bdsm me fascinent littéralement. Car on à pris le temps de le façonner selon, de trouver l'objet, de le remanier, le mettre en beauté et ensuite le glorifier !

    Oui rien que de l'imaginer et se dire que cet objet peut devenir source de moments Bdsm entre deux personnes. Qu'il puisse être un objet auquel le soumis va être attaché et supplicié. Quel délice, qui me mets l'eau à la bouche.

    Et là en l'occurrence, je trouve qu'il est magnifique ! Car non seulement tu as trouvé l'objet à modifier, mais tu as su lui donner une âme et le rendre superbe. Bravo donc pour ton imagination, pour l'avoir modifié et lui avoir trouvé un usage personnel. Qui ne saura ravir que les personnes qui pourront s'en servir et qui est d'autant unique. Oui un grand bravo pour cet objet qui a beaucoup de valeur à mes yeux, inestimable...
    Bon amusement !

    Madame. S

    La chaise de bondage…

    La chaise de bondage…

    La chaise de bondage…

     


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  • La semaine des adorateurs par Chriss…  Adoration…

    Un collier ne suffit pas à s'impliquer dans une servitude complète, devenu propriétaire de son esclave c’est un symbole de mon appartenance, la première touche de ma dévotion.

    Dès cet Instant, dès la dépose de cette médaille je ne suis plus qu'à elle, dévoué et vaincu à son obéissance, à sa volonté très forte de faire de moi son esclave.

    Symbole de sa puissance sur son esclave immatriculé à son nom je suis à ma place, appartenance profonde à porter fièrement mon CV à l'adoration de Madame S…

     

    Chriss SV 68 VD 175 20

    La semaine des adorateurs par Chriss…  Adoration…


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  •  

    Voici donc un moment simple,

    Vous rappelle à Elle…

    une initiative qui a tout de normal mais remplie de symbole, de plaisir et d'émotions à son évocation.

    Oui il est important de se montrer déférents, humbles et démonstratifs, obéissants à cette règle que la pensée passe par l'exposition de son pénis bagué.

    Qu'une journée est bien trop courte à porter ce petit objet entre ses cuisses et qui a toute son importance, chaque mouvement vous le rappelle.

    Vous rappelle à Elle, que cette appartenance est importante pour vous par cette bague, gardant libre mais coupable votre défaut d'une érection aléatoire.

    Oui je la porte souvent elle m'aide à me souvenir où est ma place et ce que je suis un petit objet pour petite chose…

     

    Chriss SV 68 VD 175 20  

    Vous rappelle à Elle…


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  • J’ai eu très peur contre ces flammes…

    Madame.S m’a fait une belle surprise. Elle m’a envoyé une courte vidéo d’Elle, juste quelques secondes d’intense bonheur… Je me noie dans ces images…

    J'ouvre cette fenêtre vidéo, elle m'apparaît sans bruit.

    Ses cheveux d'ange bougent dans une brise légère, captivé dès les premiers instants elle me fixe de son si beau regard, elle me devine devant mon écran, me subjugue encore une fois de plus, je suis comme son miroir, je l'admire, la dévisage, la vénère à chaque fois, majesté silencieuse, je l'aime…

    Oui nous partageons tant de choses, une si belle, si intime, si vrai que la réalité m’a rattrapé au moment où j'aurais pu perdre la vie, oui j'y ai pensé, j'ai passé tout proche du drame et je m'en excuse encore auprès de vous de vous avoir inquiété de la sorte. J'ai eu très peur et je me suis battu contre ces flammes, je me suis bien rendu compte de la gravité en ces instants sans jamais paniquer. De cette force et cet instinct de survie, bien plus grande que j'imaginais, maintenant c'est déjà du passé je vais de l'avant pour être là encore plus proche de vous, je pourrais dire maintenant que j'ai brûlé d'amour pour vous...

    Merci de votre soutien et de me sentir si proche chaque jours qui passent.

    Votre Chriss.

     

    J’ai eu très peur contre ces flammes…

    Bonjour mon Chriss,

    C'est très beau et très fort que ces mots que tu m'écris.

    Il y a quelques semaines, tu m’as fait très peur. En m’annonçant cet accident, survenu à ton travail ; si inattendu…

    Oui, tu dois réaliser, sans doute, combien cela aurait pu être bien plus grave. Et que cela aurait pu être, fatal ; il faut se l'avouer effectivement.
    C'est terrible de se dire cela mais oui tu aurais pu... Je n'ose et ne préfère pas y penser, vraiment cela me fait mal de l'imaginer. Le destin nous rappelle à l’ordre quelquefois, pour nous dire que nous aurions pu tout perdre, en l’espace d’un instant. C’est terrifiant.

