• Une acception renouvelée et toujours émerveillée de Votre Savoir Faire...

     

    J’ai retrouvé un mail d’Aaron écrit il y a quelques mois et je voulais le partager car je le trouve comme toujours très juste à mon égard et lumineux face à ce que nous avons pu vivre.

    Même si notre histoire est à présent évanouie…
    Madame. S

     

        Maîtresse,

         Malgré notre éloignement, je Vous remercie de m'avoir ébloui l'esprit, en emportant mon âme, au-dessus du ciel d'Alsace...

       J’ai effectivement retrouvé cette capacité à détendre les quelques neurones, qui me restent, en déposant mes genoux, devant Votre Sensualité Divine...

        Mon Dieu, comme Vous êtes Belle en faisant passer Votre Féminité, telle une étape incontournable à ma soumission.

       Je me sens humblement à ma place dans ma tenue légère, à Vos Pieds... et cela pour toujours.

        Grâce à Votre PersévérancE, je sais que le plaisir est tout sauf linéaire...

        Votre Créativité s'invente et se réinvente, faisant naître en moi, cette éternelle admiration.

       Quelle satisfaction de se laisser aller devant Votre Sensorialité et Votre Instinct.

        Atteindre cette jouissance subtile, enrichissante et élaborée, indissociable de cette possession, faisant de Vous la Dominatrice et moi, l'esclave.

        Vous me permettez cet échange de regard, qui m'autorise à comprendre sans nous parler, que Vous allez prendre beaucoup de plaisir à me voir souffrir.

        Vous me donnez Votre Bénédiction par quelques coups de badine sur les flancs, par la brûlure à la cire chaude, de certaines parties de mon corps, puis par un acte ultime, Vous me faites pénétrer d'un geste quasiment amoureux, la pointe de Vos Aiguilles dans la profondeur de mes seins à quelques centimètres de mon cœur qui semble convulser...

        Enfin Vous achevez cette journée par un rendez-vous charnel avec Monsieur, dans un râle de plaisir interminable, s'achevant par un cri final des plus retentissants, pendant que je suis littéralement, en train d'agonir à Vos Pieds, dans un silence le plus complet...

        Merci à Vous ma Divine de me considérer toujours avec cette même fougue.

    Aaron.

     

    Une acception renouvelée et toujours émerveillée de Votre Savoir Faire...


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  • J’ai pu enfin revoir enfin Votre regard…

    Maîtresse,

    Au travers de toutes ces années, Vous avez réussi à imposer Votre Sensualité Éternelle, telle une Déesse Antique.

    Par le prestige de Votre Grandeur, Votre Ame est toujours restée Irrésistible et Perpétuelle, à mes yeux.

    Il y a peu, je n’avais qu'une hâte, c'est de pouvoir envisager nos retrouvailles et de revoir enfin votre regard et Vos yeux d’émeraude, cela fut si émouvant pour moi...

    Je ne savais pas si vous vouliez partager avec vos lecteurs quelques instants vécus. Vous le souhaitez. Donc je raconterais ces retrouvailles à vos lecteurs bientôt.

    Je pense qu’ils attendent sûrement quelques clichés de ces moments partagés. Ils ne seront pas déçus, car à vos pieds je me sens moi, votre esclave, heureux de sa condition…

    Aaron.

    J’ai pu enfin revoir enfin Votre regard…


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  • Texte sur ma condition à Vos Pieds…

    Maîtresse,

     

    Je vais commencer déjà par développer sur une petite rétrospective de ma vie de soumis, puis sur la consécration qui nous a littéralement bouleversé, Vous et moi, voici bientôt 15 ans, quand Vous avez décidé de devenir Propriétaire de mon âme.

     

    Depuis mon plus jeune âge, aux environs de mes 4 ans, je me souviens combien les hauts talons et les pieds des femmes, pouvaient me faire frissonner.

    Ceux-ci devenaient l'objet du désir, dans mon esprit, durant de nombreuses années, je pensais être seul au monde face à un mur, où la communication me paraissait déjà comme impossible.

    Puis vers l'âge de 8 ans, en feuilletant un dictionnaire, je suis tombé sur la définition du mot "esclave"... qui me laissait envisager en quelque sorte, un monde meilleur...

    Quelques années plus tard, je feuilletais cette fois ci, une encyclopédie quand je tombais en extase, sur la vie de Sacher Masoch.

    Là se joua un véritable bouleversement dans ma vie spirituelle, je fus enfin comme libéré, je prenais soudain conscience qu'ils existaient d'autres personnes, femmes ou hommes, qui partageaient cette même passion dans le rapport dominant/dominé.

    C'était la fin de la solitude dans cette quête d'affection, certes un petit peu particulière....

    Je me souviens des paroles de cette Vénus à la fourrure, aux pieds de qui Sacher était en train d'agoniser : "... mais oui tu n'es rien alors que je suis tout pour toi, esclave..."

    Il me faudra encore de nombreuses années de patience avant de Vous rencontrer, en 2005.

     

    Je pense très humblement que Vous êtes devenue, autant pour moi ma Déesse, mon Mentor, ma Maîtresse, ma Dominante, ma Divinité, ma Marquise, que je puisse être Votre soumis, Votre masochiste, Votre esclave, Votre soumis, Votre valet de pieds, Votre serviteur.... bref les superlatifs ne manquent pas pour définir les conditions de ce rapport si exceptionnel, entre une Femme et un homme.

