Maîtresse qui me guide…

Pour Vous ces images que je vous offre…

Seule, dans une chambre d’hôtel reliée à Vous par mes pensées permanentes et ce besoin de sentir des liens dans ma chair.

Une nuit sertie d’anneaux et puis ce collier de chaîne acier qui se meut vers mes attributs pour les serrer, les rendre parcheminés et cette chaînette pour les étirer et vous les offrir.

Et là, Vous Maîtresse du jeu, je ne sais si vous allez choisir la voie d’une certaine douleur appliquée (cire chaude, orties...) ou la voie de la frustration de votre esclave soumise Godeline.

Que sont 303 kilomètres dans une vie, une semaine ou un jour ?

Simplement ma séparation entre nous. Entre moi et Vous…

À chaque instant de la journée elle est ce qui nous sépare mais de jours en jours elle se réduit avec l'envie toujours plus présente de venir à vos pieds.

Nous le savons tous les deux parce qu'il y a peu je vous l'ai proposé et que j'étais prêt à venir, mais nous savons aussi que la décision de reporter ces 303 kilomètres ont été une sage décision. Que ce report dans le temps n'est rien au vu de notre envie, de la tristesse des deux parties, nous n'avons rien perdu et ma fidélité gagne un peu plus sur votre héritage.

303 kilomètres de partages et de pensées que nous visons avec forces, que nous espérons toujours mais sûrement, cette « importantissime » rencontre, la patience du soumis récompensée un jour par 303 kilomètres en moins ou je me prosternerais pour effacer ma grandeur qui me sépare de la lune des 384 400 kilomètres pour présenter mes hommages et ma gratitude à Madame S…

303 kilomètres ou rien, 303 kilomètres en pensée, 303 kilomètres qui voyagent par nos écrits et qui nous lient.

303 kilomètres pour 365 jours de dévotion.

Chriss SV 68 VD 175 20

303 kilomètres, cela n’est « rien » si nous le voulons. Des kilomètres s’effacent quand nous le décidons.

Des kilomètres qui n’existeront plus quand tu seras face à moi ; nu à terre, à mes pieds.

Nous aurions dû nous voir le week-end dernier, toi et moi savons que cela n’aurait pas été raisonnable.

Cela arrivera, bientôt ; Je le sais…

Mais je connais ton impatience de me rencontrer…

Madame.S

Bonjour Maîtresse,

Comme une addiction ! Prisonnière de ma soumission à Vous, je lis et relis votre blog, vos mots de certitudes concernant ma lâcheté, mes phantasmes et sur mon inaptitude à franchir le réel me tourmentent.

Vous avez cette force de refermer votre autorité sur moi, d’accentuer Ma souffrance pour me révéler et me faire comprendre qu’il n’y a pas d’autre issue pour moi, un jour que de devenir jouet de soumission de vos envies et plaisirs.

Nue à genoux, je tremblerai mais heureuse de vous entendre enfin prononcer « Godeline..... »

Nue devant vous pour être enfin ce que je suis... révélée par Vous ma Divine Maîtresse.

De « il » enfin « elle »… des colliers se refermant sur moi.... avec votre permission le bonheur de lécher vos pieds...

Chaque jour je pense à ce « pas » à faire et j’en suis malheureuse.

Votre Godeline.

Belle journée à Vous Maîtresse.

Bonjour Madame S.

Pour en revenir à l'article du votre blog sur le masochisme : soumis. maso. Soumis maso.

Le maso pour moi est celui qui aime par exemple les séances de bdsm flagellation, travail des seins, travail des testicules et tous autres tourments.

Le soumis serait plutôt celui qui obéit aux ordres de maitresse. Faire le ménage obéir aux caprices de madame attendre le bon vouloir de sa maitresse en ce qui concerne le sexe d 'ou un port de cage de chasteté cela peut être le plus souvent chez un couple c'est madame qui porte le pantalon comme on dit et les punitions ne sont pas obligatoirement la flagellation.

Puis le soumis maso qui doit être un mix des deux mais difficile à vivre 24 heures sur 24.

C’est mon opinion d’après ce que je crois savoir mais je pense que vous devez en savoir plus que moi sur certain de ces sujets.

