• Un jeu de reflet…

    Bonjour Maîtresse

    Il suffit d’un jeu de reflet pour qu’un S s’associe à cette roue qui tourne sans fin...

    Et mon cœur bat plus fort, mon ventre se serre et je suis dans le tourbillon de ma soumission, enfermée dans votre cercle d’autorité !

    Votre Godeline.


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    Ouvrir ma chatte anale…

    Bonjour Divine Maîtresse, cette nuit, il était minuit passé et je ne pensais qu’à me cambrer à genoux devant Vous, à vous ouvrir ma chatte anale, vous l’offrir pour être peut-être pénétrée selon votre plaisir…

    Follement soumise... brûlante.

    Votre chienne Godeline.


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    Je suis né libre, mais il faut trouver et faire sa place, quand arrive le jour fatidique de reconnaître, de ressentir cette émotion, cette perte de contrôle et à cet instant réaliser que plus jamais cela et rien ne sera pareil…

    L'éveil de la conscience d'être différent, un émoi surnaturel m’a donné un jour ce don, que je devais et voulais perdre cette liberté et la donner, mon premier acte naturel de soumission.

    Le chemin est sinueux à devoir s'agenouiller dans ce monde où justement nous renonçons à être égaux, souffrir en silence, ne pas se rebeller, satisfaire les envies d'une Maitresse.

    Nous perdons cette égalité mais gagnons en confiance, cette une liberté un choix maîtrisé par notre conscience.

    Peu de personne prennent conscience et acceptent cette réalité, ils se croient libres mais s'enferment dans leur mensonge et leur frustration.

    Je suis l'esclave de Madame S mais peut-être le plus libre de tous les hommes par ma situation familiale et cette liberté  de choix.

    Ma liberté est le jugement de Maîtresse mais égaux à ses justes paroles.

     

    Chriss SV 68 VD 175 20

     

    Je suis né libre…

    Chriss,

    Voilà un point important que tu décris et voilà un moment que je voulais en parler.

    Tu as fait le choix de tout dire à tes proches sur ta vie parallèle et rien que pour cela je ne peux qu’être admirative de mon sujet. Et te féliciter de ton choix, ta position face à tes proches.

    Peu de personnes osent. Je ne peux certes réprimander mes autres soumis, qui aimeraient quelquefois tout dire, mais qui ne le pourront jamais…

    Mais je te dirais également que toutes les personnes ne seraient pas capable d’entendre ce que nous sommes, ce pour quoi nous vibrons et le monde particulier du BDSM ; je peux aisément envisager cette vision et que vu de l’extérieur, ce monde peut s’interroger, voir faire peur, très peur !

    Mais oser en parler à ceux que tu aimes, ton entourage, qui font ta famille ; Bravo oui !

    J’ai fait ce choix moi-même et cela fait partie intégrante de ma démarche depuis quelques années ; Mon compagnon est au courant de ma vie de dominatrice et cela est important pour moi. Il ne participe pas à ma vie parallèle mais je crois qu’il aimerait tenter l’aventure. A suivre…

    Pour ma part, je me sens « libre » de mes choix et surtout je décide de ma vie et mes envies. Et personne ne m’empêchera de vivre ma passion ; C’est un choix personnel et vivant, en moi…

    Madame.S


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  • Me livrant à vos pieds…

    Bonjour Maîtresse,

    De ma chambre d’hôtel, je ne pense qu’à la situation de ce dessin me livrant à vos pieds…

    Votre soumise Godeline.

     


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  • Connaissez-vous Delphine Lalaurie !?

      Née le 19 mars 1780. Décédée en 1842 à Paris.

     

    Maîtresse,

    Je voulais vous faire découvrir une de mes trouvailles sur Wikipédia.

    Je viens de relire les faits reprochés, j'avoue que c'est envoûtant…

    Aaron.

     

    Delphine Lalaurie. Tueuse en série.

    Delphine Lalaurie, née Marie Delphine de Macarthy plus connue sous le nom de Madame Lalaurie en 1780 à La Nouvelle-Orléans en Louisiane espagnole, est une personnalité mondaine de la bourgeoisie créole-francophone louisianaise et une tueuse en série de près d'une centaine d'esclaves noirs.

    Elle naît au sein d'une famille nombreuse, son père, Barthélémy Louis Macarthy était originaire d'Irlande et sa mère, Jeanne Lovable, était surnommée « la veuve Lecomte ». Delphine était la cousine d'un maire de La Nouvelle-Orléans, Augustin de Macarty. Entrée de la Maison Lalaurie.

