Maîtresse,

Avec tristesse je retire ce plug siglé du S qui a été au fond de moi toute la nuit pour ressentir ce besoin de vous appartenir.

Je sais que pénétrée, ma corolle brûlante, vous me possédez !!

Votre Godeline.

Mes petits coquins, mes petites coquines !

A ceux qui constituent mon cheptel,

qui me sont fidèles et fiers d’appartenir à Madame.S,

A mes lecteurs et lectrices,

Je  souhaite un Noël émoustillant,

Que la fête soit chaude et pleine de cadeaux stimulants ;

Des joujoux « osés » qui vous feront rougir les joues.

Que vos regards brillent de mille feux !

Que 1000 plaisirs s’offrent à VOUS, petits épicuriens,

Que 1000 sensations vous fassent vibrer,

Que tendresse,

douceurs et chauds câlins bdsm vous réchauffent le cœur et les fesses.

Joyeux Noël Coquin à vous tous et ne soyez pas sages…

Madame.S

Bonjour Madame S,

Un petit coucou du sapin de noël vivant pour vous souhaiter de bonnes fêtes de noël.

Soumis Albin.

Voilà un joli sapin de noël vivant

que j’aurais aimé avoir chez moi

comme décor pour le réveillon

et pour amuser la galerie !!

Merci pour cette attention

que j’apprécie beaucoup.

Très réussi bravo à toi !

Madame.S

Bonjour Maîtresse,

Je ne pense qu’à être votre chienne soumise toute la nuit.

Vous m’avez convoquée… j’avais ordre de rentrer dans votre garage très éclairé, de me déshabiller, je me suis retrouvée nue avec mes anneaux aux testicules…

Devant moi un miroir et des vêtements de latex noir... et des ordres écrits.

Je dus mettre des bas de latex noirs qui me comprimaient les cuisses. Un corset noir pour la taille, un soutien-gorge ouvert, une perruque blonde, une jupe noire très courte ouverte sur mes fesses, des gants noirs, des colliers avec anneaux à mon cou, poignets et chevilles. Et enfin des chaussures à hauts-talons.

Un dernier mot «  maquille-toi comme une putain »... rouge à lèvres, eye-liner...

« Avec un marqueur dessine un S sur tes testicules et tes fesses - ta sexualité m’appartient ! »

Heureuse j’étais enfin moi, féminisée, disponible à vos désirs et plaisirs à venir  pouvant m’offrir en soumise féminine pour vous servir !

Je suis encore à l’hôtel cette nuit, c’est horrible, je ne pense qu’à Vous et être à vos pieds... votre chose... suis-je encore libre ?

Je ne me sens que chienne... votre chienne…

Votre chienne Godeline.

Une journée, une semaine voir plus se sentir en symbiose avec sa soumission.

Porter son appartenance est un devoir, une religion, une contrainte, un désir de se sentir à elle en permanence.

Un acte simple, bagué, portant son emblème.

Il n'y a pas que la souffrance mais de la dévotion, l'appartenance à sublimé mon choix de m’offrir.

Elle cliquette quand je marche, elle me rappelle ma profonde servitude, je suis à elle, mon acte de foi.

Je porte cette allégeance avec passion et soumission.

Je lui appartiens.

Chriss SV 68 VD 175 20

Être à « Elle » et ne voir plus qu’Elle. Car elle est source d’inspiration et te guide sur le chemin de la plénitude et de la sérénité…

Tout comme le serpent disait pour rassurer sa proie… « Ait confiance… »
Madame.S

Bonjour Maîtresse,                 

Je ressens chaque jour mon assujettissement, sous votre domination, j’aimerais être comme ce personnage offert, féminin, être ouverte, maquillée, tatouée, percée....

C’est étonnant ! Mais je ne suis bien qu’en tenue féminine pensant être votre soumise.

Bonne journée à Vous Maîtresse.

Votre Godeline.

Il y a longtemps qu’il n’a pas vu mon regard, mes yeux…
Il y a longtemps que je ne l’ai pas vu faire mon repassage.

Je ne me souviens pas de sa bouche sur mes pieds. C’est étrange, oui… Vite, reviens-moi… Et que je sente à nouveau tes lèvres sur mes pieds…

Je te veux nu, devant moi.
Samedi, à 14 heures, tu seras plein d’appréhensions, mais si heureux de retrouver ta Divine Madame.S

Et tous les lecteurs vont être jaloux…
Car toi, tu seras enthousiaste, heureux de ta condition.