Moi je me définirais comme maso à la base, avec une évolution ces dernières année par rapport à certaine circonstance de la vie ou trouver une dominatrice pour des séances je n'en ai plus vraiment les moyens je me suis laissé tenter ses dernières années dans la soumission via la cage de chasteté ou on peut également y mêlé un peu de masochisme. La

première a était avec maitresse ange puis Madame S ;

Je vous souhaite une agréable journée.

Le vilain petit canard Albin.

Albin,

Je pense que ton analyse est plutôt bonne et je suis assez d’accord avec toi sur le fond de tes pensées.

Et j’ajouterais même que ton analyse est assez réaliste ! Je m’explique, pour moi il y a aussi la différenciation entre maso et soumis

Il y a effectivement des personnes plus attirées par la douleur, les « masos » donc et qui n’auront pas d’envie particulière de faire le service chez une Maîtresse ou encore faire son ménage, par exemple.

Donc, oui, pour moi aussi, il y a les masos « purs » qui n’aiment que la douleur et n’auront pas d’attente et d’envie pour d’autres choses.

Et il y a les « soumis » purs, qui eux seront moins attirés par la douleur mais seront plus enclin à être aux pieds de sa Divine, en attente de ses directives et envies ; Guidés par celle-ci.

Mais pour ma part, je te dirais qu’il y a également les deux car j’en ai connu. Aaron par exemple, aime être à mon service et exécuter mes ordres. Mais il aime aussi la douleur.

Alors est-il « soumis-maso » !?

Difficile de distinguer les goûts et pratiques de chacun et chacune car il y a tant de choses à expérimenter.

Mais j’apprécierais que Chriss, Aaron, Elevepascal, Lolomaso, puissent nous dire, quelle est selon eux, leur « position » dans la soumission ? Et s’ils se définiraient soumis ou maso ? Ou s’ils ont un autre nom pour parler de leur condition ?

J’attends vos confessions…

Madame.S

Bonjour Maîtresse,

Il y a des nuits d’insomnie tellement je me sens enchaînée à mes pensées de soumission et à force d’abstinence de n’être qu’une pauvre petite chose transformée dans ce désir incandescent que vous serriez un collier avec laisse extrêmement fortement autour de mes testicules....

Mise à genoux… féminisée, en bas, corset et chaussures hauts-talons, vous m’obligez à écarter mes lobes fessiers… je sens un gel sur ma corolle. Puis qui coule en moi.... emmenée en laisse, je dois m’allonger sur le dos et relever les jambes...

Plusieurs minutes plus tard, yeux bandés, je vous entends dire... » Godeline! Il faut que tu réalises ce que tu es ! Ma soumise ! Sous mon contrôle... Soumise, tu vas être prise par ta chatte anale en signe de don total... ! »

Là... je sentis un objet froid pousser ma corolle... tout doucement je sentis la pression et la dilatation... l’objet était volumineux... j’avais mal... mais j’écartais Mes jambes et poussais sur ma corolle pour être enfin prise sodomisée devant vous... le gode progressait en moi avec ce sentiment d’être à Vous… enfin analement vôtre, bien prise, bien empalée... brûlante.

Je sentais en même temps que l’on tirait sur mes testicules sertis... « Voilà ! Bien à moi ! Bien prise, tu vas rester ainsi cette nuit ! »

Testicules étirés et empalée profondément je ne pouvais bouger... on m’attacha chevilles et poignets pour être en offrande tout à Vous… sous votre regard pour votre plaisir... m’abandonnant. Je sentis le gode se gonfler... M’élargissant... j’avais mal, mais Enfin, j’étais Votre Chienne anale…

Votre Godeline.

Maîtresse,

Je me pose très souvent des questions sur le hasard, mais il existe au moins un domaine qui résiste à toute interrogation, c'est la jubilation de Vous avoir rencontré, voici 14 ans, où Vous m'êtes apparue comme un Mentor, qui m'avait tant fait défaut.

Ce qui est particulièrement étonnant, c'est d'arriver à tout se dire, sans aucun état d'âme.

Dans un couple conventionnel, je crois que l'on se persuade que l'autre possède ce qui nous manque, mais sans en avoir la certitude.

Par contre dès le premier jour, j'ai été comme hypnotisé et subjugué, par Votre Regard, par cette profondeur, dans laquelle on a envie de plonger complètement nu, au risque d'y perdre la raison.

Je savais, que je me retrouvais aux Pieds d'une Véritable Princesse, où nos destins se mêleraient habilement comme pour Vous permettre de graver, à tout jamais Vos Initiales, sur ma peau d'esclave.

