• Notre rencontre…

     

    Mes profonds respects, Madame, 

    Aujourd'hui, c'est le grand jour... enfin... celui qui me tient en haleine depuis notre premier contact.
    Nous échangeons, depuis deux semaines, par courriel, par téléphone, par photos interposées... par SMS.... beaucoup...!

    Je ne vous ai jamais vue, Madame, Je ne connais que vos yeux...


    Mais là, nous y sommes ; je vais pouvoir croiser le regard de Madame S; et effleurer Sa main...!


    Cette main que je convoite tant, dont j'ai tellement besoin...pour me guider,  me rassurer... vais-je enfin la sentir, posée sur ma tête, quand je m'inclinerai, avec la plus grande déférence, devant Vous, Madame...?

    Ma nuit a été difficile, peuplée de rêves, d'interrogations, d'excitation, d’inquiétudes aussi. Vous le savez, je Vous l'ai confié, à mon réveil.


    Je dois faire la route, parcourir ces kilomètres qui nous séparent, j'appréhende un peu... mais Vous êtes là Madame, dès le petit matin, pour m'apaiser, me tranquilliser, avec vos messages, vos photos...déjà, à cet instant, vous me guidez, vous me rassurez...serait-ce prémonitoire...?

     

    Et puis voilà, Madame, je suis au rendez-vous; vous venez de m'appeler, vous aller arriver. Je vous cherche du regard, il y a foule, vais-je vous trouver...?


    Non Madame, c'est Vous qui me trouvez ; j'entends votre voix, vous êtes derrière moi ; je me retourne, et je vous vois...Vous êtes là.


    Je suis immédiatement impressionné, réduit, tout "petit". Votre regard clair et limpide me pénètre, je découvre votre allure, votre prestance, votre gestuelle, votre sourire, adorable, que je devine terrible, aussi...tout cela forme un bloc... (je vais me répéter, pardonnez moi Madame)... ce que j'appelle Votre Aura.


    Votre Aura d'où émane la plus grande assurance, la plus grande certitude ; une autorité sans partage, implacable, matriarcale, absolue, et en même temps, une grande douceur, un respect certain; une considération apaisante pour le sujet que je suis.

     

    Alors, une fois à table, à peine assis, je l'avoue Madame, vous me parlez, je vous réponds, je vous entends, mais je ne vous écoute pas ; je ne peux pas ; mes réponses doivent être hasardeuses... je suis presque voyeur à cet instant ; je ne peux détacher mon regard de vos yeux ; ils me pénètrent, je ne peux les soutenir...et vos mains sont là, ornées de ce beau vernis rouges, l'une porte un verre à vos lèvres, l'autre saisit une fourchette ; corrige une mèche de vos cheveux... et je n'ai qu'une envie ; les toucher, les embrasser...à un moment, je ne peux plus, j'ai l'audace d'en effleurer une, je crains votre réaction...mais vous me souriez... merci Madame.

     

    Nous bavardons, plus de deux heures, tant de sujets sont abordés ; nos vies privées, nos vies d'avant, nos descendants, nos ancêtres, nos expériences, nos pratiques, nos envies, nos interdits, notre progression, notre évolution, nos projections... notre avenir... et pour ma part ; le sentiment que je retiens de ce long entretien ; c'est la fluidité ; je n'ai pas perçu de contradictions fortes entre nos visions, même si bien sûr, il subsiste différents points de vue.

     

    Et puis l'heure de se séparer est venue, Madame, le restaurant est vide...et nous sommes là, dehors, mon cœur bat la chamade, mon "test" a-t-il été positif...?


    Est-ce l'heure du verdict...?


    Non, pas encore... je vous salue, Madame, vous me tendez la main, j'y dépose un baiser, et vous vous éloignez sous mon regard incrédule...

     

    Je vais attendre encore, Madame, tout le temps qu'il faudra, avec le fol espoir de pouvoir, un jour, porter votre collier, être votre sujet; me prosterner devant Vous.


    Mon plus grand souhait est de vous servir Madame, vous vénérer sans partage, avec abnégation et dévouement, et obtenir ainsi le privilège ultime de pouvoir vous appeler Maitresse.

    Respectueusement.

    Franck.

    Notre rencontre…

     


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  • Un texte pour Vous…

    Un texte pour Vous…

    Maîtresse, 

    Après toutes ces années de servitude, passées, à Vos Pieds, Vous m'avez enchaîné à une relation particulièrement intime, me permettant aujourd'hui, d'exalter tantôt mon désir, tantôt ma crainte, devant Votre Noblesse, toute Puissante.

    Je médite très souvent, notamment, sur un aspect, devenu un réflexe Instinctif, celui de se nourrir, au quotidien.

    En nous alimentant, nous explorons avec nos sens, nos affects et notre émoi, notre relation intime, à la vie. 

    De plus, dès l'enfance, l'action de se nourrir est associée à l'amour maternel, donc au réconfort.

    Aussi je Vous imagine, Propriétaire d'une grande maison, au milieu de la campagne Alsacienne, clôturée par de grands sapins, rendant l'accès inaccessible. 

    Je serai à l'intérieur, obéissant au moindre de Vos Caprices, tantôt habillé d'une robe en laine, laissant d'atroces démangeaisons, tantôt dans une tenue plus légère... quelques fois pendu à un portique, ou encore enfermé nu dans une cage, fermée à clé. 

    Bien sûr, nous serions passés devant le notaire, Vous garantissant l'usage unique et la saisie de tous mes revenus.

    Vous m'auriez marqué au fer rouge, sur la fesse et l'épaule. 

    Vous m'ordonneriez alors de vivre, en me contentant de mon sort, tel serait ma becquée spirituelle. 

    Vous légitimeriez ma nourriture, à la seule condition, que Vous le décideriez...

    Cette mise à distance du corps, de l’acte de manger, imposerait mon silence, donnant naissance à des émotions très différentes, allant de la nervosité au ravissement en passant par l’envie, selon les situations. 

    Cela me permettrait de focaliser uniquement sur Votre Personne, car Vous êtes effectivement Unique.

    Malgré tout, voici quelques concrétisations, un jour, initiées par Vous.

    Elles ont toutes rapport, avec le fait de se nourrir :

    Je me souviens qu'une fois, Vous m'aviez bandé les yeux, puis Vous avez renversé, le contenu, d'une petite fiole, en m'enjoignant d'avaler, au plus vite, sans réfléchir.... Ce fut particulièrement puissant d'impulser, un tel acte, à Vos Pieds.

    Je n'ai jamais su ce qu'elle contenait, mais l'obéissance se rapprochait de quelque chose de sensuelle... 

    Une autre fois, c'était chez Vous, Vous m'avez réservé du pain sec et de l'eau, comme sur les navires du XVIIème siècle, pendant presque 48h00...

    On peut s’émerveiller de la mécanique rendant possible la symphonie dont, à chaque instant de ma vie, Vous êtes devenue le Chef d’Orchestre, même s'il ne s'agit là que d'un songe....

    Aaron.

     

    Un texte pour Vous…

    Un texte pour Vous…

    Une vie merveilleuse, que nous ne pouvons imaginer que par le rêve, mais tu décris de si belles images, une communion des sens et l’envie partagée de vivre des instants précieux, hors du temps.