    Tu dois être capable de te dire que c'est du passé oui, qu'il faut effectivement aller de l'avant et te battre pour continuer. Nous devons tous nous battre mais toi avec une épreuve forte; Et tu réalises combien la vie est précieuse et que cela nous rapproche, encore un peu plus de notre si belle relation.

    J'aime savoir que mes photos et mes vidés t'envoute chaque jour un peu plus et que cela te fait chavirer...


    Prends soin de toi, car tu es dans mon cœur.

    MS

    J’ai eu très peur contre ces flammes…


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  •                     

     « Elle me nourrit de possession »…

     

    « Elle me nourrit de possession ».

    Que je trouve cette phrase belle et poétique. J’aime ta servitude et la force que tu mets dans tes mots et ta condition…

    Chriss m’a écrit des mots très forts et je vous partage cet échange intense, dont je mesure les écrits sincères et qui viennent du fond du cœur.
    Chriss m’a fait comme un cadeau écrit et à l’approche des fêtes je trouvais qu’il était agréable de partager avec vous ces échanges qui font de notre relation une bien belle histoire…

    Madame.S

     

     « Elle me nourrit de possession »…

    Le vrai bonheur n'est pas de se savoir être une si petite chose mais de le reconnaître, que sa grandeur me surplombe, me réduit à cette micro et infime démonstration que seule ma condition d'esclave et une certitude. 

     Esclavage consensuel :

     

    Obéissance totale 

    Port d'entrave permanent 

    Nez percé

    Seins percé 

    Prépuce et testicule percé 

    Marquage

    Stage de dressage imposé + évaluation 

    Conditionnement 

    Exécutions de positions imposées

    Nudité imposée 

    Alimentation imposée 

    État physique 

    Régression 

    Déshumanisation et infériorité

     

    Être un esclave et un état imposé par sa propre conscience et augmenté par son appartenance, cela définit ma liberté d'accepter ou pas une perte de liberté par mon libre arbitre et mon désir de m'offrir.

    J'ai découvert en moi que de se donner était la plus belle des choses.

     Chriss SV 68 VD 175 20

     

     « Elle me nourrit de possession »…

    Voilà des mots qui pourraient être comparés à une véritable « déclaration de soumission ».

    Ce que tu écris encore une fois à une réelle résonance en moi. C’est important les mots, ils sont forts de sens et expriment une façon de penser, d’être, ou d’espérer…

    Je suis très touchée par cette abnégation, cette capacité que tu as à la décrire, à t’abandonner à une Maîtresse.
    Je trouve cela extrêmement beau et tu peux être fier d’être le soumis que tu es profondément en toi.
    Et le fait d’assumer tout cela auprès de tes proches est pour moi un réel gage de sérieux. Quel courage tu as eu, tout dire…

    Bravo. Vraiment, tu mérites mes encouragements à continuer dans cette voie, celle qui te convient si bien et te rends soumis à mes yeux, d’une façon bien particulière.

    Madame.S

     

     « Elle me nourrit de possession »…

    Chère Madame S,

     Il m'a fallu du temps pour comprendre ce que je venais de lire et l'émotion est énorme, mes larmes coulent de reconnaissance, de pouvoir par mes mots sincères confirmer que oui cela est bien :

    《 une déclaration de ma soumission ».

     Elle représente toute ma volonté et ma motivation de vous plaire et de m'abandonner, d'exprimer ma gratitude  à cette place que vous m'avez donné, de me comprendre et me donner confiance, de ne jamais vous mentir et d'exprimer toujours qui je suis.

     De suivre le chemin de l'esclavage, de continuer une formation soutenue et intensive, de respecter les règles, de ne jamais oublier ma place, celle qui m’est offerte.

     De m'approcher le plus de la perfection.

     Vous êtes l'écho de mes cris, la plume de mes écrits, la reconnaissance de mes actes, l'éducation de mes erreurs.

     Merci à  Madame S, recevez toute ma  gratitude et mes respects.

     Esclave Chriss.

     

     « Elle me nourrit de possession »…

     

    Je n’ai pas de mots à ajouter, les larmes aux yeux parlent pour moi.
    Merci, Mon Chriss…
    Madame. S

     


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  •     Une journée à ses côtés pour la soulager…

         Bonjour Madame S,

     Vous avez écrit : « Comme j'aimerais te sentir là, devant moi, à genoux, allongé, nu et tu pourrais alors m'embrasser très fort, les pieds... »

    Madame. S


     

     Je ne pouvais passer à côté de cette folle envie de nous libérer de ces mots  qui nous chavire, ne pas laisser de côté ce qui nous lie, de promouvoir ma servitude d'une journée si belle à vous rendre heureuse ou tout est possible.

    Passez la plus belle des journées.

