• Maîtresse Isabella…

    Maîtresse Isabella…

    Bonjour,

     En reprenant le fil de votre blog, j'ai retrouvé votre demande de vous raconter nos meilleurs et pires souvenirs BDSM. Je me souviens que vous nous aviez déjà sollicité sur ce sujet, et que j'avais eu du mal à choisir le meilleur moment.

    Je vous envoie ce soir le récit d'une des rencontres qui a contribué à créer le soumis que je suis aujourd'hui.

     Anton.

     

    Maîtresse Isabella

     

    Ma rencontre avec Maitresse Marika, à Toulouse, a ouvert la boîte de pandore. J’ai découvert le BDSM et cela m’a donné envie d’explorer cette voie.

    A l’occasion d’un déplacement en Avignon, j’ai pris contact avec Maîtresse Isabella. Elle se présente comme une femme mure, expérimentée, je ne pense pas courir beaucoup de risque à m’abandonner entre ses griffes.

     

    J’ai rendez-vous avec Maîtresse Isabella ce soir vers 23 heures. J’ai cependant réussi à me libérer un peu plus tôt que prévu, et j’ai pu avancer d’une demi-heure notre rencontre.

    Elle habite dans un petit village à côté de l’aéroport d’Avignon, un pavillon cossu caché derrière un portail imposant. Elle a laissé la porte ouverte le portail ouvert afin que je puisse garer ma voiture, à côté d’un 4x4 et d’une Mercedes. Maîtresse Isabella semble à l’abri du besoin, j’en déduis qu’elle pratique le BDSM pour son plaisir.

    Je l’appelle au téléphone dans la cour pour qu’elle vienne me chercher, et elle m’accueille sur le perron de son pavillon.

     Maitresse Isabella est une belle femme d’une quarantaine d’année. Blonde aux yeux bleus, elle a revêtu une jolie tenue de dominatrice : une mini-jupe en cuir noire, des bas de la même couleur, et un bustier qui met en valeur sa poitrine.

    Elle m’accueille fermement et me conduit directement à l’étage dans une pièce mansardée agencée en donjon.

    Elle me montre un vestiaire et me quitte le temps que je me déshabille. La pièce est petite, mais présente un matériel assez fourni. Un sling accroché à des chaînes, une poulie d’où pend une corde, une chaise en cuir et un carcan.

    J’ai le temps de détailler le contenu de la pièce pendant que j’ôte mes vêtements, et je sens la pression monter le temps que dure cette attente qui me parait interminable.

     Maîtresse Isabella pénètre enfin dans la pièce, et me découvre à genoux sur le tapis. Elle me questionne rapidement pour connaitre mon niveau, et découvre que je suis novice en la matière, ce qui ne semble pas l’émouvoir.

    Profitant de ma position, elle s’installe confortablement sur la chaise et me donne ses chaussures à lécher. C’est une première pour moi, et je m’applique de mon mieux à lustrer ses escarpins. Elle retire alors ses chaussures, pour me donner ses pieds odorants à sucer. J’ai instinctivement un mouvement de recul et elle me fourre son pied dans la bouche pour me forcer la main. Je vais alors m’appliquer à suivre ses injonctions, et cette humiliation inconnue pour moi jusqu’à ce jour commence à me faire de l’effet. Je vais donc me lâcher, et m’occuper des pieds de cette Maîtresse avec ferveur. Je suis vraiment fait pour être aux pieds d’une dominatrice !

    Elle me fait mettre à quatre pattes, et s’assied sur moi. Ainsi à cheval sur son soumis, elle me donne une fessée magistrale. Appuyant sur mon dos de tout son poids, je ne peux fuir la punition, et je sens mes fesses chauffer, ce qui n’est bientôt plus aussi désagréable qu’on pourrait le croire.

