• Journal intime Titou - Semaine 26

     

    • Lundi 26 juin

    Madame S m’a envoyé une photo laissant apparaitre la naissance de son décolleté. C’est très sexy. Au même moment, je suis en rendez-vous avec une collaboratrice qui ne cesse de se pencher en avant, me laissant admirer la naissance de sa poitrine généreuse. Difficile de se concentrer.

    En parallèle, ma femme fait face à des effets secondaires de sa chimio qui commencent à la handicaper. Ses mains sont devenues brulantes, c’est à peine si elle peut tenir quelque chose, cela s’est propagé à la plante des pieds, et elle a maintenant des aphtes !

    • Mardi 27 juin

    Les journées de travail sont particulièrement intenses. Je participe à une réunion sur la journée, j’ai un rendez-vous en même temps en fin de matinée, et un autre rendez-vous l’après-midi. Je passe d’une salle de réunion à l’autre, il faut faire jongler les neurones d’un sujet à l’autre.

    Madame S m’a envoyé une citation de Boris Vian, juste avant d’aller me coucher, une citation furieusement torride ! Quel plaisir de se coucher avec les images qu’a fait naitre cette citation.

    • Mercredi 28 juin

    Encore une journée au cours de laquelle les réunions se juxtaposent.

    Et pour commencer l’après-midi, Madame S m’a envoyé une photo de ses pieds si joliment manucurés. J’aimerais tant pouvoir les baiser et les gouter !

    • Jeudi 29 juin

    Dans l’après-midi, j’avais un rendez-vous avec mon patron. Il était détendu, s’il savait à quel point sa manière d’être est importante pour moi. S’il est tendu, je deviens totalement parano. Dans le cas contraire, je suis heureux de me défoncer pour mon boulot !

    Encore une citation torride de Madame S. Je suis troublé.

    • Vendredi 30 juin

    Le début de semaine a été très intense, mais en même temps plutôt constructif. Du coup, j’ai passé une nuit particulièrement sereine. Au point que, quand le réveil a sonné, j’étais profondément endormi ce qui ne m’arrive pas souvent.

    Ce matin, je suis encore en réunion, comme ce fut le cas toute la semaine. Cela ne m’a pas empêché de dialoguer avec Elle. Nous avons parlé de l’instant présent. Pendant notre conversation pas SMS, je lui ai commandé un livre de Tolle Eckhart « le pouvoir du moment présent ». Elle doit le recevoir demain. J’espère que cela lui plaira.

    Je suis parti du boulot relativement tôt. Pris d’une pulsion et d’un besoin de tendresse, j’ai repris contact avec Monika donc la précédente rencontre m’a laissé un souvenir ému.

    Elle m’a accueilli dans sa chambre en nuisette avec un baiser torride sur la bouche et un grand sourire. Elle s’est entièrement dévêtu pendant que j’en faisais autant, et m’a attendu lascivement étendue sur son lit. Sa lourde poitrine libre de tout soutien reposait paresseusement sur son ventre et avec son sourire enjôleur, elle était vraiment très sexy. Elle m’a fait une petite place sur son lit, et je me suis assis à ses côtés, commençant par lui caresser et embrasser ses seins lourds. Mes baisers se sont fait plus appuyé, j’ai commencé à lui lécher les mamelons, à téter les pointes de ses seins, à lécher ses tétons durcis, passant de l’un à l’autre, faisant rouler entre mes doigts le téton que je n’avais pas dans la bouche, le tout sous les soupires d’aise de Monika.

    Tout en continuant à caresser sa poitrine et j’ai commencé à lui faire des bisous sur le ventre et à descendre petit à petit vers son puits d’amour, embrassant le haut de ses cuisses mais en évitant soigneusement son minou parfaitement épilé afin de faire monter la pression et son envie. Je l’ai vu écarter encore un peu plus ses cuisses pour m’indiquer le chemin à prendre, et comme je contournais toujours le centre de son plaisir, elle a écarté ses lèvres pour dégager son clitoris. La tension était forte, j’ai alors posé mes lèvres sur son sexe, j’ai sorti ma langue et commencé à lui lécher le minou. Tantôt suçant son clitoris, tantôt fouillant sa chatte avec ma langue en tentant de la pénétrer le plus profondément possible, j’entendais ses soupirs toujours plus bruyants, son bassin venait à la rencontre de ma langue agile, ses mains appuyaient sur ma tête et j’ai soudain senti ses cuisses enserrer ma tête et son jus couler à l’intérieur de sa chatte sous l’effet d’un premier orgasme. J’ai léché tout son jus, et j’ai continué à lui donner du plaisir en fouillant encore et encore son sexe humide, et j’ai réussi à lui donner un second orgasme, moins fort que le premier, mais elle a pris à nouveau son plaisir. Elle m’a alors attiré vers elle et m’a embrassé goulument sur la bouche, goutant ainsi le jus de sa jouissance.

    Après ce moment consacré à lui donner du plaisir, elle a choisi d’inverser les rôles. Je me suis allongé sur le dos, et Monika est descendue vers mon sexe pour le prendre dans sa bouche. Elle a entamé une fellation tout en me regardant, me léchant les couilles et le périnée. J’ai écarté encore un peu plus mes cuisses pour lui faire comprendre que mon petit trou réclamait qu’on s’occupe de lui. Elle s’est levée pour aller chercher dans son armoire un godemichet qu’elle a habillé avec une capote. Un peu de gel et elle a posé son godemichet à l’entrée de mon anus et a commencé à pousser. Le gode s’est frayé un chemin assez facilement dans mon trou avide de sensations. Elle a alors commencé à faire des allers/retours dans ma chatte, et elle a repris sa fellation. Quel bonheur, j’ai adoré se moment où Monika s’occupait de moi, où j’étais le centre de ses attentons. J’étais de plus en plus excité, je lui ai demandé de me baiser de plus en plus fort tout en me léchant les couilles. J’ai pris mon sexe entre les mains, et pendant que Monika me baisait, je me suis masturbé jusqu’à la jouissance. Je sentais mon trou se resserrer sur le gode pendant que mon sperme coulait sur mon ventre sous le regard bienveillant de Monika. Elle a continué à me baiser quelques minutes avant de retirer en douceur le godemichet.

    Elle est allée chercher des lingettes pour essuyer mes cochonneries, tout en prenant possession de ma bouche et en glissant langoureusement sa langue dans ma bouche pour un baiser torride.

    Monika m’a fait vivre un nouveau moment tout à fait délicieux, jouissif et torride.

    • Samedi 1er juillet

    Une matinée chargée, j’ai déposé Xavier à son centre, je suis allé faire les courses, un rendez-vous chez le médecin, et j’ai eu juste le temps de retourner chercher Xavier à 11 h 30.

    A midi, les jeunes sont venus déjeuner avec la petite, notre rayon de soleil. J’ai envoyé une photo de la petite à Madame S, pour illuminer un peu sa journée.

    • Dimanche 2 juillet

    Un dimanche pluvieux. J’ai fait la cuisine pour le repas dominical, un rôti de porc en cocotte, cuit avec beaucoup de vin blanc et une sauce à la moutarde, c’était délicieux.

    Journal intime Titou - Semaine 26


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  • L’anneau…

     

    Bonjour Madame S,

    Hier c’était mon anniversaire et j'ai reçu en avance (car je suis parti en vacances samedi) un joli cadeau de la part de ma Maîtresse.

    J'ai été très touché de son geste ces anneaux me donne un peu plus d'appartenance.

    Je suis un soumis très heureux et fier de lui d'appartenir.

    Recevez mes respects et obéissance.

    Soumis Chriss.


     

     

    Je me souviens du jour ou Aaron s’est fait percer son téton pour moi. Je l’accompagnais et je lui tenais la main. Pour apaiser sa peur et sa douleur…

    Un souvenir, inoubliable…

    Madame.S


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  •  

    Anniversaire de rencontre…

    Maîtresse,

     

    Voici bientôt 12 ans, Vous alliez me ficeler dans Vos Propres Convictions avec cette maitrise inespérée de Votre Alchimie BDSM.

    Je me suis alors incliné dès les premiers instants, je savais que Vous et moi, avions tout pour nouer une relation étonnante, basée sur Votre Sensuelle Autorité et Votre Indicible Instinct, au moment où un sentiment de solitude me laissait sans espoir du lendemain.

    Anniversaire de rencontre…

    Votre Destin Irrésistible aura su se montrer Victorieux, me laissant ivre de contemplation pour Vos Coups de Fouet...

    De plus, quand Vous m'avez ouvert les portes de Votre Dimension,  je me suis senti, alors exister à Votre Manière en m'enivrant de Votre Intimité.

    Je n'ai jamais cessé de focaliser sur Votre Empreinte Psychologique, en Vous avouant ma fascination pour Votre Vie.

    Il vous arrive parfois de détester les autres, parfois de les aimer, j'ai eu la chance et le privilège qu'un jour, Vous Vous êtes intéressée à moi, en me considérant pour cet esclave, gardien de Vos Rêves...

    Je ne dirai que ces mots : "heureux soumises et soumis, qui ont eu et qui auront la chance de croiser la poussière de Vos Pas"…

     

    Bon anniversaire Divine Maîtresse.

    Aaron.

    Anniversaire de rencontre…

     

    Je ne souhaite rien ajouter à tes mots, tellement ils résonnent en moi et dans notre relation, belle, sincère, respectueuse…


    Madame.S

     

    Anniversaire de rencontre…


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  • Le poids sur...

     

    Bonjour maîtresse.

    Chriss m’a donné des envies de défi

    et me voilà avec un poids de 1 kilo et  8c/m5 à mes couilles...

    Je vous souhaite une bonne journée.

    Soumis Albin.


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  • La baguette !

    À la baguette de bambou, je me suis fouettée,

    seule jusqu'au sang !

    Oh oui, par totale soumission

    et infinie reconnaissance pour Vous !

    Aline en souffrance/Jouissance pour sa Divine Domina.

    Je voulais partager cela avec Vous,

    pour vous prouver ma soumission…


    Votre Aline.


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  •  

    Titou, soumis de Madame S.  Et fier de l’être…   

    1 – Une attirance pour la soumission.

     

    Nous sommes dans l’hiver 2003, et je suis devant mon ordinateur.

    Que suis-je venu faire sur ce site dédié à la fesse ? Je ne sais quel recoin caché de mon subconscient m’a poussé à choisir ce site Internet qui présente toutes sortes de fessiers ? J’admire des fesses de femmes, d’hommes, des grosses fesses et des plus sexy, des poilues et des imberbes, et mon subconscient commence à faire de l’effet dans mon bas ventre !

    Et puis, il y a cette rubrique « rencontres » qui m’attire inexorablement, des femmes cherchent des hommes, des hommes cherchent des hommes. Et je tombe sur cette annonce d’un homme qui cherche, à Arras, des fesses à faire rougir. C’est avec une certaine émotion que j’appuie sur le bouton répondre, que je me présente et propose une rencontre.

     

    A cette époque, j’ai 42 ans. Je suis marié et père de 2 garçons. Mon mètre 69 et mes 69 kg font de moi un homme insignifiant, sans signes particuliers, et plus personne ne se retourne sur mon passage. Mes nouvelles lunettes cachent dorénavant mes yeux bleus, et ma barbe commence à grisonner, ce qui ne doit pas aider. Je ne fais plus beaucoup d’effet à mon épouse, qui se fait de plus en plus prier pour faire l’amour. Peut-être ne suis-je plus à la hauteur de ses attentes, et pourtant, nos ébats amoureux finissent toujours par la faire jouir.

    Responsable d’un service informatique d’une enseigne de distribution nationale, mon boulot m’entraîne souvent loin de mon foyer, et ces déplacements professionnels sont ces temps-ci plus longs et plus nombreux, ce qui ne nous rapproche guère.

     

    2 – Découverte de la soumission.

     

    Cette première rencontre est une révélation : humiliation, plaisir charnel de la fessée, découverte de certains instruments de « torture », découverte de la sodomie subie, plaisir dans la douleur !

    Je vais revoir cet homme et la seconde rencontre sera un échec car il ira trop loin, je ne suis pas prêt.

    Mais, une porte a été ouverte, j’ai découvert la soumission et je ne pense pas pouvoir m’en passer.

    Quelques semaines plus tard, je réponds à une Dominatrice Toulousaine, Maîtresse Marika, qui me propose 2 types de prestations : la fessée ou la domination. Ayant choisi la domination, je vais encore découvrir de nouvelles facettes du SM : suspension par les pieds, martinet et fouet, lavement, la cire et le bondage. Maîtresse Isabella, à Avignon, va jouer avec des baguettes chinoises, m’accrocher à un sling pour me sodomiser, et révélation me faire découvrir l’uro, une pratique qui va me faire jouir quasi instantanément. Ces deux Maîtresses occasionnelles m’ont permis de découvrir des pratiques, et j’ai tout aimé.

    En 2004, je vais m’enticher d’une jeune Dominatrice Lyonnaise, Maîtresse Sulfure. Elle a des formes pulpeuses, des cheveux noirs coupés mi long, un regard sombre et une autorité naturelle. Je vais lui appartenir pendant 2 ans. Elle va m’humilier toujours plus fort, m’exhiber devant d’autres soumis et dans un sex shop, m’apprendre à masser ses jambes et ses pieds, lui servir de reposoir, renforcer mon gout pour l’uro et surtout me faire découvrir l’adoration pour sa Maîtresse et à quel point je suis prêt à beaucoup pour qu’on s’occupe de moi. Elle va me prendre beaucoup d’argent avant que je comprenne qu’elle se fichait totalement de moi.

    Je suis soumis, il n’y a plus de doute sur ce sujet. Je suis soumis et j’aime ça.

    J’aime me faire humilier, j’aime jouir dans la douleur, j’aime être au service d’une Dominatrice.

    Après m’être sauvé des griffes de Maîtresse Sulfure, j’ai papillonné en faisant de nombreuses rencontres dans la région lyonnaise, dans les alpes, en Auvergne, et plus particulièrement avec des Dominateurs.

    Je vais vivre des expériences mémorables :

    -           Dominé par un homme que je n’ai jamais vu dans ma chambre d’hôtel dont j’avais laissé la porte entre ouverte.

    -           Dominé devant des gens qui découvraient le SM

    -           Fessé sur un parking public

    -           Baisé et fessé par des transsexuels

    -           Sodomisé par un chien un Rottweiler

    J’allais toujours aussi loin que possible, ne refusant aucune pratique ou scénario.

     

    3 – Maîtresse Olivia.

     

    Et j’ai rencontré Maîtresse Olivia en avril 2009, Dominatrice travestie à Paris, à qui j’ai appartenu pendant 2 ans presque jours pour jours.

    Cette rencontre m’a profondément marqué. J’ai aimé Maîtresse Olivia, profondément et sincèrement. Malgré la brutalité de notre séparation, je conserve de notre relation la mémoire de moments d’une intensité inconnue. Quand je l’ai rencontrée, Maîtresse Olivia était novice dans le milieu du BDSM. Elle était amie avec un couple pratiquant, Mphil et ral, qui connaissaient le « tout paris »des amateurs SM en couples. Elle a appris avec eux et sur moi. Je la voyais 2 à 3 fois par mois et elle adorait « jouer  ». Elle perfectionnant le maniement de la cravache ou des martinets sur moi, elle dessinait à la cire sur mon corps. J’étais SON soumis, celui dont elle voulait être en fier en public.

    C’est ainsi que j’ai totalement intégré ce que devait être un soumis : une chose transparente, toujours attentive aux désirs non formulés de sa Maîtresse, une chose qu’elle devait pouvoir exhiber en public avec fierté, qui devait souffrir en silence et faire le service comme une soubrette digne de ce nom, une chienne qui devait manger dans sa gamelle à quatre pattes sous la table et frétiller de la queue quand elle arrivait dans la pièce, un objet sexuel dont la bouche et la chatte devaient être toujours disponibles. Si j’étais à la hauteur de ses exigences, elle savait me récompenser en m’offrant sa jouissance, dans le cas contraire je pouvais souffrir et pleurer.

    Grâce à ses fréquentations, j’ai découvert que je n’étais pas un cas isolé, que le BDSM est bien plus pratiqué qu’on ne pourrait le penser, et par des personnes dont on ne pourrait suspecter le goût pour ces pratiques. J’ai également rencontré des couples qui le vivent au quotidien.

    Et j’ai participé à des moments grandioses, un mariage SM au cours duquel le Maître a marqué la mariée au fer rouge, j’ai été suspendu devant 50 personnes, et je me suis marié avec Maîtresse Olivia.

     

    4 – La Dominatrice et le soumis.

     

    La séparation est arrivée quelques jours après le mariage, à presque 2 ans jour pour jour de notre rencontre. Elle fut douloureuse pour moi comme pour elle. Des amis du monde BDSM m’ont aidé à me remettre.

    Les années ont passé et j’ai découvert le blog de Madame S. Je ne voulais plus m’attacher, ma séparation avait été trop douloureuse. Mais Madame S a su trouver les mots, m’apprivoiser en douceur, en prenant le temps.

    Je ne l’ai jamais rencontré, mais j’ai pu découvrir ses yeux émeraude et plonger dans son regard si mélancolique et tellement dominateur. Je n’ai découvert le son de sa voix qu’il y a quelques semaines, après un appel surprise de ma Maîtresse, et comme j’avais été naturellement subjugué et dominé par ses yeux, il en fut de même par sa voix. Nous échangeons depuis plusieurs années, je suis son soumis depuis bientôt deux ans.

    Je suis soumis, depuis que je l’ai découvert je ne peux plus me passer de dominants.

    Madame S est dominatrice, et nous avons la même conception du BDSM. Madame S est une dominatrice dans le vrai sens du terme, pas une gamine qui se prétend comme telle pour augmenter le tarif de ses prestations et extorquer quelques euros à des pigeons soumis, pas une gamine qui sait à peine manier une cravache et fourrer son pied dans la bouche d’un soumis.

