• Anton, nouveau nom…

    Anton, nouveau nom…

     

    Bonsoir Maîtresse,

    Anton est en train de naître, Anton est votre créature, et vous venez de la baptiser.

    Comme un nouveau-né, Anton se présente à vous avec une peau de bébé, fraîchement rasée, le torse, le pubis et surtout le ventre dorénavant totalement glabre.

    Anton a voulu remercier sa Maîtresse de l'avoir baptisé en se marquant le corps d'inscriptions choisies pour l'occasion.

    Malheureusement, Anton apprend tout juste à écrire et fait des fautes. Il écrit des "N" à l'envers, il écrit des "S" à l'envers. Alors, il efface ses fautes et recommence, pour que sa Maîtresse ne soit pas trop courroucée.

    Il s'en sort mieux avec son sexe qu'il marque de son nouveau nom sans erreur. Il prend juste le risque de faillir à ses vœux d'abstinence car la situation le fait durcir.

    Après avoir constaté ses erreurs, après les avoir effacées de son corps, il remplace les lettres unes à unes, les replaçant dans le bon sens.

    Il est tard, le feutre indélébile ne facilité guère les corrections. Anton n'est pas encore totalement satisfait du résultat, il espère que sa Maîtresse lui pardonnera.

    Espérons que le nouveau-né Anton saura trouver sa place aux pieds de sa Maîtresse.

     

    Anton, nouveau nom…

     


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  • Nouveau nom de soumis pour Titou. Ce sera "Anton"...

    Et voilà j'ai trouvé ton nouveau prénom de soumis...

    Ce sera Anton.

    J'ai cherché et j'ai trouvé que cela te correspondait...

    J'avais déjà tenté il y a quelques mois tu le sais de trouver ce prénom que je souhaitais te donner.

    Et je suis heureuse d'avoir pris une décision.

    Je souhaitais te faire ce cadeau pour noël et j'espère qu'il te fera plaisir...

    Te voilà rebaptisé par ta Maîtresse.

    Madame.S

     

    Nouveau nom de soumis pour Titou. Ce sera "Anton"...

     

    Personnalité d’Anton :

    Hommes de caractère, les Anton prônent diverses valeurs et n’ont pas leur égal pour défendre les causes des plus faibles. Ils tiennent fermement à leurs principes et restent fidèles à eux-mêmes dans toutes les situations. Même s’ils paraissent le plus souvent silencieux et secrets, les Anton sont dotés d’une forte personnalité. Ils sont profondément attachés à leur paix intérieure et ne font rien qui aille à l’encontre de leur idéologie. Les Anton développent une grande combativité leur permettant de réussir nombre de leurs entreprises.

    Cérébraux, les Anton sont les ennemis de la superficialité et en imposent par leur intellect. Ils agissent généralement avec discernement et opiniâtreté. Ils laissent les gens se fier à leurs actes plutôt qu’à leurs paroles. D’ailleurs, les Anton se privent le plus souvent d’émettre des commentaires afin de préserver leur neutralité dans les situations délicates. Toutefois, lorsqu’ils sont convaincus de la pertinence de leurs arguments, ils n’hésitent pas à prendre des décisions controversées.

    Leaders dans l’âme, ils sont aptes à occuper des postes importants leur octroyant souvent le rôle de décideurs. Les Anton font montre d’une grande énergie dans l’accomplissement de leurs missions. Curieux de nature, ils aiment se cultiver et apprendre sur tout. Leur capacité à assimiler rapidement les informations les aident à progresser dans divers domaines. Les Anton sont des êtres à l’esprit scientifique auprès desquels les gens aiment apprendre. Ceux-ci font souvent confiance aux bons jugements des Anton. Leurs proches savent aussi qu’ils n’intègrent une idéologie que lorsqu’ils en ont trouvé les preuves et la logique. Le scepticisme des Anton contribue davantage à leur esprit pragmatique et analytique.

    La nature réfléchie des Anton s’explique notamment par leur prédilection pour les pratiques méditatives. Outre leur besoin de comprendre, ils se mettent réellement en symbiose avec l’environnement qui les entoure. Les Anton font preuve d’une maturité spirituelle importante qui rend plus insistante leur personnalité circonspecte. Dotés d’une acuité intellectuelle supérieure, ils ne s’attardent pas sur les détails mais parviennent facilement à avoir une vision globale d’une situation donnée. Ils démontrent ainsi leur esprit synthétique.

    Le sens de l’amitié des Anton leur permet d’être bien entourés. Ils inspirent le respect des autres et ne refusent presque jamais d’aider les personnes dans le besoin. Humanistes, ils rejoignent volontiers les bénévoles ou les volontaires qui aident les plus démunis. Ils n’hésitent pas non plus à mettre au service de la communauté leur intelligence et leur savoir-faire. Toutefois, ils ne sont pas naïfs et n’accordent pas facilement leur confiance.

    Dans la vie amoureuse, les Anton sont doués d’une certaine sensibilité relevée d’un brin de romantisme. Ils se révèlent de tendres amants et surprennent par leur esprit imaginatif et créatif. Élitistes dans le choix de leur partenaire, les Anton recherchent des affinités spirituelles et intellectuelles. Bien que l’amour ne relève pas d’un exercice intellectuel, les Anton maîtrisent parfaitement la psychologie féminine. Ils peuvent ainsi apparaître comme de grands séducteurs, mais demeurent exigeants dans leur choix sentimental.

    Les métiers qui s’adaptent le plus aux traits de caractère des Anton sont orientés vers le secteur commercial, scientifique et technique. Ils s’intéressent également aux fonctions en liaison avec l’avant-garde ou l’architecture. Les professions libérales ne les laissent pas indifférents non plus.

     

    Signe astrologique d’Anton :

    Le signe astral qui concorde avec la personnalité des Anton est le Scorpion. Les personnes issues de ce signe sont caractérisées par leur endurance, leur nature corrosive et leur sens de la justice. La sensualité des Scorpion est une des caractéristiques que l’on retrouve chez les Anton.

     

    Couleur :

    La couleur reflétant le mieux le caractère des Anton est le jaune. Il rappelle la générosité et la spiritualité des prénommés. Cette couleur renvoie aussi à la confiance en soi, à l’égo et même à l’orgueil. Le jaune exprime la puissance et la lumière spirituelle.

     

    Pierre précieuse :

    La pierre précieuse des Anton est l’onyx. Cette pierre contribue à la perspicacité en stimulant l’objectivité et en octroyant la force de caractère. L’onyx favorise également l’équilibre émotionnel en développant le self-control.

    Peu plébiscité en France avant le XXe siècle, Anton est un prénom masculin très répandu dans les pays scandinaves. Il commence ensuite à séduire les parents de la métropole où il signe un pic de 269 attributions en 2000.

    Les Anton sont discrets et presque silencieux mais ne sont pas dépourvus d’un certain charme. Ils sont plutôt cérébraux, bien que de grands sensibles sommeillent en eux. À la personnalité énigmatique, les Anton sont caractérisés par leur esprit scientifique.

    Les prénoms dérivés d’Anton sont entre autres Antoine, Antonin, Anthony, Antonia, Antun et Tony.

    La sphère des célébrités compte plusieurs Anton dont Anton Tchekhov (écrivain), Anton Webern (compositeur, chef d’orchestre), Anton Corbijn (photographe, réalisateur) et Anton Ferdinand (footballeur).

     

    Prénoms masculins :

    Anthony , Antony , Antton , Antoni , Antone , Antonn , Anthon , Anthone , Anthoni , Antonny , Anthonny

    Origine de Anton

     

    Anton est la transcription germanique d’Antoine, inspiré du prénom ancien Anthonomos renvoyant au sens de « qui se nourrit de fleurs ». L’étymologie latine d’Anton est le terme « antonius » se traduisant par « inestimable ».

    Les Anton sont célébrés le 13 juin en la mémoire de Saint Antoine de Padoue. Il naquit à Lisbonne en 1195 dans une noble famille. Connu comme étant un maître de doctrine spirituelle, il intégra dès son plus jeune âge les ermites de Saint-Augustin. Il devint ensuite un disciple de François d’Assise et se fit baptiser frère Antoine. Grand prédicateur de son époque, Saint Antoine mourut d’hydropisie le 13 juin 1231.

     

    Histoire d’Anton :

    Saint Antoine le Grand naît en Égypte en 250, dans une famille aisée. Orphelin et héritier à 18 ans, ce fils de riche décide de tout quitter pour le service de Dieu. Il distribue tous ses biens aux pauvres et se retire dans le désert, pour y mener une vie d'ermite et de prière. D'autres solitaires viendront le rejoindre, c'est ainsi que naît le premier monastère. Saint Antoine est le précurseur du monachisme. Le 13 juin, on fête saint Antoine de Padoue.

     

    Les Anton célèbres :

    Anton Bruckner : organiste et compositeur autrichien (1824-1896)

    Anton DIFFRING : acteur allemand, a notamment joué dans "Les prédateurs de la nuit"

    Anton DVORAK : Compositeur

    Anton Raphaël Mengs : peintre, pastelliste, dessinateur et théoricien allemand (1728-1779)

    Anton Rubinstein : pianiste russe (19e siècle)

    Anton von Webern : compositeur autrichien (1883-1945)

    Anton se fête le 17 janvier.

     


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  • Journal d’un abstinent.