     Votre petit soumis, Chriss.

     

     Chère Maîtresse je me sens si impuissant à mon devoir de soumis de ne pas être prés de vous, à vous servir mais nous savons tous les deux que nous faisons en sorte d'être présents par nos écris, nos pensées si fortes, d'approfondir votre domination sur moi par ces petits mots si importants dans notre relation. Oui quelquefois nous avons besoin de nous sentir encore plus libre.

    J'aime ces moments d'imagination débordante de notre style de vie où nous lâchons nos désirs d'être ensemble.

    La commande est faite pour vendredi, vous avez bien assez de choses à faire dans vos études sans devoir à penser au reste.

    Votre convocation à me présenter à 6 h pour vous aider dans toutes les tâches superflues de votre domicile.

    A 6h heures pile, vous n'auriez qu'à ouvrir la porte et me trouver là à attendre votre venue.

    Je ne porte qu'une simple chemise, un petit short et des espadrilles. Je suis propre ? rasé et épilé et en cage et ma chevelure de 4 millimètres, la porte s'ouvre et quelques pas me suffisent pour fermer la porte derrière moi  et me dévêtir immédiatement, en quelques secondes je suis nu, mes vêtements déposés et bien rangés.

    Aplatissant mon corps à vos pieds magnifique je déposerais mon offrande de baisers.

    Le collier déposé autour de mon cou et me restreint à mes poignets et chevilles sont le signe du départ à ma servitude de la journée, le travail m’attend.

    La liste exhaustive de mes tâches sont à faire dans la plus grande  rigueur, vous ne m'épargnez rien à cet instant à mon devoir d'esclave domestique, Maîtresse s’en retourne à ses études tandis que sa boniche nettoie tout du sol au plafond.

    Toutes les heures, c'est dix minutes de pause, la clochette appel l'esclave à se présenter à genoux aux pieds de sa divine maîtresse. Quelques ordres supplémentaires lui sont ainsi offert, reposer aux pieds sous les bureaux de sa supérieure, langue sortie elle y dépose ses plantes de pieds pour un nettoyage complet. La pause terminée c'est le retour à ses travaux.

    Deux heures passent et la clochette retentit, me précipitant à ses pieds toujours à gauche " café esclave ". 

    "Oui Maitresse" très vite de retour un plateau en main, je reste là le temps qu'il faut, sa main humide sortant de son entre cuisse je lèche, je nettoie, j'assèche cette main vénérée.

    L'heure suivante à passer si vite que clochette me demande :

    "Pipi".

    Sous le bureau bouche ouverte je reçois l'effet du café matinal, rien ne se perd, gourmandise, offrande suprême de sa gentillesse de m'utiliser a son besoin naturel ; Je lape comme un chien, n'oubliant pas son antre humide et quelques gouttes de son nectar de pissoir.

    Midi sonne, petit repas en cuisine en compagnie de Maîtresse, à genoux bouche ouverte, réceptacle de quelques restes, d'une bouchée près mâchée débordante sur mes lèvres.

    Elle termine son repas d'une caresse sur ma nuque penchée sur moi  pour son dernier filet liqueur de bave.

    Tenu en laisse, elle m'emmène jusqu'à la salle d'eau, accroupis dans la douche elle me dégage pour faire pisser son chien puis me rince à l'eau froide, place un plug vibrant sur mode aléatoire, plus de cage mais de l’excitation.

    Le reste de la journée sera pour l'érection et la frustration, à la moquerie, quolibets et insultes, pénibilité de la douleur de mes seins travaillés à mes fesses meurtries

    Je suis son chien, son objet, sa chose son vers rampant et son esclave nu, de ma langue servile à vous donner votre plaisir.

    Le bureau n'attend pas son élève assidu et l'esclave à ses tâches, les heures passent et la clochette scintille, c’est la dépose du membre sur le coin du bureau, le coup de règle en bois me rappelle à ma condition et de retourner là ou tous a commencé…

     

        Une journée à ses côtés pour la soulager…

    Mon cher petit Chriss,

    On s’y croirait. J’aime bien l’ambiance de ton récit car je m’y vois fort bien !

    Voilà un bien joli récit d’une journée que j’imagine à tes côtés ; moi occupée à mes cours et envieuse d’être libre dans ma tête car mon gentil soumis est là pour me soulager dans mon quotidien et rendre ma vie plus facile.

    Je t’imagine bien là, dévoué, à attendre le son de la clochette te rappeler à tes devoirs ; attendre qu’elle sonne pour répondre tout de suite à mes envies et besoins.

    Tu es là, pour Moi, pour me soutenir et m’aider dans mon quotidien.
    C’est bon de l’imaginer et de le rêver…

     Madame. S

        Une journée à ses côtés pour la soulager…


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