    Elle se maria trois fois. En 1800, elle épouse en premières noces un Espagnol de la haute société créole, Don Ramon de Lopez y Angullo. Devenue veuve quelques années plus tard, elle se remarie, en 1808, avec un banquier louisianais, Jean Blanque. Redevenue veuve en 1816, elle épouse un médecin, Louis Nicolas Léonard Lalaurie. Elle achète à ce moment-là sa demeure de la rue Royale à la Nouvelle-Orléans.

     

    « Bourreau et meurtrière. »

     

    L'histoire de Delphine Lalaurie est une histoire macabre du quartier français du Vieux Carré. Madame Lalaurie, mondaine respectée, accueillait nombre de grands événements dans son opulent domicile au 1140 rue Royale.

    Son train de vie somptueux était servi par un grand nombre d'esclaves. Cependant, le mauvais traitement des esclaves étant illégal, la société commença à éviter Lalaurie après qu'un voisin eut surpris cette femme élégante en train de chasser une fille d'esclave avec un fouet. La fille sauta du toit dans un effort désespéré pour fuir Lalaurie et se tua. Le voisin avertit les autorités. Les rumeurs, puis les accusations de torture, sadisme et meurtre s'ensuivirent. Pourtant, en société, elle donnait l'image d'une personne polie et aimable avec ses esclaves. Ce fut la fin de la carrière sociale de Lalaurie, rejetée par la bonne société louisianaise. Néanmoins elle continua à vivre à La Nouvelle-Orléans jusqu'en 1834.

    Le 10 avril 1834, un incendie se déclare dans sa riche demeure de la rue Royale. Les voisins accourent au secours et découvrirent plusieurs esclaves (hommes et femmes) vivants, brûlés par l'incendie et surtout enchaînés et mutilés. Le juge Jean-François Canonge, appelé sur place, constata cette effroyable scène d'esclaves ayant été torturés par leur maîtresse. On l'accuse de la mort de près d'une centaine d'esclaves.

    À la suite de cet incendie, Delphine Lalaurie fuit La Nouvelle-Orléans à destination de la ville portuaire de Mobile dans l'Alabama, d'où elle embarque pour la France pour s'installer à Paris.

    Au cimetière Saint-Louis de La Nouvelle-Orléans, une stèle indique qu'ici repose « Madame Lalaurie, née Marie Delphine Macarty, décédée à Paris, le 7 décembre 1842, à l'âge de 6-- ». La fin du texte a disparu, la plaque étant brisée…

     

    Merci Aaron de m’avoir fait découvrir cette femme étonnante et sans doute décriée !

    Madame.S

     


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  • Soumis ou maso ? Par Chriss…

     

    Cette une question existentielle de savoir se positionner, de mes premières relations je me suis considérer comme soumis aux femmes quelques soit leurs envies, leur âges ou niveau social.

    Être soumis signifie bien d'obéir en toute circonstance, j'ai toujours voulu évoluer dans mon dressage et comprendre jusqu'où je pouvais aller et que toutes éducation signifie évolution et souffrance.

    Je ne souhaitais pas être juste un simple soumis et j'ai beaucoup discuté avec des Maitresses elles sentaient mon envie de progresser dans tous les domaines, elles mon beaucoup aidé à me surpasser et maintenant je me considère plus comme esclave (soumis maso) que soumis ou juste maso, d'une certaine façon j'ai gagné ce titre au fil du temps.

    J'ai appris aussi à prendre du plaisir dans la douleur et que le dépassement sois et possible.

     

    Je suis en servitude ou pour le plaisir sadique de ma Maîtresse.

    Chriss SV 68  VD 175 20

     


     

     

    J’apprécie fortement ton point de vue. Car tu soulignes des points qui à mon sens sont essentiels.
    Déjà, il est important de souligner que l’on doit se plier aux femmes, qu’elles soient jeunes, plus âgées, brune ou blonde ou encore de divers horizons ; A mon sens, cela ne doit effectivement pas être un obstacle ; On ne juge pas une personne à sa condition sociale et ou à sa couleur de yeux !

    Obéir en toute circonstance, là encore je suis tout à fait en phase avec tes mots. Car l’acceptation est pour moi très important dans la relation. La Maîtresse décide et le soumis « ose » avancer en confiance…

    Évolution et souffrance ; Là encore des mots que je qualifie d’essentiels et complémentaires dans la relation.