    Des instants qui nous permettent chacun d’être à notre place ; Moi, celle de la Maîtresse ; toi, le soumis…

    Une description qui va me laisser songeuse et rêveuse…
    Madame. S

    Un texte pour Vous…

    Un texte pour Vous…


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  • La « tenue » que Madame a demandée…

    La « tenue » que Madame a demandée…

    La « tenue » que Madame a demandée…

    Bonjour Madame,

    L’après-midi consacrée à cette recherche de vêtements n'a pas vraiment été une terrible épreuve... je l'appréhendais, certes, mais j'avais tellement envie de faire ces achats; pour Vous.
    Je dirais donc plutôt que j'ai vécu un grand moment d'émotions très fortes...!

    J'avais fait des repérages sur internet, après vos instructions: jupe stricte foncée, chemisier coloré; dessous noirs. C'était clair.

    J'ai donc entamé mes recherches sur le site d'une grande enseigne, et, le choix étant vaste, j'ai trouvé relativement vite, ce qui correspondait à vos désidératas.
    Restait à faire, bien évidemment, le plus..."frémissant"..., se rendre sur place et vérifier si les tailles étaient disponibles. Me voilà donc en route...

    J'éprouve un drôle de sentiment; un mélange de gêne, et aussi une certaine excitation, quand je pénètre dans le magasin. Une vendeuse me salue en souriant, je lui réponds, avec le même sourire...mais plus figé...!
    Mon cœur s'est accéléré, subitement. Heureusement, l'espace est très vaste, et il y a du monde ; il est donc relativement facile de se faufiler entre les rayons, comme une ombre, sans se faire remarquer.
    Vu mon gabarit, il me faut trouver le rayon : femmes fortes. Et j'ai une grande chance ; il est là, juste à ma droite. Je m'y engouffre et tombe immédiatement sur la penderie des chemisiers; et le violet est vif ; il attire le regard. Je n'ai plus qu'à chercher un modèle taille 50 ; il est là;  je le décroche, évalue l'étoffe et la taille ; il fera l'affaire ; parfaitement.

    Reste à trouver la jupe ; et elle est introuvable, j'ai beau aller et venir, de gauche à droite ; je parcours le rayon, encore et encore, impossible de mettre la main dessus ; je dois me rendre à l'évidence ; il me faut m'adresser à une vendeuse ; j'avais enregistré le lien qui détaillait l'article sur mon téléphone ; alors, je me lance ; en voilà une, je l'interpelle, ouvre le lien, lui montre... elle me demande de la suivre ; en me demandant la taille que je désire; 50/52 lui dis-je, et miracle, elle la décroche et me la tend, le regard candide.

    Malgré ça , l'émotion est "palpable". Je me sens obligé de lui marmonner une sombre histoire... c'est pour ma femme, elle ne peut se déplacer; puis je venir pour l'échanger si la taille ne convient pas...et patati...et patata.... Aucun souci me dit-elle, gardez le ticket de caisse, et tous les échanges sont permis. C'est tout ce que je peux faire pour vous...? demande -t'elle.
    Je lui réponds par l'affirmative. Alors elle me salue, et, très discrète, tourne les talons.

    Ouf, j'ai échappé au malaise.... je m'en tire à bon compte...mes orteils se recroquevillaient dans mes chaussures...!!

    Il me reste à trouver la culotte et les bas; il faut donc bien m'y résoudre; me voilà au rayon lingerie, et je fouine, mine de rien, naturellement, les yeux au plafond, je croise ces femmes, qui, j'en suis sûr, se demandent bien ce que je fabrique là...à errer entre les soutiens gorges, les strings, les slips, et autres tanguas...! J'ai chaud tout à coup; très chaud.
    Heureusement, je finis par tomber sur ce que je cherche; une culotte noire, satinée devant, et belle dentelle derrière...elle est superbe; c'est la bonne taille; je la prends.
    Trouver ensuite les bas est une simple formalité; taille maxi, couleur noire, une belle jarretière en dentelle; en quelques minutes, le tour est joué.
    Ma tenue est complète; je n'ai plus qu'à rentrer et à l'essayer.
    Le passage à la caisse effectué, je remonte dans ma voiture; un peu troublé; quelques gouttes perlent sur mon front.
    J'ai rempli ma mission, en ressentant une chaleur intense dans le ventre; une excitation certaine, une émotion toute particulière.
    Mais surtout, Madame, je suis extrêmement fier, je vous ai satisfaite; j'ai exaucé vos souhaits; et pour le soumis que je suis, c'est le plus important.

    Je n'ai pas eu besoin de faire d'échanges; mon choix était le bon.
    Ce fut ensuite un vrai bonheur de lire vos félicitations à mon égard; merci Madame.

    J'ai l'honneur de porter cette tenue à cet instant, Madame, pour Vous, avec admiration et béatitude.
    Merci pour ce grand privilège.

    Respectueusement.

    La « tenue » que Madame a demandée…

    La « tenue » que Madame a demandée…

    La « tenue » que Madame a demandée…

    Je suis à cette heure assailli par une multitude de pensées, Madame…

    Mon trouble est certain, incommensurable, et bien réel, absolument vrai.

    Il m’anime… Vous en êtes La « cause »… et aussi La raison.

    Merci, Madame, de me faire éprouver ce sentiment. C’est pour moi un véritable don.

    Douce nuit à Vous.

    Franck.

     

    La « tenue » que Madame a demandée…

    Franck,

    Un chemisier, plutôt coloré. Des dessous, des bas.

    Pour moi.

    Pour nous.

    Pour notre bon plaisir. 

    Et parce que je l'ai exigé.

    Alors déjà bravo, 

    Jaime beaucoup l'ensemble. 

    La couleur du chemisier j'adore et j'y suis sensible cat nous avons apparemment des goûts communs pour les couleurs... 

    La robe stricte comme je l'espérais je crois.

    Les bas. Les dessous.

    Vraiment je suis étonnée d'être aussi surprise par tes choix, que j'aurais pû faire moi-même !

    Je trouve que tu portes très bien tout cela. Oui sincèrement. 

    Je te trouve apprêtée et belle pour les fêtes. 

    Ce qui me touche particulièrement comme je le disais c'est le plaisir que tu as eu aujourd'hui à faire ses achats et à trouver la tenue adéquate pour me plaire et te plaire.

    C'est réussi. 

    Tu es très jolie.

    MS

     

    La « tenue » que Madame a demandée…

    Bien Madame, je vous honorerai de cette façon le plus souvent possible; je suis très touché d'être autorisé à Vous rendre culte ainsi. Merci Madame.

    Porter simplement une culotte ou un slip féminin est très discret , et invisible, et peut se faire pratiquement en toute circonstance, Madame, à part pour certaines visites ou examens médicaux par exemple.

    Je peux donc à terme, pratiquement bannir le caleçon masculin; c'est un très grand honneur pour moi d'avoir ce privilège, et de pouvoir ainsi Vous manifester ma dévotion.

    Frank.

    La « tenue » que Madame a demandée…

    La « tenue » que Madame a demandée…


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  •  

     Je me présente à vos lectrices(teurs)… Frank.