    Seconde semaine :

     

    -           Lundi 11 décembre

    J’ai passé une bien mauvaise nuit, le stress du lundi matin probablement. J’ai une réunion importante prévue dans l’après-midi avec mon patron, gageons que cela renforce mon stress.

    Dans la journée, j’ai reçu un message de ma Maitresse : Elle vient de recevoir le courrier que j’avais posté de Toulouse la semaine précédente. Je suis heureux qu’Elle puisse me lire autrement qu’au travers de l’écran de l’ordinateur.

     

    -           Mardi 12 décembre

    La nuit a été bien plus reposante. Ça change la journée !

    Madame S et moi avons beaucoup échangé par mail, quel bonheur de pouvoir discuter ainsi, et pas seulement de Maitresse a soumis. Je voudrais habiter dans son cœur, dans son âme, je voudrais être le point focal de ses pensées, je voudrais qu’une osmose se crée entre nous de manière si forte !

    La journée de travail s’est terminée par un point avec le boss, je crois que j’ai fait avancer un sujet important.

    Au moment de partir du bureau, je me rends compte que toutes les lumières sont éteintes. Je suis manifestement le dernier. Cela me donne envie de me branler avant de rentrer à la maison. Nul doute que c’est ce que j’aurais fait il y a quelques semaines. Ce n’est pas mon sexe qui pleure, ce sont mes habitudes qui me procurent ces envies. Ce rappel à l’ordre ma fait penser à Elle, je crois bien que je l’aime.

     

    -           Mercredi 13 décembre

    J’ai préparé ma valise hier soir, mais ce matin, j’ai ajouté quelques accessoires. J’ai en effet prévu de réaliser mon défi à l’hôtel, pendant mon déplacement.

    Je commence la journée par une réunion avec le boss. Pendant cette réunion, nous recevons un mail qui va déclencher un psychodrame hautement politique au boulot. A chaque fois que je règle un problème par la porte, il rentre par la fenêtre. Mais je ne vais pas lasser les lecteurs sur ce sujet.

    Après diner à l’hôtel, j’ai mis en œuvre mon défi, mais vous avez déjà vu le reportage sur le blog de Madame S. J’avais emmené un plug anal assez gros afin de pouvoir y accrocher quelques boules. Malheureusement, j’ai réussi, en forçant, à le faire pénétrer mon fondement, mais je n’arrive pas à le faire tenir. A chaque fois que je me lève, il tombe. Tant pis, je vais faire sans.

    Je prends mes photos, je suis avec Elle, je suis inquiet de la manière dont Elle va apprécier mon reportage, je ne suis jamais assez satisfait vis-à-vis d’Elle.

     

    -           Jeudi 14 décembre

    J’aime travailler en province, j’ai l’impression d’être vraiment utile et un peu plus reconnu.

    Ce matin, j’ai constaté que Madame S m’avait envoyé un mail troublant, un mail pour mon baptême. Changer de nom après tant d’années, j’avoue que cela me trouble, il faut que je prenne le temps d’intégrer cette décision de Madame S, et de lui écrire plus spécifiquement mon ressenti.

    Je suis rentré de Marennes assez tard, je vais finir les valises des 3 prochains jours et me préparer à partir dans son pays. Je pars en week-end alsacien demain vendredi, je me rapproche d’Elle. J’ai hâte, même si je sais que je ne la verrai pas, un plaisir mêlé de frustration, un plaisir de soumis.

     

    -           Vendredi 15 décembre

    Nous avons pris la voiture vers 10 h, direction l’Alsace. Une pause déjeuné à Chalons en champagne, et au départ de Chalons, le GPS m’a fait passer par la nationale.

    A environ une heure de mon arrivée, je traverse les montagnes vosgiennes. Apparait devant moi une petite voiture rouge, assez semblable à la voiture de Madame S. J’ai comme un flash, et si c’était Elle. Assez rapidement, je me rends compte qu’il s’agit d’une marque cousine à celle de Madame S, et que ce n’est donc pas Elle au volant. Quel dommage, j’aurais tant aimé la croiser ainsi, de manière impromptue, de la voir pour de vrai, à l’insu des passagers de ma voiture.

    Nous arrivons vers 17 h, et après avoir déposé les valises au gite, nous allons voir les illuminations de Rosheim.

    Elle est si proche et si loin à la fois !

     

    -           Samedi 16 décembre

    Ce matin, le temps est pluvieux, nous allons faire une ballade à Obernai acheter de quoi déjeuner (tourte vigneronne au foie gras) et un tour du marché de Noël.

    Après déjeuner, nous partons pour Riquewihr. Il y a du monde, mais j’ai réussi à trouver une place assez proche du centre. Dans une boutique de Riquewihr, je suis tombé sur des protes bouteilles en formes d’escarpins. J’ai pris une photo.

    Dans l’après-midi, nous avons pu voir mon fils et la petite, qui étaient également en week-end alsacien. Quel bonheur de voir cette petite, toute emmitouflée dans sa combinaison de ski, toujours aussi souriante malgré le froid. Du bonheur à l’état pur !

    Le soir, nous avions réservé une bonne table à Rosheim. Malheureusement, mon épouse étant vraiment peu en forme, elle n’aura pas pu apprécier le diner à sa juste valeur.

    J’ai bien aimé cette journée alsacienne, profiter de cet environnement qui fait le quotidien de ma Maitresse.

     

    -           Dimanche 17 décembre

    Avant de rentrer en région parisienne, nous avons fait une halte à Saverne et en avons profité pour déjeuner. Sur le trajet, j’ai eu très peur car Madame S m’a envoyé quelques SMS, et comme mon smartphone me sert de GPS, je voyais défiler les notifications en priant pour que mon épouse ne regarde pas de ce côté. Je crois qu’elle n’a rien vu. En tous cas, moi, je pense que j’étais tout rouge !

    Et voilà, nous avons quitté l’Alsace, je suis de retour en région parisienne. En me couchant, je ressens une certaine tristesse, 500 kilomètres nous séparent à nouveau.

    Titou.

     

    Journal d’un abstinent.


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  • Défi noël par Titou…

    Bonjour Maîtresse,

    En déplacement à Marennes d'Oléron, j'ai profité de ma soirée à l’hôtel pour réaliser le défi.

    Afin d'être parfaitement présentable à vos yeux, j'avais préalablement pris le soin de me raser le sexe et le torse.

    J'ai commencé par accrocher quelques boules de Noël à mes propres boules. J'en ai également accroché à mes tétons grâce à deux pinces.

    J'ai ensuite décoré mon torse avec une guirlande bleue.

    Et pour finir la décoration, j'ai pris une guirlande électrique que j'ai choisi soigneusement pour vous, une guirlande avec des cœurs qui brillent et qui s'illuminent pour vous, Maîtresse.

    Une guirlande pour vous montrer un peu plus à quel point mon cœur bat pour vous.

    J'espère que la réalisation de ce défi vous plaira, je vous confirme y avoir mis tous mes cœurs !

    Titou.

     

    Défi noël par Titou…

    Défi noël par Titou…

     

    Je suis particulièrement sensible aux cœurs choisis pour me montrer ton affection.
    Et tu sais déjà que j’aime la couleur bleue, qui ajoute au charme de tes choix pour la décoration de ton corps ;
    Bravo, défi hautement réussi ! Et j’apprécie que tu puisses avoir pu te raser également.

    Madame.S

    Défi noël par Titou…


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    Journal d’un abstinent.

     

    Première semaine :

     

    -           Lundi 4 décembre 15:38

    C’est aujourd’hui que commence la période d’abstinence voulue par notre Maitresse, à partir de 9 h. Pendant que mon fils déjeune, je m’enferme dans les toilettes pour un ultime plaisir solitaire avant de partir pour le boulot.

    A 15 h 38, je me sens déjà en manque. J’espère que cela va se calmer.

    Ce soir, je dors à l’hôtel. J’aurais aimé en profiter pour un bon plan cul, d’autant qu’à Paris, je pensais avoir plus de chance de trouver du monde. Mais bon, c’est dorénavant interdit.

    Début de soirée, ma bite prend le contrôle de mon cerveau, et je publie une annonce. Nous verrons bien si j’ai des réponses, je ne répondrai pas aux messages, où je me ferai baiser sans jouir. Je ne suis pas fier de moi, j’ai honte. En rentrant dans ma chambre, je ne veux pas ouvrir ma messagerie, pour éviter la tentation. Heureusement, il n’y pas eu de réponse. Je crois que je n’aurais pas eu le courage de lui mentir, mais je n’ai pas eu à me poser la question. Ouf !

    Je suis à l’hôtel dans le cadre d’un séminaire qui aura lieu demain pour les 50 ans de ma boite. Il y a beaucoup de monde que je connais dans cet hôtel. Je vais me coucher assez tôt. J’en profite pour faire des photos pour Elle. L’armoire est pleine de cintres, je décide de construire un mobile à base de cintres. Plus compliqué que prévu, mais j’aime bien le résultat. Pourvu que cette satisfaction soit partagée.

    -           Mardi 5 décembre

    Après la journée de séminaire, nous sommes invités à un cocktail au Louvre, qui a été privatisé pour l’occasion. J’aime regarder les filles sur leur trente et un en pensant à Elle. Deux galeries sont restées ouvertes pour nous. J’admire des tableaux qui représentent des femmes bien de chair, et je pense à ma Maitresse. Je me suis fait prendre en photo par un collègue devant un tableau d’une madone nue, en pensant à Madame S, et avec un petit sourire malicieux, sachant à qui je pensais devant ce tableau d’un érotisme torride.