     Après cette séance à ses pieds, Maîtresse Isabella me demande de me redresser devant elle. Je bande légèrement pour l’instant. La voilà qui prend une corde, et qui me ligote le sexe, ce qui le fait durcir immédiatement. Une fois bien serré, elle passe la corde dans la poulie accrochée au plafond, qu’elle tire au maximum. Je suis donc maintenant attaché par la queue, les mains menottées dans le dos. Elle accroche quelques pinces à linge sur mes seins et sur mes couilles, sans que cela ne me fasse trop souffrir. Me voici dorénavant à la merci de Maîtresse Isabella. De ses mains gantées, elle brutalise mon sexe en le giflant, en le tordant. Cela me fait mal, mais me fait bander encore plus fort. Elle prend alors des baguettes avec lesquelles elle me frappe le sexe. Cela me fait mal, mais si je recule, je tire sur la corde et je ne peux donc pas m'enfuir. Maîtresse Isabella est en train d’éveiller mon côté masochiste, soft à cette époque, mais néanmoins sous-jacent.

    Cette séance me semble durer des heures, mais ce n’est certainement qu’une impression.

     Maîtresse Isabella me détache bientôt, et me conduit vers le sling.

    Je m’allonge dessus en suivant ses instructions, puis elle me passe des bracelets en cuir aux poignets et aux chevilles. Elle accroche ensuite mes mains aux chaînes, les bras tendus, avant de faire de même avec les pieds. Je suis maintenant allongé face à elle, les cuisses outrageusement écartées, à son entière disposition. Je la vois alors s’équiper d’un gode ceinture, ce qui est une nouveauté pour moi. Le gode dont elle est équipée me parait énorme, et je ne sais pas comment je vais accueillir cet engin dans mon fondement. Elle a mis des gants en latex pour enduire le trou du cul de gel, et elle se place à l’entrée de mon anus. Je ne suis pas encore ouvert à cette époque, et quand elle force l’entrée, je sens comme une déchirure. J’ai mal, mais je n’ose le dire. Petit à petit, elle fait pénétrer le gode dans mon boyau, et la douleur ne cesse pas. Elle m’encule maintenant jusqu’à la garde, et entame des mouvements de va et vient. Je tente de me retirer, mais je suis attaché et ne peux me sauver. Elle sait manifestement manier le gode ceinture, et semble prendre du plaisir à me sodomiser, un plaisir qui n’est malheureusement pas partagé. Je refuse cependant de me plaindre, mais ma queue a complètement débandé, malgré ses tentatives de masturbation.

    Cette sodomie va durer trop longtemps à mon gout, même si mon anus commence à s’habituer à cette sensation.

     Maîtresse Isabella me détache enfin, en me demandant si je suis content. Pour ne pas la décevoir, je lui réponds par l’affirmative. Elle me propose alors de prendre une douche, et me conduit dans une petite pièce attenante, prévue à cet effet. Je commence à faire couler l’eau froide sur mon corps sous le regard de Maîtresse Isabella. Elle m’ordonne brusquement de m'assoir dans la douche, face à elle. Elle écarte son string en cuir, et me donne sa chatte à lécher. Je me jette sur son sexe pour lui donner du plaisir, en me masturbant frénétiquement. Soudain, je sens un goût âcre dans ma bouche. Ce n’est pas l’odeur d’une femme qui jouit. Maîtresse Isabella est en train de me pisser dessus. Son goût est bizarre, amer et salé, mais je ne peux m’empêcher d’avaler quelques jets de son urine. Je suis en train de goûter, pour la première fois, au bonheur de la douche dorée, et j’y prends un plaisir intense immédiatement. En moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, j’éjacule au fond de la douche, avec une sensation intense, et tout en continuant à lécher la chatte de ma dominatrice d’un soir. Je sais maintenant que je ne suis bon qu’à être un WC, et j’y prends du plaisir.

     C’est la première et dernière fois que j’ai été dominé par Maîtresse Isabella, et sans le savoir, elle vient de me conforter. Je suis un soumis, j’aime être aux pieds des dominants, leur obéir, souffrir pour leur plaisir, et c’est ainsi que je prends le mien.