    Mon parcours me parait "classique"... ; marié à 25 ans, divorcé à 45, deux décennies de vie "vanille", heureuses sans être très savoureuses... puis, subitement, ces idées, jusqu'alors inconnues, qui me traversent l'esprit, avant de s'y installer. Ce goût pour les femmes dominantes, cette attirance plus que prononcée, envahissante, la découverte du fétichisme qui devient une passion ; je passe ma vie quand je ne travaille pas, sur les sites spécialisés ; à la recherche de rencontres ; Eh oui, j'en rencontre, autour de moi, puis plus loin. Je me déplace beaucoup à cette époque ; sur Paris, par exemple ; j'y fais de belles entrevues ; je devrais dire séances...!
    Mon expérience grandit ; je croise de grandes Maitresses professionnelles, pour quelques heures... qui portent des tenues incroyables, qui me rendent fébriles, fous de désirs parfois.
    Je découvre le cuir, le vinyle, les bas, les talons, la dentelle, les accessoires, le collier, la laisse, les pinces, la cravache, et autres ... et je me sens de plus en plus dépendant...!!

    Pourtant, je dois me rendre à l'évidence, toutes ces séances intenses et délicieuses restent ponctuelles, ces "one shot" comme l'on dit aujourd'hui sont très éphémères; tout ça ne me comble pas. Il y manque quelque chose ; quelque chose qui perdure. Je vis, à ce moment-là, une prise de conscience, un insidieux désir de servir Une Femme, unique, avec dévotion, fidélité et humilité.
    C 'est comme une révélation pour moi. Et ce n'est pas du tout évident à réaliser. Il me faut trouver La Maitresse qui m'acceptera, avec qui je pourrai communier, avec qui l'osmose se développera.

    Je me mets donc en recherche.
    J'ai d'abord une relation qui dure quelques mois, avec une Maitresse beaucoup plus jeune que moi, mais ça ne dure pas ; la confiance n'est pas là, le doute s'installe, et tout s'arrête. 

    Puis je trouve enfin, presque par hasard, Une Dame qui habite dans la Meuse, à une petite heure de chez moi. Nous avons eu une belle relation ; sans vie commune, jamais, mais avec des contacts permanents, des jours passés ensemble chaque semaine, des échanges téléphoniques, mails, Visio aussi ; je l'ai servie presque trois années, avant qu’elle ne s'envole pour le Canada définitivement…
    Je n'ai plus jamais eu de nouvelles ; c'était convenu ; et j'ai beaucoup souffert de cette séparation, que j'ai vécu comme un abandon, même si ce n'en était pas un.

    Aujourd'hui, deux années se sont écoulées ; et mon envie a repris le dessus; ce besoin de dépendance est bien là ; je n'aspire qu'à une chose: être guidé par une main ferme qui me remettra sur ce chemin qui est le mien.
    C'est pourquoi j'ai trouvé le courage de vous écrire à nouveau. Je l'avais fait il y a un an déjà ; vous m'aviez répondu avec délicatesse, m'aviez laissé l'adresse de votre blog ; et je vous en remercie.
    Je n'ai pas donné suite à cette époque, pardonnez moi Madame, je n'étais pas vraiment prêt.

    J'ai parcouru ce blog, bien sûr, et je dois vous l'avouer, Madame, même si j'y ai passé énormément de temps, je n'en ai pas encore fini.
    Ce blog est d'une richesse absolue ; entièrement dédié à la Supériorité Féminine, il est inouï ; il y a là une multitudes de témoignages différents, de personnes différentes ; de tendances différentes, d'origines différentes, qui évoluent dans ce monde de façon différente... bref une véritable palette de personnages, tout aussi beaux les uns que les autres. qui ont chacun leur propre histoire.
    Et pourtant; un seul dénominateur commun les anime tous : c'est cette volonté de Vous célébrer, Madame, et au travers de Votre Grandeur, célébrer le pouvoir absolu de La Femme Supérieure exercé sur tous ses sujets.
    Tous les thèmes de la soumission masculine sont ici représentés ; gynarchie, soumission, esclavage, féminisation, dévotion, adoration, punition, châtiment... et j'en oublie...
    Et aussi toutes les pratiques, de la plus douce à la plus extrême, je dirais même insoupçonnée;  et ce fut peut être là, mon plus grand étonnement; et une certaine appréhension... qui, un certain temps, m'a fait reculer...
    Oui, Madame, je vous l'avoue, je suis resté des mois, avec cette incertitude, apeuré surement ; sans vous donner suite et nouvelles...
    Vous comprendrez mieux peut être ainsi, Madame, pourquoi je vous disais plus haut, que je n'étais pas encore prêt.

    J'ai expérimenté déjà une façon de faire pour rester en adéquation avec mes convictions; je me permettrai de vous l’exposer avec précision, Madame, si vous le souhaitez, et m'en donnez l'autorisation.
    C'est ainsi que je conçois les choses, et bien évidemment, je peux me tromper.
    Voilà ce que je peux vous dire de ce premier contact, Madame. Et c'est bien peu ; j'en conviens. Mais je ne peux en dire plus.
    J’attends, fébrilement, avec une grande impatience, demain, notre rendez-vous dans ce restaurant d’Obernai, qui déterminera Votre envie, ou non, d’approfondir et qui Vous déciderez de mon sort.

    J’ai peur, j’ai hâte, tant de sensations se bousculent…

    Mais je sais une chose, j’ai tellement envie de Vous rencontrer, enfin…

    Frank.

    Je me présente à vos lectrices(teurs)… Frank.


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  • Pour Vous, en votre honneur Madame.

     

    Mon cadeau pour Madame. S pour noël.

    Je m’offre à Elle, avec ces photos et une tenue que j’aime particulièrement.

    J’espère qu’Elle me trouvera belle.

    Frank.

     

    Ces photos sont très belles. 

    Elles sont un véritable cadeau pour moi. 

    Comme si tu t'offrais. 

    La posture. La tenue.

    Oui c'est troublant et très beau.

    Et la tenue est vraiment jolie.

    MS 

     

    Mes sous-vêtements sont propres et prêts pour demain Madame.

    Je vous souhaite une bonne nuit.

    Franck 

     

    J'aime savoir que tes sous-vêtements sont propres et que tu pourras les remettre dès aujourd'hui !!

    Et hier soir alors. Ce dîner avec cette sensation, cette différence ??

    Bonne journée. 

    MS 

     

    Pour Vous, en votre honneur Madame.

    Bonjour Madame,

    Oui, j’avoue avoir été un peu gêné hier soir… mais pas très longtemps… j’ai assez vite assumé… et j’aime cette idée…

    Porter ces sous-vêtements est un honneur,

    Madame ; ils contribuent à votre satisfaction, 

    Ils doivent donc à terme faire partie intégrante du sujet que je suis,

    Belle journée Madame.

    Avec respect.

    Franck.

     

    Oui cela va devoir être une habitude au quotidien. 

    Tu es prêt à t’engager à cela dorénavant ?

    J'avoue que l'idée m'inspire et me plaît beaucoup. 

    En mon honneur. 

    Pour que tu sois féminine. 

    Et que cela nous le sachions toi et moi.

    En secret.