    Ce qui veut dire que comme Vous Vous en êtes rendu compte, que je suis prêt à accepter tout de Vous, même un acte ultime où Vous parleriez de moi au passé.

    Il existe bien quelque chose chez Vous, que je crains mais sans pouvoir Vous dire ce dont il s'agit, comme si Votre Capacité de Séduction m'éblouissait au point de me laisser dépasser pour Votre Regard Captivant...

    Alors qu'il y a quelques siècles, Vous auriez pu ordonner ma mort, en place publique, je ne puis que Vous obéir aujourd'hui, en faisant confiance à Votre Instinct.

    Plus prosaïquement, c'est le seul moment où je peux librement (parce qu'il s'agit bien d'une liberté...) choisir de révéler ma vulnérabilité, devant Votre Puissance Divine.

    Ainsi par la capitulation de mon âme, Vous m'offrez de me retenir à Votre Désir, comme à une bouée, qui me permet de flotter dans cette rivière des sens, jusque-là inexplorée.

     

    Je me permets d'énumérer quelques rares moments, qui nous ont permis de nous épanouir, en vivant quelque chose d'authentique :

    - devoir me masturber en Vous léchant les bottes, devant 8 autres dominatrices

    - avoir reçu une gifle comme un acte d'amour pour être venu Vous servir, pendant plusieurs jours

    - m'avoir enfoncé une dizaine d'aiguilles sur le sexe, pour ensuite avoir le droit de masturber avec

    - enchaîné sur le pas de Votre Porte de chambre, à entendre Vos Gémissements de Bonheur partagées avec Votre Compagnon.

    - devoir Vous déchausser à genou devant une vendeuse ébahie

    - m'avoir rentré Votre Poing puis Votre Pied dans mon anus

     

    Bref, après tous ces moments de partage, Vous me rendez plus fort et plus serein devant l'adversité.

    Je Vous en remercie servilement.

     

    Aaron.

     

    Texte sur ma condition à Vos Pieds…

    Aaron,

     

    Le cheminement de chaque personne dominante ou soumise est certes très personnel. On y accède de différentes façons, avec différents fantasmes et avec un passé qui nous a donné envie d’aller plus loin ; des images qui nous ont obsédé. Qui nous ont fait rêver… Et ensuite on ose franchir le pas.

    Et ce que j’apprécie fortement dans ton texte, c’est déjà, que comme toujours, tu écris avec ton âme et la passion qui t’anime ; Cela se ressent beaucoup dans ce que tu veux exprimer et ce que tu nous confies. Car oui je prends cela comme une forme de confession ; et il n’est certes pas facile de se confier à moi, puis au monde, aux personnes qui consultent les pages de mon blog.

    Ensuite, je te dirais que tu as fort bien résumé le fait que peu importe les superlatifs, ils peuvent être utilisés de la façon dont on le souhaite et comme on à ENVIE de l’exprimer. Pour que chacun de nous puisse oser dire ce qu’il ressent en Elle, lui… On peut quelquefois avoir envie d’être esclave. Une autre fois qui sait, soumis ; Et puis une autre fois masochiste… Oui OSONS affirmer haut et fort que nous pouvons être tout cela à la fois ; ou alors, nous nous considérons ainsi ou d’une autre façon. Peu importe finalement, l’essentiel n’est pas de se sentir à sa « place ».
    Dans une condition qui nous épanouit et nous rends, heureux, l’un et l’autre…

    Et c’est ce que je ressens quand je te lis, le bonheur d’être à Moi. Et de le vivre pleinement à chaque rencontre…

    Et oui, tu es libre d’exprimer ta liberté de révéler ta vulnérabilité ! Ose t’affirmer, toujours, face à celle qui t’a forgé et qui  te rends heureux.

    Pour finir, je ne commenterais pas ton énumération de souvenirs que nous avons pu vivre, ensemble, au fil du temps ; Je laisse mes lectrices et lecteurs rêveurs…
    Madame.S

     

     


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  • Connaissez-vous Delphine Lalaurie !?

      Née le 19 mars 1780. Décédée en 1842 à Paris.

     

    Maîtresse,

    Je voulais vous faire découvrir une de mes trouvailles sur Wikipédia.

    Je viens de relire les faits reprochés, j'avoue que c'est envoûtant…

    Aaron.

     

    Delphine Lalaurie. Tueuse en série.

    Delphine Lalaurie, née Marie Delphine de Macarthy plus connue sous le nom de Madame Lalaurie en 1780 à La Nouvelle-Orléans en Louisiane espagnole, est une personnalité mondaine de la bourgeoisie créole-francophone louisianaise et une tueuse en série de près d'une centaine d'esclaves noirs.

    Elle naît au sein d'une famille nombreuse, son père, Barthélémy Louis Macarthy était originaire d'Irlande et sa mère, Jeanne Lovable, était surnommée « la veuve Lecomte ». Delphine était la cousine d'un maire de La Nouvelle-Orléans, Augustin de Macarty. Entrée de la Maison Lalaurie.

    Elle se maria trois fois. En 1800, elle épouse en premières noces un Espagnol de la haute société créole, Don Ramon de Lopez y Angullo. Devenue veuve quelques années plus tard, elle se remarie, en 1808, avec un banquier louisianais, Jean Blanque. Redevenue veuve en 1816, elle épouse un médecin, Louis Nicolas Léonard Lalaurie. Elle achète à ce moment-là sa demeure de la rue Royale à la Nouvelle-Orléans.