Vous m'avez impressionné au point de me rendre particulièrement fébrile et sans voix, tout en créant subtilement un climat de confiance, particulièrement déstabilisant.

J’ai toujours admiré Votre Indépendance, et Votre Empathie, ces deux Traits de caractère pourtant si opposés.

Moi qui aie toujours évolué dans des milieux presqu'exclusivement masculins, Vous m'offrez quelque chose d'inhérent à mon caractère, et qui consiste à admirer une Dame avec autant de Convictions que de Charmes.

Au fil des années, sans même le vouloir, j'ai appris beaucoup de Votre Ambition, au point d'apporter un regard servile, et plein d'extase, à Votre Quotidien.

Chaque fois que je me retrouve à genoux, devant Vous, à méditer sur Votre Splendeur, en particulier celle de Vos Pieds, j'ai le sentiment profond que rien ne peut nous arriver, parce que Vous ne Vous laisserez jamais faire grâce à Votre Caractère Entier.

Vous êtes tellement Exquise quand Vous me dévisagez avec Votre Fouet, que j'ai chaque fois cette même sensation de devenir transparent et insignifiant, et pourtant c'est à ce moment précis, que Votre Considération sur mon humble personne, se révèle toujours la plus forte.

On a la même conception de "l'amour", certes platonique... mais qui consiste à donner, et à vouloir se faire plaisir, dans notre bulle de cristal, cousue de cuir noire vernis.

Au bout du compte, c'est une façon de voir que si l'on tient une distance, c'est grâce à la passion que Vous avez toujours su faire naître chez Votre soumis.

Je me sens solidaire de Vous par une vérité établie... Celle de Votre Destin, qui ne cessera jamais de me faire frissonner.

S'il y a bien un moteur dans notre relation, c'est avant tout, Votre Personnalité toute entière, qui m'aide à surmonter les raideurs du quotidien.

Vous m'avez appris des certitudes, notamment celle qui consiste avoir les mêmes goûts, sauf que Vous les savourez par le sommet et moi par le dessous...

Servilement.

Aaron.

Comme toujours, tes mots vont droit au cœur. Si justement développés et qui confirment que je t’ai bien choisi. Car oui, on se « choisit ». Tu parles d’un ressenti au premier regard.

Nous nous sommes « trouvés » et nous avons cette grande chance de pouvoir partager notre union BDSM.

Nous nous soutenons dans toutes les épreuves, dans le meilleur et pour le pire.

Je pense que la condition pour « durer » dans le temps est tout simplement le respect. J’en parle souvent dans mon blog, cela pourrait pourtant paraître si anodin à certaines personnes extérieures à notre monde BDSM mais j’assure ici que le respect va de soi entre une Maîtresse et son soumis et de même entre le soumis envers sa Maîtresse.

Et il va de soi que dans cette continuité, une écoute doit aller de pair. Entre ces deux personnes.

Ensuite, il y a des caractères, des envies, des goûts, un quotidien fait d’un travail, d’une vie familiale ou amicale.

Des choses qui au contraire dégoutent et donnent envie de fuir. Nous sommes là pour en parler, oui parler de TOUT ! Il est important de tout dire à sa Maîtresse. Oser se confier et lui faire CONFIANCE ! Tout est là. Respect et confiance.

Avec toi, je sais que tout peut être dit, évoqué, mais surtout partagé. Et cela me semble si précieux.

Ensuite il y a ce que l’on appelle les affinités. Et cela ne se calcule pas. On se rencontre ; le feeling s’installe, ou non. Et je sais de quoi je parle. Trop de rencontres en plusieurs années ; Dorénavant, un tri ; drastique.

Je me permets ici de glisser un message à toutes les personnes qui sont devant leur écran et qui n’osent pas !

Combien de fois faudra-t-il le répéter à ceux qui fantasment devant leur écran, qui ont peur de ne pas venir à moi.

Quel dommage, vous ne savez pas ce que vous perdez et le temps passe, bien plus vite que vous ne le pensez.

Vous perdrez ce temps, à rester caché derrière votre écran ! Quel gâchis.

Je suis accessible, pleine d’empathie comme le dit Aaron. Osez mais sachez trouver les mots, qui vous mèneront à moi…

Madame.S

Bonjour Maîtresse,

Une nuit…

Il est 1 h du matin, je n’arrive pas à dormir…

Je me vois à vos pieds putain soumise féminisée en noir, des bas résilles, des chaussures à hauts-talons, de serre-taille, de soutien-gorge, de colliers...