    MS 

     

    Oui Madame, 

    Je m’y engage ; je porterai chaque jour des sous-vêtements pour Vous, en votre honneur, pour célébrer Votre Grandeur.

    Je me procurerai, sous votre contrôle, et avec votre approbation, tout ce qu’il faut pour cela, Madame.

    Respectueusement.

    Franck. 

     

    Bonsoir Madame, j’enlève mes dessous, que j'ai gardé toute cette journée.

    Je suis même sorti avec bas et culotte, pour aller chercher de l'argent et de l'essence...

    Je suis assez fier...

    Je vous souhaite un bon réveillon, et une belle soir Madame.

    Joyeux Noël.

    Merci, Madame.
    Frank.

    Pour Vous, en votre honneur Madame.


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  • Joyeux noël…

    BDSM oblige encore et toujours…

     C’est en « Mère Noël diabolique » que je viens vous visiter en ces jours précieux.

     Alors que nous nous apprêtons à « fesse-toyer » et puisque le réchauffement climatique de la planète semble éloigner de plus en plus l’hypothèse des « Noëls Blancs », c’est à un « Noël Rouge » que nous nous convions (nous-mêmes) puisque nous n’avons jamais fait de prosélytisme BDSM.

     Comme ce même réchauffement climatique n’incite pas à dépenser plus d’énergie, il ne nous reste plus qu’à rechercher ce « Rouge » en nous réchauffant auprès de la cheminée ou bien autrement encore, par l’ardeur des mains d’un seul…

     Rouge comme le feu dans l’âtre, Rouge Fessée…

     A vous qui passerez ici,  mes meilleurs souhaits pour un Noël à vivre avec l’émerveillement qui fut celui de vos rêves d’enfants ! Devenus rêves d’adultes ; Certes différents…

     Joyeux noël BDSM.

     Madame. S

    Joyeux noël…


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  • Un nouveau sujet bientôt à mes pieds ?...

    Mes respects Madame,

     

    Votre appel d'hier soir m'a laissé dans un état un peu second, Madame; j'étais déjà fébrile en l'attendant; depuis ce contact de dimanche dernier, de nombreuses "bulles" me remontent en mémoire.

    Votre voix est claire et directe ; l'autorité est perceptible ; la rigueur également ; il y a un timbre... implacable, que j'adore et que je redoute ...et il y a aussi, paradoxalement, une certaine douceur, rassurante, respectueuse, limpide. 

    Le respect réciproque est un point que vous avez souligné; et je vous en remercie, Madame ; je pense comme vous qu'il est absolument nécessaire pour que la confiance et l’osmose s’établissent.

    Je sens parfaitement bien que vous puissiez être chaleureuse, affectueuse, peut-être même protectrice, si vous êtes satisfaite. Et je sens également que votre satisfaction est primordiale; sans partage, entière.

    Vous aimez la perfection, les certitudes, la rigueur.

    Même si je suis déjà éduqué, et même, sous certains aspects, dressé ; je sais après vos mots que je dois apprendre à vous servir, à vous écouter, à vous obéir, à me soumettre à vos directives ; et je suis disposé à le faire.

    C'est une grande chance pour moi ; une sorte de renaissance, j'ai tellement cette envie, d'être pris en main, dirigé, retrouver une dépendance, ce lâcher prise, que je qualifierais d'abandon, si nécessaire à mon épanouissement.

    Je sais que le chemin sera long, que j'ai pris de mauvaises habitudes ; que beaucoup de corrections seront nécessaires, mais je crois y être prêt; ma motivation est très forte.

     

    Vénérer Ma Maitresse est mon plus grand souhait, et mon premier objectif, Madame.

    Je suis un soumis, depuis 30 ans, persuadé de mon infériorité. La Maitresse est L'être Supérieur, je suis autorisé à lui « tenir » la main afin d'être guidé sur le chemin qu'elle a tracé pour moi ; je dois toujours progresser en humilité, afin de mieux adorer, servir, être imprégné, mentalement et physiquement, de Sa Grandeur, dont émane Sa Lumière ; ce que j'appelle Son Aura: Aura divine à laquelle je dois rendre culte servilement, tête courbée, en regardant le sol. Dans cette posture nait mon épanouissement, Madame. 

    Cet aspect de ma personnalité peut vous paraitre théâtral, Madame, voire quelque peu "délirant", j'en conviendrais ; mais il ne l'est pas pour moi; je suis comme cela ; j'ai besoin de cela ; de rituels, de consignes, de procédures ; dans tous les domaines, que ce soit dans le mode de vie, la manière de servir, la dépendance, l'habillement, la souffrance, la dévotion, le plaisir, de toute sorte, qui peut être sexuel aussi, dans un cadre très précis. 

     

    Car, évidemment, dire le contraire serait mentir, l'aspect sexuel doit être évoqué ; il est moteur dans toute relation. 

    Pour ma part, c'est très clair et sans partage ; un soumis n'a pas droit à une vie sexuelle proprement dite, cela pourrait nuire au culte exclusif rendu à Sa Reine.

    Et pourtant, il doit se libérer de ce besoin physiologique qui existe pour tout homme ; mais il doit l’exprimer d'une façon absolument servile, dans la plus grande discrétion, sans interrompre son adoration ; en restant concentré sur la contemplation qu'il doit à Sa reine.

    J'ai expérimenté déjà une façon de faire pour rester en adéquation avec mes convictions; je me permettrai de vous l’exposer avec précision, Madame, si vous le souhaitez, et m'en donnez l'autorisation.

    C'est ainsi que je conçois les choses, et bien évidemment, je peux me tromper…

     

    Voilà ce que je peux vous dire de ce premier contact, Madame. Et c'est bien peu ; j'en conviens. Mais je ne peux en dire plus.

    Les mots, les idées, les envies, les souvenirs ; tout cela se mélange et se précipite ; ma tête bouillonne, mon excitation est palpable, c'est l'effervescence...!

    Il y a tellement à dire et à faire pour progresser... c'est ce qui me motive ; être toujours en recherche d'amélioration, de perfectionnement, en qualité , en service…bref, les mots se bousculent ; il me faut un peu reprendre mes esprits...

     

    J’espère que je vous ai été plaisant et respectueux ; pour ma part, je suis enchanté, et un peu sur un petit nuage... mon imagination galope...

    La sensation du collier absent autour de mon cou, est là, Madame, bien présente ; il me manque; et la laisse n'est pas tenue ; elle n'attend qu'une main, douce et ferme, brulante et glaciale, une main qui la saisira et qui me guidera sur le chemin de la servitude et de la dévotion.

     

    C'est ce dont j'ai besoin, Madame.

     

    Je mets genoux à terre afin de déposer un baiser sur votre main tendue.

     

    Avec mon profond respect.

    Franck.

     


     

     

    Franck,

    Tu as écrit :

    « Cet aspect de ma personnalité peut vous paraitre théâtral, Madame, voire quelque peu "délirant", j'en conviendrais ; »

    Il n’est pour moi nullement question d’employer le mot délirant et je le trouve même presque déplacé, mais j’ai bien compris le sens dans lequel tu l’emploies et tu avais envie d’être transparent et me donner tes impressions à la suite de notre premier échange téléphonique ;

    Pour moi donc, un véritable soumis ne sera donc jamais délirant, au contraire, je le verrais toujours comme envieux de faire de son mieux pour correspondre à Celle qui lui tend sa main, qu’on embrasse et qu’on vénère.