Et tu seras à Moi…

Qui ?

Aaron retrouve sa Maîtresse samedi…

Madame.S

Chère Madame S,

Je lis les déclarations d’Albin et suis flatté de votre appel à confidence !

Alors pour être explicite, je ne suis pas maso et m’étonne des fois, de supporter les doux traitements de ma Divine !

Entre les caresses appuyées d’orties fraîches et un savoureux travail des tétons, aux doigts mais aussi aux pinces... j’adore !

Franchement, la confiance que je fais à ma Divine est plus qu’importante car je sais que même si mes limites sont toujours repoussées, je vais être aux anges en sa compagnie !

De plus, je dois avouer que cette attente de la punition me mets dans un état second !!!!

Similaire un peu aux années d’école où la Maîtresse me promettait une bonne fessée, dès le retour de la récréation !!!

Cette attente aussi craintive, qu’excitante, fait de moi un soumis qui savoure chaque instant, en compagnie de ma Divine, sans parler de sa compétence à passer, avec son plus joli sourire, d’un moment de plaisir à une sérieuse punition !

Je vous souhaite une excellente journée, Madame S, et sais au vu des témoignages si émouvants d’Aaron, que vous me comprenez...... eh oui, une relation durable Maitresse-soumis n’est pas constituée simplement de quelques coups de martinet mais d’une entente profonde et délicatement descriptible, pour les non-initiés !

C’est votre flegme Maitresse qui fait notre bonheur !

MERCI.

Très respectueusement évidemment,

Élève Pascal.

Maîtresse,

Pour passer une bonne nuit, j’ai dessiné un S d’appartenance.

Bonne nuit Maîtresse. Faites de doux rêves…

Votre Godeline annelée.

Bonjour Maîtresse,

Je suis rentrée chez moi ce midi, mais cette nuit j’ai dormi à l’hôtel en bas et avec cette culotte ouverte que j’affectionne pour sa ligne de cœur qu’elle dessine.

Toutes en pensées de soumission obsessionnelles je me suis endormie mais vers 6 h un incident m’a réveillée... rêve de godage… traite... j’ai cru avoir souillé les draps et là j’ai constaté que... seules quelques gouttes de liqueur avaient perlé au bout de mon méat.

Je me sentais penaude.

Je n’ai pas réussi à me rendormir… je pensais à un godage profond qui aurait pu me milker sans jouissance… dans mon écuelle.

Votre Chienne soumise et Considérant que mon sexe et ma chatte anale vous appartiennent, j’ai eu besoin de vous confier cet incident.

Je vous souhaite une bonne journée Maîtresse.

Je pense fort à Vous.

Votre Godeline.

Maîtresse,

Je vais commencer déjà par développer sur une petite rétrospective de ma vie de soumis, puis sur la consécration qui nous a littéralement bouleversé, Vous et moi, voici bientôt 15 ans, quand Vous avez décidé de devenir Propriétaire de mon âme.

Depuis mon plus jeune âge, aux environs de mes 4 ans, je me souviens combien les hauts talons et les pieds des femmes, pouvaient me faire frissonner.

Ceux-ci devenaient l'objet du désir, dans mon esprit, durant de nombreuses années, je pensais être seul au monde face à un mur, où la communication me paraissait déjà comme impossible.

Puis vers l'âge de 8 ans, en feuilletant un dictionnaire, je suis tombé sur la définition du mot "esclave"... qui me laissait envisager en quelque sorte, un monde meilleur...

Quelques années plus tard, je feuilletais cette fois ci, une encyclopédie quand je tombais en extase, sur la vie de Sacher Masoch.

Là se joua un véritable bouleversement dans ma vie spirituelle, je fus enfin comme libéré, je prenais soudain conscience qu'ils existaient d'autres personnes, femmes ou hommes, qui partageaient cette même passion dans le rapport dominant/dominé.

C'était la fin de la solitude dans cette quête d'affection, certes un petit peu particulière....

Je me souviens des paroles de cette Vénus à la fourrure, aux pieds de qui Sacher était en train d'agoniser : "... mais oui tu n'es rien alors que je suis tout pour toi, esclave..."