Je sens que vous tirez sur la laisse reliée au collier de mes testicules.

« Viens ma petite chienne, viens d’éperonner sur le gode derrière toi fixé sur un bâton horizontal ! »

Plus vous tirez, plus ma corolle sent la poussée de ce gode lubrifié... reculant sentant mes testicules étirés... je sens cm par cm ce gode progresser en moi en m’élargissant… je me sens envahie... mon clitoris devient mou... mon anus devient douloureux... et puis brusquement dilatée, le gode s’enfonce plus et ma corolle se resserre… La partie la plus large est en moi... vous fixez la laisse pour un étirement maximum. Je dois écarter mes jambes pour que mes chevilles soient fixées au sol. Chaque poignet est relié par une attache aux chevilles.

« Voilà ma petite chienne, 20 cm sont en toi !

Tu es à Moi! Ainsi tu penseras au ta maîtresse toute la nuit !

Oh ! Tu as perdu quelques gouttes de liqueur ! Demain ! Réveil aux orties ! »

Votre Godeline.

Bonjour Maîtresse,

Ne pensant qu’à être Votre petite chienne, trouvant ce dessin, j’imagine que vous m’équipiez de ces chaînes, tout un week-end pour le vivre à genoux à vos côtés.

J’imagine la difficulté des déplacements, testicules tiraillés en permanence, et pour bien ressentir qu’ils sont prisonniers de vous, vous avez décidé de les faire orner de votre « S ».

En petite chienne fidèle, je marche à vos côtés dressée à obéir à vos ordres... De servitudes.

Je pense très fort  à Vous Maîtresse.

Votre Godeline.

Je crois pour ma part que l'on devient maso avec des années d'expérience, j'avais une peur bleu de la douleur au début mais j'ai apprivoisé mon corps et ma  souffrance. Elle est devenue « sublime » avec les années et d'une demandes très forte. Toutes les douleurs ne sont pas identiques, cela dépend des zones et de la durée.

Cela doit être un partage et une offrande, une confiance entre partenaires, la douleur doit être donnée aussi pour de bonnes raisons, comme l'envie, par amour, pour le plaisir et le sadisme ou une punition mais pas par vengeance ou une colère exagérée.

Donner son corps par amour et dévotion, ressentir le plaisir de la Maitresse, voir ses yeux remplis de plaisir et la récompense de se donner à elle et de la remercier…

Je pleure souvent par reconnaissance de m'avoir ainsi traité, par amour et dévotion, je ne demande pas de souffrir je ne veux pas souffrir mais je l'accepte, je suis esclave de Madame S…

Chriss SV 68 VD 175 20

Bonjour Madame.S,

Auriez-vous la bonté de répondre à une question que je me pose à votre égard ?

Pourriez-vous me dire si vous ressentez plus de plaisir quand vous punissez de vrais masos ?

La douleur transmise est-elle en rapporte avec votre joie de remettre dans le droit chemin ?

Elevepascal,

Comme toujours et ceux qui connaissent mon blog pourraient en attester, je vais tenter de répondre avec toute la franchise qui me caractérise !

Je te dirais alors, que je ne me considère pas comme une dominatrice uniquement hard, celle qui ne fait que fouetter ou cravacher par plaisir ! Non, je pense avoir une certaine finesse d’exécution ainsi que d’esprit. Et il est vrai que ma perversité a pu s’exercer, quelquefois, de façon décuplée. Cela en est même étonnant, car il m’est arrivée d’être dans des situations spécifiques, de ces instants qui ne peuvent que donner envie d’aller « encore plus loin » et de corriger et dominer la personne qui me fait face de façon poussée ! Car quand je ressens un soumis vibrer sous mes coups, sous ma badine, sous ma cravache, ma main… et que cela est partagé. Alors pas d’hésitation.

« La douleur transmise est-elle en rapporte avec votre joie de remettre dans le droit chemin ? »

Mais frapper pour frapper ! Faire mal gratuitement. Non assurément non ! Je veux que le plaisir soit partagé. Et le ressentir donc pour moi et la personne que je domine.