    Je rentre vers 23 h à la maison, je dois refaire ma valise, je pars demain soir pour Toulouse.

    -           Mercredi 6 décembre

    Ce matin, Elle m’a envoyé un SMS matinal, éclairant ma journée. Merci !

    A peine 3 jours d’abstinence, c’est dur. Heureusement, les journées sont intenses.

    Départ pour Toulouse dans la soirée, et diner de travail à l’hôtel. Il faut préparer les deux jours de réunions qui s’annoncent difficiles et tendus. J’aurais voulu prendre des photos pour Elle, mais je suis trop épuisé. Néanmoins, je prends le temps de lui écrire un courrier manuscrit. Cette fois ci, je me lance sans préparer de brouillon, je veux livrer mes sentiments bruts, sans filtre, je veux partager mes sentiments et mes ressentis avec toute la sincérité qui anime ma relation avec Elle, je vous lui ouvrir mon cœur.

    -           Jeudi 7 décembre

    La matinée a été tendue, comme prévu. Nous avons décidé de rentrer à l’hôtel pour laisser nos interlocuteurs réfléchir à nos propositions. J’ai demandé au collaborateur qui nous conduisait à l’hôtel, de faire un arrêt devant une boite aux lettres pour poster mon enveloppe. Il m’avait proposé de confier ma lettre au service courrier, mais je lui ai bien fait comprendre que je n’y tenais pas. Cela a bien fait sourire tout le monde !

    A l’hôtel, j’ai passé une heure et demi avec la personne qui nous avait déposé pour préparer un rendez-vous parallèle que j’avais organisé le lendemain, et une fois qu’il est parti, nous avons préparé la journée du lendemain qui s’annonce encore plus difficile que la précédente. Fin de la soirée vers minuit, mais j’envoie un message à ma Maitresse avant 1 h, pour m’endormir en la cachant dans mon cœur !

    -           Vendredi 8 décembre

    Comme prévu, le début de la matinée est particulièrement tendu. Ma matinée se solde par un premier niveau de négociation, et avant de partir à mon second rendez-vous, je lâche une petite bombe sur un nouveau sujet de négociation pour l’après-midi, et je leur laisse mes collègues pour avancer sur ce point. A mon retour vers 14 h 30, les choses ont pas mal avancées. Départ vers l’aéroport à 15 h 30, le week-end sera bien mérité.

    A l’aéroport, je vois l’image du scanner de mon bagage au moment du contrôle, et je vois distinctement le plug anal qui se trouve à l’intérieur de mon sac. J’adore scruter le visage du personnel de l’aéroport, je les vois chercher à qui appartient ce bagage, grand sourire. Je n’aurais pas eu l’occasion de m’en servir pendant mon déplacement, mais cela m’aura détendu à l’aéroport.

    Madame S m’a envoyé un dessin par MMS, un homme et une femme sont enlacés dans sa robe ! Quel érotisme !

    Je rentre tard à la maison car il y a vraiment beaucoup de circulation. Je suis vraiment vidé de cette semaine, mais je pense à Elle, encore et toujours, et c’est bon.

    -           Samedi 9 décembre

    La semaine a été vraiment intense, je n’ai pas été trop affecté par mon début d’abstinence. Par contre, ce matin au réveil, je dois abandonner mon rituel de la branlette matinale, et cela me pèse, oui, sincèrement.

    Ce matin, il a neigé chez nous, quelques flocons, mais cela embellit quand même le paysage et me rapproche de l’Alsace.

    Nous avons décoré le sapin cet après-midi, bleu et blanc comme l’année dernière.

    Madame S semble très occupé, Elle me manque.

    -           Dimanche 10 décembre

    Encore un réveil en abstinence. Je crois qu’il va falloir que je m’habitue, mais ce n’est pas encore le cas.

    Ce matin, c’est ménage. Mon fils vient déjeuner avec sa fille. Il va arriver relativement tard, vers 14 h, car il s’est couché à 3 h 30 cette nuit. Nous ne sortons de table que vers 15 h 30.

    Ils repartent vers 16 h, et je décide de prendre mon ordinateur pour écrire à ma Maitresse. J’avais un peu de retard, et cela me fait du bien de le rattraper. C’est bon de penser à Elle.

    Avant d’aller me coucher, j’ai un coup de mou au moral, d’autant qu’Elle ne répond pas à mes messages. Le blues du dimanche soir, le blues de mon petit oiseau, probablement…

     

     


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    Le mobile.

    Le mobile.

    Bonjour Maitresse,

    Lundi 4 décembre 2017. Premier jour d'abstinence, je suis dans ma chambre d’hôtel, le plan cul m'est interdit.

    Je me pose cette question : faut-il un mobile pour vénérer Madame S, faut-il un mobile pour vouloir être son soumis obéissant ?

    Il m'a semblé qu'un mobile serait un plus, alors je l'ai construit.

    Un premier cintre accroché à mes tétons, pas trop de douleur.

    Un second cintre accroché à mes boules, j'ai des difficultés à l'accrocher, il tombe plusieurs fois, je souffre un peu plus.

    Deux nouveaux cintres pour étirer mes tétons.

    Deux nouveaux cintres pour étirer mes boules.

    J’enchaîne les photos, redresse les éléments du mobile pour avoir un effet symétrique.

    Les pinces mordent mes chairs un peu plus à chaque fois que je dois me baisser pour ramasser un cintre tombé à terre.

    Enfin à peu près satisfait du résultat, je déconstruis mon mobile.

    En ouvrant les pinces, le reflux sanguin me tire une larme à chaque fois.

    J'espère que mon reportage lui donnera un petit sourire.

     

    PS : c'est décidé, j'attaque le régime l'année prochaine !

     Titou.

     

    Le mobile.

     

    Bravo mon Titou,

    J’aime cette idée de mobile, qui te tire, déchire, anime tes chairs à chaque mouvement.
    Inventif et ce dans l’idée et la douleur. Oui bravo j’adore !

    L’heure des bonnes résolutions pour l’année 2018 sont déjà d’actualité !?

    Moi je te demande simplement d’être toujours à mes pieds et heureux de cette condition…

    Madame.S

    Le mobile.

    Le mobile.


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  •  Journal d’un abstinent

     

    Semaine précédente :

     

    -           Lundi 27 novembre

    Je viens de recevoir le message de Madame S, Elle a décidé une nouvelle période d’abstinence pour ses soumis. J’avoue que je ne suis pas très emballé. Je viens de lire le message alors que je suis dans la salle d’attente de l’hôpital, en attendant que la chambre de ma femme soit prête pour l’accueillir. Je n’ai pas trop la tête à tout ça.

    J’ai envie de préserver ma prostate, de la faire travailler pour minimiser les risques de cancer. J’ai envie de protester, ma prostate a envie de protester. Mais je sais qu’au fur et à mesure que l’abstinence durera, je serais encore et encore plus proche d’Elle.

    Le soir, seul à la maison, je me donne du plaisir, un plaisir mécanique.

    -           Mardi 28 novembre

    La journée de boulot ne pas permis d’aller voir ma femme à l’hôpital, trop loin, et je ne veux pas rentrer trop tard pour m’occuper un peu de mon fils.

    Néanmoins, j’ai parlé avec Elle, par SMS, beaucoup. Nous avons parlé de mon épouse, j’ai fait un peu de teasing en lui envoyant une photo de la lettre que je lui ai postée.

    -           Mercredi 29 novembre

    Une journée bien chargée, j’ai quitté le boulot à 21 h. Heureusement, une copine est allée chercher ma femme à l’hôpital, elle est donc à la maison pour s’occuper du fiston.

    Arrivé à la maison, j’ai à peine pris de ses nouvelles, une tranche de jambon et au lit. Je n’ai ni eu le temps ni l’envie de me donner du plaisir.

    -           Jeudi 30 novembre

    La journée de travail a eu beau être riche, j’ai pris le temps d’aller me branler aux toilettes. J’adore, je trouve ça un peu transgressif. J’entends les collègues qui entrent, et moi je suis enfermé, mon sexe dans la main, attendant la délivrance. En fait, j’ai l’impression d’être devenu addictif à la masturbation. Alors, maintenant que je sais que vais devoir m’abstenir jusqu’à nouvel ordre, je prends les devants.

    Avant de rentrer à la maison, je suis allé boire un verre avec des collègues. J’ai eu beau faire le pitre, l’atmosphère est restée tendue. J’ai préféré rentrer rapidement à la maison.

    L’Alsace de Madame S est sous la neige, cela fait de beaux paysages qui nous manque en région parisienne.

    -           Vendredi 1 décembre

    RAS, même pas le temps pour une branlette.

    Elle m’a écrit son ressenti après avoir lu mon courrier manuscrit. Je suis heureux car je l’ai touchée.

    -           Samedi 2 décembre

    Ce matin au réveil, je me suis donné du plaisir pour bien commencer la journée. C’est devenu une habitude du week-end. La journée est chargée. Je pense à Elle, mais difficile d’envoyer des SMS quand je suis en famille. Elle m’a d’ailleurs demandé pourquoi j’étais silencieux. Cela m’a attristé.