     

    « Bourreau et meurtrière. »

     

    L'histoire de Delphine Lalaurie est une histoire macabre du quartier français du Vieux Carré. Madame Lalaurie, mondaine respectée, accueillait nombre de grands événements dans son opulent domicile au 1140 rue Royale.

    Son train de vie somptueux était servi par un grand nombre d'esclaves. Cependant, le mauvais traitement des esclaves étant illégal, la société commença à éviter Lalaurie après qu'un voisin eut surpris cette femme élégante en train de chasser une fille d'esclave avec un fouet. La fille sauta du toit dans un effort désespéré pour fuir Lalaurie et se tua. Le voisin avertit les autorités. Les rumeurs, puis les accusations de torture, sadisme et meurtre s'ensuivirent. Pourtant, en société, elle donnait l'image d'une personne polie et aimable avec ses esclaves. Ce fut la fin de la carrière sociale de Lalaurie, rejetée par la bonne société louisianaise. Néanmoins elle continua à vivre à La Nouvelle-Orléans jusqu'en 1834.

    Le 10 avril 1834, un incendie se déclare dans sa riche demeure de la rue Royale. Les voisins accourent au secours et découvrirent plusieurs esclaves (hommes et femmes) vivants, brûlés par l'incendie et surtout enchaînés et mutilés. Le juge Jean-François Canonge, appelé sur place, constata cette effroyable scène d'esclaves ayant été torturés par leur maîtresse. On l'accuse de la mort de près d'une centaine d'esclaves.

    À la suite de cet incendie, Delphine Lalaurie fuit La Nouvelle-Orléans à destination de la ville portuaire de Mobile dans l'Alabama, d'où elle embarque pour la France pour s'installer à Paris.

    Au cimetière Saint-Louis de La Nouvelle-Orléans, une stèle indique qu'ici repose « Madame Lalaurie, née Marie Delphine Macarty, décédée à Paris, le 7 décembre 1842, à l'âge de 6-- ». La fin du texte a disparu, la plaque étant brisée…

     

    Merci Aaron de m’avoir fait découvrir cette femme étonnante et sans doute décriée !

    Madame.S

     


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  • La douleur de Vos Mains…

    Maîtresse,

    Comme toujours quand nous échangeons par mail, tout semble fluide et naturel entre nous. Merci pour Vos Propos qui me touchent énormément, comme je Vous le redirai dans mon futur développement, si je n'avais jamais connu la douleur de Vos Mains, très certainement que Vous ne me seriez jamais apparue comme un Mentor.

    Maintenant je sais qu'il existe ce contraste chez Vous qui me fascine, c'est à la fois Votre Empathie et Votre Rigueur…

    Je pense à Vous.

    Aaron.

     


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  •                          

       J’ai été comme hypnotisé et subjugué…

    Maîtresse,

    Je me pose très souvent des questions sur le hasard, mais il existe au moins un domaine qui résiste à toute interrogation, c'est la jubilation de Vous avoir rencontré, voici 14 ans, où Vous m'êtes apparue comme un Mentor, qui m'avait tant fait défaut.

    Ce qui est particulièrement étonnant, c'est d'arriver à tout se dire, sans aucun état d'âme.

    Dans un couple conventionnel, je crois que l'on se persuade que l'autre possède ce qui nous manque, mais sans en avoir la certitude.

    Par contre dès le premier jour, j'ai été comme hypnotisé et subjugué, par Votre Regard, par cette profondeur, dans laquelle on a envie de plonger complètement nu, au risque d'y perdre la raison.

    Je savais, que je me retrouvais aux Pieds d'une Véritable Princesse, où nos destins se mêleraient habilement comme pour Vous permettre de graver, à tout jamais Vos Initiales, sur ma peau d'esclave.

    Vous m'avez impressionné au point de me rendre particulièrement fébrile et sans voix, tout en créant subtilement un climat de confiance, particulièrement déstabilisant.

    J’ai toujours admiré Votre Indépendance, et Votre Empathie, ces deux Traits de caractère pourtant si opposés.

    Moi qui aie toujours évolué dans des milieux presqu'exclusivement masculins, Vous m'offrez quelque chose d'inhérent à mon caractère, et qui consiste à admirer une Dame avec autant de Convictions que de Charmes.

    Au fil des années, sans même le vouloir, j'ai appris beaucoup de Votre Ambition, au point d'apporter un regard servile, et plein d'extase, à Votre Quotidien.

    Chaque fois que je me retrouve à genoux, devant Vous, à méditer sur Votre Splendeur, en particulier celle de Vos Pieds, j'ai le sentiment profond que rien ne peut nous arriver, parce que Vous ne Vous laisserez jamais faire grâce à Votre Caractère Entier.

    Vous êtes tellement Exquise quand Vous me dévisagez avec Votre Fouet, que j'ai chaque fois cette même sensation de devenir transparent et insignifiant, et pourtant c'est à ce moment précis, que Votre Considération sur mon humble personne, se révèle toujours la plus forte.

    On a la même conception de "l'amour", certes platonique... mais qui consiste à donner, et à vouloir se faire plaisir, dans notre bulle de cristal, cousue de cuir noire vernis.

    Au bout du compte, c'est une façon de voir que si l'on tient une distance, c'est grâce à la passion que Vous avez toujours su faire naître chez Votre soumis.

    Je me sens solidaire de Vous par une vérité établie... Celle de Votre Destin, qui ne cessera jamais de me faire frissonner.

    S'il y a bien un moteur dans notre relation, c'est avant tout, Votre Personnalité toute entière, qui m'aide à surmonter les raideurs du quotidien.

