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Tenue du soumis ; Par Anton suite…
Bonjour Madame,En commentant votre post, sur la tenue du soumis, je me suis souvenu que Maitresse Olivia avait fait coudre un tablier de couleur rouge pour moi et sur mesure pour me l'offrir.
J'ai retrouvé une photo où je le porte.
Portez-vous bien.
Anton.
Je suis touchée par cette photo que je partage avec délice avec mes lecteurs.
J’adore, pour moi tu es un véritable serviteur soubrette et tu le portes bien ce tablier !Madame.S
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Commentaires
2ChrissMardi 14 Juillet 2020 à 12:30Des instants très existant ,servire Maitresse à tous instant dans la tenue approprié mais nous restons bien sur esclave ,domestique ,soubrette ou animal de compagnie ,objet du plaisir aux ordres de notre Divine .
Chriss SV 68 175 20
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En général, j'arrive le premier dans son appartement dont elle m'a confié le double des clés.
Je file sous la douche pour être propre sous tous rapports, et je m'habille.
Elle m'a laissé une place dans son dressing pour ranger mes affaires.
Je commence par les bas, elle déteste les collants. Je les fixe au porte-jarretelles. Devant, c'est facile, derrière, ça l'est bien moins.
Enfin je dis je commence, mais mon premier atours, c'est le collier qu'elle m'a offert, et que j'attache à mon cou juste au sortir de la douche.
Je mets mes escarpins rouges - oui, le rouge, c'est ma couleur - et si vous le demandez, je vous raconterai comment j'ai acheté mes escarpins.
Finalement, je mets mon tablier, et je dois dire que se faire un nœud dans le dos, c'est bien plus compliqué qu'il n'y parait. Bravo Mesdames ! J'ai d'ailleurs trouvé une astuce : ne pas défaire le nœud et enfiler le tablier par le haut, mais il ne faut pas l'ébruiter.
Ouf, ça y est, Elle peut arriver, et me trouver à genoux à l'entrée de son salon !
J’aime tellement te lire. Les émotions que tu partages avec moi, mes lecteurs. Cette façon d’être toi, passionné, soumis et tendrement asservi. C’est beau. Et je serais presque jalouse de te façon de parler du « passé » et ton vécu. Mais je ne dois pas l’être car c’est agréable de te lire et que tu nous écrives ainsi, le cœur ouvert…
Je t’imagine à l’attendre, dans le salon à genoux.
Et… Raconte-nous pour les escarpins…