    -           Dimanche 3 décembre

    Encore une masturbation au réveil, il faut que j’en profite car demain à 9 h, c’est terminé.

    Rien à raconter du dimanche. Le soir, j’ai mis TF1 à la télé pour regarder 50 nuances de Grey, comme je ne l’ai jamais vu. Ma femme en a décidé autrement et a changé de chaine de manière autoritaire. Elle m’a expliqué que ce n’était pas à cause de moi, mais qu’elle n’avait pas envie de voir un film érotique. Comme elle connait mon gout pour la soumission, et a surpris quelques dialogues avec Madame S, je ne la crois absolument pas. Mais non, je ne vais pas la ramener. Elle a mis un film sur le deux, qui était pour le coup très branché sexe, avec une adolescente régulièrement à poil et draguant une quarantenaire. Cela m’a fait sourire.

    Je suis allé me coucher avant la fin du film pour une ultime branlette avant tombe le couperet, mais elle est montée plus tôt que prévu, m’obligeant à m’interrompre. Grrrr…

    Dur, dur, l’abstinence commence demain.

     

    Titou.


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  • Défi marquage par Titou…

    Défi marquage par Titou…

    Défi marquage par Titou…

     

    Bonjour Maitresse,

    De retour parmi à vos pieds, j'ai eu envie de participer à ce défi que vous aviez lancé il y a quelques temps.

    J'ai profité d'un déplacement de 2 jours à Toulouse pour le réaliser.

    Pour moi, l'endroit de mon corps pour inscrire vos initiales est apparu comme une évidence, aucun autre endroit n'aurait pu symboliser mes sentiments à votre égard.

    Arrivé à l’hôtel le mardi soir, j'ai donc gravé vos initiales sur mon cœur qui bat pour vous. Quelques difficultés pour prendre la photo de telle sort que l'inscription ne soit pas à l'envers, et je suis allé me coucher, ma Maitresse fièrement blottie contre moi, dans mon lit !

    Mon objectif était de vous conserver le plus longtemps possible, j'ai donc évité de frotter cette zone sous la douche.

    Le lendemain matin, vous étiez toujours là. mais le jeudi matin, vous aviez presque disparu.

    Mais s'il ne restait que peu de trace de vos initiales, je dois dire que vous étiez encore et toujours profondément blottie dans mon cœur et dans mon âme.

    J'ai également profité de ce séjour à l’hôtel pour essayer mon nouveau joujou. Il est censé masser la prostate et le périnée. Il est un peu court, mais avec les vibrations, cela donne tout de même de bonnes sensations, et je dois reconnaître que cela a renforcé ma jouissance.

     Maitresse, je suis si heureux de vous avoir retrouvé !

     Merci.

    Titou.

    Défi marquage par Titou…

    Défi marquage par Titou…

     

    Heureuse de voir ces lettres, qui s’effacent peu à peu certes. Mais qui restent gravées en toi…

    Madame.S


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    Fantasme inavouable par Titou…

    Acte 1 – Le massage :

     

    Ce soir, vous m’avez ordonné de vous rejoindre dans votre chambre, à 22 h précises. Qu’avez-vous en tête, qu’avez-vous imaginé, ai-je fait une bêtise qui mériterait une punition ou souhaitez-vous que je vous serve de soubrette ? Depuis que vous m’avez donné cet ordre, mon cerveau est en ébullition et je me perds en conjectures.

    Comme toujours quand je suis chez vous, je suis totalement nu. Enfin pas tout à fait j’ai le collier en cuir rouge que vous m’avez offert autour du cou, orné de ma médaille « Titou, propriété de Madame S ».

    A l’heure dite, je frappe à la porte de la chambre, et vous m’ordonnez d’entrer de votre voix douce et ferme à la fois. La chambre baigne dans une lueur tamisée, seules quelques bougies à la flamme vacillante éclairent la pièce. Il y règne une douce chaleur grâce aux buches qui brulent dans la cheminée, ajoutant une petite lueur rougeâtre supplémentaire. Les fenêtres sont occultées par des doubles rideaux rouge sombre, ajoutant à la pièce une touche toujours plus chaleureuse.

    Une légère odeur de parfum, douce et sensuelle à la fois, vient renforcer l’atmosphère torride de la pièce.

    Je dois être devenu rouge écarlate, ma température vient de grimper à en faire exploser le mercure et je pense avoir des gouttes qui perlent sur ma peau. Car je vous découvre, totalement nue, allongée lascivement sur le ventre, le visage légèrement tourné vers moi. Je fonds dans vos yeux et admire votre silhouette, votre croupe rebondie est parfaitement sublime.

    C’est avec un sourire coquin que vous me rassurez : « approche Titou, n’ai pas peur et vient masser ta Maitresse ».

    L’huile de massage est judicieusement posée sur la table de chevet et je m’en empare pour m’occuper de vous, avec un bonheur indicible. Je commence par joindre mes mains d’huile de massage, et j’en étale un peu sur vos épaules. Je vous masse doucement les épaules, la nuque et je sens que cela vous fait du bien. Je passerais volontiers des heures ainsi à caresser de mes mains nues votre peau si douce. Petit à petit, je descends des épaules le long de la colonne vertébrale vers le bas du dos, je descends inexorablement vers vos fesses charnues et tellement fermes. Encore un peu d’huile et je m’approche de vos globes fessiers. Vous continuez à soupirer d’aise, alors je continue, je masse ses fesses objets de tous mes fantasmes, une par une, les deux en même temps, je les masse à l’extérieur mais aussi à l’intérieur des cuisses que vous écartez légèrement afin de ma faciliter l’accès. J’entends votre respiration devenir un peu plus forte, signe d’un plaisir naissant. Je décide de continuer ma descente en m’attelant à masser vos cuisses et vos mollets par de longs mouvements destinés à détendre vos muscles et à vous soulager d’une longue journée posée sur vos talons. J’arrive enfin à vos pieds dont je m’occupe avec délectation, marquant une pression plus forte sur la plante des pieds, tirant sur les orteils, massant le talon. Le massage semble vous apporter un bien être certain. Vous n’avez toujours pas prononcé un mot depuis le début de ce massage, mais vos soupirs en disent long sur votre aise.

    Je m’apprête à remonter lentement le long de vos jambes et masser à nouveau vos cuisses et vos fesses. Mon sexe libre de tout carcan est tendu et le moindre contact avec votre peau pourrait me faire jouir instantanément, tant cette situation inédite me procure de bonheur.

     

    Fantasme inavouable par Titou…

     

    Acte 2 – La plaisir de Madame S :

     

    « Doucement Titou, laisse-moi me retourner ». Comme dans un rêve, je viens d’entendre votre voix dans un souffle d’une chaleur volcanique.

    Je m’écarte prestement et je vous admire vous retourner, avec grâce et volupté, pour vous allonger sur le dos. Votre regard de braise n’a pas quitté le mien, et avec un sourire naturel, je vous entends prononcer ces mots : « viens près de moi mon Titou, approches toi ».

    Je m’assieds en silence au bord du lit, et je me permets de détailler votre corps tellement sensuel, votre poitrine reposant paresseusement et montrant les prémices du plaisir à travers des tétons déjà bien durs. Votre regard est doux et ensorceleur, votre bouche ourlée d’une pointe de rouge à lèvre renforce la sensualité du moment.

    Sans un mot, votre main s’est approché de mon visage, le vôtre s’est illuminé d’une lueur érotique.

    « Occupe-toi de ta Maitresse, Titou, donnes lui du plaisir ». Vous prenez ma tête dans vos mains et la dirigez vers votre bouche entrouverte pour me donner un baiser torride auquel j’ose répondre avec fougue.

    Il ne m’en faut pas plus pour prendre les choses en main. Je me décide à vous embrasser le visage, le front, les joues, les yeux, le nez, la bouche, encore et encore, chastement ou avec volupté, mes mains vous caressent les joues et les oreilles, je voudrais vous manger le visage tout entier, mon est excitation est énorme.

    Je vous embrasse partout, je descends vers votre cou, mes mains caressent vos seins lourds et fermes à la fois, ma langue titille vos tétons déjà bien tendus, les mordillant doucement vous arrachant un nouveau soupir. Je vous rapproche les seins pour plonger ma figure et m’étouffer dans votre poitrine généreuse. Je voudrais me perdre pour la vie la tête confortablement lovée sur vos coussins naturels, mes mains ne souhaitent plus quitter la douceur de vos seins de velours.

    J’entends votre poitrine respirer, j’entends votre cœur qui bat un peu plus fort, j’aime sentir votre plaisir monter inexorablement. Vous caressez ma tête pour me faire part de votre satisfaction, et bientôt, vos mains me font comprendre que ma bouche doit descendre encore un peu. Je quitte avec un peu de déception votre poitrine et ma bouche vient embrasser votre ventre, mes mains caressent votre peau.

    Je vois que vos cuisses commencent à s’entrouvrir comme un appel au plaisir. Je m’approche doucement de votre puits d’amour, mais je prends un malin plaisir à le contourner. J’embrasse votre pubis, j’embrasse vos cuisses, un petit baiser léger sur vos lèvres et je reviens sur votre pubis, sur vos cuisses, je prends mon temps. Vos cuisses s’écartent, petit à petit, votre corps trésaille au contact de ma bouche, une odeur de cyprine commence à se faire sentir, la tension a encore monté d’un cran.

