Merci à toi Chriss, pour ces mots forts, ce partage émouvant et votre complicité indéniable ;

C’est beau, c’est fou…

Voilà une de mes dernières séances avec ma Maîtresse Suisse, c'était quelque chose de merveilleux à vivre, une de celle qui arrive sans prévenir. Chriss.

Je me suis bien préparé, je suis bien lisse partout de mon orifice à mon bas ventre et le lavement effectué.

Je me sens bien physiquement et psychologiquement une envie certaine de me surpasser ce soir, dès le début je m'applique à ma salutations.

Dès les premiers instants je sens mon envie de souffrir, de sentir les mains de maîtresse sur mes seins qui me plonge directement dans cette envie de progresser dans ma soumission et ma douleur.

Après quelques pincements déjà bien douloureux maîtresse met en place un plug qui présage une suite logique de mon cul, elle entretient toujours mes tétons de petits pincement douloureux.

Je suis déjà dans une euphorie de plaisir douloureux, maîtresse me donne la possibilité de choisir un des crochets anal, bien sûr je choisis le plus gros, mon cul est pris du crochet qui rentre facilement avec envie et plaisir de cette nouvelle contrainte excitante.

Attaché à mon collier et bien tendu je le sens bien étiré mon trou dans une formidable sensation de contraintes.

Elle place ensuite un bandeau en cuir sur mes yeux ce qui augmente encore ma discipline et mon envie de m'abandonner à ces manipulations dès cette instant tout change dans mon esprit libre de soumission.

Je me relâche complètement, laisse mes muscles devenir mous, j'ai toujours tendance à me crisper et à me tendre pour supporter la douleur ou la maîtriser, là je suis comme une poupée, une marionnette que maîtresse torture, mon corps ne réagit plus à ces douleurs seuls mes gémissements sont la vérité,

C'est trop beau, c'est trop intense que j'ai envie de me sentir vulnérable, dès que maîtresse lâche mes seins je me sent abandonné, j'ai ce besoin continuellement de souffrance, mon corps ne réagit plus j'ai installé ma souffrance dans la paralysie, souffrir plus, souffrir mieux, je laisse mon corps me submergé de plaisir, chaque pincement me fait rêver de la suivante.

La suite est merveilleuse de complicité, de mes couilles enrobés de son poids lourd à la surprise de la cire coulante sur mes seins, au glaçon qui me soulage, je suis en vie par la douleur et mon envie que cela ne s'arrête jamais…

Mon bandeau enlevé, mon corps allongé sous les pieds de maîtresse, je lui dévore les pieds de ma langue de ma bouche, la douleurs s'accentue et propage ma dévotion à mon léchage, je lèche sans m'arrêter sous toutes les douleurs infligée à mon corps d'esclave.

Les dernier instant approche, assis sur mon visage maîtresse terminé son œuvre de douleur, j'ai la peur que cela se termine trop vite, je résiste comme je peux de me toucher il me faut encore du temps à souffrir pour son bonheur, pour la remercier encore de ces traitements parfaits à mon esclavage…

Ma jouissance restera un mystère mais le plaisir était bien ailleurs.

Chriss.