    Madame S est dominatrice naturellement. Il suffit de croiser son regard émeraude pour le comprendre.

    Je suis devenu un soumis 2.0, un soumis d’une Dominatrice avec laquelle je n’ai que des échanges épistolaires. Elle me donne des ordres et je m’exécute, je me prends en photo pour m’humilier devant Elle et les lecteurs de son blog, je me fais souffrir à sa demande, je lui confie ma sexualité à sa demande.

    Cette manière d’être soumis me frustre, mais je me suis profondément attaché à Madame S, je la considère comme MA Maîtresse.

    J’ai écrit ce texte pour préciser 2 choses.

    La première est d’ordre général : je suis soumis et j’en suis fier. Je n’ai pas honte d’être soumis. Cela peut surprendre les personnes qui ne pratiquent pas le BDSM, et pourrait même les rendre narquois à mon encontre. Mais je suis fier de subir les coups d’une Dominatrice sans crier, je suis fier d’avoir l’esprit tourné vers son plaisir en quitte à occulter le mien, je suis fier de me travestir pour lire le plaisir dans ses yeux, je suis faire d’obéir au moindre de ses désirs pour qu’Elle soit heureuse, je suis fier si Elle m’humilie en public sans sourciller pour qu’Elle soit fière de son soumis. Accepter de s’abandonner totalement, de laisser sa volonté et sa testostérone à l’entrée de son antre n’est pas si facile, et je suis fier d’en être capable et de tout faire pour apprendre de mes erreurs et devenir meilleur à ses yeux.

    La seconde concerne plus particulièrement ma relation particulière avec Madame S : je suis fier de faire partie de ses soumis. Sans me connaitre, Elle a su me convaincre de devenir son soumis. Je suis fier qu’Elle m’ait choisi, je suis fier de lire ces « bravos » lors de certaines de mes prestations. Je suis fier qu’une Dominatrice de la beauté de Madame S ait accepté de me prendre sous sa coupe sans autre contrepartie que mon obéissance. Je suis fier de lire ses compliments quand je me travesti.

     

    Je suis soumis de Madame S et j’en suis fier.

      

    Titou, soumis de Madame S.  Et fier de l’être…   

     

    Un texte sur toi et ton parcours, oh combien touchant et enivrant. Qui bien sûr, me touche profondément, quand tu parles de notre relation et ce qui en découle, dans la "simplicité" de la relation, mais avec tout ce qui en découle, engagement, fierté et envie de soumission profonde et sincère.

    J'apprécie que tu nous aies parlé de ton passé BDSM et tes rencontres que je ne souhaite pas développer par respect pour les personnes concernées et c'est bien du passé que nous parlons, puisque dorénavant tu m'appartiens.

    BRAVO pour oser tout ce que tu oses quand je te le demande. De me faire confiance, sans jamais m'avoir rencontrée.

    De vivre à travers moi une relation belle et complice, que je trouve intense même avec la distance.

    Et toi et moi nous le savons, la rencontre se fera un jour, au moment venu. Je le sais, je le pressens...

     

    Madame.S


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  • La chaise...

    La chaise...

    La chaise...

    La chaise...

    Madame S,

    Depuis que je poste des commentaires et des photos j'ai ressenti un nouveau plaisir dans ma soumission une autres façon d'obéir et de servir, une grande motivation c'est emparé de-moi de vous démontrer ma soumission et de vous faire plaisir.

    Cette chaise je l'ai fabriqué moi-même, je suis assez bon bricoleur et j''ai beaucoup de plaisir à fabriquer des objets bdsm et les mettre en valeurs.

    Elle est multifonctionnelle et toutes les positions sont possibles, accès anal et des parties génital de l’esclave, travail des seins, position à la punition et à un interrogatoire, la Maîtresse peut aussi si asseoir pour abreuver son esclave.

    Libre court à l'imagination de la Maîtresse de jouée avec son soumis, accès à toutes les parties de son corps pour divers châtiments.

    Désolé pour l'inversion des lettres je suis meilleur bricoleur qu’en orthographe mais j'apprends de mes erreurs.

    Soumis Chriss.

     

    La chaise...

    La chaise...

    La chaise...

    La chaise...

    J’aime quand tu parles de motivation à mon égard, cela prouve un engagement, une réelle dévotion et j’apprécie fortement cette démarche.

    Bravo pour cette chaise, fabriqué par toi de plus… Ou toutes les positions sont possibles et praticables ! Belle invention faite de tes propres mains !

    L’idée m’inspire terriblement, bravo !