    « Arrête de jouer, Titou, j’ai besoin de ta langue, fais-moi jouir ! »

    Vous avez donné le signal. Je change de position pour m’installer confortablement la tête entre vos cuisses. Je reprends mes baisers sur l’intérieur de vos cuisses, mais ils sont un peu plus appuyés et je donne un petit coup de langue sur votre clitoris pointant fièrement. Votre soupir parle de lui-même. Ma langue entre véritablement en action, j’écarte encore un peu vos lèvres pour plonger dans votre puits d’amour déjà humide. Ma langue fait des va et vient, je vous lèche de haut en bas, allant de votre anus à votre clitoris, je vous pénètre avec ma langue bien dardée. Vous entrez également en action, votre corps va au-devant de ma bouche, vos soupirs se transforment en gémissements. Vos mains me caressent le crâne, vos cuisses s’écartent, la chaleur grimpe encore et toujours, mon sexe durcit un peu plus à la limite de me faire mal.

    Soudain, votre pression sur ma tête se fait plus forte, vous plaquez mon visage sur votre sexe, je sens vos cuisses se refermer et enserrer mon crane, et dans un dernier coup de rein, vous jouissez dans ma bouche, encore et encore. Je suis au bord de l’étouffement, mais je ne laisse perdre aucune goutte de votre jouissance. Quand votre pression se relâche, je sors mon visage de votre étau reprend ma respiration.

    Je vois votre visage radieux, votre sourire illumine la pièce, vous êtes si belle !

    « Viens près de moi mon Titou »

    Je m’extirpe de l’intérieur de vos cuisses pour m’assoir à coté de vous.

    « Merci Titou, approche toi, donnes moi tes lèvres que je goutte mon plaisir.»

    Je me penche alors vers votre visage et vous m’enlacez dans un baiser fougueux où votre langue vient jouer avec la mienne et goutter les restes de votre plaisir. Il se passe comme un instant d’éternité dans cette pièce à la lueur orangée.

     

    Fantasme inavouable par Titou…

     

    Acte 3 – La récompense :

     

    « Allonges-toi, mon Titou ». Vous me faites un peu de place sur le lit, et vous asseyez à mes côtés.

    C’est dorénavant vous qui prenez les commandes et redevenez Maitresse de la situation. C’est à votre tour de ma caresser le visage, qui venez ouvrir mes lèvres pour m’embrasser amoureusement.

    Vos mains si douces commencent à caresser ma poitrine, à caresser mes seins, à pincer mes tétons doucement, ou fort selon vos envies. Mon sexe est toujours aussi tenu et je crains de jouir au moindre contact.

    Je respire de plus en fort, je ne peux retenir mes soupirs de plaisir. Je suis très sensible à vos caresses et à vos douces tortures, d’autant que vous savez y faire. Je profite de l’instant avec délectation, je me laisse bercer par la chaleur de la pièce et j’admire votre nudité et vos formes mouvantes sous l’effet de la lumière vacillantes des bougies. Je voudrais à nouveau poser mes mains sur votre peau, sur vos seins et vos fesses, mais je n’ose prendre une initiative hasardeuse.

    Vous prenez un coussin que vous me demandez de glisser sous les reins.

    « Ecarte les cuisses, mon Titou ! »

    Alors que j’installe le coussin au mieux et que j’écarte les cuisses, vous sortez de votre table de nuit un nouveau jouet, un vibromasseur avec un appendice pour titiller la prostate et un second pour le périnée. Vous êtes fière de mon montrer ce nouveau joujou et me gratifiez d’un sourire bienveillant.

    Une petite goutte de gel, et vous enfournez sans rencontrer la moindre résistance ce vibro dans ma chatte avide de ce nouveau plaisir. Sans stopper vos caresses si douces, vous appuyez sur le bouton du vibro pour en tester les diverses possibilités. Je ressens comme une décharge électrique lorsque l’engin commence à vibrer dans mon cul. La première position déclenche une vibration continue, la seconde en augmente la force, certaines positions produisent des à-coups plus ou moins forts. Ma chatte ainsi remplie par ce jouet vibrant renforce mon plaisir, ma prostate ainsi massée ne va pas tarder à déclencher ma jouissance.

    Alors que je suis au bord de l’explosion, vous vous penchez pour embrasser mes bourses totalement épilées, vous les léchez et vous jouez avec le vibromasseur.

    « Tu peux jouir, mon Titou, branle toi maintenant ».

    Sans lâcher mes bourses, votre regard plonge dans le mien, vos yeux émeraude brillent du plaisir malicieux de m’en donner. J’admire une dernière fois vos formes généreuses, ma main prend possession de mon sexe dur comme un pieu, et en deux ou trois va-et-vient je ne peux retenir ma jouissance libératrice et je recouvre mon ventre de ma liqueur blanchâtre, dans un ultime soupir. Vous recueillez le sperme qui vient se souiller mon ventre avec vos doigts délicatement manucurés, et vous me les donnez à lécher afin de ne perdre aucune goutte de ma jouissance.

    Vous coupez les vibrations et retirez délicatement l’objet de ma chatte.

    Les larmes me montent instantanément aux yeux. Je fonds en larme sous votre regard bienveillant tant la tension fut forte.

    Vous me gratifiez d’une petite caresse sur la joue pour essuyer mes larmes et m’aider à me calmer, avec un grand sourire. Je suis dans un état de béatitude.

    « Allez, éteins les bougies et va te coucher Titou », me dites-vous en indiquant le tapis posé devant la cheminée !

     

    Epilogue :

     

    Allongé sur ce tapis, nu devant la cheminée de votre chambre, le sommeil a du mal venir. J’entends avec délectation votre respiration calme qui indique que vous avez sombré dans un sommeil réparateur. Moi, je me demande encore si j’ai rêvé ou si ce qui vient de se passer est réel.

    J’espère ne jamais m’endormir, au risque de me réveiller en pleine chimère…

     

     

    Un fantasme inavouable qui ne m’a pas laissé insensible, bien au contraire ;
    Le détails de la scène, savamment distillés ajoutent au charme et à la tentation ;

    J’aime ! Et je rêve… Sourires…

    Madame.S


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  • Le physique par Titou…

    Bonjour Maîtresse,

    Je réponds avec un peu de retard à votre question autours de l’influence du physique d’une Dominatrice sur la soumission, sur ma soumission.

    Pour commencer, je dois vous dire que j’aime les femmes, j’aime leurs formes, leurs seins, leurs fesses, leurs cuisses, la douceur de leur peau. J’aime leur visage, leurs cheveux, qu’ils soient courts ou longs, blonds, roux ou noirs. J’aime leurs yeux bleus, leurs yeux noirs, leurs yeux verts. J’aime leurs lèvres, leurs visages. J’aime admirer leurs jambes, imaginer leurs cuisses cachées sous leurs jupes plus ou moins longues. J’aime leurs pieds en imaginant leurs orteils parcourir mon visage.

    Et vous le savez, j’aime particulièrement les femmes avec des formes, et principalement les femmes qui assument leurs formes. J’adore voir des femmes qui se promènent en minijupe alors qu’elles ont des grosses cuisses et de belles fesses callipyges, sous les quolibets de la plupart des hommes.

    La société moderne encense les femmes fines, voir maigres, comme l’ont montré les dernières polémiques sur les mannequins qui défilent pour les grandes maisons de couture.

    Assumer ces formes pour une femme nécessite une force de caractère particulière. Et c’est probablement la raison pour laquelle les femmes fortes sont naturellement plus dominantes que les autres car elles ont dû assumer ce qui peut apparaître comme une différence plutôt mal vue dans la société actuelle.

    J’ai fréquenté quelques Maîtresses professionnelles dans ma jeunesse, je ne saurais décrire avec précision leurs physiques. A part Maîtresse Sulfure, à Lyon. Elle n’était pas très grande, avait de longs cheveux noirs qui tombaient sur ses épaules, et des formes magnifiques, des fesses aux belles formes et une poitrine généreuse. Mais ma dernière était Maîtresse, Olivia était un homme travesti, et ce n’est certes pas son physique qui m’avait attiré.

    Pour moi, ce qui compte chez une dominatrice, c’est son charisme. Une posture, une manière de parler, un tempérament, un vocabulaire, voilà me semble-t-il les traits qui caractérisent une Dominatrice. Une capacité à donner des ordres, une capacité à humilier, mais surtout une écoute, car dominer, c’est également écouter et entendre le soumis, comprendre et sentir ses limites, savoir l’emmener au-delà de ses limites en douceur et le faire progresser, encore et toujours. Et une Dominatrice doit également avoir un petit grain de folie pour dépasser les codes, oublier les convenances et faire fi de la bien-pensante qui caractérise la société moderne.

    Alors, pour conclure, je dirais que le physique d’une Dominatrice a moins d’importance que son attitude charismatique.

    Enfin, s’il fallait choisir la Maîtresse idéale, je dirais qu’Elle aurait les yeux vert émeraude, des cheveux noirs, une poitrine généreuse, et des fesses rebondies, et sans aucun doute, Elle serait Alsacienne !

    Titou.

     

    Le physique par Titou…

     

    Pour rappel…

    Le physique !?