    On évolue à chaque rencontre avec sa Maîtresse et elle est là pour te faire avancer et te guider dans ta condition.

    Le mot esclave, que peu de soumis ont évoqué finalement dans les retours que j’ai pu avoir sur ce sujet de discussion est très fort pour moi. Mais je crois que tout le monde n’est pas capable de pouvoir « l’utiliser », ou encore même le « porter ». Il est très fort et demande un réel engagement ; Et je crois que pour toi, il est légitime.

    Merci pour ton retour, fort intéressant.

    Madame.S

     


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  • Là je deviens moi...

    Là je deviens moi...

    Bonjour Maîtresse,

    C’est horrible ce matin,

    Je n’aspire qu’à être à vos pieds,

    Je me sens putain, salope, chienne pour obéir à vos règles et désirs Maîtresse,

    J’ai passé la nuit à l’hôtel et.... A chaque fois que j’arrive à l’hôtel, Comme une obsession irrésistiblement…

    J’ouvre la porte que je referme et là de suite, je me mets nue, je pose mes anneaux autour de mes testicules pour être en communion avec Vous Divine Maîtresse… je vais dans la salle de douche, je me lave avec application, je veille à bien savonner ma chatte anale que je rase pour qu’elle soit lisse… puis je me féminise en ne pensant qu’à m’offrir à Vous. Là je deviens moi... le plaisir des bas, d’une culotte ouverte, d’une ceinture pour serrer la taille... baguée, sertie, je sais que vous me tenez, votre influence est telle que je suis conditionnée à ne me penser qu’être Votre chose soumise et vous entendre dire : « Godeline enfin à moi ! Sous mon contrôle et mes désirs ! Soumise! Féminine ! Viens ! »

    J’avance à genoux  dans une pièce dans la pénombre où vous m’attendez dans un fauteuil sur une estrade.

    2 m devant Vous un grand miroir. Un projecteur dessine un cercle de lumière au sol ou sont fixés  des anneaux.

    « A mes pieds ! Avance dans la lumière ! Deviens ce que tu es, ce que tu penses être en permanence ! »

    Un de vos pieds s’avance vers ma bouche… j’ouvre ma bouche pour l’accueillir et je le lèche avec passion... je ferme les yeux heureuse… je sens que l’on me met un bandeau sur les yeux... Je suis dans l’angoisse tout en vous léchant. Je vous entends dire « fixez-le ! »

    En position écartée, On fixe mes chevilles ; On saisit mes testicules, j’entends un cliquetis et je ressens un étirement vers le bas... une cordelette doit les tirer et passer par des anneaux au sol «  je vous entends dire «  donne-moi cette cordelette ! »

    Je suis entre vos mains… je lèche… je salive. Par un subtil placement des anneaux, quand vous tirez cela m’éloigne de Vous. Vous m’avez mise en extension, je sens que vous reculez votre pied. Je dois faire des efforts avec ma langue pour bien le lécher pendant que je sens mes testicules étirés douloureux.

    Je sens que l’on saisit mes tétons « les pinces ! »

    La morsure est vive... bouche, seins, testicules, vous prenez possession de moi. » Les poids ! »

    Je sens mes tétons étirés… la douleur est forte…

    Je suis en folie, je salive à lécher vos doigts de pied.

    «  Livre-toi ! De tes mains libres ! Offre-toi.

     Ouvre-toi ! Présentes-toi ! Montre- moi ta chatte anale dont je suis propriétaire ! »

    Je sais que dans le miroir, Vous me voyez sous la lumière, Vaincue, tremblante, cambrée, j’écarte mes lobes fessiers ......mon allégeance est totale… pour devenir enfin votre Godeline.

    Maîtresse, voyez ! Je suis folle de pensées de soumission, j’ai mal, je souffre de mes peurs du réel alors que je ne pense qu’à franchir le pas…

    Je me dis où cela va te mener, peur de la suite… mais au fond de moi par vos écrits, sensibilité et personnalité je sais que vous êtes la personne en qui j’ai toute confiance pour que vous révéliez un jour ce que je suis :

    Votre inconditionnelle soumise, esclave Godeline.

    Cette envie de prendre le téléphone...

    De vous parler... entendre…

    Là je deviens moi...

    Là je deviens moi...


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  • 15.11.2019…   15h15…

    15.11.2019…   15h15…

    Bonjour Madame S.

