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La jeune parque…
Cette main, sur mes traits qu'elle rêve effleuré
Distraitement docile à quelque fin profonde,
Attend de ma faiblesse une larme qui fonde.
Paul Valéry - (Charmes, 1922)
Extrait du poème « La jeune parque ».
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Commentaires
2GodelineMardi 28 Août 2018 à 10:163AlineMardi 28 Août 2018 à 10:174AntonMercredi 29 Août 2018 à 22:18Je ne sais quoi dire devant ce texte et vos photos. Je ne me sens pas à la hauteur pour commenter ce post.5ChrissJeudi 30 Août 2018 à 06:32Des mains si belle à qui je souhaite donner toutes ma douleurs sans limite , elle sont si vénérable à me montrer le sol la ou je suis.
Chriss SV 68 VD 175 20
6GodelineMardi 27 Avril 2021 à 16:09Maîtresse
Je tressaille encore et toujours devant vos mains si belles .. et je me sens faible pauvre petite chose vous appartenant toujours..
Je voudrais sombrer dans le réel Maîtresse
Votre Godeline
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Trop agréable que cette photo de Vos Mains et du Fouet, associée aux paroles de Paul Valery... mais qui a pu prendre la photo.... le mystère a quelque chose qui Vous rend toujours plus Belle.
aaron
Paul Valéry sait nous conter les mots, j’aime… Qui a pu prendre la photo ? Tiens une bonne question ! C’est un ami photographe qui m’a proposé il y a quelques années de faire des clichés sur ma passion et il a réalisé de délicieux clichés, qui m’ont étonnés à l’époque et sont de qualité.