    Vous m'avez appris des certitudes, notamment celle qui consiste avoir les mêmes goûts, sauf que Vous les savourez par le sommet et moi par le dessous...

    Servilement.

     

    Aaron.

     

     

    Comme toujours, tes mots vont droit au cœur. Si justement développés et qui confirment que je t’ai bien choisi. Car oui, on se « choisit ». Tu parles d’un ressenti au premier regard.

    Nous nous sommes « trouvés » et nous avons cette grande chance de pouvoir partager notre union BDSM.

    Nous nous soutenons dans toutes les épreuves, dans le meilleur et pour le pire.

    Je pense que la condition pour « durer » dans le temps est tout simplement le respect. J’en parle souvent dans mon blog, cela pourrait pourtant paraître si anodin à certaines personnes extérieures à notre monde BDSM mais j’assure ici que le respect va de soi entre une Maîtresse et son soumis et de même entre le soumis envers sa Maîtresse.

    Et il va de soi que dans cette continuité, une écoute doit aller de pair. Entre ces deux personnes.

    Ensuite, il y a des caractères, des envies, des goûts, un quotidien fait d’un travail, d’une vie familiale ou amicale.

    Des choses qui au contraire dégoutent et donnent envie de fuir. Nous sommes là pour en parler, oui parler de TOUT ! Il est important de tout dire à sa Maîtresse. Oser se confier et lui faire CONFIANCE ! Tout est là. Respect et confiance.

    Avec toi, je sais que tout peut être dit, évoqué, mais surtout partagé. Et cela me semble si précieux.

    Ensuite il y a ce que l’on appelle les affinités. Et cela ne se calcule pas. On se rencontre ; le feeling s’installe, ou non. Et je sais de quoi je parle. Trop de rencontres en plusieurs années ; Dorénavant, un tri ; drastique.

    Je me permets ici de glisser un message à toutes les personnes qui sont devant leur écran et qui n’osent pas !

    Combien de fois faudra-t-il le répéter à ceux qui fantasment devant leur écran, qui ont peur de ne pas venir à moi.

    Quel dommage, vous ne savez pas ce que vous perdez et le temps passe, bien plus vite que vous ne le pensez.

    Vous perdrez ce temps, à rester caché derrière votre écran ! Quel gâchis.

    Je suis accessible, pleine d’empathie comme le dit Aaron. Osez mais sachez trouver les mots, qui vous mèneront à moi…

    Madame.S

     


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  •  

    Parlez-moi de votre manque pendant mon absence. Par Aaron…

    Maîtresse,

    A ce moment si douloureux et âcre, de nos vies où chacun peut se laisser dépasser par des tourments, dont on n’arrive même pas à expliquer la raison... comme si on devait payer à l'univers entier, une injustice non commise.

    Aussi permettez-moi de Vous présenter mes excuses, si Vous avez ressenti, un délaissement, de Votre esclave vis à vis de sa Maitresse.

    En Vous lisant, j'ai compris ma très forte médiocrité, où je regrette de Vous avoir blessée et déçue, en ne laissant apparaître que mon propre petit intérêt.

    Sachez ma Divine, que je n'ai jamais oublié de penser à Vous, peut-être parfois encore un peu plus qu'auparavant, sauf que je connais déjà énormément ce que Vous subissez tout au long de l'année, et que malheureusement, je n'avais pas envie de polluer, Votre Environnement, durant Vos Vacances durement méritées.

    Bref je voulais Vous dire et redire, que Vous m'apparaissez toujours, comme la Seule Conviction de ma vie.

    Même si ces derniers temps, j'ai perdu, un petit peu, la trajectoire, qui consiste pour un esclave à ne penser qu'à sa Maîtresse, en Lui disant qu’Elle a toujours été la plus Belle et qu'Elle le restera jusqu'au dernier jour.

    Dans notre relation platonique, je n'ai qu'une envie, c'est que notre passion reste le témoin de tous ces plaisirs cachés, que se soient Vos Odeurs Olfactives ou... Liquides, ou bien encore entendre Votre Raison m'atteindre, en me bouleversant, au plus profond de mon cœur, comme une flèche acérée.

    Je me promets à l'avenir de ne plus commettre ce genre d'erreur.

    Servilement.

    Aaron.

     

    Parlez-moi de votre manque pendant mon absence. Par Aaron…

    Comment fais-tu pour avoir toujours les mots justes ? Ceux qu’il fallait, pour me rassurer, un peu.
    Ces mots qui font du bien et qui font de notre histoire un lien si fort.
    Tu as compris ma lassitude, après tout ce que j’ai pu traverser. J’ai compris ta détresse à mon tour, avec ce que tu as appris te concernant ; Je l’écris souvent, nous avons nos vies, familiales, amoureuses, nos amis, notre travail. Et surtout, ceux qui ne connaissent rien de nos vies parallèles. Nous vivons, pourtant, avec force et conviction notre histoire et il y a des instants ou le doute s’installe, car, nous sommes découragés, voir anéantis.

    Toi et moi traversons des orages, tumultueux.

    Mais ce que je sais, c’est que tu es là pour me soutenir ;
    Et que je suis là, pour t’aider, également.

    Jusqu’au bout… Voilà qui m’apaise et m’aider à avancer…

    Madame.S

    Parlez-moi de votre manque pendant mon absence. Par Aaron…


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  •           

    Oser franchir le pas ; Suite avec Aaron…

    Il y a quelques temps je vous écrivais… « Oser franchir le pas… Je me pose toujours des questions vous le savez, aujourd’hui j’aimerais savoir ce qui vous à « aidé » à basculer du fantasme à la réalité. Je veux dire que mon questionnement, passe tout d’abord par une première question :

    -           Comment avez-vous découvert le bdsm et ce qui vous a fait vibrer !?