     

    Que vais-je donc devenir ?

     

    Maîtresse Isabella…

    «  Le sentiment amoureux… Le dé pour être délivré… »

  • Commentaires

    1
    albin
    Dimanche 19 Février 2023 à 08:40

     bonjour .très beaux récits  d'une premiere fois  j'avais l'impression de me voir a la place de Anton pour moi aussi la sodomie ne sait jamais bien passé et cela a fait partie de mon tabou je ne l'ai jamais supporté quand au pipi je ne voulais pas au début  puis c'est devenue un plaisir d'être humilié en étant obligé  de boire se divin nectar meme si je n'en ai jamais aimé le gout  tout comme les douleurs infligé par la maitresse on soufre sa fait mal  et malgré sa on bande dur on ai tout simplement soumis et maso .

    et je regrette beaucoup le temps  ou je pouvais mi consacrer entièrement.

     

      • Dimanche 19 Février 2023 à 09:08

        Il est vrai qu’Anton arrive souvent à nous faire entrer dans son récit et on s’y croirait ! Les premières font ont quelque chose de spécial et c’est alors magique ; Ensuite, certaines pratiques sont plus difficiles à accepter que d’autres, mais la Maîtresse est là pour vous aider à vous dépasser et aimer des choses qui pourraient paraître compliquées au début et qui au final deviennent un délice !

    2
    alphonse
    Dimanche 19 Février 2023 à 22:13
    Maîtresse, Anton décrit cette situation avec beaucoup de passion... fouetter, rentrer dans son petit trou et surtout uriner dans la bouche de son soumis... n'est-ce pas là l'assurance d'être en face d'une parfaite Dominatrice... et sur ce point, Vous en savez quelque chose. Servilement. alphonse
      • Dimanche 26 Février 2023 à 09:01

        Anton sait, il est vrai, nous conter ses souvenirs avec une définition précise de ces ressentis et cela est excitant en lecture pour un soumis et pour une Maîtresse !

         

    3
    Robert
    Dimanche 19 Février 2023 à 23:31
    Je me retrouve bien dans ce récit. Une première fois réussie. Être à la merci de sa Maîtresse est essentiel pour ressentir la soumission. Plus rien ne nous appartient. Merci de ce partage !
      • Dimanche 26 Février 2023 à 09:02

        Être à la merci de Sa Maîtresse est essentiel effectivement ; Lui faire confiance, Elle sait ce qui est bien pour son soumis et ce qu’Elle peut décider ou définir. Et faire subir…

    4
    Godeline
    Vendredi 24 Février 2023 à 15:30
    Le scénario revé a vos pieds Maîtresse.. être nue à vos pieds pour les lécher, être fessée sévèrement, pose de pinces…être attachée par la queue ou les testicules à votre merci et subir vos badines, être sodomisée jusqu’à la garde longuement par votre gode/ceinture … sentir sa peau échauffée, son anus en feu, son sexe douloureux et ouvrir la bouche pour boire votre champagne et m’entendre dire .. tu es ma chienne, ma salope.. tu m’appartiens…! Votre Fidèle Godeline
    5
    Godeline
    Mardi 28 Février 2023 à 18:54
    Maîtresse! Je regarde ces 2 photos, elles sont magnifiques, cette langue qui lèche consciencieusement la semelle de chaussure de sa Maîtresse et puis cette scène de ce soumis qui semble subir des assauts puissants de sa Maîtresse.. ressentir la brûlure et avoir mal pour Vous.. Votre Godeline folle.
    6
    Godeline
    Dimanche 12 Mars 2023 à 18:34
    « Être à la merci de Sa Maîtresse est essentiel effectivement ; Lui faire confiance, Elle sait ce qui est bien pour son soumis et ce qu’Elle peut décider ou définir. Et faire subir…«  Je médite Maîtresse vos paroles essentielles, petite effarouchée que je suis… Votre fidèle Godeline
    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :