• Souvenir...

    Souvenir de ma première fessée "BDSM" administrée en public par une dominatrice (2009). Par Titou.

    Souvenir de ma première fessée "BDSM" administrée en public par une dominatrice (2009). Par Titou.

    L’Antre. Une Première.

     

    A force de surfer sur le Web, il arrive qu’on tombe par hasard sur des perles du Net. C’est ainsi que j’ai découvert le site de l’Antre, un site tenu par Caïman, le Maitre de sa ‘S’oumise, et qui parle d’une certaine vision du SM et d’un lieu parisien dans lequel on pratique un SM conviviale et décomplexé. J’ai de suite aimé l’ambiance de ce site, ainsi que la qualité des textes et des récits proposés par certains internautes.

    Je n’ai pas résisté longtemps au besoin d’envoyer un récit et de profiter ainsi de cette tribune pour m’exhiber un peu plus. Ma seconde publication va attirer Maîtresse Olivia et elle va prendre contact avec moi, me prenant pour un autre soumis. Le ton de son premier mail qui ne s’adresse pas à moi m’impressionne immédiatement, et j’ose lui répondre. Une fois le quiproquo levé, je ne résiste pas à l’envie de dialoguer avec elle, et c’est ainsi que j’apprends l’existence de ces après-midi organisés les jeudis dans l’Antre, dirigés par Maîtresse Olivia et Madame Isis.

    Il est 14 H, je suis à deux pas de l’Antre, et j’admire les devantures de fabricants de chemises. Il faut maintenant se décider, franchir le porche de cet immeuble cossu, sonner à la porte du fond de cours, et …

    Et j’entends des pas qui se dirigent vers la porte d’entrée, des talons qui résonnent à l’intérieur. Une main actionne la poignée et la porte s’ouvre enfin sur une femme.

    Madame Isis est une belle femme. Habillée d’une robe noire, elle arbore un sourire engageant et rassurant, même si son visage exprime une certaine autorité mêlée d’une attention féminine toute maternelle. Après m’avoir pris mon manteau, elle me fait pénétrer dans l’Antre, et plus particulièrement dans le petit salon bar, derrière lequel officie un homme souriant dans la force de l’âge. A l’annonce de mon pseudo, le visage de Caïman - car c’est bien de lui qu’il s’agit- s’illumine, et il m’offre une poignée de main chaleureuse. Caïman semble heureux de découvrir son nouvel écrivain.

    Cet accueil chaleureux me rassure, et la présence de Xavier, totalement nu au bar, finit de lever toutes mes inhibitions et mon stress. Après avoir rempli un petit formulaire destiné à mieux me connaitre, Madame Isis me prend en charge et me conduit à travers un escalier en colimaçon dans le cœur de l’Antre.

    Il s’agit d’une cave voûtée, au fond de laquelle trône une croix de Saint-André et un grand miroir dans lequel la soumise ou le soumis peuvent se regarder souffrir. Un grand tapis orne le centre de la pièce, et au milieu du plafond une corde montre que les suspensions sont de mise dans ce donjon. A l’entrée, un siège à fesser qui doit en avoir vu. Je pénètre pour la première fois dans un véritable donjon, pas une de ces pièces aménagées à la va vite,  et je suis pris tout de suite par l’atmosphère mythique de ce lieu, relayée par les chants grégoriens qui tournent en boucle. J’ai déjà l’impression d’entendre les cris des esclaves fouettés attachés sur la croix, de ces soumis suspendus et torturés criant pitié sous les coups de leurs bourreaux, des soumises enfermées dans la minuscule prison sous l’escalier et réclamant leur liberté.

    Madame Isis me rappelle à la réalité, et me présente un tréteau sur lequel elle m’ordonne de poser mes vêtements.

    Tout se passe trop vite, et je me voilà nu devant Madame Isis, à genoux sur le tapis. Elle remonte chercher Xavier, et nous échangeons quelques mots afin de détendre un peu cette atmosphère pesante. Ce matin, nous ne connaissions pas cet endroit, n’imaginions pas l’existence de l’autre, et seuls dans ce donjon, à genoux, attendant inquiets les tourments que nous sommes venus chercher, nous avons besoin de nous réconforter l’un l’autre. Ce qui n’est pas du gout de Madame Isis qui nous impose rapidement le silence de la pièce du haut. Madame Isis, en dominatrice expérimentée, connait bien les rouages de la soumission, le stress qu’engendre l’attente.

    Des bruits de talons résonnent enfin sur les marches de l’escalier, ce qui a finalement le don de me rassurer. Nous allons enfin passer aux choses concrètes, et les neurones vont cesser de tourner en boucle, au profit des sensations physiques. Madame Isis me conduit directement sur le banc à fessées, Xavier ayant déjà reçu la sienne.

    Je me retrouve à genoux, les fesses bien en évidence. Madame Isis va prendre mes deux globes en main. Elle commence par une caresse, comme si elle voulait sentir la peau de la chienne qui vient chercher son attention. Les premières claques s’abattent sur mes fesses, douces au début, puis de plus en plus fort. La douleur commence à poindre, et le plaisir avec. Une main, deux mains, l’une après l’autre, puis les deux ensembles. Ouf, ça fait mal ! Merci Madame. Je sens mes fesses chauffer, mais ce n’est vraiment que le début. Madame Isis s’est munie d’un martinet qu’elle fait siffler au-dessus de mon cul. Quand les lanières s’abattent enfin sur la chair rougie, je ne peux réprimer un sursaut. Mais la douleur fait place à la chaleur, qui fait place au plaisir. Xavier est surpris de ma résistance, et moi, j’adore qu’on s’occupe ainsi de moi. Madame Isis à bien noté que je souhaite ne pas avoir de marques afin de préserver mon jardin secret auprès de ma famille, elle fait donc bien attention à y aller progressivement.

    Souvenir...

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    Enfin, des bruits de talons se font entendre. C’est Maîtresse Olivia qui nous rejoint, suivie de Bertrand.

    Maîtresse Olivia est une travesti dominatrice. Elle est grande, haut perchée sur de magnifiques cuissardes qui montent jusqu’au milieu de ses cuisses. Ses yeux sont perçants et envoûtants, sa bouche d’une grande sensualité. Fine et carrée à la fois, on imagine rapidement l’effet que ses mains produiront sur nos fesses.

    Et sur nos trous du cul. Bertrand vient de subir un lavement, et Maitresse Olivia est venue me chercher pour la même raison. Permettez-moi de vous épargner les détails de ce moment intime, intimité qui n’existe dorénavant plus pour Maitresse Olivia qui m’a déjà totalement dominé en m’administrant ce lavement. Je ne peux plus prétendre à un soupçon d’indice de dignité face à cette Maitresse  qui m’a rempli les intestins de cette manière.

    Quand je redescends, je découvre un nouveau collègue, « lèche botte » qui s’occupe des cuissardes de Maîtresse Olivia, Bertrand est en position sur le meuble à fessée, et subit les faveurs de Madame Isis. Elle s’ingénie à lui rougir les fesses, et il ne va pas tarder à craquer. J’enrage de ne pas être à sa place, alors que Xavier continue de mater.

    Madame Isis, Maîtresse Olivia, offrez-moi vos mains, offres-moi votre expérience, offrez-moi votre perversité !!

    Ais-je parlé à voix haute ou sont-elles télépathes ? J’ai droit à une nouvelle séance sur le banc à fesser, les coups pleuvent, la brulure monte, je suis au Nirvana. Les instruments sont magnifiquement maniés par ces deux dominatrices, parfois cruellement, mais leurs mains sont toujours douces à mon postérieur. Mes fesses vont à la rencontre de ces mains, les cherchent comme si elles étaient aimantées.

    Et pour éviter que les marques ornent ma chair, Madame Isis, après cette séance musclée, tartine copieusement mes fesses de crème apaisante. Quelle délicatesse !

    Dans une pièce annexe, les gémissements de Bertrand expriment son plaisir mélangé à la douleur que lui procure Maîtresse Olivia. Elle tente un fist, et cela s’entend. Pendant ce temps, Madame Isis a déployé une bâche en plastique pour recouvrir le tapis. Elle me fait mettre à quatre pattes, et je comprends que la cire va couler. L’attente, l’inquiétude, et subitement, la première coulure de cire sur mes fesses, puis une seconde, une troisième, et je ne sais plus compter. Avec la cire, la douleur est assez vive, mais elle s’estompe rapidement. J’adore. La bougie rouge fait place à la noire, et mon trou du cul commence à se boucher à la cire. Maitre Caïman n’est pas encore content de son œuvre, et Madame Isis revient avec un accessoire pour finir cette œuvre. C’est un balai à chiotte, dont le manche se trouve rapidement fiché dans mon cul, dans l’hilarité des spectateurs. Lèche botte prend quelques photos pour immortaliser cet instant.

    Et le top, c’est qu’il faut retirer la bougie, et muni de l’énorme couteau de Caïman, Madame Isis racle la cire collée à mes fesses. La froidure du métal au contact de mes fesses brulantes me procure un effet surréaliste, je ne peux m’empêcher de tortiller du cul ce qui me vaut les réprimandes de Madame Isis qui craint de me blesser. Je me trouve ainsi frustré de ce plaisir physique que j’ai interdiction d’extérioriser. La frustration, une des facettes du SM.

    Tout le monde est monté marquer une première pause pendant que je nettoie mes cochonneries.

    A l’étage, je profite d’un petit moment de répit, entouré de mes collègues d’infortune et de deux superbes Dominas. Merci Caïman pour ce moment de convivialité. Celui-ci vient de découvrir mon gout pour les jeux de cire, et propose à Madame Isis de me faire une petite surprise. Faut-il craindre le pire ? A la fin de ce petit moment de convivialité, j’explique que j’ai amené mon collier, et propose de le mettre.

    Mon collier autour du cou, je redescends dans le lieu des supplices avec mes collègues. Les soumis sont répartis entre Madame Isis et Maîtresse Olivia. N’ayant pas annoncé plus tôt l’existence de mon collier (je vous raconterai un jour l’histoire de ce collier), je me trouve enfermé et attaché dans une minuscule prison sous l’escalier. Interdiction de baisser les yeux, car la punition consiste à regarder mes collègues soumis subir les outrages auxquels j’aspire tant. « Lèche botte a amené son appareil photo, et il se fait fesser sous l’objectif. Les deux dominas sont autours de lui, et je suis réduit au rôle de simple voyeur.

    Enfin, Maitresse Olivia vient me libérer. Je la crois très à l’écoute des mots que je ne prononce pas. Elle me libère de ce mini cachot, avant de m’emprisonner les tétons de pinces à seins reliées par une chaine. Je suis très sensible de cette partie de mon corps, et je souffre énormément. Mais je n’ai pas le temps de le dire, car Maitresse Olivia m’entraine, tiré par la chaine, vers une salle annexe. Elle veut me fister. J’avoue avoir très envie de ce moment car je suis un peu frustré d’une expérience avortée, mais plutôt anxieux après avoir vu la taille de ses mains.

    Installé à quatre pattes sur une table, Maîtresse Olivia enduit mon anus de gel. Un doigt, deux doigts, massage, va et vient que j’amplifie afin d’augmenter mon plaisir. Les doigts se multiplient, mon plaisir aussi, mais des raisons techniques ne permettent pas à Maîtresse Olivia d’aller plus loin. Quel dommage !

    Après une courte pause, je me retrouve à genoux au centre de la pièce. Caïman est descendu pour apprécier le spectacle. J’entends un énorme claquement qui résonne dans cette cave voûtée. La tension vient de montrer d’un cran au son du fouet manié de main de Maître par notre hôte. Sentant « lèche botte » particulièrement inquiet (et c’était probablement le but du jeu), Caïman tente de démontrer que cet engin n’est pas si violent quand on sait l’utiliser. Je deviens son jouet de démonstration, et je reçois les premiers coups de fouet de ma vie. En effet, Caïman titille mon dos et mes fesses. La douleur est fulgurante mais s’estompe quasi immédiatement, pour faire place à une nouvelle, le dos, les fesses, à gauche, à droite. J’avoue prendre un certain plaisir à ce qui ressemble plus à une démonstration qu’à une punition.

    Madame Isis me sort de mes pensées extatiques, et m’ordonne d’installer à nouveau la bâche en plastique pour recouvrir le tapis, pendant que « lèche botte » et Xavier se font torturer. A peine la bâche mise en place, Caïman me demande de m’installer à quatre pattes.

     Ma surprise va débuter, et c’est Caïman qui va s’en charger. Il a allumé une bougie et rapidement je sens une succession de gouttes bruler mes fesses. La cire coule et s’approche inexorablement de mon trou du cul. Je me tortille pour anticiper les coulures, j’attends cette sensation intense de brulure sur mon anus. Caïman s’amuse de me voir ainsi chercher la douleur, et quand il a enfin bouché mon cul à la cire, il m’ordonne de me coucher sur le dos. La cire s’attaque dorénavant à ma queue, et force est de constater que j’adore la violence de cette sensation, même si je ne peux réprimer quelques soupirs de douleur. La cire coule et recouvre petit à petit ma bite, Caïman m’obligeant à diriger les parties vierges de cire vers la douleur à venir. Quand la douleur est trop forte, j’ai le plaisir de sentir la cuisse chaleureuse de Madame Isis, qui s’occupe à coté de « lèche botte ». Caïman est fier de lui, ma bite est dorénavant totalement noire, et je prends un grand plaisir à cette torture. Mais Caïman en veut plus.

    Après avoir éliminé le surplus de cire noire avec son énorme couteau, il reprend une nouvelle bougie rouge. Comment savez-vous que le rouge est ma couleur préférée ? Ah !!! La douleur est bien plus violente, et j’ai du mal à résister. Mais le plaisir reprend le dessus. Petit à petit, mon sexe devient tout rouge. Que donnerais pour pouvoir l’admirer. Caïman n’est toujours pas content de son œuvre, et c’est avec un plumeau dans le cul bouché à la cire que finira mon supplice. Caïman a manifestement pris du plaisir, il est fier de son œuvre et demande à « lèche botte » de prendre des photos. Merci Caïman ! Dans son grand humanisme, Caïman retire lui-même la cire dont il a recouvert mes parties génitales, et nous adorons le moule de mon gland qu’il réussit à récupérer.

    Un grand moment, plein d’émotions, de douleur, de soumission et de plaisir vient de se passer.

    Nous montons faire une seconde pause, toujours aussi conviviale. Bertrand est occupé à masser les pieds de Maîtresse Olivia, et les conversations sont toutes axées autour du SM. Ce moment de répit, après toutes ces émotions, fait du bien aux soumis, mais également à nos dominatrices qui ont donné de leur personne pour s’occuper de nous. Pendant cet intermède, et sans que je m’en aperçoive, les conversations tournent autour de « la chose », et je n’y prête que peu d’attention, tout à l’intériorisation des sensations et des émotions que je viens de vivre.

    Quand Madame Isis nous indique qu’il est temps de redescendre dans l’Antre, tout le monde remarque que je suis le premier. J’en veux encore, je ne suis pas rassasié. Pourtant, si l’après-midi se finissait maintenant, je ne serai pas déçu bien au contraire.

    Je suis le premier à me présenter à genoux, attendant nos dominatrices. « Lèche botte » m’a rejoint, suivi de Bertrand. Quand nos Maitresses descendent enfin, elles nous font nous rapprocher les uns des autres, les mains positionnées en forme d’offrande, les yeux fermés.

    Subitement, Madame Isis pose sur nos mains « la chose » et nous autorise à ouvrir les yeux. Nous découvrons une sorte de Paddle en cuir, très épais et long d’au moins 50 cm de long, et nous comprenons que nous allons la tester.

    « Lèche botte » est le premier, bien cambré sur la croix de Saint André, mais il crie pitié assez rapidement.

    Bertrand souhaite passer avant moi et ne subira que quelques coups.

    C’est à mon tour de subir « la chose » et au vue de la réaction de mes collègues, je n’en mène pas large. Je tends mes fesses au maximum, et quand tombe le premier coup, la douleur me fait sursauter. Madame Isis me demande de compter, et après quelques assauts, elle me fait reprendre à zéro le comptage. Belle perversion. J’égrène les coups, et arrivé à sept, les numéros sortent de plus en plus difficilement de ma bouche. Je souffle un huit comme dans un râle, il me faut plusieurs secondes pour lâcher le neuf, quant au dix, je réussi à sortir ce chiffre juste à temps pour éviter un retour à zéro. Merci Madame Isis pour cette nouvelle expérience.

    Et pour continuer à faire monter l’ambiance, Madame Isis entreprends de nous rougir le ventre, Bertrand et moi, à coups de cravaches, pendant que Caïman s’occupe de nous fouetter les fesses avec une badine qui me brule comme jamais. On nous demande de chanter, ce qui est au-dessus de mes forces, tant je dois me concentrer pour retenir mes cris et mes larmes. Bertrand s’écroule terrassé par la douleur ; il est en larmes. Madame Isis me réclame alors un alphabet, que je dois réciter à chaque coup de cravache sur le ventre, alors que Caïman n’a pas lâché sa badine. J’égrène tant bien que mal les lettres, et c’est avec un sentiment de victoire et un grand soulagement que j’arrive enfin au Z. Je dois être tout rouge, et je sens quelques gouttes de sueur perler sur mon visage. Quelle épreuve !

    Après une courte pause destinée à calmer Bertrand, je reprends place sur la chaise à fesser, et c’est Maitresse Olivia qui prend un malin plaisir à faire rougir pour la dernière fois mon cul qui ne demande que cela. J’aime sentir ses mains sur mes fesses, sur ma peau déjà rougie. Elle y va crescendo, et c’est bon. Quand enfin, épuisé, elle s’assied dans le fauteuil, Maitresse Olivia m’offre ses cuissardes à lécher, un moment que j’attendais avec impatience. Je me délecte de ses pieds si joliment bottés, je les caresses de ma langue, de ma bouche, je nettoie avidement ses semelles dans un râle de plaisir, d’autant que Maitresse Olivia m’a autorisé à me caresser. Elle me permet également de sortir du banc à fesser pour pouvoir remonter le long de sa jambe, toujours plus haut.

    Madame Isis et les deux soumis nous ont quitté et ont regagné le petit salon, nous laissant dans notre intimité. Je bande un peu plus quand elle me laisse approcher de son entre cuisse. Je me jette goulument sur sa petite culotte, et je sens avec délectation que ma langue ne la laisse pas indifférente. J’ai enfin le droit de sortir sa bite déjà bien dure de son string, et me précipite pour la lécher et la prendre dans ma bouche. Quelle belle queue, son gout est vraiment délicieux. Ses mains me caressent les cheveux, ses ongles griffent mes épaules et mon dos. Je m’enfonce le plus profondément possible cet objet de plaisir au fond de ma gorge, réprimant régulièrement des haut de cœurs, ce qui me fait monter les larmes aux yeux. Je me sens vraiment dans mon élément, je suis plus salope que jamais.

    Maitresse Olivia me donne des conseils pour lui procurer toujours plus de plaisir, mieux utiliser ma langue autours de son gland, et quand elle sent que je ne pourrai réprimer le mien bien longtemps, elle m’ordonne d’éjaculer sur ses bottes et de lécher ensuite ma semence. Ma bouche quitte cette queue si dure et si belle, et je me répands en longs jets  blanchâtres sur ses bottes noires. Je crois n’avoir jamais éjaculé autant de sperme, et ce sont quatre ou cinq jets qui maculent ses cuissardes. Et quand enfin j’ai vidé toute ma jouissance sur ses bottes, je m’emploie à nettoyer au mieux les traces que j’ai faites, léchant la moindre goutte de sperme qui pourrait souiller les cuissardes de Maitresse Olivia. J’adore ce moment où je suis la salope de ma Maitresse, et prends énormément de plaisir à me transformer en chienne.

    Merci Maitresse Olivia pour avoir transformé cette fin d’après-midi en apothéose.

    Merci, merci, merci !!!

     

    L’après-midi s’achève dans le petit salon, autours d’un verre, de conversations conviviales et d’échanges de coordonnées.

    J’ai rarement passé un moment aussi intense.

    Merci Mesdames, merci Messieurs, je reviendrai…

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  • Commentaires

    1
    Aline
    Samedi 3 Juin 2017 à 09:36

    Oh la la

    Quelles photos

    Quelle reportage !

    Il ne manque que

    des photos des

    Domina !!!

      • Samedi 3 Juin 2017 à 11:00

        C’est vrai mais moi j’aurais aimé une photo de l’endroit tout simplement…

    2
    aaron
    Samedi 3 Juin 2017 à 10:12
    Maîtresse,
    Très beau et envoutant récit de Titou, j'aime sa façon de nous exprimer ses sensations...
    aaron
      • Samedi 3 Juin 2017 à 11:01

        Il y a de l’investissement, de la passion dans les récits de Titou et j’aime moi aussi lire ses expériences….

    3
    Titou
    Samedi 3 Juin 2017 à 11:30
    Je suis déçu comme vous de ne pas avoir récupéré d'autres photos dans lequel j'ai passé de grands moments. Je n'ai conserver que ces 3 photos.
    L'endroit est aujourd'hui fermé.
    Mais heureusement j'ai couché sur papiers de nombreux souvenirs.
    Si Madame S le souhaite, je pourrais envoyer d'autres histoires
      • Samedi 3 Juin 2017 à 11:44

        Dommage pour les photos, il est vrai que moi aussi je suis sensible aux ambiances et autres lieux que l’on peut montrer. Mais je comprends et quelquefois la discrétion est de mise.

         


        Je serais friande, bien entendu, de recevoir d’autres histoires, tu le sais…

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