    Quant à l’orthographe, ne crois pas que cela soit un obstacle à nos échanges et tu fais des efforts appréciables.

    Madame.S

    La chaise...

    La chaise...

    La chaise...

    La chaise...

     


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  • Voilà l’été et la douceur !

    Voilà l’été et la douceur !

    Voilà l’été et la douceur !


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    Journal intime Titou - Semaine 25

    • Lundi 19 juin

    La journée a débuté par un comité de pilotage auquel participe mon patron. Il a commencé la réunion en m’envoyant un scud qui n’avait pas de rapport avec l’ordre du jour. C’est toujours bien agréable de commencer les réunions de la sorte. Néanmoins, je sens que ma séance de Reiki de vendredi a porté ses fruits, cela ne pas atteint outre mesure.

    Après le déjeuner, j’ai pris la voiture avec un collègue direction Montparnasse, je pars pour 2 jours à Marennes d’Oléron.

    Comme d’habitude, j’ai posté des annonces dans l’espoir de me faire baiser dans ma chambre d’hôtel ce soir. Et comme d’habitude, les mythos sont légions.

    Nous sommes allés diner dans un très bon restaurant, le dos de cabillaud et son risotto crémeux étaient excellent, le repas détendu.

    En rentrant, et contre toutes attentes, j’ai reçu un message d’un homme noir qui souhaitait me baiser la bouche avec sa grosse queue de black, mais uniquement si j’acceptais de le recevoir dans le noir. Je dois dire que sa demande m’a mis un peu le doute, et malgré l’heure tardive, j’ai entrepris un dialogue par mail. Finalement, je lui ai donné l’adresse de mon hôtel et le numéro de chambre. Et puis, plus de nouvelles. J’étais sur le point d’aller au lit quand on a frappé à la porte, une fois, deux fois, et il a ouvert la porte. Je n’avais pas eu le temps de faire le noir complet, alors il a reculé pour que je ne puisse voir son visage et m’a ordonné de fermer la veilleuse restée allumée.

    Il est alors entré plus avant dans la chambre et a baissé son short et son boxer, me présentant un sexe déjà prometteur alors qu’il ne bandait pas. Moi, j’étais nu avec mon rosebud dans le cul. Je suis allé vers lui à quatre pattes, et il m’a mis sa queue dans la bouche sans aucun ménagement. Ouf, il était propre. Très rapidement, il a durci dans ma bouche, et je l’ai entendu commencer à faire entendre son plaisir. Son sexe est devenu véritablement dur comme du bois, un peu comme le sexe d’un chien. Il était assez large mais pas trop long. Il m‘a baisé la bouche et m’a pris la main pour que je le masturbe en même temps. A genoux à ses pieds, je sentais ma chatte s’ouvrir sous l’effet de l’excitation, au point que le rosebud est sorti tout seul. En même temps qu’il me secouait par ses coups de boutoir, je sentais mon sexe faire le balancier et commencer à prendre forme, et je le sentais commencer à couler de ma mouille. Il m’a baisé la bouche ainsi quelques minutes et j’entendais son plaisir grandir au son de ses ahanements. Il a alors décidé de prendre les choses en main, ou plutôt la chose, et à se masturber de manière ferme et rapide, dirigeant ma bouche vers ses couilles que j’ai léchées avec plaisir. Je m’attendais à ce qu’il jouisse rapidement sur ma figure ou dans ma bouche, mais il a soudainement reculé, remis son short, et a quitté la chambre comme un voleur, sans un mot.

    Quel plan étrange, dommage, il aurait surement fait un excellent baiseur.

    Madame S m’a envoyé un message me disant qu’elle aurait ravie de m’avoir à ses pieds. Et moi donc !

    • Mardi 20 juin

    Je viens de me rendre compte que notre voiture de location est la même que celle de Madame S, même marque, même modèle et même couleur. Etonnant, non ?

    La journée de travail a été intense, riche et utile. Ce n’est malheureusement pas toujours le cas.

    J’ai tout de même dû passer du temps à chambouler mon emploi du temps. J’aurais dû rentrer à Paris mercredi soir, je vais devoir faire un détour par Limoges et je ne rentrerai que jeudi soir. Heureusement, j’ai pris l’habitude d’avoir toujours un change supplémentaire dans ma valise, et un jour supplémentaire de médicaments, pour faire face à ce type d’éventualités.

    Ce soir, alors que je dinais avec mes collègues, Elle m’a envoyé un SMS qui m’a porté à croire à sa télépathie. Il n’est pas rare que ses messages soient en résonnance avec mes actes, les lieux où je suis, mes pensées tout simplement. Cela ne cesse de me troubler.