    Vous m'avez demandé de réaliser mon défi

    le 15 à 15 h 15 m/n.

    Le voici, en photos, pour Vous…

    Je vous souhaite une agréable fin de journée

    Soumis Albin.

    15.11.2019…   15h15…

    15.11.2019…   15h15…

     


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  • La douleur de Vos Mains…

    Maîtresse,

    Comme toujours quand nous échangeons par mail, tout semble fluide et naturel entre nous. Merci pour Vos Propos qui me touchent énormément, comme je Vous le redirai dans mon futur développement, si je n'avais jamais connu la douleur de Vos Mains, très certainement que Vous ne me seriez jamais apparue comme un Mentor.

    Maintenant je sais qu'il existe ce contraste chez Vous qui me fascine, c'est à la fois Votre Empathie et Votre Rigueur…

    Je pense à Vous.

    Aaron.

     


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  • Souffrir en pensant à Vous Madame…

    Souffrir en pensant à Vous Madame…

     

    Bonjour Madame S.

    Après la lecture de votre blog et de mon expérience vécue que j'ai relatée sur Votre blog je m’étais promis de Vous rendre un petit hommage.

    Et quoi de mieux de m'infliger une séance ou mon seul but auras était de supporter la douleur de la cire de bougie sur cette vilaine qui ne fait que des cochonneries depuis quelque temps et il n’a pas été question de prendre d'autre plaisir que de souffrir en pensant à Vous Madame !

    Et après avoir enlevé la cire je me suis dépêché d'aller prendre une douche pour calmer mes ardeurs plaisir de souffrir pour Vous et jouir je me le suis interdit en pensant que vous apprécieriez ce geste symbolique et à reporter à une date ultérieure se plaisir.

    Voilà donc quelques photos de cette petite séance ou je n'ai pu m’empêcher de pousser quelques gémissement de douleur mais désolé pas de son sur les photos.

     

    Je vous souhaite une agréable journée.

    Soumis Albin.

     

    Souffrir en pensant à Vous Madame…

    Souffrir en pensant à Vous Madame…

    Albin,

    J’avais mis de côté ce mail pour prendre le temps de regarder tes photos avec attention et je n’ai pas été déçue ! Voilà un bien bel hommage à ma personne et j’apprécie beaucoup cette cire de couleur, sur ton sexe.
    Et surtout que tu puisses supporter la douleur pour moi et sans ensuite te donner de plaisir.

    J’aime ce geste symbolique et il était important de reporter ce plaisir à une date ultérieure !
    Et pourquoi pas le 15 novembre à 15 heures et 15 minutes.

    Et avec photos à l’appui !

    Madame.S

     

    Souffrir en pensant à Vous Madame…


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    Illustration que je trouve évocatrice…

    Bonjour Maîtresse,

    J’ai trouvé cette illustration que je trouve évocatrice de ce que nous pouvons subir à tout moment selon nos fautes…

    Belle journée Maîtresse.

    A l’hôtel Tard ce soir, je serai en communion de pensées de soumission avec Vous…

    Votre godeline.

     


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    Bonjour,

    Bien que ne participant plus à votre blog, j'ai voulu vous donner le point de vue d'un ancien soumis à travers mon histoire. Par facilité, je vous écrirai au présent, même si je narre mon passé.

    Personnellement, je me considère plus comme soumis que comme maso.

    Surprenant d'écrire cela quand je me remémore mes premières expériences SM.

    A l'époque, internet se démocratise et je découvre toutes sortes de sites Internet. Mes recherches se focalisent sur la fessée. Pourquoi ? J'ai une théorie de psychologie de comptoir en réponse à cette question, mais ce n'est pas le sujet. La première annonce qui m'attire émane d'un homme qui se propose de fesser des hommes sur Arras, une ville que je fréquente beaucoup à l'époque pour le boulot.

    Cette première rencontre, que j'ai déjà décrite il me semble, est une véritable révélation. J'aime cette fessée humiliante et je jouis comme rarement. Au point que je vais acheter quelques jours plus tard un Paddle à Pigalle dans le but d'une nouvelle rencontre. Erreur, il s'agit d'un véritable instrument de destruction, je devrais me cacher de mon épouse plus d'une semaine tant mes fesses sont devenues bleues puis marron.

    Je décide d'arrêter mes bêtises.

