• Jeudi 4 janvier 2018

    Jeudi 4 janvier 2018

     

    Fin d’abstinence…

     

    Ce n’était pas calculé, mais cela fait un mois jour pour jour que je suis abstinent.

    Je suis en déplacement en Charente maritime, et comme à mon habitude, j’ai posté une annonce. Dans la journée, j’ai été contacté par un jeune homme, et nous sommes convenus de nous retrouver dans ma chambre d’hôtel vers 23 h.

    Il est arrivé un peu plus tôt que prévu. Il n’est plutôt pas mal, grand et assez mince. Je l’ai reçu à poil, tout propre de partout, prêt à lui offrir du plaisir.

    Il s’est rapidement déshabillé et s’est allongé sur le lit. J’ai caressé son sexe et il a durcit rapidement. Je lui ai alors pris son sexe, pas très grand ni très gros, dans la bouche, et je lui ai prodigué une pipe dont j’ai le secret. A quatre pattes sur le lit, je sentais ses mains caresser mon corps, mes fesses, et je lui ai fait comprendre par mes soupirs que j’attendais des caresses plus appuyées sur mon petit trou. J’entendais ces soupirs d’aise et nous avons passé un bon moment ainsi. Il a essayé de me faire durcir, notamment avec sa bouche, mais je n’avais pas vraiment envie de jouir avec lui.

    Par contre, j’avais besoin de sentir sa queue dans mon cul. J’ai été cherché une capote sur la table de chevet, un peu de gel pour faciliter l’entrée, et je me suis mis à quatre pattes sur le lit. Il s’est positionné derrière moi et a commencé à me prendre en douceur, un peu trop en douceur à mon gout. Il a poussé lentement et au bout de quelques minutes, il était bien au fond de mon cul.

    A partir de là, il m’a baisé dans toutes les positions, en levrette, allongé sur le ventre, à la cuillère, en missionnaire. Il m’a baisé en douceur, il m’a envoyé des coups de boutoirs, il m’a limé avec force. Il m’a baisé pendant près d’une heure. J’ai aimé être son jouet, sa femelle, j’ai aimé quand il m’a caressé, j’ai aimé quand il m’a bousculé, mais je n’avais toujours pas envie de jouir.

    A un moment, il m’a limé avec force tout en me masturbant, et je n’ai pas réussi à me retenir.

    Sans véritablement bander, j’ai lâché quelques jets de sperme sur mon ventre, mais sans vraiment prendre de plaisir, une jouissance mécanique et un peu honteuse.

    Lui n’avait toujours pas joui, et il a continué à me limer. Mais je dois avouer que je n’avais plus vraiment envie de baiser. Je l’ai laissé jouer avec moi quelques minutes, mais il a compris que c’était bientôt la fin. Il a retiré sa capote et s’est allongé près de moi. De peur qu’il ne s’endorme dans mon lit, je me suis levé pour m’essuyer, et il s’est également levé pour se rhabiller. J’étais confus quand j’ai compris qu’il n’avait pas réussi à jouir, mais il avait l’air d’avoir pris du bon temps. Il m’a d’ailleurs indiqué qu’il était prêt à recommencer si j’en avais envie.

    Je ne suis plus abstinent. Je suis un peu triste de ne plus l’être.

    Je n’ai pas pris de plaisir pour cette première fois, mais je m’en doutais, tiraillé entre l’envie de jouir et la peur du vide.

    Anton.

    « La médaille d’Anton.Un peu de poésie ce matin. »

  • Commentaires

    1
    Chriss
    Vendredi 12 Janvier 2018 à 07:43

    Oui je comprend j'ai eu aussi beaucoup de peine à y prendre plaisir , c'est une deuxieme frustration focalisé sur le désir de ne pas décevoir notre Divine, une culpabilité à attendre peut être autre chose ,un mérite en soi.

    Chriss S V 68 VD 175 20

      • Samedi 13 Janvier 2018 à 09:33

        Je n’ose imaginer le vide que laisse la fin de l’abstinence pour un soumis envieux de faire toujours mieux….

    2
    Chriss
    Samedi 13 Janvier 2018 à 16:07

    Il y a une grande honte même après plusieurs semaines l'autorisation ne donne pas tous les droits et que j'ai peut être oublié mes vraie priorité d'être un soumis reconnaissant envers ma Maitresse

    Merci Madame S de m'avoir aidé à supporté cet épreuve 

    Chriss S V 68 VD 175 20

      • Samedi 13 Janvier 2018 à 16:22

        Il est vrai qu’il ne faut JAMAIS oublier que l’on doit reconnaissance envers sa Maîtresse et qu’elle mérite des attentions ; et quelquefois on est moins attentif à cause d’un quotidien envahissant…

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