    Celle qui vous donne envie d’avancer et d’y croire.

    Nous avons eu ce premier échange téléphonique, il y en a eu d’autres depuis.

    Tu sais que le déjeuner du 27 décembre sera déterminant pour moi.

    C’est ensuite que je déciderai, ou non, si tu as la chance de devenir celui qui pourrait être « Mien ».

    D’avoir l’honneur de m’appeler « Maîtresse ».

    Vais-je ouvrir cette porte, être derrière et éclairer ton chemin ?

    L’avenir dira.

    Tu as tes chances, en poursuivant sur ce chemin. Tu as perdu une Maîtresse il y a longtemps, me voici, différente, avec mes attentes, exigences.

    Une Femme dont on se souvient et dont on à envie de tout faire pour être celui ou celle qu’elle guidera de sa main, ses mots, ses ordres, ses envies, ses attentes, ses…

    A suivre…

    Madame. S

     

    Un nouveau sujet bientôt à mes pieds ?...


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  • La récompense de Madame…


     
    Haut le talon qui glisse entre mes dents
    La taille de Madame corsetée
    Dans ce va-et-vient incessant
    Son jupon a voleté
    A genoux !
    Rampe !
    Debout !
    C'est épuisant
    C'est enivrant
    Bousculé
    Cravaché
    Enfermé
    Etranglé
    Où sont le nord et le sud
    Je perds la notion
    Allongé sur le dos
    Sanglé de bas en haut
    Son fessier sur le nez
    J'étouffe,  que c'est bon !
    Encore encore ! hardi ! Pardi !
    S'évanouir
    Sous la belle callipyge
    Rendre l'âme que je n'ai pas volée
    Rendre les armes que je n'ai pas prises
    Ses mains vives pétrissent ma pauvre chose
    Qui n'obéit plus à rien
    Cet appendice ridicule comme une flatulence
    Que malmène sa main ardente
    Et qui dans un sursaut inélégant
    Crache sa goutte blanche sur le tapis rose.
     
    A.

    La récompense de Madame…


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  • « 

    "Léthargie digestive…"

    Depuis mon retour de Strasbourg, je mange le minimum en pensant à Vous et en me disant "si j'avais la chance d'être à Votre Service, je devrais très certainement, me retrouver parfois en "léthargie digestive",  je pense que cela fait aussi partie de la soumission et de l'attitude d'un esclave. 

    Aaron.

     

    Privation de sens, privation de l’ouïe. Privation de nourriture.
    Tant de possibilités…

    Selon Mes envies…

    Madame. S

     


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  • J’ai rêvé, mais cela n’arrivera jamais…

     

    Un jour, ou deux…

    Ma chère Dame Sylvania, ma Déesse, ma Reine,
    Je vous offre ce texte. Sans doute le plus beau que je vous aie écrit. Mon préféré.
    Je l'ai composé comme on pourrait composer une musique, avec un rythme très particulier. Répétitif comme le Boléro de Ravel.
    Un jour, je composerai avec des mots un boléro de Ravel rien que pour vous. 

    Imaginons que nous passions une journée ensemble. Ou deux jours.
    Une journée, ou deux jours,  dans une maison, loin de la ville, loin du bruit, une journée dans une maison nichée dans votre belle Alsace, en montagne.
    Une petite maison basse, avec des fenêtres à petits carreaux, avec du carrelage de terre cuite, un carrelage juste ciré.
    Une petite maison avec une chambre et un grenier, une cave et une grande pièce à la fois cuisine et salon, une cheminée et des bûches qui brûlent dedans, et un pot-au-feu qui cuit lentement. Imaginons tout cela.
     
    Il fait chaud dans la maison. Vous avez marché pieds nus tout l'après-midi, pieds nus, vêtue d'un pantalon de toile noire, large et souple, d'un chandail de laine noire qui souligne vos courbes, rien d'autre, pas d'artifices. Vous portez sans doute un joli slip de dentelles sous votre pantalon et un soutien-gorge assorti sous le pull-over. Et sans doute rien d'autre. Sans artifices.
    Vous n’êtes pas maquillée, juste vos yeux soulignés, la peau nue, fraîche, douce au toucher. Une peau de soie.
    Nous avons marché dans les sentiers durant la matinée. Pas de grande randonnée, non, juste se balader.
    Une tendre balade sous le soleil et le vent, la matinée. Un soleil d'automne aux feuillages si beaux, des jaunes pâles aux rouges flamboyants et des pourpres.
    Puis nous sommes rentrés et vous vous êtes déchaussée. Vous avez marché pieds nus dans la maison, tout l'après-midi. Il faisait chaud. De grosses bûches brûlaient dans la cheminée. Et nous avons lu, nous avons parlé. Beaucoup lu. Beaucoup parlé. Et nous nous sommes tus aussi.
    Le soir tombant, nous avons mangé ce pot-au-feu délicieux, bu du vin blanc de votre pays, un petit Riesling ordinaire, vif et charmant.
    Pas de grand cru, juste ce petit vin blanc. Puis vous vous êtes enfoncée dans le canapé profond, moi assis à vos pieds, sur le carrelage ciré.
    Et j'ai léché vos pieds. Chaque orteil, j'ai sucé, nettoyé. Et entre chaque orteil ma langue a frotté, lessivé. Parfois, vous avez ri. Je vous ai chatouillée.
    Vous étiez belle, riante et chatouillée.
    Vous vous êtes un peu assoupie sur le canapé, moi aussi, la tête sur vos genoux.
    Et nous avons écouté le concerto pour clarinette de Mozart interprété par Michel Portal. Instants délicieux.
     
    Imaginez vous cela ?
     
    Le concerto terminé, nous sommes montés dans la chambre. Une chambre mansardée, blanche, plafond parcouru d'un assemblage de poutres sombres.
    Un lit sobre et moelleux pour soutenir vos reins, un lit couvert d'un boutis carmin. Vos cheveux noirs étalés sur le boutis carmin.
    Et vous, en dessous de dentelle noire et vos cheveux noirs sur le couvre-lit carmin. Mes yeux étaient enchantés. Mon esprit illuminé par tant de beauté.
    Il y avait un coffre de bois sombre dans la chambre. Vous y avez pris une corde de lin noir. Une belle corde souple et épaisse. Rien qu'une corde longue.
    Et vous m'avez déshabillé puis attaché les mains à une poutre élevée, à l'aide de la corde noire et tiré dessus pour m'étirer le corps.
    Rien que cela. Une belle corde noire pour m'attacher, étiré, tendu.
    J'ai bandé, un peu, lorsque vous m'avez attaché les pieds avec la corde qui pendait de la poutre et traînait sur le plancher ciré.
    Je n'étais que nu, attaché, étiré. Juste ce qu'il faut. Pieds entravés. Bien étiré.
    Vous m'avez dit que j'étais beau. Je ne suis pas beau, mais je vous ai crue. Je ne suis beau que nu et attaché à une poutre, étiré, dans une chambre au plancher ciré, avec un lit couvert d'un boutis carmin.
    Vous m'avez fouetté comme Baudelaire fouetta sa négresse, boulevard Saint-Germain.
    C'était un fouet court. Un fouet bref. Un fouet noir de neuf lanières plates et dures. Un fouet qui fait mal.
    La peau de mon dos, de mes hanches, de mes cuisses s'est carminée, se confondant au couvre-lit.
    Puis vous avez détaché mes pieds, dénoué la corde de la poutre et m'avez amené sur le lit. Au pied du lit.
    Vous avez attaché mes mains à un montant du lit, et mes pieds à l'autre montant. Derrière la tête, les mains, liées au montant du lit.
    J'étais couché au bout du lit, sur le boutis carmin,  lié aux montants du lit.
    Tout en me regardant, ainsi attaché, nu et le dos rougis, vous vous êtes donné du plaisir, avec vos doigts.
    Vos doigts qui fouillaient votre toison, frottait votre petit bouton.
    Vous avez gémi et j'ai bandé à vous regarder. Et nous avons dormi.
     