     

    Mais au bout de quelques mois, l'envie est trop forte. Je trouve cette fois les coordonnées d'une femme, espérant qu'une femme sera plus douce. J'ai répondu à son annonce pour une fessée, elle me propose une séance de domination avec une petite voix fluette qui me met en confiance. A juste titre car notre séance toulousaine me laissera un très bon souvenir.

    A cette époque, je parcours la France dans le cadre professionnel, et cela me donne l'occasion de rencontres avec des dominatrices professionnelles. Ces rencontres me comblent, en général, mais les pratiques sont rarement très violentes, difficile en effet de jauger le soumis sur une ou deux séances.

    Cette époque me confirme mon plaisir à être soumis, obéissant, très obéissant, mais que très légèrement masochiste. J'adore sentir des mains sur mes fesses, mais est-ce vraiment du masochisme ?

    Le tournant de cette histoire BDSM va se faire quand je vais participer au blog d'un club parisien, l'antre, aujourd'hui fermé. C'est sur un heureux malentendu que je vais rencontrer Maîtresse Olivia, et c'est elle qui va me faire connaître de l'intérieur le milieu SM parisien, enfin quelques personnes pratiquant régulièrement.

    Maîtresse Olivia est plutôt novice, elle pratique surtout avec Maitre Caïman,  propriétaire de l'Antre, et Mphil, maître de celle qui deviendra ma copine soumise Ral (une véritable masochiste pour le coup).

    Là, je vais découvrir de véritables masochistes, hommes et femmes, subissant des coups de fouets, de cannes, à en saigner et en jouir !

    J'ai appris, petit à petit, à accepter cette douleur,  pour rendre ma Maîtresse fière de son soumis, et au fur et à mesure,  j'ai commencé à prendre goût à la douleur.

    Je me suis surpris, au fil du temps, à chercher cette sensation masochiste, alors qu'au fond de moi, mon bonheur était avant tout dans la soumission.

    Je sens que j'ai été un peu long, alors je vais livrer mon point de vue.

    La soumission, en confiance d'une Dominatrice sincère et juste, conduit au masochisme.

     

    Voilà, c'était la maxime du jour, d'un ancien soumis.

    Anton.

     

    Votre point de vue sur le masochisme ; Par Anton, suite…

    Je te remercie, Anton, pour ton point de vue. Celui-ci est à nouveau différent des autres personnes qui ont répondu à ma demande et je suis contente de te lire alors que je sais que le monde du BDSM est pour toi dorénavant vu du loin.

    Nous avons nos vies, nos tristesses et à vivre après certains évènements qui peuvent nous affecter profondément.

    Ne dis pas « ancien soumis » ; moi j’espère qu’un jour tu reviendras à moi. Quand le temps, t’aura, peut-être et je te le souhaite sincèrement, permis de t’apaiser, un « peu »… Et que tu retrouveras l’envie de te faire fesser et avoir justement ce fessier bleu et ou marron !

    Moi je veux y croire… Car tu signes ton mail avec « Anton » et ce prénom, c’est moi qui te l’a offert…

    Ce que j’ajouterais à ton texte, c’est la richesse des moments que tu as pu vivre, dans différentes villes de France. Les rencontres qui ont fait ton histoire bien évidement et qui ont construit ton parcours de soumis. Et qui ont confirmé ta position.

    Tu dis ne pas être maso, il est vrai que te connaissant je suis un peu surprise de ton positionnement mais je le comprends dorénavant.

    Mais surtout, ce que moi je retiens, c’est quand tu écris :

    « J'ai appris, petit à petit, à accepter cette douleur,  pour rendre ma Maîtresse fière de son soumis, et au fur et à mesure,  j'ai commencé à prendre goût à la douleur. »

    Je trouve cela tout simplement très beau. C’est sans doute cela que d’être un bon soumis à mon sens, accepter la douleur, pour plaire à sa Maîtresse, lui permettre d’exposer son soumis aux yeux des autres et de démontrer tout ce que l’on est en mesure d’accepter pour Elle. Cette douleur qui nous semblait sans doute insupportable et qui au final, sera « acceptée » et par fierté.

    Merci pour ton témoignage, riche de sens et d’émotions.
    Madame.S

     


     

     

    Note à un lecteur : F. de Belfort, impossible de répondre à ton mail de lundi, mon courrier me revient comme non délivré ?
    Il faut me renvoyer une adresse mail ou un numéro de téléphone !

     


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    Je suis votre…

    Maîtresse,

    Je regarde ce plug, cette chaîne...

    Je suis votre prisonnière…

    Godeline.

     


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