    • Mercredi 21 juin

    J’ai déposé mes collègues à la gare de la Rochelle, et après avoir acheté une carte postale pour Elle, j’ai pris la route pour Limoges. 3 heures de route alternant les nationales et les départementales, c’est long.

    Sur le trajet, je me suis arrêté sur une des rares aires ressemblant à une aire de repos et pas un simple parking. J’ai immédiatement flairé le bon coup. En effet, un homme rodait autours des toilettes, l’air désœuvré. Je l’ai bien regardé avant d’aller faire un pipi urgent, tout en laissant la porte des toilettes ouverte. Je suis ensuite sorti, me promenant comme lui autours de la cahute des toilettes, autours des coins un peu isolés du parking, mais sans succès. Alors que je regagnais ma voiture, j’ai vu qu’il se dirigeait vers un bosquet suivi d’un autre homme. Je ne m’étais pas trompé, ils ont commencé à se branler mutuellement. Je me suis un peu approché, mais timidement, pour ne pas les forcer à un plan à trois. Ils m’ont vu mais ne m’ont pas fait signe. J’ai vu du sperme gicler et j’ai laissé mon sexe dans ma culotte.

    Je me suis réconforté en me disant qu’il faisait vraiment trop chaud (36 °) pour ce genre de bêtises.

    Arrivé à Limoges, j’ai d’abord eu la chance de trouver une place de parking alors que la fête de la musique battait son plein juste en face de l’hôtel.

    J’ai envoyé un petit mot à Madame S, lui indiquant qu’il faisait vraiment trop chaud pour sortir, espérant que mes annonces auraient du succès. Mais à Limoges comme ailleurs, il est bien difficile de trouver des plans fiables. Alors, étant resté sur ma faim après mon arrêt sur l’aire de la nationale, j’ai décidé d’aller au sexe shop de Limoges. J’ai pris un billet pour la salle de projection commune, ayant lu sur Internet qu’il pouvait s’y passer des choses. Le film était mièvre et il n’y avait personne dans la salle. Au bout d’une demi-heure, j’ai décidé de rentrer à l’hôtel. Me dirigeant vers la sortie, j’ai croisé un homme un peu plus vieux que moi qui allait aux toilettes. Il devait sortir d’une cabine individuelle. Nos regards se sont croisés, je suis retourné dans la salle de projection.

    Il est arrivé quelques minutes après, s’est installé sur un siège proche du mien et a commencé à sortir son sexe et le branler. Il me regardait, je le regardais, il s’est levé et s’est mis debout près de moi, le sexe en semi érection. Il ne respirait pas la propreté et était humide de la chaleur ambiante. Qu’importe, j’ai porté son sexe dans ma bouche. Je confirme qu’il ne sentait pas bon, une odeur de pisse et de transpiration mêlées. Mais c’était plus fort que moi, un besoin de queue, un besoin d’humiliation en suçant ce sexe malodorant. Je l’ai rapidement fait durcir, il a voulu me toucher également et j’ai baissé mon short (sans slip) et il m’a caressé. Il a voulu que je lui lèche le cul, mais là cela devenait un peu trop pour moi. J’ai sorti une capote en lui demandant de m’enculer. Mais je ne suis vraiment pas doué pour mettre les capotes, et il a commencé à débander. Il a entrepris de m’embrasser avec une langue baveuse. C’était dégoutant et humiliant, mais je l’ai laissé faire. Quand on prend les choses en main, je ne suis plus rien, j’obéis, je me laisse guider. Finalement, il m’a mis à genoux, et comme le gars de lundi soir, il m’a baisé la bouche, avec force, entrant son sexe au plus profond de ma bouche et tentant de me faire lécher ses couilles en même temps. Il m’a secoué de plus en plus fort, me faisant mouiller. Il m’a prévenu qu’il allait jouir, alors je l’ai sucé plus fort et plus rapidement, et enfin, j’ai senti son jus couler dans la bouche, plusieurs giclées. J’ai tout avalé, je sais que ce n’est pas prudent, mais je n’aime pas gâcher. Je me suis rhabillé, je suis parti à mon hôtel.

    Sur le chemin du retour, j’ai acheté des chips, et j’ai commandé une bière à l’hôtel. Il fait chaud, je n’ai pas faim, mais il faut bien que je mange un peu. Pendant ce temps, j’ai traité ma messagerie.

    Mais ma chatte est toujours en manque. Ma bouche a servi deux fois en deux jours, mais ma chatte crie famine.

    J’ai écrit ma carte postale pour Madame S avant d’aller me coucher.