    Une nouvelle question que je me pose et j’aime l’idée que vous allez me répondre, sincèrement…

    Le physique d’une Maîtresse va-t-il pour vous une « grande » importance ?

    Etes-vous sensible au fait que cette femme soit menue, mince, plutôt ronde ou forte. Et selon vous ; cela aurait-il tendance à vous rendre plus soumis ?

    Je veux dire, est-ce que cela va être pour vous un facteur pour être plus soumis et avoir envie de vous mettre à ses pieds ?

    Mais aussi. Le fait qu’elle soit brune, blonde ou rousse ? La couleur de ses yeux ? Sa façon de s’habiller ?

    Sa prestance, sa façon de se mouvoir, de s’exprimer ?

    Ou alors vous êtes totalement indifférent à son physique et l’ensemble de sa présentation aux autres personnes ?

    Seuls ces ordres vous sont importants ?

    Parlez-moi. Plus en détails…

    Vous pouvez soit m’écrire votre commentaire ou m’envoyer un texte plus long que je publierais bientôt.

    Madame.S


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  • Le retour de Titou…

     

    Chers soumises et soumis de Madame S,

     

    Le 13 septembre dernier, vous avez appris, par un article sur le blog de notre Maîtresse, que j’avais pris la décision de quitter le service de Madame S.

    Peut-être aviez-vous compris le sentiment de tristesse qui m’habitait lorsque j’ai pris cette décision.

    Les raisons qui m’avaient conduit à prendre cette décision étaient d’ordre totalement privé et intime, sans aucune remise en cause de ma relation avec Madame S.

    Madame S était dubitative quant à ma capacité à quitter son service durablement, mais je me suis cru suffisamment fort pour ouvrir une nouvelle page de ma vie, une page dédiée à d’autres personnes de mon entourage.

    Force est de constater qu’Elle avait raison. Je pensais pouvoir détruire le soumis qui représente une part « sombre » de ma personnalité. Mais ma soumission fait partie intégrante de ma personnalité. Je pensais pouvoir oublier Madame S, même si je savais qu’Elle ne quitterait pas mon cœur avant de longs mois.

    Je n’ai pas cessé de suivre vos histoires et vos exploits sur le blog de Madame S. Je n’ai pas voulu publier de commentaires, mais je ne vous ai pas réellement quitté.

    Et puis, le 2 novembre, Madame S a publié une lettre d’Arya dans un article intitulé « Je pense à vous ». Je pense à vous ! Combien de fois ai-je écrit ces 4 mots à Madame S, par mail, par SMS ou sur son blog ? Lire ces 4 mots qui représentent tant pour moi m’ont mis en émoi, et je n’ai pu résister à poster un commentaire. Ce commentaire a déclenché une nouvelle prise de contact et Madame S a su trouver les mots, des morts forts de sens et qui m’ont convaincu de la forfaiture de mon projet d’enterrement de Titou, soumis de Madame S. Il ne m’a fallu que quelques heures pour comprendre que ma place était, sans conteste, aux pieds de Madame S et que je devais revenir auprès d’Elle.

    C’est avec un immense plaisir que je reviens parmi vous, avec toujours la même envie d’être un soumis que Madame S pourra être fière d’exhiber.

    Je profite de ce moment pour remercier publiquement Madame S. Elle a su trouver les mots qui nous ont permis de nous retrouver, des mots très intimes qui resteront entre nous. J’ai hâte de reprendre ma place pleine et entière parmi vous.

     

    PS : je profite également de ce message pour souhaiter la bienvenue à Arya, et la remercier pour sa missive sans laquelle je n’aurais peut-être pas repris contact avec Madame S.

     

    Titou.

     

    Le retour de Titou…

     

     

    Je ne dirais que quelques mots, j’avais été marquée de voir partir mon Titou, mais j’avais compris alors ces motivations et ses obligations ainsi que ses choix ; Je ne pouvais donc en juger.

    Nous avons toutes et tous nos vies et tout ce qui en dépend. Je respecte fortement cela. Mais j’étais triste de le voir partir vers de nouveaux chemins.

    Je suis heureuse de ce revirement de « situation ».

    Un nouveau départ, un nouveau chemin. Ensemble...

    Et contente que Titou ait osé revenir vers moi, à mes pieds, pour de nouvelles aventures ; Sans doute parce qu’on ne peut pas se passer de sa Divine Madame.S et qu’elle est éternellement "Elle"…

    Madame.S


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  • Titou The end…

     

    Chers soumis et soumises de Madame S,

     

    Je vous écris ce jour pour vous annoncer que, pour des raisons personnelles, j'ai quitté le service de Madame S.

    C'est avec beaucoup de tristesse que j'ai pris cette décision.

    J'ai été très fier d'être le soumis de Madame S, de participer à ses défis, de me mettre à nu, dans tous les sens du terme, devant Elle.

    J'ai aimé partager ces moments avec vous à travers son blog, admirer vos photos et lire vos commentaires.

    J'ai eu beaucoup de plaisir à croiser le chemin de Madame S, Elle a su me dominer à distance, avec autorité et justice.

    Madame S est une Dominatrice dans l’âme, vous le savez mieux que moi. Mais Elle à quelque chose de plus, c'est son empathie naturelle, et c'est une grande chance d'appartenir à une telle Maîtresse.

    Je compte sur vous être encore plus présent et plus soumis que jamais, et l'aider à m'oublier.

    Je vous souhaite de vivre de nombreux moments de soumission et de partage avec Elle, je ne l'oublierai pas !

     

    Titou.

     

    Titou The end…

     

    Un cœur a souvent deux portes ; l'une pour vous faire entrer, l'autre pour vous faire sortir.

    Honoré de Balzac.

     

    Sois heureux, c'est le dernier vœu que forme mon cœur brisé.

    George Sand.

     

    Madame.S


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  • Journal intime Titou - Semaine 28

    • Lundi 10 juillet

    Je n’aime pas le lundi, l’ai-je déjà dit ? Je me suis couché avec une boule au ventre hier soir, mais finalement, le réveil n’a pas été si difficile. J’ai rêvé d’Elle, j’ai rêvé qu’Elle m’ordonnait de l’appeler, immédiatement, alors que j’étais à la maison, entouré de ma famille, dans l’impossibilité de m’éclipser. Je sais pourquoi j’ai fait ce rêve, je sais pourquoi Elle cherche à me punir !

    • Mardi 11 juillet

    Il y a quelques semaines, un homme a repris contact avec moi. Il s’agit d’un senior de 68 ans, que j’avais rencontré il y a plusieurs années à travers le site www.smboy.fr. Son plaisir consiste à donner des fessées et à se faire sucer sous ses directives, le soumis n’ayant pas le droit de jouir. En ce mois de juillet, il semble être un peu en galère pour trouver des soumis, et malgré ma barbichette (il n’aime pas les poils, ni sur le visage ni ailleurs), il m’a demandé si j’accepterais de venir à nouveau chez lui. La synchronisation de nos agendas fut relativement longue, et rendez-vous est pris pour aujourd’hui.

    JM est un grand homme, 1m93, je me sens tout petit devant lui, cela accentue son côté dominant. Il m’accueille avec un grand sourire et me conduit dans sa chambre. Après avoir fermé les rideaux, il m’indique la chaise sur laquelle poser mes habits, tous mes vêtements sauf le slip. Je me trouve rapidement nu ou presque devant lui, debout les mains dans le dos. Il m’aveugle avec une écharpe solidement serrée sur les yeux, impossible de voir quoi que ce soit. Je n’aime pas me tenir debout sans rien voir, la peur de tomber, mais je ne suis pas inquiet de ce qui va se passer, je me sens en totale confiance.

    Avant que les choses ne démarrent, il me laisse ainsi plusieurs minutes, seul, à imaginer ce qui va se passer. Je l’entends faire couler de l’eau, j’imagine qu’il se met nu et qu’il se lave le sexe, mais je ne peux que me perdre en conjectures car je ne vois strictement rien de ce qui se trame.

    JM est revenu pour s’assoir sur le lit devant moi et il me regarde sous toutes les coutures. Il critique vertement mes poils sur le ventre et sur la poitrine, il félicite mon rasage du sexe, du pubis et des fesses, me faisant néanmoins remarquer un poil disgracieux sur la fesse droite. Il me tourne dans tous les sens, me caresse, me scrute. Il comprend que, marié, les marques ne seraient pas de bon aloi. Après quelques palpations faisant réagir mon corps avide de caresses, il comprend que je ne suis pas un soumis « bourrin » selon son expression, et que je réagirai à ses sollicitations.

    Il me demande maintenant de me coucher sur sa cuisse, le torse posé sur le lit. Il repositionne au mieux mon slip et commence à me donner une petite fessée. Pour ne pas me faire de marques, ses claques ressemblent plus à des caresses. Je n’ai presque rien senti, et il me baisse le slip d’un coup sec. Ses claques reprennent, alternées de caresses, et la situation commence à me faire bander. Car il en profite pour ma caresser les seins, écarter mes fesses, tapoter un peu partout. Je me sens bien dans cette position, pris en main par un homme viril, même si je dois avouer que s’il accentuait ses claques, je prendrais vraiment plus de plaisir.