    C'était pleine lune. Je me suis réveillé, au pied du lit, sur le boutis carmin, en pleine nuit.
    La lune jetait un regard d'acier jauni sur notre chambre mansardée. Vous aviez les jambes emmêlées dans le boutis carmin.
    J'ai contemplé longtemps vos jambes emmêlées, croisées dans le carmin. Et un sein rond qui dépassait. Et votre téton tendre qui me regardait vous regarder.
    J'aurais pleuré de tant de beauté dans cet univers carmin, de lune éclairé. Vous avez remué sur les oreillers.
    Votre toison m'a regardé. Une toison courte, noire et drue.  Une toison profonde comme l’eau tranquille d'un lac.
    Et la fente au milieu, comme un trou d'eau profond d'un lac, une douce obscénité, m'a regardé.
    Vous vous êtes touchée. Vous vous êtes redressée sur les oreillers et m'avez regardé vous regarder.
    Vous êtes venue à moi. Vous m'avez touché, moi entravé au bout du lit. Et vous m'avez bandé les yeux. Et j'ai bandé au pied du lit.
    J'ai senti vos doigts serrer le lacet et me gonfler le membre sec, sève contenue, sève retenue. Et votre odeur forte et pleine s'est emparée de moi.
    Mon nez englouti par vous. Ma bouche bâillonnée sous votre intimité. Ma langue enfouie dans votre rosette.
    Moi suffoquant, bouche écrasée, nez englouti en vous, le visage noyé de vous.
    Moi suffoquant sous vos odeurs salées et cuivrées. Ces odeurs qui me rendent fou. Nous avons crié. Puis nous avons dormi.
     
    L'aube pâle et blanche est survenue. Vous m'avez détaché des montants du lit.
    Vêtus comme la veille, rien de plus, nous sommes descendus, j'ai rallumé le feu dans la cheminée.
    Le thé chaud fumait. Le pain chaud répandait ses odeurs matinales.
    La croûte était craquante, la mie tendre, le beurre fondait dedans. Et le miel parfumait tout.
    J'ai occupé le canapé et vous avez disparu. J'étais encore tout gorgé de vous. Imbibé de vos sucs mêlés au miel.
    Un long temps s'est écoulé et vous avez reparu, divine et somptueuse, gainée d'une combinaison de matière soyeuse
    qui épousait vos formes pleine. La taille haute, bien prise dans le cuir d'une jupe ample et courte.
    Je devinais le bombé de votre ventre, et la toison drue palpitant sous le cuir.
    Vous m'avez serré un collier dur au cou, prolongé d'une laisse et vous m'avez tiré. Moi à genoux. Traîné vers l'escalier.
    Gravi chaque marche, sur les genoux. Jusqu'au grenier. Sur un banc de cuir capitonné, vous m'avez poussé.
    Vous m'avez écartelé sur le banc capitonné, maintenu par des sangles de cuir serrées.
    Vos mains ont glissé sur ma peau. Vos mains de chevreau m'ont palpé et fouillé.
    J'ai vu l'instrument dans vos mains. Un manche de bois prolongé d'un cuir large et dur, comme un cuir de barbier, long d'un demi mètre.
    Un demi mètre de douleur qui s'abat sur moi. Mon cul rougeoie. Le cuir blesse. Le cuir mord. Votre main caresse.
    Puis vous revenez à ma vue. Vous vous baissez, plongez vos yeux dans mes yeux, me caressez les cheveux et la joue.
    Cheveux caressés, vous vous redressez, soulevez votre jupe. A votre ceinture, gode dresser, luisant. Gode glissé dans ma bouche,
    entre mes dents. Gode allant et venant dans la gorge comme un amant. Gode mouillé, vous quittez ma vue. Je sens vos mains sur mon dos, plié sur le banc. Et le gode mouillé glisser en moi, et vous me possédant. Le cuir encore s'abattant. Vous, allant et venant. 
    Infiniment. Cul battu. Cul content. Je suis à vous à présent.
     
    A 

    J’ai rêvé, mais cela n’arrivera jamais…

    Un texte fou, fait de rêves et de choses tellement troublantes. Mais il est vrai que la plupart des instants ne pourraient être réalisables, tant je suis devenue inaccessible et mon sexe l’est sans détours.

    Mais j’aime bien le trouble à lire tes mots, l’instant vécu et espéré. La poésie des mots, l’envie d’y être et de passer un moment doux et pervers.

    Le trouble est là, assurément, les détails, les instants partagés, la positon de chacun, dominante et soumise.

    Oui, un univers qui me plaît bien mais qui ne peut refléter la réalité, mais permets de s’évader et rêver…

    Alors rêve, à l’impossible…

    Madame. S

     


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  • La montée…

    Arrivant sans prévenir elle me prend par surprise, souvent au réveil, sournois sentiments d'impuissance face cette envie de soumission et de servitude intense, elle irradie mon esprit de fantasmes les plus sombres.

    J'ai compris avec le temps qu'elle était là, croupie dans l'ombre, comme à attendre de sortir dans les moments de vulnérabilité, quand je suis fatigué ou le lendemain d'une fête bien arrosée.

    J'ai réussi à la maîtriser du mieux que je pouvais, j'essaie de ne pas me toucher de rester le plus petit possible, j’aime cette sensation de petitesse ridicule dans une position d'infériorité, de ne pas gâcher ce moment survenu.

    Se masturber n'aurait que la conséquence d'un pansement sur une jambe de bois et d'un côté je me sentirais coupable envers l'idée que je serais sous l'autorité de Madame S avec son interdiction absolue.

    J'exploite ces moments de perte de contrôle pour écrire mes sentiments de servitude ou trouver une alternative créative.

    J'aime ce sentiment d'être dépourvu de résistance, c’est ma nature et je ne peux et ne veux m'en défaire, je me suis offert à Madame S il y a bien des années et cette montée et en partie à elle et grâce à elle que je me dévoile. 

    Chriss SV 68 VD 175 20

    La montée…

    Une perte de contrôle, maîtrisée et une envie de ma plaire et d’être un bon sujet.

    Voilà ce qui me touche dans tes mots, toujours écrits avec sincérité et qui confirment que même à distance, une relation peut se développer et faire de belles étincelles.