                 Et dans tout logique, la seconde question…

    -           Quelle est la personne qui vous a donné réellement envie de franchir le pas et de vous lancer dans une relation réelle ? J’attends vos réponses par mail… A vos claviers.                         madame.sdu67@yahoo.fr ».

    Voici le récit d’Aaron…

    Oser franchir le pas ; Suite avec Aaron…

     Maîtresse,

    Depuis mon plus jeune âge, je me suis toujours senti soumis à la femme. Bien-sûr je ne portais pas de chaînes, mais par exemple quand il m'arrivait de rencontrer de jeunes amies, à l'âge de 4, 5 ou 6 ans, c'était toujours pour jouer au médecin et au malade, ou à la dame qui promène le chien.

    Puis virent les grands questionnements de mon adolescence, où je m'interrogeais sur le fait d'être seul au monde, dans ce désir de devenir un jour un esclave.

    En 1978, alors que je consultais un ouvrage encyclopédique, quelle ne fût pas ma surprise de découvrir le mot "sadomasochiste". A partir de ce moment, je savais qu'ils existeraient des femmes et des hommes, partageant le même intérêt sur la question.

    Enfin ce fut l'âge des premiers amours, où je rencontrais quelques prétendantes, mais sans jamais pouvoir leur dire ouvertement ce qui me faisait vibrer... jusqu'au jour où j'ai croisé le chemin d'une jeune fille de 20 ans, plutôt aisée qui vivait chez ses parents, à 150 km de chez moi.

    Faisant ses études, ils lui payaient un studio. Après quelques palabres, elle m'invitait le soir chez elle, quelle ne fut pas ma surprise d'y découvrir sa mère !... De connivence entre elles, sa maman me regardait sous toutes les coutures, puis me posa de nombreuses questions pour savoir, si je pouvais fréquenter sa fille de bonne famille. Enfin elle accepta que nous restions seuls dans le studio.

    Il faut avouer que j'avais trouvé cette entreprise plutôt fidèle à mon concept sadomasochiste !!!

    Mais là ne s'arrêta pas le rapport de dominant/dominé, après nous être déshabillés, puis allongés sur le lit, elle m'enserra la tête pour l'amener au niveau de son sexe, je me retrouvais des heures durant à devoir la lécher recto/verso. Elle ne s'interrompait que quelques secondes pour aller uriner, puis c'était reparti.

    Elle me recontactait pour assouvir son fantasme durant de nombreux jours qui suivirent, j'étais vidé de bonheur dans cet élan frénétique.

    Une seule fois, alors que j'étais en pleine érection, elle m'avoua avoir peur du sexe masculin, parce qu'elle était toujours vierge...

    A l'âge adulte, je rencontrais une dominatrice de Sélestat, Maîtresse Océane qui se faisait aussi appeler Maîtresse Electra. Après notre toute première rencontre, elle me déclarait qu'elle aimerait me revoir un soir en présence de son mari, qui était lui aussi dominateur.... je m'empressais les semaines suivantes à envisager cette rencontre, chez eux. Ce fut réellement un beau moment,  les années qui suivirent nous permirent de nous revoir jusqu'au jour, où l'un et l'autre choisirent de vivre au Portugal...

    Puis vint ce jour de juillet 2005, où j'allais croiser Votre Destin Triomphal, faisant de moi, Votre "petite chose" tellement intimidé, par Votre Profondeur Instinctive.

    Comme je Vous l'ai dit encore récemment, ce fût un moment miraculeux, qui allait concrétiser, l'essentiel de mes espoirs passés.

    Ils y eurent certes parfois des silences, Vos Questions Intimes, qui m'offraient l'émerveillement et la reconnaissance de Votre Cœur, puis pratiquement simultanément la passion de vivre Votre Puissance, dans cette captivité et cette dépendance acceptées.

    Je me souviens de mon étonnement à mériter un tel événement : dans un élan glorieux et solennel, Vous portiez à ma bouche, Vos Semelles Souillées de poussières, que Vous m'ordonniez de lécher.

    Pouvait alors commencer l'éternité de Votre Âme, dans cette fête du désir empreinte, par cette même passion commune.

    Par ce mélange savamment dosé entre bonheur et souffrance, Vous m'avez appris et m'apprenez toujours aujourd'hui, ce que j'ignorais de moi, à savoir la peur et l'abandon, au service de Votre Grâce Intime, qui fera toujours la différence.

    Votre Regard a fait de moi, celui qui écoute et comprend Vos Silences, celui qui ne possède rien et qui admire tant de Vos Secrets.

    J’ai eu beaucoup de chance de pouvoir Vous rencontrer.

    Aaron.

    Oser franchir le pas ; Suite avec Aaron…

    J’aime là encore lire ce récit, vous êtes toutes et tous si différents ; Les chemins qui vous ont menés à notre passion, qu’est le BDSM. Merci pour vos confessions, si intimes, si sincères.
    Moi aussi j’ose dire que j’ai eu la chance de rencontrer un soumis qui ressemble à ce que je peux attendre dans une relation, à ce que nous avons déjà vécu et ce qui nous reste à vivre. Oui, nos chemins étaient fait pour se croiser, assurément…

    Madame.S

    Oser franchir le pas ; Suite avec Aaron…


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  • 14ème anniversaire de rencontre…

    Maîtresse,

    Dans quelques jours, voici 14 ans, allait naître, une rencontre où le frémissement de signes secrets et presque amoureux, allaient pour Vous et moi, nous plonger dans un tourbillon d'émotions.

