• Journal intime Titou - Semaine 25

          

    Journal intime Titou - Semaine 25

    • Lundi 19 juin

    La journée a débuté par un comité de pilotage auquel participe mon patron. Il a commencé la réunion en m’envoyant un scud qui n’avait pas de rapport avec l’ordre du jour. C’est toujours bien agréable de commencer les réunions de la sorte. Néanmoins, je sens que ma séance de Reiki de vendredi a porté ses fruits, cela ne pas atteint outre mesure.

    Après le déjeuner, j’ai pris la voiture avec un collègue direction Montparnasse, je pars pour 2 jours à Marennes d’Oléron.

    Comme d’habitude, j’ai posté des annonces dans l’espoir de me faire baiser dans ma chambre d’hôtel ce soir. Et comme d’habitude, les mythos sont légions.

    Nous sommes allés diner dans un très bon restaurant, le dos de cabillaud et son risotto crémeux étaient excellent, le repas détendu.

    En rentrant, et contre toutes attentes, j’ai reçu un message d’un homme noir qui souhaitait me baiser la bouche avec sa grosse queue de black, mais uniquement si j’acceptais de le recevoir dans le noir. Je dois dire que sa demande m’a mis un peu le doute, et malgré l’heure tardive, j’ai entrepris un dialogue par mail. Finalement, je lui ai donné l’adresse de mon hôtel et le numéro de chambre. Et puis, plus de nouvelles. J’étais sur le point d’aller au lit quand on a frappé à la porte, une fois, deux fois, et il a ouvert la porte. Je n’avais pas eu le temps de faire le noir complet, alors il a reculé pour que je ne puisse voir son visage et m’a ordonné de fermer la veilleuse restée allumée.

    Il est alors entré plus avant dans la chambre et a baissé son short et son boxer, me présentant un sexe déjà prometteur alors qu’il ne bandait pas. Moi, j’étais nu avec mon rosebud dans le cul. Je suis allé vers lui à quatre pattes, et il m’a mis sa queue dans la bouche sans aucun ménagement. Ouf, il était propre. Très rapidement, il a durci dans ma bouche, et je l’ai entendu commencer à faire entendre son plaisir. Son sexe est devenu véritablement dur comme du bois, un peu comme le sexe d’un chien. Il était assez large mais pas trop long. Il m‘a baisé la bouche et m’a pris la main pour que je le masturbe en même temps. A genoux à ses pieds, je sentais ma chatte s’ouvrir sous l’effet de l’excitation, au point que le rosebud est sorti tout seul. En même temps qu’il me secouait par ses coups de boutoir, je sentais mon sexe faire le balancier et commencer à prendre forme, et je le sentais commencer à couler de ma mouille. Il m’a baisé la bouche ainsi quelques minutes et j’entendais son plaisir grandir au son de ses ahanements. Il a alors décidé de prendre les choses en main, ou plutôt la chose, et à se masturber de manière ferme et rapide, dirigeant ma bouche vers ses couilles que j’ai léchées avec plaisir. Je m’attendais à ce qu’il jouisse rapidement sur ma figure ou dans ma bouche, mais il a soudainement reculé, remis son short, et a quitté la chambre comme un voleur, sans un mot.

    Quel plan étrange, dommage, il aurait surement fait un excellent baiseur.

    Madame S m’a envoyé un message me disant qu’elle aurait ravie de m’avoir à ses pieds. Et moi donc !

    • Mardi 20 juin

    Je viens de me rendre compte que notre voiture de location est la même que celle de Madame S, même marque, même modèle et même couleur. Etonnant, non ?

    La journée de travail a été intense, riche et utile. Ce n’est malheureusement pas toujours le cas.

    J’ai tout de même dû passer du temps à chambouler mon emploi du temps. J’aurais dû rentrer à Paris mercredi soir, je vais devoir faire un détour par Limoges et je ne rentrerai que jeudi soir. Heureusement, j’ai pris l’habitude d’avoir toujours un change supplémentaire dans ma valise, et un jour supplémentaire de médicaments, pour faire face à ce type d’éventualités.

    Ce soir, alors que je dinais avec mes collègues, Elle m’a envoyé un SMS qui m’a porté à croire à sa télépathie. Il n’est pas rare que ses messages soient en résonnance avec mes actes, les lieux où je suis, mes pensées tout simplement. Cela ne cesse de me troubler.

    • Mercredi 21 juin

    J’ai déposé mes collègues à la gare de la Rochelle, et après avoir acheté une carte postale pour Elle, j’ai pris la route pour Limoges. 3 heures de route alternant les nationales et les départementales, c’est long.

    Sur le trajet, je me suis arrêté sur une des rares aires ressemblant à une aire de repos et pas un simple parking. J’ai immédiatement flairé le bon coup. En effet, un homme rodait autours des toilettes, l’air désœuvré. Je l’ai bien regardé avant d’aller faire un pipi urgent, tout en laissant la porte des toilettes ouverte. Je suis ensuite sorti, me promenant comme lui autours de la cahute des toilettes, autours des coins un peu isolés du parking, mais sans succès. Alors que je regagnais ma voiture, j’ai vu qu’il se dirigeait vers un bosquet suivi d’un autre homme. Je ne m’étais pas trompé, ils ont commencé à se branler mutuellement. Je me suis un peu approché, mais timidement, pour ne pas les forcer à un plan à trois. Ils m’ont vu mais ne m’ont pas fait signe. J’ai vu du sperme gicler et j’ai laissé mon sexe dans ma culotte.