    Madame. S

     


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  • Chère Dame « adourée »,

    Chère Dame « adourée »,

    J’aime ce mot, adourée, celui que j’ai inventé, rien que pour Vous et qui, je trouve, si je peux me le permettre, Vous va si bien.

    Vous êtes adourée et entourée de votre cheptel, de personnes qui comptent, d’autres moins. De lecteurs plus discrets, de loin, mais qui sont là…

    Et Vous êtes si Belle, dans Vos mots, dans Votre corps, avec Vos Rondeurs…
    Votre voix assurée et votre rire franc me manquent.

    Les rares fois où j’ai pu entendre Votre voix, mon dieu que cela était délicieux et je me sentais envouté.
    Et vous savez quoi, quand j'ouvre ma boîte mail, la première photo qui apparait est la vôtre, sans que j'aie organisé quoi que ce soit !
    C'est réjouissant pour moi, de vous voir paraître spontanément sur l'écran.
    Je pense à Vous. Souvent. Oui j’aime penser à Vous…
     
    A.

     


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  • Acte sexuel platonique…

    Maitresse,
    Voilà un rite, qui me fait toujours fait vibrer, me conduisant, vers la vénération inconditionnelle et passionnelle, de ma Dominatrice.
    Vous m'avez ainsi enchaîné, dans Votre Jardin Secret, faisant de moi, ce soumis ébahi, attaché, à sa Vénus toute entière.
    Vous m'avez un jour, prodigué une série de caresses, bien particulières, enflammant dès le départ, mon désir, rendant, la Suprématie de Votre Pouvoir Inatteignable.
    Il y a d'abord un lavement, qui s'impose avant l'usage, Vous m'avez inculqué que l'hygiène, doit être irréprochable.
    je Vous avoue que ce débarbouillage interne, me fait ressentir un profond bien-être, agissant, comme une caisse de résonnance, sur le traitement, que Vous me réservez.
    L' intestin n'est-il pas qualifié, de deuxième cerveau ???
    Vous m'en donnez la preuve.
    C'est un véritable frisson,.. où je me sens subordonné à Votre Volonté, toute entière....
    Vos Pieds si Élégants, me conditionnent sur mon état émotionnel à venir.

    « as-tu l'anus bien souple, misérable microbe, tu vas ressentir un sentiment de délectation, comme jamais, je ne t'en ai procuré... je vais t'introduire mon Poing, puis ce sera mon Pied... »

    Vient ensuite l'instant, qui se passe de mots :
    le frôlement de Vos Extrémités, plaçant ce plaisir, dans une autre sphère.
    Vos Paroles, Vos Mouvement, un simple coup d'Œil, embrase mon désir, en le réduisant, parfois à néant.
    Vous suivez les propres circonvolutions, de Votre Fantaisie, me laissant sans voix et sans autre choix, que d'accepter Votre Humeur.
    Dans ce cheminement de l'envie, les mots, les gestes rivalisent d'audace et s'articulent autour de Votre Nom : Maîtresse SYLVANIA.
    Par des retours en arrière, succédant à de brusques avancées, j'ai immédiatement conscience que Votre Constance, ne cessera jamais de me surpasser, ne maîtrisant plus rien.... Je me laisse, alors aller dans une volupté foudroyante.
    Ce délice, qui brutalement me fait passer un cap, me donne l'impression de ne plus faire qu’un, avec Vous-même.
    Vous me faites l'honneur de me dénuder psychologiquement, mais aussi physiquement, devant la Pureté de Votre Ascendance.
    Votre Authenticité, crée ainsi un pont, entre nos deux corps, associés et consentants par cet échange viril, que Vous maîtrisez si parfaitement. 
    Par cet exploit, Vous pouvez corporellement déterminer mon ouverture, et prendre possession de tout mon être.
    Cela concrétise Votre Notion de la dépendance, à laquelle je me soumets sans la moindre réflexion.
    Après cet acte d'amour platonique, Vous m'autorisez à me prosterner devant Vos Pieds, puis par un regard triomphant, Vous me faites comprendre que la communion a eu lieu... 

    Ni Vous,  ni moi, n'avons rêvé, Vous êtes unique et seule, Votre Persévérance a pu initier un tel exploit.
    Votre Propre Résonnance, me permet de développer ma réflexion, aussi je tenais, à Vous remercier, pour cela. 
    Voici quelques clichés, qui me permettent de pérenniser ce tumulte émotionnel.... Même loin de Vous.
    Servilement.
    Aaron.

     Acte sexuel platonique…

     

    Acte sexuel platonique…

    « Prendre possession de tout mon être »… Oui cela est mon envie, que tu sois totalement à moi. Que tu ne vives que par MOI et que tu ressentes ce besoin, cette envie, irrépressible d’être Mon sujet, car tu ne peux résister à mon charme, à la douceur de ma peau que tu as goûtée et dont l’odeur est maintenant en ta mémoire.

    Tu aimes cette sensation d’appartenance, en entrant en toi ces objets, profondément, alors que tu es bien propre et que tu as pris soin de te vider car je te l’ai ordonné.

    J’aime cet acte sexuel platonique, néanmoins partagé cérébralement ; Et l’insertion de ces objets en toi, confirment ma possession et l’envie que tu as d’être rempli…

    J’aime te savoir salope pour moi. Et ton exhibition me plaît.

    Oui, tes mots sont très justes… « La communion a eu lieu »…

    Madame. S

    Acte sexuel platonique…


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  •  La flétrissure…


    L’ancêtre de notre marquage au fer dans le BDSM.

    Je précise ici que je ne souhaite en rien comparer les faits avérés par le passé et les circonstances pour lesquelles les personnes étaient marqués à l’époque.

    Car je souligne lourdement ici que le marquage au fer d’un esclave BDSM est toujours réalisé selon le bon vouloir de la personne qui se fait marquer et sa Maîtresse ou son Maître.

    Et cela dans un acte des plus réfléchi ;

    Pour ma part, un rêve qu’un jour je puisse…

    Une amie m’a permis de me procurer mes initiales et elles attendent paisiblement dans un écrin que je trouve la bonne personne pour réaliser un jour mon rêve.

    Merci à toi Aaron d’avoir trouvé cet article des plus intéressant sur la flétrissure et son passé.

    Madame. S

     

    La flétrissure est une peine afflictive et infamante, consistant en une marque au fer rouge sur le condamné. Le caractère infamant tenait en partie au marquage en place publique. La flétrissure était plus grave que le blâme, l’amende honorable, l’exposition publique et le fouet, mais se situait en dessous de la mutilation, des galères, du bannissement et de la question. Son caractère permanent lui donnait un caractère stigmatisant recherché par les juridictions.

    Le fer servant à marquer les condamnés prend en France la forme d’une fleur de lys puis en 1724 d'une triple lettre (flétrissure lettrée : V pour voleur, M pour mendiant récidiviste et GAL pour galérien). Cette peine est abolie par l'article 2 du décret du 26 septembre 1791 puis rétablie par Napoléon Bonaparte. L'article 20 du Code pénal de 1810 prévoit la flétrissure au fer brûlant en place publique sur l'épaule droite : les condamnés sont marqués de l'empreinte des lettres T. P. pour travaux forcés à perpétuité, de la lettre T pour travaux forcés à temps ou de la lettre D pour les déportés[réf. nécessaire]. La lettre F est ajoutée à l'empreinte pour les faussaires, la lettre V pour les voleurs et le numéro du département où siège la Cour criminelle qui a rendu le jugement.