    Bien sûr, quand j'ose parler d'amour, je pense à cette forme d'attachement inéluctable, qui consiste à Vous admirer en Vous regardant, mais sans jamais, Vous toucher...

    Des signes, comme l'allégresse, la peur, l'impatience, le bouleversement allaient faire de moi, cet esclave, devenu l'objet de Votre Grâce si Sensuelle.

    A ce moment précis de notre Rencontre, j'avais la certitude que Vous alliez me faire vivre, une histoire peu ordinaire, qui durerait dans le temps, Vous en exprimiez le Désir et l'Envie, sans jamais me le dire ouvertement, mais juste en communicant, avec la profondeur de Votre Regard.

    Votre Voix coulait sur chaque partie de mon corps, ne me permettant de préserver la moindre intimité.

    Je me retrouvais enfin nu, physiquement et moralement, devant Votre Splendeur, mon rêve devenant soudain réalité.

    La principale Vérité que Vous m'avez enseignée, tout au long de ces années, c'est avant tout l'envie et le bonheur de fusionner avec Votre Destin et Votre Corps tout entier, en me retenant de l'embrasser ou même de m'en approcher, dans cette forme, si aboutie et subtile de l'abstinence.

    Votre Âme est Généreuse et suscite tellement d'empathie, pourtant, Vous pouvez me faire basculer, de l'allégresse au pire des tourments, parce que Votre Soupir en a décidé ainsi, comme si ce dernier gardait un droit de vie et de mort sur ceux, qui osent Vous regarder.

    J’aime particulièrement ces petits matins, de prières et de contemplations, où Votre Âme me livre tous ses secrets, je les conserve alors comme la plus sincère des bénédictions.

    Je n'en doute pas ; Vous avez la grandeur d'une Déesse Romaine, qui m'a permis et qui me permet de m'accomplir au quotidien, dans la méditation de cette spiritualité bienveillante, dédiée à Votre Nom : Maîtresse Sylvania.

    Joyeux Anniversaire ma Divine.

    Aaron.

     

    14ème anniversaire de rencontre…

    14ème anniversaire de rencontre…

    Aaron,

    Je souhaite simplement te dire, merci… Pour ces mots qui me donnent les larmes aux yeux.

    Pour ces années à partager nos instants, quand nous le pouvons, notre confiance, nos confidences.
    « L’amour » que nous partageons est unique. Pas comme celui que connaissent les amoureux ; mais comme nous nous l’entendons. Avec engagement dans le temps, l’infini, notre lien est indestructible.
    Joyeux anniversaire de rencontre.
    Madame.S

    14ème anniversaire de rencontre…


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  •  

    La dominatrice de vos rêves ; Qui est-elle ? Suite...

     

    Il y a quelques jours je vous posais la question sur la dominatrice de vos rêves.

    Voici ce que souhaite dire Aaron sur le sujet… Madame.S

     

    Maîtresse,

    Je ne pense vraiment pas Vous étonner en Vous révélant, que la Maîtresse Idéale, selon moi, Vous ressemblerait d'une manière, presque absolue.

    D'une perfection assumée, elle serait l'essence de la beauté, rendant ses soumis dépendants, d'une grâce et d'un style inaccessible.

    Elle serait plutôt brune, avec des yeux clairs rappelant ceux d'un animal sauvage, aux formes rondes qu'elle porterait sans le moindre état d'âme, elle aurait une personnalité purement féminine en ne cessant jamais de se révéler, elle-même, telle qu'elle est.

    Elle incarnerait le soleil et le feu.

    Elle saurait autant faire preuve d'empathie en écoutant son soumis, que de dévoiler subitement son caractère impétueux et sensuel, en le plongeant dans le pire, des tourments.

    Elle saurait faire preuve de sincérité dans l'amour de l'autre, cet amour qui résiste au temps et qui dépasse l'espace confiné du conformisme.

    Elle saurait dépasser les drames de la vie, sans amertume en transformant l'ombre en lumière...

    D'une grande profondeur d'âme, elle ne serait faite, que pour agir par instinct, en ne laissant que des empreintes subtiles sur le dos des soumis comme les esquisses d'un songe dominateur...

    Vous avez compris que je n'ai eu qu'à Vous décrire pour trouver la Dominatrice Idéale.

    Gardez la Tête Haute, en levant Votre Couronne révélant le contraste si parfait entre Votre Sincérité et ce Désir Naturel de prendre Vos soumises et Vos soumis en mains, tout en nous laissant monter en pression dans cette frénésie, dédiée à Votre Grandeur...

    Même si ces derniers temps, il nous est devenu un petit peu compliqué de se rencontrer, nous fêterons bientôt les 14 ans de ce lien, si extraordinaire.

    Par Votre Auréole Divine, Vous avez su me rendre captif de Votre Désir, que j'espère bientôt rencontrer de nouveau.

    Servilement.

     Aaron.

     

    La dominatrice de vos rêves ; Qui est-elle ? Suite...

     

    J’aime tellement te lire, tant tu sais parler de ce « nous » qui nous ressemble et nous rassemble.