    Ayant considéré qu’il s’était suffisamment occupé de moi, il me demande de me remettre debout devant lui, et constatant une légère érection, il fait mine d’en prendre ombrage et tente de me faire débander à coups de martinet. Encore une fois, les lanières du martinet ressemblent plus à des caresses, caresses qui auraient plutôt un effet émoustillant sur mon sexe. Il choisit alors de tester mes seins, et me pose des pinces sur chaque téton. Voyant que ces pinces ne me font guère frémir, il accentue la pression et entreprend de me serrer, notamment le sein droit, de plus en plus fort. Il appuie toujours plus fort, il me fait mal, mais je ne dis rien, je transpire mais c’est tout. Il est satisfait, me laisse les pinces sur les seins, et me fait mettre à genoux.

    Là, il va me guider pour que je suce un sexe que je n’ai pas vu. Les mains dans le dos, je le lèche, je le suce, je le fais grossir. Il ne bande pas très dur, ce qui n’est pas surprenant pour un homme de son âge opéré de la prostate. Il me guide, me demande d’y aller doucement, me donne des ordres sur ma manière de faire. Il veut se sentir assez profond dans ma bouche, et surtout il veut sentir ma langue. Son sexe a grossi, son gland est devenu énorme et me déforme la bouche. Il prend son temps et je commence à avoir mal tellement il est gros dans ma bouche. Il va jouer avec ma bouche de longues minutes, je sens une première pince tomber, puis la seconde, j’ai chaud, je lèche, je suce, je suis son soumis, je suis un vagin buccal.

    J’ai réussi à l’exciter, il a durci encore un peu plus, il souffle, et dans un énorme grognement et avec quelques coups de reins puissants, il jouit, encore et encore. Malheureusement, il ne jute plus, tout part dans sa vessie. Dommage.

    Il m’a épuisé, mais il est content, alors moi aussi. Il me redresse et pour me remercier, il caresse mon corps, ma poitrine, mes tétons, mes fesses, mes couilles, mon sexe. Il a vu que j’étais réactif à ses caresses, alors il ne s’en prive pas, il en abuse même, et moi j’aime ça, j’adore, je fonds, je me sens comme une femme dont on s’occuperait avec amour. Il s’amuse de me voir me trémousser, il commente, et quand il m’annonce qu’il va me laisser repartir, je fonds en larmes, à la limite des sanglots, non d’ailleurs pas à la limite, en sanglots. La séance a été assez longue, je me sens félicité, l’émotion vient de me submerger.

    Je ne sais s’il voudra me revoir, un soupçon de domination. J’ai tant besoin de domination, il faut que je trouve le moyen d’aller voir Madame S !

    • Mercredi 12 juillet

    Ce matin, j’ai reçu un mail d’un arabe qui répondait à une de mes annonces qui traine encore sur Internet. Je pense l’avoir déjà rencontré, au vu de son adresse, mais sans certitude. Je confirme un rendez-vous pour le soir même.

    Il me reçoit en tee-shirt. Ce n’est pas la personne que j’avais déjà vu. Il est bavard et très excité. Il avait parlé de prendre une douche ensemble, mais il préfère me conduire directement dans la chambre. Son sexe est encore mou et je tente de le faire grossir dans ma bouche. Lui a envie de me caresser, de me sucer, de me lécher le cul. Il me caresse les fesses et mouille mon trou, il me prend me met un doigt, deux doigts, trois doigts, quatre doigts. Je crois qu’il veut me fister, mais il est trop rapide et brutal, il me fait mal. Je m’éloigne de sa main, il comprend mais il est toujours aussi excité. Il m’a donné quelques claques sur les fesses et en l’absence de résistance de ma part, il comprend rapidement que j’aime. Alors il y va, il calque, la gauche, la droite, au milieu (j’adore sur le trou qui se dilate), et il recommence, de plus en plus fort, quel pied !

    Je vais rester presque une heure avec lui, il adore me baiser la bouche moi allongé lui au-dessus de moi, me tartinant le visage avec ses couilles, son sexe, son cul, je me sens humilié par cet homme qui me promène le sexe encore mou sur ma figure. Mais rien à faire, il ne réussit pas à bander. Je vais tout essayer pour lui donner de la vigueur sans succès. Epuisé par toutes les positions qu’il me fait prendre, je lui fais comprendre que je vais le quitter. Il tente alors de me prendre le cul à la cuillère, j’aime sentir son sexe tenter de me pénétrer, mais rien à faire, il ne bande pas. Il me suggère de me mettre sur lui et je tente de me sodomiser et de m’empaler sur son sexe, en le branlant. Rien à faire. Je vais alors me masturber la chatte sur son sexe tout mou, et le laisser me branler avant de jouir sur son ventre. Dommage, nous aurions pu prendre un plaisir réciproque.

    Image du soir, un ciel fourmillant d’étoiles filantes, des vœux de Madame S ?

    • Jeudi 13 juillet

    Journée intense au boulot, mais dans la bonne humeur. J’ai besoin de vacances, je suis épuisé. J’ai besoin de ma Maitresse, je ne sais pas comment y arriver !

    • Vendredi 14 juillet

    Belle maman a dormi à la maison, comme une à deux fois par semaine, selon ses rendez-vous chez le kiné avec mon épouse. Mais ce soir, nous sommes invités à l’anniversaire surprise -60 ans- de ma belle-sœur, sa fille et la sœur de mon épouse, organisé par la fille ainée. Elle a décidé de préparer des verrines et des pizzas.

    Nous avons passé la soirée chez ma nièce, au milieu d’une famille que nous n‘apprécions guère, y compris mon épouse, et je me sens si loin de Madame S, je voudrais être à ses pieds. Malgré la présence de la petite fille, je me sens seul au milieu de ces gens qui s’amusent !

    • Samedi 15 juillet

    Tellement de choses à faire, les courses, le chauffeur, la cuisine.

    Une récompense, une heure passé chez les enfants, Karini souriante en se levant de sa sieste. Il y a des instants où on comprend pourquoi on a planté une petite graine, pourquoi la vie mérite d’être vécue.

    J’aimerais avoir le don d’ubiquité, j’aimerais pouvoir m’occuper de tous les gens que j’aime, simultanément, je ne suis qu’un homme, et pas toujours très courageux.

    Madame S, je pense à vous.

    • Dimanche 16 juillet

    J’ai fait la cuisine, des pilons de pintade à la bière, trop bon. Le jardin, un peu de repassage, je voudrais vraiment soulager ma femme, d’autant que nous recevons un couple d’amis le week-end prochain, et je sais qu’elle voudra tout faire pour que la maison soit nickel.

    Maîtresse, vous me manquez.

    Journal intime Titou - Semaine 28


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  • Le carcan...

    Le carcan... 

    Le carcan...

    Le carcan...

    J'ai enfin pris cette photo à coté de mon sexe libéré de son carcan, heureux d'avoir souffert pour sa Maîtresse.

    Et je l'ai enfin posé fièrement sur le bureau sous la télé.

    Comme je vous l'avais indiqué, j'étais en déplacement et j'ai donc passé la nuit dans ma chambre d’hôtel.

     

    Je vous ai raconté il y a peu comment, lors d'une de mes toutes premières séances club SM de l'Antre, Maître Caïman avait réalisé un moulage de mon sexe à la cire, et que ce moulage était malheureusement parti à la poubelle à la fermeture du Club.

    J'ai donc envisagé de m'en faire moi-même. Dans ma valise, j'ai donc emmené une bougie et une boite d’allumettes.

     

    Le soir venu, je me suis enfermé dans la salle de bain avec ma bougie, pour éviter de déclencher l'alarme incendie installée dans la chambre de l’hôtel.

    J'ai commencé par ma ligoter le sexe, afin de le rendre plus ferme pendant la séance à venir.

    Je me suis assis sur des feuilles de papier pour éviter de salir le sol, les cuisses bien écartées, et j'ai commencé à faire couler la cire, bien méticuleusement, en essayant de ne laisser aucun trou.

    Cela faisait bien longtemps que je n'avais plus ressenti la brûlure de la cire, et je dois avouer que cette sensation m'avait manqué. Les premières gouttes de cire m'ont procuré une douleur intense mais fugace, douleur que a fait un peu plus durcir mon sexe. C'est sur le méat que j'ai le plus souffert. Mais j'avais tellement envie de réaliser ce moulage pour vous que rien n'aurait pu m’arrêter. Alors j'ai continué, devant, derrière, sentent de nouvelles coulures brûler les parties intactes de ma peau. C'était violent et bon à la fois.

    Le moulage était enfin réalisé, et la bougie était bientôt arrivée à la fin.

    C'est là que j'ai eu l'idée de vous montrer combien Titou peut avoir le feu au cul quand il pense à sa Maitresse.

    J'ai donc mouillé la bougie éteinte pour me la mettre dans le trou, et avec difficultés, et ne m'y prenant à plusieurs reprises, j'ai réussi à rallumer la bougie.

    Celle-ci étant devenue bien courte, j'ai rapidement ressenti la chaleur de la flamme, entendant même des crépitements, comme s'il restait des poils à faire griller. J'ai mis un peu de temps à réaliser les 2 photos suivantes, et il était temps car j'avais, en fin de shooting, le feu au cul au sens propre.

    J'ai adoré ce moment d'auto masochisme en l'honneur de ma Maitresse.

    Pour finir, j'ai pris quelques photos de mon moulage, à coté de mon rosebud, afin de montrer les proportions de cette "œuvre".