Remettre le soumis dans le droit chemin, cela fait partie intégrante d’une relation BDSM. La joie de le remettre dans le droit chemin peut s’avérer donc sous un aspect « puissant ». Et il est vrai que cela peut être jouissif pour moi de le corriger à ma façon, d’une manière que j’aurais pris soin de choisir.

J’affirme, effectivement, qu’à certains instants, la puissance du moment, décuple cette punition. On se sent comme en transe et l’effet est hypnotisant de jouissance cérébrale ; C’est en tous cas ainsi que je pourrais définir ce plaisir.

Alors la question est si je ressens plus de plaisir quand je punis de vrais masos, je te dirais non. Car je ne suis pas simplement attirée par un soumis maso, ce qui m’attire par contre, c’est sa capacité à supporter la douleur et donc d’assumer celle-ci sans pleurnicher… D’être capable d’aller plus loin. Il ou elle pensait ne pas pouvoir subir « autant, plus »… Et bien si, c’est à moi de lui faire accepter d’être toujours plus vaillant(e) et d’avoir mal.
Il y a ensuite les personnes qui ont « besoin » d’avoir très mal et cela est excitant il est vrai. Car beaucoup de choses sont alors possibles. Mais je dirais ici qu’il faut avoir certaines limites, pour éviter tout dérapages ;

Mais je reste, je l’avoue, fascinée par certaines personnes, capables de supporter des choses hallucinantes sur leur corps ; Je trouve cela très beau. Incroyable quelquefois ! On peut aller très loin.

Mais j’ajouterais que l’acceptation, selon moi, se fait avec une personne en qui l’on a acquis une réelle confiance ; Cette Maîtresse à qui l’on confie sans hésitation son histoire, son parcours, ses rêves. Voir la clé de votre âme, une véritable et bonne Maîtresse saura vous guider vers des sommets de jouissance, voire de douleur inexplorés qui sait et qui pourtant vous ferons vibrer d’émotions !

Mais il serait agréable de lire les témoignages de mes lecteurs sur leur vision de la chose.
A vos claviers pour me donner vos points de vue en tant que soumis(es)…

Madame.S

Maîtresse,

Chaque fois que je pense à Vous, je sens votre domination et autorité, et cette folle envie d’être prise analement.

Une folle envie d’avoir un plug, un gode, des boules... des objets siglés de votre S introduits dans ma chatte anale. Ainsi en moi, je vous appartiens...

J’avoue que j’aimerais être posée à vos pieds comme sur l’image associée, tout le week-end pour que vous soyez rayonnante du plaisir de posséder enfin votre petite chienne fidèle.

Je redoute ce moment où j’entendrai « « tu dois comprendre que tu es à moi, tu es faite ainsi, soumise, esclave de ta Maîtresse à qui tu as offert tes attributs mâles inutiles et ton trou dont je jouis de la propriété... »

Belle journée à Vous Maîtresse.

Votre Godeline fidèle.

Bonjour Madame S,

Vous me demandez de détailler les photos que j’ai pu vous faire parvenir par mail.

Pour la série concernée, c’est un défi que m’a lancé une dominatrice travestie qui venait de sortir de chez moi en tenue osée !

J’ai dû suivre ses instructions et j’étais tout excité, j’ai pris un short dont j’ai coupé l’entre-jambe, pour en faire une jupe très courte, puis j’ai mis des bas et un plug, la cage et je la porte en permanence !

Mais surtout, je suis sorti de chez moi  ainsi !

Beaucoup de personnes m’ont vu ainsi habillé en salope et j’avoue que cela m’a beaucoup plu, j’étais envahi par la honte et l’excitation…

Et bien-sûr suite à la demande de la Maîtresse, j’avais mis ma caméra à l’extérieur pour que la dominatrice puisse voir mes allées et venues en direct !

Voilà Madame S j’espère que ma réponse vous plaira.

Je reste à votre disposition.

Lolomaso.

J’aime moi aussi, quelquefois, donner des ordres de « mission » et les choses réalisées en extérieur ont de quoi me réjouir, je suis spécialement attirée par ce genre de frissons ! Et j’aime le goût du risque donné à mes sujets !

Souvent, le résultat est vraiment jouissif et partagé !

J’aime bien la petite jupe bleue ! Les bas auto-fixant. Et surtout cette petite chose que l’on voit enfoncé dans ton petit trou !

Je ne peux donc qu’imaginer ce que tu as pu vivre ainsi habillé et être vu par plusieurs personnes.

Madame.S