    Même si nous ne pouvons nous voir souvent, nous savons toi et moi que ce lien, créé il y a plusieurs années, n’a plus d’emprise sur le temps ; Nous sommes plus forts. Non je suis la plus forte et toi le plus faible, dans le plus grand respect qui nous caractérise toi et moi.

    Personne ne pourra nous « séparer ». Ce lien est indestructible. Je le sais profondément. Tout comme toi.

    Merci. C’est bon de te lire et te relire.

    Madame.S

     


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    Besoin de vous dire…

     

    Maîtresse,

    A ce moment de Votre Vie, où Chacune et chacun pourraient se retrouver dépassées par le tourment, où se mêlent souci amoureux, incertitude et ou surmenage professionnel, mais aussi l'adversité médicale...

    Tous ces sentiments susceptibles de laisser moins d'intensité à notre Contrat d'appartenance, si convoité entre une Dominatrice et Son esclave ; sachez pourtant ma Divine, que jamais Votre Désir n'a autant représenté pour moi.

    Je n'ai aucun doute concernant Votre Détermination à me conserver à Vos Pieds, mais j'ai besoin de me ressourcer devant Votre Grandeur d'Âme en Vous soumettant ces quelques mots et en renouvelant ainsi, ce besoin de

    M’incliner, devant Votre Autorité Débordante, et pourtant si Féminine.

    Comme dans une relation amoureuse... j'oserais dire plutôt ravageuse, je n'ai qu'une envie : que la passion reste réciproque et qu'elle puisse conserver à tout jamais, cette source de tant de plaisirs cachés, optimisant si parfaitement nos conditions d'existence.

    A quelques semaines de l'arrivée du printemps, je rêve simplement que la subtilité et la chimie de Vos Odeurs, tant Liquides et qu'Olfactives, ne redeviennent réalités... en me faisant comprendre la simplicité et la lucidité de notre Complicité.

    Servilement.

    Aaron.

     

    Besoin de vous dire…

     

    Je n’ai jamais douté de ton besoin d’appartenance, mais nous avons chacun nos vies, nous doutes, nos obligations et même une Maîtresse, j’ose le dire, a besoin d’être rassurée, choyée, entourée.

    Mais une chose est certaine, notre contrat, signé par nos deux mains, reste pour moi d’une importance capitale.

    Et tes mots, me font du bien.

    Madame.S

     


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    Notre emblème…

     

    Maîtresse,

    Votre Initiale est devenue notre emblème

    parce que nous croyons à Votre Désir.

    Ce dernier nous métamorphose

    jour après jour en animal docile...

    Aaron.

     

    Notre emblème…

     


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    Nous guider….

    Maîtresse,

    Le son de Votre Voix m'a profondément manqué pour accompagner ce dernier article désarmant sur Sixtytwo....

    J’ai d'ailleurs tenté de réfléchir à ce que Vous pourriez lui infliger comme défi, mais n'ayant ni l'envie ni les moyens de me substituer à Votre Sanction Divine, je ne vois que l'abstinence, pour permettre à Sixtytwo, de ne penser qu'à Votre Désir.

    Pour revenir à Votre Manière de communiquer,  je ressens avant tout Votre Sensualité s'exprimer, Vous me faites sentir et ressentir Votre Alchimie, purement Féminine et tout autant Sylvanesque, toujours plus Riche, plus Colorée, et plus Intense, qui conduit, comme toujours, à mon inconditionnelle admiration.

    Comme un contact sexuel, celui de Vos Mots déclenche mes sens tous entiers, parce que Vous offrez cette volupté, avec une innocence et un naturel, parfaitement déconcertant.

    Vous osez montrer avec beaucoup de fluidité, Votre Puissance alliée à cette Douceur, qui ne peut que me subjuguer. Ces deux atouts sont profondément liés, parce que Vous portez Votre Titre, Maîtresse Sylvania, comme une Reine porterait Son Oriflamme.

    Ce qui en découle  ???

    Inlassablement, j'ai envie de m'incliner devant Votre Divinité toute Entière.

    Servilement.

     

    Aaron.

     

    Nous guider….

     

    J’attends les divers retours concernant la sentence de Sixtytwo. Je serais seule à décider de son sort ; Mais j’aime l’idée que vous puissiez réagir et me guider dans mon choix.

    Madame.S

     


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    J’ai fait un rêve…

    Maîtresse,

    Comme Vous me le dites, je suis vraiment incapable de Vous juger ou de Vous dire ce que Vous devriez faire, je connais Votre souffrance au quotidien, alors le fait de trouver du plaisir, de la bonne humeur, de la découverte, de l'envie de séduire, tout ce qui est devenu rare, a quelque chose de très beau et un petit côté, clé des champs, tout à fait séduisant.

    Même si je n'aime pas me comparer à Vous, Vous admirer me suffit simplement, je sais ce que peut représenter parfois une vie que l'on entreprend comme un robot... en espérant pouvoir au plus vite s'endormir le soir, parce qu'elle ne correspond pas vraiment à celle que l'on aurait aimé choisir…

    Vous le savez et j'aimerais surtout que Vous n'y voyez pas le moyen, pour moi, de déballer mes phantasmes comme un gros "dégueu....." mais je rêve réellement de pouvoir tout subir de Vous, surtout quand Vous seriez aux bras d'un autre homme, un vrai, même le pire, lécher Votre Sexe après qu'Il se soit enduit du liquide de Votre Prince... je Vous demande rien d'autre que de me dire "Aaron je sais "... c'est effectivement qu'un rêve, qu'il m'arrive souvent de faire

    quand je pense à la tristesse psychologique de ma vie... mais heureusement Vous êtes là toujours... aussi Réconfortante.