    Merci Maîtresse de m'avoir inspiré ce moment.

    Je sais que vous m'aviez suggéré d'être sage le soir à l’hôtel, mais je sais également que vous saviez que c'était sans espoir…

    Merci encore pour le moment où j’ai pu vous appartenir, même sans Votre présence…

    Titou.

    Le carcan...

    Le carcan...

    Le carcan...

    Le carcan...


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  •  Fantasme iconoclaste...

    Un jour par hasard j’ai découvert le blog de Madame S. Enfin, peut-on appeler cela du hasard !

    J’y ai découvert une Dominatrice humaine et très à l’écoute. J’y ai découvert une femme Dominatrice naturellement. J’y ai découvert une Dominatrice aux formes généreuses et au regard envoûtant.

    Je suis aujourd’hui soumis de Madame S, j’ai gagné le droit de l’appeler Maîtresse.

    Par définition, de par ma condition de soumis, je sais que je ne pourrai jamais donner de plaisir à Madame S, je sais que je ne pourrais jamais la caresser pour qu’elle en jouisse, je sais que seuls ses pieds me seront accessibles, et encore, si je suis sage.

    Alors, parfois, je fantasme, je fantasme sur Elle, un fantasme hautement subversif dans lequel je lui donne du plaisir.

     

    Je la vois. Elle est allongée sur son lit, légèrement vêtue d’une nuisette en soie rouge.

    Je peux admirer ses cheveux noirs dont la frange laisse à voir ses yeux couleur émeraude dont le regard mélancolique est perdu dans le vague. Ses lèvres sont rehaussées d’un rouge à lèvres carmin, mettant en valeur un subtil sourire.

    La lumière tamisée est fournie par quelques chandeliers, un faible courant d’air fait vaciller les flammes des bougies, laissant apparaître des ombres mouvantes.

    Je peux admirer ses formes généreuses, les seins lourds libres d’attaches se reposent lascivement, les tétons pointent à peine sous le frottement de la soie.

    Je suis déjà nu quand je m’assieds sur le lit. Nos regards se croisent, je fonds sous la puissance de son regard et Elle me sourit, d’un sourire enjôleur et complice.

    Mes mains s’approchent de son visage, je lui caresse ses cheveux de jade, cette chevelure est si soyeuse qu’elle me met déjà en émoi. Je m’attarde sur ses cheveux, les peignant avec mes doigts, descendant petit à petit vers ses joues à la peau si douce. J’aime caresser ses joues, j’aime caresser le lobe de ses oreilles cachées sous sa chevelure. Mes doigts s’approchent de ses lèvres, mes doigts en dessinent les contours. Madame S me regarde, ses yeux ne lâchent pas mon regard et me guident. Elle respire un peu plus fort, j’entends poindre des soupirs de contentement.

    Alors j’approche mon visage du sien, je pose mes lèvres délicatement sur son front tout en continuant à caresser son visage, j’embrasse son nez, j’arrive à sa bouche pour y déposer un chaste baiser. Mes caresses sont toujours aussi tendres, mes baisers également. J’entends qu’Elle respire encore un peu plus fort, mais c’est Elle qui décidera du moment, le mien n’est pas compté et mon être n’est tourné que vers son plaisir. Petit à petit, je sens ses lèvres qui s’entrouvrent, mes baisers se font plus appuyés et alors que mes mains sont toujours sur ses joues, je prends son visage entre mains et je plonge ma langue à la recherche de la sienne pour un long baiser fougueux et amoureux qui nous laisse au bord de l’asphyxie.

    Ces premiers instants ne sont que les préliminaires à des nouvelles caresses plus osées, car je sais maintenant que j’ai le feu vert pour aller plus loin.

    Mes mains descendent alors vers sa poitrine et j’entreprends de survoler ses seins à travers la soie de sa nuisette. Je vois sa respiration faire monter et descendre ses seins dont les tétons commencent à durcir. Je ressens la chaleur de sa peau à travers le tissu de cette nuisette d’un magnifique rouge, mais qui devient un obstacle à mes caresses. Je descends délicatement les bretelles de cette nuisette devenue gênante pour laisser apparaître la peau d’une blancheur divine, la nuisette glisse et les seins sont enfin libérés, les tétons pointant fièrement. Je prends le temps de parcourir ses magnifiques seins, je tourne autour des tétons avec mes doigts virevoltant, je les titille délicatement pour les faire durcir un peu plus et laisser s’échapper quelques soupirs d’aise de sa bouche entrouverte.

    C’est bientôt ma bouche qui vient se mêler de la partie, des petits baisers dans son cou, des baisers qui descendent toujours plus bas. Ma bouche est aimantée par cette poitrine qui vibre sous mes caresses et dont la respiration se fait toujours plus forte. Une main sur le sein gauche, ma bouche prend possession du droit, ma langue joue avec le téton avant de le sucer comme le ferait un bébé affamé. C’est tout mon être qui est affamé, affamé d’Elle, affamé de son plaisir, affamé de son bonheur. Ma bouche passe d’un sein à l’autre, mes caresses sont toujours plus appuyées et le rythme encore un peu plus élevé.

    Je sens ses mains qui me caressent les cheveux en signe d’approbation et d’encouragement à aller encore un peu plus loin.

     

    Alors, un sein toujours dans la bouche, une main caressant sa joue, je laisse vagabonder ma seconde main vers son ventre qui vibre sous le tissu soyeux, et je la laisse glisser toujours plus bas jusqu’à découvrir l’absence de tissu. Ma main est au contact de sa peau, le haut de ses cuisses est déjà brûlant au bout de mes doigts.  Je fais une pause dans mon exploration pour profiter de cet instant, pour sentir le parfum d’éternité qui se dégage, un parfum envoûtant et d’un érotisme torride.

    Je la regarde, Elle me regarde, nos regards se croisent et un éclair de sensualité brille dans nos yeux enfiévrés.

    Je décide de calmer la tension érotique qui nous électrise. Je change de position pour m’installer au pied du lit. Mes deux mains prennent possession de ses pieds. L’un après l’autre, je les masse, je m’occupe des orteils, un par un, puis de la plante des pieds et je remonter vers les chevilles. Je sais qu’Elle aime quand je m’occupe de ses pieds, quand je les cajole de la sorte. Mes mains remontent vers ses mollets pour les masser à leur tour, pendant que ma bouche s’attarde sur ses pieds. Je suce ses orteils, un par un, je glisse ma langue entre chaque orteil, je suis au service de ses pieds et du bien-être de ses jambes et de ses pieds. 

    Je lui masse les jambes en remontant vers ses cuisses, je sens à nouveau la chaleur qui grimpe. Mes mains sont arrivées en haut des cuisses, accompagnées de mes lèvres qui déposent des baisers sur cette peau brûlante. A nouveau, j’entends sa respiration et ses petits gémissements se font plus forts. C’est Elle qui décide, alors je l’embrasse, ses cuisses, son ventre, son nombril, j’attends le signal. Enfin, Elle commence à plier légèrement ses genoux et ouvrir subrepticement ses cuisses pour laisser apparaître son sexe totalement glabre. Une odeur de femme se dégage à l’instant, une odeur du plaisir qu’Elle prend sous mes caresses et mes baisers.

    Ma bouche est attirée par ce puits d’amour qui vient de s’ouvrir. Mes lèvres embrassent sa vulve, ma langue s’insinue entre ses lèvres pour se frayer un chemin dans cet antre brûlant et déjà humide. Ses mains viennent de me plaquer contre son ventre à m’en étouffer, dans un soupir qui exprime son plaisir, ma langue se met à la recherche de son clitoris. Enfin trouvé, je joue avec, je le lèche, je le titille, je le mordille, ma langue parcours son sexe de bas en haut en remontant sur son clito. Elle mouille de plus en plus, Elle prend du plaisir, mon sexe est devenu dur mais il ne servira à rien, seul son plaisir compte. Ma langue se glisse toujours au plus bas, entre son sexe et son petit trou. Elle écarte toujours un peu plus ses cuisses pour profiter du plaisir que je lui donne, j’aime tant ce moment de plaisir partagé, ce moment où ma langue est devenue un sextoy.

    Je l’aide à ouvrir ses cuisses encore, et encore, pour la pénétrer toujours plus profond, pour titiller son anus qui frémit au passage de ma langue agile. Tout devient humide, il fait chaud, son antre est brûlant, l’atmosphère est torride. Ses mains reprennent en main mon crane pour me guider, un peu plus haut, un peu plus bas, un peu plus profond, je m’étouffe, Elle me laisse respirer, et reprend le contrôle. Son bassin vient au-devant de ma bouche comme dans une danse érotique et torride, son jus commence à couler, son clitoris pointe toujours plus fièrement.

    Soudain, ses cuisses se resserrent sur ma tête au point de m’asphyxier, Elle jouit, Elle jouit dans ma bouche dans un soupir de plaisir, puissant, fort, violent. Mon visage est inondé, ma bouche emplie de sa jouissance et je suis moi-même au bord de la jouissance. Une pichenette sur mon sexe me ferait éjaculer instantanément. Mais je ne suis pas là pour mon plaisir mais pour le sien, et Elle vient de jouir avec une puissance torride.

    Je l’aime, mais cet amour que je viens de rêver m’est interdit.

    Quel bonheur.

    Merci Maîtresse.

     

    Titou.

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