Il me faudra encore de nombreuses années de patience avant de Vous rencontrer, en 2005.

Je pense très humblement que Vous êtes devenue, autant pour moi ma Déesse, mon Mentor, ma Maîtresse, ma Dominante, ma Divinité, ma Marquise, que je puisse être Votre soumis, Votre masochiste, Votre esclave, Votre soumis, Votre valet de pieds, Votre serviteur.... bref les superlatifs ne manquent pas pour définir les conditions de ce rapport si exceptionnel, entre une Femme et un homme.

Ce qui veut dire que comme Vous Vous en êtes rendu compte, que je suis prêt à accepter tout de Vous, même un acte ultime où Vous parleriez de moi au passé.

Il existe bien quelque chose chez Vous, que je crains mais sans pouvoir Vous dire ce dont il s'agit, comme si Votre Capacité de Séduction m'éblouissait au point de me laisser dépasser pour Votre Regard Captivant...

Alors qu'il y a quelques siècles, Vous auriez pu ordonner ma mort, en place publique, je ne puis que Vous obéir aujourd'hui, en faisant confiance à Votre Instinct.

Plus prosaïquement, c'est le seul moment où je peux librement (parce qu'il s'agit bien d'une liberté...) choisir de révéler ma vulnérabilité, devant Votre Puissance Divine.

Ainsi par la capitulation de mon âme, Vous m'offrez de me retenir à Votre Désir, comme à une bouée, qui me permet de flotter dans cette rivière des sens, jusque-là inexplorée.

Je me permets d'énumérer quelques rares moments, qui nous ont permis de nous épanouir, en vivant quelque chose d'authentique :

- devoir me masturber en Vous léchant les bottes, devant 8 autres dominatrices

- avoir reçu une gifle comme un acte d'amour pour être venu Vous servir, pendant plusieurs jours

- m'avoir enfoncé une dizaine d'aiguilles sur le sexe, pour ensuite avoir le droit de masturber avec

- enchaîné sur le pas de Votre Porte de chambre, à entendre Vos Gémissements de Bonheur partagées avec Votre Compagnon.

- devoir Vous déchausser à genou devant une vendeuse ébahie

- m'avoir rentré Votre Poing puis Votre Pied dans mon anus

Bref, après tous ces moments de partage, Vous me rendez plus fort et plus serein devant l'adversité.

Je Vous en remercie servilement.

Aaron.

Aaron,

Le cheminement de chaque personne dominante ou soumise est certes très personnel. On y accède de différentes façons, avec différents fantasmes et avec un passé qui nous a donné envie d’aller plus loin ; des images qui nous ont obsédé. Qui nous ont fait rêver… Et ensuite on ose franchir le pas.

Et ce que j’apprécie fortement dans ton texte, c’est déjà, que comme toujours, tu écris avec ton âme et la passion qui t’anime ; Cela se ressent beaucoup dans ce que tu veux exprimer et ce que tu nous confies. Car oui je prends cela comme une forme de confession ; et il n’est certes pas facile de se confier à moi, puis au monde, aux personnes qui consultent les pages de mon blog.

Ensuite, je te dirais que tu as fort bien résumé le fait que peu importe les superlatifs, ils peuvent être utilisés de la façon dont on le souhaite et comme on à ENVIE de l’exprimer. Pour que chacun de nous puisse oser dire ce qu’il ressent en Elle, lui… On peut quelquefois avoir envie d’être esclave. Une autre fois qui sait, soumis ; Et puis une autre fois masochiste… Oui OSONS affirmer haut et fort que nous pouvons être tout cela à la fois ; ou alors, nous nous considérons ainsi ou d’une autre façon. Peu importe finalement, l’essentiel n’est pas de se sentir à sa « place ».
Dans une condition qui nous épanouit et nous rends, heureux, l’un et l’autre…

Et c’est ce que je ressens quand je te lis, le bonheur d’être à Moi. Et de le vivre pleinement à chaque rencontre…

Et oui, tu es libre d’exprimer ta liberté de révéler ta vulnérabilité ! Ose t’affirmer, toujours, face à celle qui t’a forgé et qui  te rends heureux.

Pour finir, je ne commenterais pas ton énumération de souvenirs que nous avons pu vivre, ensemble, au fil du temps ; Je laisse mes lectrices et lecteurs rêveurs…
Madame.S