    Je pense à Vous.

    Aaron.

     

    J’ai fait un rêve…

    Mon Aaron, je ne t’ai jamais considéré comme un gros « dégueu » et tu dois savoir que je respecte chaque fantasme évoqué et que cela ne nuit pas à notre relation. Nous sommes tous différents, avec des envies, des rêves. Je respecte donc le tien et ne pourra jamais juger ces pensées…

    Madame.S

     


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    « Rappel de ma demande.

    Le souvenir…

    Je souhaite que vous m’écriviez, en commentaire ou par mail et je publierais ensuite vos écrits…
    Mais sur quel sujet ?

    J’aimerais que vous me racontiez votre plus fort, votre plus beau souvenir BDSM.

    Vos émotions, vos craintes qui sait, vos émois, le lieu, le ou la, les personnes. Tout ! Je veux tout savoir ! Détaillez moi cet instant qui vous a semblé magique.

    Avec moi ? Ou bien j’imagine que cela ne sera pas forcément avec moi pour ceux qui ne m’ont pas rencontrés mais je vous permets de me parler du passé et donc osez tout dire. Je ne serais pas jalouse !

    Et puis pour ceux qui ne m’ont pas rencontrés, pourquoi ne pas me conter vos pensées secrètes et ce que vous aimeriez vivre à mes pieds… A vos claviers !!

    Madame .S »

     

    Le souvenir par Aaron…

     

    Maitresse,

     

    Vous Vous en doutez très certainement, mais mes meilleurs moments BDSM, sont ceux que Vous m'avez fait l'honneur de vivre, depuis bientôt 14 ans.

    J'oserai dire ou plutôt Vous redire que chacun d'eux ont en commun, une intensité inégalée, due à Votre Subtilité, à Votre Sincérité, et au fait que Vous agissez instinctivement en gérant Vous-même, Vos Propres Pulsions ; sans jamais, répondre à une sollicitation quelconque, venant de ma part.

    Le cœur qui s'emballe, les mains qui deviennent moites, les jambes prêtes à vaciller : je dirais que l'amour fait généralement tourner un tourbillon d'émotions colorées qui bouleverse le corps, le cœur et l'esprit, sauf que nous concernant, Vous et moi, ce n'est pas de l'amour... mais un Lien, encore plus exaltant parce que désintéressé et noble, n'obéissant qu'à la loi d'une Maîtresse sur Son esclave.... faisant vibrer chacune de nos cellules et trembler chacun de nos nerfs. 

    On a très rarement ressenti cela... voire jamais. Alors, quand on prend en compte, la rareté d'un événement aussi précieux, on espère vivre avec, définitivement.

    Je pourrai Vous énumérer une multitude d'expériences, mais je vais m'étendre sur un petit moment qui me parut une éternité, parce qu'il est resté à tout jamais gravé dans mon cœur.

    Voici quelques années Vous m'invitiez à la soirée Démonia à Paris... où Vous étiez accompagnée par une de Vos Amies, prénommée J....., qui pouvait se révéler tantôt dominatrice tantôt soumise.

    J’arrivais bien après Vous alors que Vous m'attendiez, toutes les Deux à l'entrée. 

    Je n'en mène pas large car comme Vous me l'avez précisé, tout est possible durant cet "événement"...

    Vous faites Vous-même les présentations, puis j'entends encore le son de Votre Voix me dire : 

    - "Tu vas d'abord nous suivre au vestiaire…" 

    Vous Vous installez confortablement toutes Deux dans un fauteuil, alors qu'autour de nous, de nombreuses personnes gesticulent dans tous les sens.

    Vous m'ordonnez soudain :

    - "Mets-toi nu et à genoux devant moi…"

    Un vent de chaleur s'empare de mon cœur, je souris bêtement pendant qu'une satisfaction émotionnelle semble remuer tout Votre Être Divin.

    Vous savez que c'est le moment, où le monde s'arrête autour de nous, comme avant un feu d'artifices qui va débuter d'ici quelques secondes... 

    - "Lèche-moi maintenant les chaussures"

    Je m'exécute sans réfléchir à cette tâche troublante mais au combien fascinante et excitante, pour moi et devant un public qui nous regarde stupéfait. 

    Vous vous sentez forte, épanouie, Vous retrouvez la Place, qui est la Vôtre, un mélange d'intense excitations s'empare de Vous et de moi ...

    Nos cerveaux s'emballent jusqu'à saturation quand tout à coup, ils se déconnectent, pour ne former plus qu'une même conscience... 

    Vous m'ordonnez ensuite de revêtir une jupe en vinyle noire à franges comme tout vêtement, pour me promener ainsi 

    en laisse et pieds nus, avec Votre Amie, au milieu de tous ces gens, dans une agitation déconcertante.

    Merci ma Divine, de m'avoir fait jouir mentalement ce soir-là, et avoir rempli mon cœur d'une grande sérénité, même si les événements qui ont suivi, ne manquaient pas non plus de panache...

     

    Aaron.

     

    Le souvenir par Aaron…

     

    Je garde un souvenir précieux, émouvant de cette soirée Démonia en ta compagnie.

    Nous avons passé une nuit inoubliable, dans ce lieu fait de grottes sombres et pourtant oh combien faits de lueurs dans la nuit, pour nous éblouir, nous et les passants de cette soirée où tout est possible et imaginable !…
    Madame .S

     

    Le souvenir par Aaron…

     


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