    Je me suis réconforté en me disant qu’il faisait vraiment trop chaud (36 °) pour ce genre de bêtises.

    Arrivé à Limoges, j’ai d’abord eu la chance de trouver une place de parking alors que la fête de la musique battait son plein juste en face de l’hôtel.

    J’ai envoyé un petit mot à Madame S, lui indiquant qu’il faisait vraiment trop chaud pour sortir, espérant que mes annonces auraient du succès. Mais à Limoges comme ailleurs, il est bien difficile de trouver des plans fiables. Alors, étant resté sur ma faim après mon arrêt sur l’aire de la nationale, j’ai décidé d’aller au sexe shop de Limoges. J’ai pris un billet pour la salle de projection commune, ayant lu sur Internet qu’il pouvait s’y passer des choses. Le film était mièvre et il n’y avait personne dans la salle. Au bout d’une demi-heure, j’ai décidé de rentrer à l’hôtel. Me dirigeant vers la sortie, j’ai croisé un homme un peu plus vieux que moi qui allait aux toilettes. Il devait sortir d’une cabine individuelle. Nos regards se sont croisés, je suis retourné dans la salle de projection.

    Il est arrivé quelques minutes après, s’est installé sur un siège proche du mien et a commencé à sortir son sexe et le branler. Il me regardait, je le regardais, il s’est levé et s’est mis debout près de moi, le sexe en semi érection. Il ne respirait pas la propreté et était humide de la chaleur ambiante. Qu’importe, j’ai porté son sexe dans ma bouche. Je confirme qu’il ne sentait pas bon, une odeur de pisse et de transpiration mêlées. Mais c’était plus fort que moi, un besoin de queue, un besoin d’humiliation en suçant ce sexe malodorant. Je l’ai rapidement fait durcir, il a voulu me toucher également et j’ai baissé mon short (sans slip) et il m’a caressé. Il a voulu que je lui lèche le cul, mais là cela devenait un peu trop pour moi. J’ai sorti une capote en lui demandant de m’enculer. Mais je ne suis vraiment pas doué pour mettre les capotes, et il a commencé à débander. Il a entrepris de m’embrasser avec une langue baveuse. C’était dégoutant et humiliant, mais je l’ai laissé faire. Quand on prend les choses en main, je ne suis plus rien, j’obéis, je me laisse guider. Finalement, il m’a mis à genoux, et comme le gars de lundi soir, il m’a baisé la bouche, avec force, entrant son sexe au plus profond de ma bouche et tentant de me faire lécher ses couilles en même temps. Il m’a secoué de plus en plus fort, me faisant mouiller. Il m’a prévenu qu’il allait jouir, alors je l’ai sucé plus fort et plus rapidement, et enfin, j’ai senti son jus couler dans la bouche, plusieurs giclées. J’ai tout avalé, je sais que ce n’est pas prudent, mais je n’aime pas gâcher. Je me suis rhabillé, je suis parti à mon hôtel.

    Sur le chemin du retour, j’ai acheté des chips, et j’ai commandé une bière à l’hôtel. Il fait chaud, je n’ai pas faim, mais il faut bien que je mange un peu. Pendant ce temps, j’ai traité ma messagerie.

    Mais ma chatte est toujours en manque. Ma bouche a servi deux fois en deux jours, mais ma chatte crie famine.

    J’ai écrit ma carte postale pour Madame S avant d’aller me coucher.

    • Jeudi 22 juin

    J’ai chamboulé mon emploi du temps pour un rendez-vous de 2 heures. 6 heures de train aller/retour, juste pour écouter et rassurer. Ce n’est pas du temps de perdu car maintenant, on se connait, les problèmes se règleront plus facilement.

    Le retour en train est long, cela me laisse plus de temps pour penser à Madame S, notamment en écrivant mon journal.

    Je suis rentré assez tard à la maison, drôle de sensation après 3 jours et demi d’absence. Je devrais être content, je me sens seul et déboussolé !

    • Vendredi 23 juin

    Ce matin, je suis allé chez le dentiste. J’étais effrayé de souffrir, je préférerai souffrir sous les coups de martinets ou de fouets de Madame S. Finalement, tout s’est bien passé.

    La journée de boulot s’est bien passée, si ce n’est mon patron qui m’a appelé à 19 h, alors que je fêtais la fin de semaine au bistrot avec des collègues. Il a le chic pour gâcher le week-end !

    Journal intime Titou - Semaine 25

    « Chaleur pour ma Divine…Voilà l’été et la douceur ! »

  • Commentaires

    1
    Titou
    Samedi 1er Juillet 2017 à 08:21
    Il a fait chaud cette semaine là, une véritable canicule.
    Mais il n'y a pas eu que le temps qui fut chaud !
      • Samedi 1er Juillet 2017 à 10:37

        Effectivement, chaleur au programme !

    2
    Aline
    Samedi 1er Juillet 2017 à 09:51

    Jolies photos

    Que d'aventures !!!

      • Mardi 4 Juillet 2017 à 10:10

        Titou a toujours de jolies histoires à  nous raconter quand sa vie « s’agite ! »

    3
    aaron
    Samedi 1er Juillet 2017 à 10:42
    Maîtresse,
    Vraiment troublant que ces récits de Titou... il semble gambader d'aventures en aventures comme le ferait un papillon de fleurs en fleurs..
    aaron
      • Mardi 4 Juillet 2017 à 10:09

        Commentaire laissé par Madame.S le 04.07.2017 à 10h08

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