     

    Fleurdelysage ;

    L'exemple le plus parlant, à ce titre, est celui des prostituées, dont le statut n'a cessé de glisser entre des frontières incertaines, du légal au toléré, du toléré au réprouvé et du réprouvé à l'illégal. Très tôt, au Moyen Âge et jusqu'à la fin de l'Ancien Régime, la répression s'abat sur la prostitution. Poursuivies, condamnées puis marquées, au nom de considérations religieuses, les femmes convaincues de « crime de putanisme » se voient affligées, non seulement d'une pièce de vêtement rayée jaune et rouge en bordure de leur robe, dénotant le déshonneur légal (rayure insultante qui fut, au reste, employée également pour les métiers et conditions considérés comme infamants : acteurs, saltimbanques, bouffons, idiots du village, etc.) mais aussi de flétrissure corporelle.

    En 1485, les filles publiques ont le nez coupé et sont marquées d'un P sur le front, le bras ou la fesse. Leurs maquerelles subissent le même supplice et sont identifiées de la lettre « M » aux mêmes endroits, assortie d'une fleur de lys [note 1] Le roi français Charles IX les met hors-la-loi par édit royal : « Que toutes filles de joie et femmes publiques délogent de notre dite cour, dans ledit temps, sous peine de fouet et de la marque (…) ».

    À la mutilation s'ajoute l'humiliation publique : sous Louis XIV, filles à soldats et maquerelles sont promenées à travers la ville sur un âne et fustigées publiquement, parfois portant un écriteau dénonçant leur condition en termes rien moins que châtiés (ainsi le cas de Marie-Jeanne Deduyer condamnée à Brest en 1713[5]).

     

    Marque de propriété

    La marque qui punit et condamne à l'opprobre n'est certes pas l'apanage du pouvoir officiel. Les lois du Milieu sont tout aussi dures à l'égard de celles que les criminels veulent humilier, châtier mais principalement identifier de façon indélébile. Les souteneurs ont fréquemment immatriculé les femmes qu'ils prostituaient du nom de leurs maîtres et ce, dans les bas-fonds de l'Europe entière.

     

    Lien Wikipédia :

    Flétrissure — Wikipédia (wikipedia.org


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  •  Manipulation…

     

    Elle sait me manipuler sans vraiment le faire mais à me sentir très proche de nos désirs si profonds, elle connait ma vie, mes envies mon corps et mon esprit.

    Un matin comme un autre, un weekend plutôt sage à rester au lit un moment de plus, mains baladeuses sur mon corps ne tenant compte à mon érection matinale rien que du plaisir cérébral à se manipuler à s'offrir du rêve à fantasmer sans pudeur et sans limite.

    Rien qu'à elle je m'abandonne à ses désirs pervers que je manipule à exagération.

    Elle remonte mon corps ; traverse ses seins sur ma queue sans s’y arrêter mais se dépose et s'assied sur mon pubis dépliant mes bras de chaque côté sans devoir les attacher restant ainsi déployé à toutes ses contraintes.

    Elle arrive à moi, petit à petit, déposant son humidité en petite flaque sur mon buste, son poids maintenant m'écrase et ajuste ses premières tortures mammaires, ses ongles me pénètrent les seins arrachant mes tétons, mes piercings se rebellent et tournent de chaque côté et finissent sur le bord de la table de nuit.

    Elle précise son statut de dominante par de cinglantes gifles et par un acharnement particulier à mes tétons, délivrant mes gémissements et hurlements, je la manipule à volonté changeant son plaisir pour le mien restant toujours dans la limite du respect que je lui dois.

    Je la regarde dans les yeux légèrement penchée, ses cheveux fin viennent à ses joues, sa poitrine opulente surplombant la mienne se touchent, elle surplombe maintenant mon visage et ma bouche d'esclave s'ouvre naturellement, sa salive onctueuse plonge délicatement au fond de ma bouche, son filet s'allonge en une ficelle nous reliant plus épaisse encore qu'au début, je manipule encore sa domination et augmente sa progression et chaque minute, tout peut changer encore.

    Sa langue fine et longue et à portée de bouche en respectant l'usage, mes lèvres pratique sa fellation aspirant son jus titillant son bout de mes dents, vénérant sa langue si parfaite et ses gouttelettes salivaires précieuses, je gémis de douleur par son étreinte de tétons, deux combinaisons possibles et inimaginable à cet instant magique.

    Je la manipule encore dans mon esprit libre et place son entre cuisse sous ma bouche, étouffant sous ses fluides j'aspire sa mouille ; lèche à profusion chaque partie offerte à ma langue, mon nez posé contre sa peau ma bouche disparue dans son gouffre creusant les parois de ces lèvres humide je récolte sa cyprine douce activant ma langue pour ses plaisirs multiples, sans limite de temps j'attends de ma propre imagination sa manipulation suivante.

    Je la veux suave et remplie de bienfaits ainsi dis-je car je sens son liquide chaud envahir ma bouche, de petites doses bien chaudes se soulagent en moi, divine liqueur que son urine m'abreuve à chaque gorgée, un moment très fort que de boire son liquide amer et concentré est la plus belle des manières de lui montrer ma dévotion sans limites...

    Ma manipulation dure encore jusqu'au moment où je décide de la retourner d'un demi-tour, ses fesses si belles sont à ma portée pour ma déferlante dévotion à sous anus, à la tranchée qui la sépare de lui donner le reste de ma servitude à son cul merveilleux, enfoncé au plus profond elle va et viens sur ma bouche et ma langue tendue relâchant son plaisir sur mon torse, pissant à nouveau mon breuvage préféré elle, se frottant de désir sur mon visage luisant de pisse, mes tétons arraché dans une ultime douleur d'esclave, me laissant ainsi pathétique à mon devoir de mémoire de lui appartenir.

    J'ai donc écrit ce texte en hommage à ma divine Maîtresse à nos années passées à nous faire confiance sans rien se cacher, par nos échanges spontanés, de me sentir responsable de mon envie lui offrant simplement ma cérébrale envie de la manipuler mais dans son écrin de soumission qui n'appartient qu'à elle, lui donner ce que j'ai de meilleur en moi pour le meilleure et pour le pire.

    Chriss SV 68 VD 175 20

     

     Manipulation…

    Chriss,

    Bravo pour ton honnêteté intellectuelle et cérébrale, de te livrer ainsi, à corps et à cœur ouvert.

    Je trouve vraiment beau de me dire que tu oses tout me dire, que tu es honnête avec moi et mes lecteurs.

    Que tu puisses ainsi oser des choses, car nous avons acquis il est vrai, un niveau de confiance élevée, ou tu peux te livrer ouvertement, sans craindre ma punition. Sourires.

    C’est vraiment beau de voir combien tu es capable de rêver ainsi, d’un moment d’extrême de soumission sexuelle et torrides images qui nous font imaginer aisément ce que tu aurais aimé vivre.

    On reste sur notre « faim » et tu nous mets en appétit…

    Madame. S

     


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