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Journal intime Titou.
Semaine 17
- Lundi 24 avril
Je l’ai déjà dit, ma triple vie est parfois lourde en termes d’emploi du temps, et j’ai souvent du mal à tout gérer dans le délai que j’aimerais. Aujourd’hui, j’ai rattrapé mon retard, j’ai écrits à Madame S ce que je n’avais pas trouvé le temps de lui écrire.
Mais surtout, en rentrant du boulot, j’ai recommencé le défi orties et vinaigre. Ce nouveau défi m’avait stressé car il est arrivé alors que je venais juste de réaliser le précédent. Je suis déçu par le résultat, les photos ne sont pas terribles et les vidéos tremblotantes.
- Mardi 25 avril
J’ai passé une nuit agitée. Je me suis tellement frotté le sexe et l’entrejambe que j’ai eu des démangeaisons toute la nuit. Mais je ne regrette pas avoir fait cela pour Madame S. J’ai quand même peur qu’elle soit déçue.
Et la journée fut particulièrement longue, je suis rentré à la maison à 22 h 30, après une réunion que s’est terminée à 21 h 30. Juste le temps de manger un morceau et d’aller me coucher. Vive la vie de famille !
- Mercredi 26 avril
Journée épuisante, des rendez-vous depuis 9 heures jusqu’à 18 h. Quand on voit la reconnaissance du dirigeant, parfois je me demande à quoi cela sert. Sauf que je ne sais rien faire d’autre, et que je n’ai pas de plan B pour rembourser mes crédits.
- Jeudi 27 avril
Ce soir, j’ai un plan cul. Un homme que j’ai déjà rencontré. C’était le mois dernier, j’étais en abstinence volontaire alors que Madame S avait levé l’interdiction de jouir, et j’avais envie de connaitre cette sensation de donner du plaisir sans en recevoir, sans jouir.
Le rendez-vous est pris dans un hôtel proche du bureau. Mon rendez-vous professionnel n‘arrive pas à partir, je vois l’heure qui tourne et cela m’agace. Un collègue me fait signe qu’il va boire un coup au bistrot pour fêter un week-end de 4 jours, et je sais que je n’irais pas me détendre avec lui.
Enfin j’arrive à l’hôtel de mon rencard. Il me reçoit en caleçon, et comme convenu, je file à la salle de bain pour me nettoyer l’intérieur.
Quand je sors de la salle de bain, il est allongé sur le lit, nu. Je monte sur le lit et commence à lui lécher son sexe encore mou. Très vite, j’entends son plaisir, même si son sexe ne durcit qu’assez peu.
Je le lèche, je le suce, je suis lèche le périnée, je lui lèche le cul et le sodomise avec ma langue, il souffle son plaisir de plus en plus fort. Il me caresse les seins et se branle en caressant mes tétons de son gland, me caresse les fesses, je suis sa femelle, j’ai envie qu’il me prenne.
Enfin, il me tend du gel pendant qu’il enfile une capote. Il est resté allongé sur le dos, je décide alors de m’empaler sur sa petite bite en lui tournant le dos. Je me baise ainsi pendant quelques minutes, mais sa queue est relativement petite et je décide de m’asseoir à nouveau sur sa queue en lui faisant face.
Mais il a commencé à prendre du poppers, et commence à débander. Il décide de retirer sa capote, et je me jette sur sa queue pour lui redonner vie. Alors qu’elle a de nouveau repris une certaine vigueur, il me retourner et me prend en levrette, ma position adorée, celle où je me sens vraiment chienne. Il me baise avec vigueur.
J’ai pris aussi du poppers et ma chatte est devenue très ouverte, lui ne bande plus comme il pourrait.
Finalement, j’arrive à lui donner du plaisir, et il se retire pour ne pas jouir dans mon cul mais dans ma bouche gourmande. J’arrive tout juste à me donner du plaisir en sentant sa jouissance inonder ma bouche. Je crois que le poppers, ce n’est plus de mon âge, et j’ai du mal à me remettre de cette petite partie de jambe en l’air un peu décevante. Mais tant pis, j’aime trop me faire baiser.
Sur la route pour rentrer à la maison, je reçois un SMS du collègue qui est au bistrot, me demandant si je pense le rejoindre. Voici ma réponse : « plan cul ». J’adore…
- Vendredi 28 avril
J’ai beaucoup écrit à Madame S.
Je lui ai fait livrer des fleurs, un peu de muguet, elle le recevra demain. J’espère que cela lui redonnera le sourire.
Je n’ai pas signé la carte, volontairement.
J’ai un peu honte de ce que je vais raconter. Ce soir avant de rentrer à la maison, je suis allé voir une fille à prestation tarifée. Je l’ai déjà rencontré par le passé. Ma demande est simple, pouvoir la faire jouir juste avec ma langue.
Il s’agit d’une fille de 30 ans, latine avec un très fort accent, un très joli visage. Elle ne doit pas dépasser 1 m 50, elle a une poitrine très généreuse, et des fesses et des cuisses non moins généreuses. Elle est douce et prend son temps. Ce que j’apprécie particulièrement, c’est que malgré son imposant fessier, elle met des dessous très sexy en dentelle.
Nos rapports sont simples : elle s’allonge sur le dos après que je l’ai excité en lui caressant les seins et en léchant ses tétons et ensuite, je me place entre ses cuisses et lui lèche délicatement le clito. Je lèche partout, je glisse ma langue dans son antre, et je la fais jouir plusieurs fois ainsi. J’aime sentir son jus de plaisir couler dans ma bouche.
Ensuite, pour me remercier, elle me fait une fellation, me lèche les couilles et le périnée. Elle fait ça lentement, en me regardant avec un œil coquin. En me voyant écarter toujours plus les cuisses, elle a léché son doigt et m’a massé l’anus avec, à la limite de me pénétrer, tout en me léchant les couilles et en me regardant. J’ai pris mon sexe dans la main, et ai jouit presque instantanément, une jouissance violente. J’ai vraiment adoré la manière dont elle s’est occupée de moi, tout à l’écoute de mon corps et avec une certaine tendresse.
Elle m’a ensuite essuyé avec des lingettes, m’a refait une petite fellation pour tenter de me faire durcir à nouveau et s’est installé à califourchon sur moi. Elle m’a embrassé avec tendresse, comme le faisait ma femme il y a longtemps, et a commencé à se frotter sur mon sexe. Je crois qu’elle aurait aimé que je lui fasse l’amour !
J’ai un peu honte de faire appel à ce genre de personnes, mais je crois, non je sais que je lui ai donné également du plaisir, alors j’ai moins honte.
- Samedi 29 avril
Ce week-end s’annonçait calme. Les enfants viennent déjeuner, j’ai un copain qui est venu faire un peu de plomberie pour m’aider sur un robinet qui fuit.
- Dimanche 30 avril
Un dimanche à oublier. Je n’aime pas le dimanche…
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