    • Jeudi 22 juin

    J’ai chamboulé mon emploi du temps pour un rendez-vous de 2 heures. 6 heures de train aller/retour, juste pour écouter et rassurer. Ce n’est pas du temps de perdu car maintenant, on se connait, les problèmes se règleront plus facilement.

    Le retour en train est long, cela me laisse plus de temps pour penser à Madame S, notamment en écrivant mon journal.

    Je suis rentré assez tard à la maison, drôle de sensation après 3 jours et demi d’absence. Je devrais être content, je me sens seul et déboussolé !

    • Vendredi 23 juin

    Ce matin, je suis allé chez le dentiste. J’étais effrayé de souffrir, je préférerai souffrir sous les coups de martinets ou de fouets de Madame S. Finalement, tout s’est bien passé.

    La journée de boulot s’est bien passée, si ce n’est mon patron qui m’a appelé à 19 h, alors que je fêtais la fin de semaine au bistrot avec des collègues. Il a le chic pour gâcher le week-end !

    Journal intime Titou - Semaine 25


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  •  

     

    Chaleur pour ma Divine…Chaleur pour ma Divine…

    Bonjour maîtresse.

    Il fallait bien que je souffre un peu pour le cadeau de cette  magnifique photo.

    Pour Vous, j’ai eu mal avec cette cire chaude, pour vous Vénérer…

    Je suis heureux de l’avoir fait pour Vous.


    Votre soumis Albin.


    Chaleur pour ma Divine…

     

    J'avais laissé de côté ce message et là encore je découvre tes photos avec un vrai plaisir !

    Tu as bien su enrouler de cire ta queue et le résultat est plutôt joli !

    Je n'ose imaginer la chaleur ressentie quand la cire a coulé sur ton sexe.

    Bravo...

    Madame.S

    Chaleur pour ma Divine…


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  •      Impressions d’Aline suite au moment partagé avec Natacha.

    Comme promis !

    Natacha /Aline…

    Rencontre improbable, devenue réalité par la magie de notre Divine Domina !

    Merci, merci encore à Elle.

    Aline ne connaissait Natacha, jusqu'à cette rencontre magique, que par le blog de notre Maîtresse adorée. Ce fut déjà alors un choc mais la réalité bouleversa plus encore Aline. Natacha, un mélange de virginité et de sensualité, de pudeur et de lubricité, de tendresse et de cupidité !

    Un regard de feu dans un visage de vierge ! Une silhouette toute en courbes gracieuse. Une petite robe noire laissant tout deviner sans ne rien montrer.

    Des jambes, des cuisses, une croupe, une cambrure des reins irrésistibles! Un maquillage parfait, œuvre de notre Maîtresse !

         Impressions d’Aline suite au moment partagé avec Natacha.

    Aline était là, sans voix, au pied du lit de Divine Domina qui, lui donna l'ordre de s'agenouiller tout devant, tout contre Natacha qui lui lança une fois encore son regard de feu, soulevant d'un geste élégant le bas de sa robe, lui dévoilant sa nudité, lui offrant son intimité !

    Comment résister d'autant que deux charmantes boulettes prisonnières de liens multicolores étaient là juste à la hauteur des yeux d'Aline.

    Vous devinez la suite, elle les lécha, elle les suça, elle les mouilla…

    Puis les contempla, lisses, tendues, rose violacé puis elle les mit en bouche sous le double regard de Natacha souriante et de Divine Domina qui nous dit de continuer. Je ne puis dire combien de temps dura cette mise en bouche. L'intensité du moment me parut une éternité !!!

         Impressions d’Aline suite au moment partagé avec Natacha.

    J'avoue même, et je crois que Natacha apprécia, son regard semblait en tout cas me le dire, au-delà de ces délicieuses petites boulettes ma bouche engouffra simultanément ce que vous devinez et qui lentement se durcit en bouche. Mes lèvres étaient collées contre le bas ventre de Natacha !

         Impressions d’Aline suite au moment partagé avec Natacha.

    L'éternité vraiment ! Merci à elle, Merci Divine Domina qui nous avoua en nous voyant ainsi unis avoir mouillé de plaisir ! Quel infini honneur pour deux soumises ainsi unies !!!

    J'en étais restée alors que Natacha debout, petite robe noir relevée, sans culotte, offrait son sexe à la bouche d'Aline à genoux à ses pieds, elle-même le cul à l'air sous le regard à la fois dominateur et protecteur de notre Divine Domina, notre Reine en BDSM assise en son fauteuil bleu roi !

    L'ordre arriva soudain autoritaire et pervers. Aline dût lâcher prise. Natacha dût se mettre à genoux au pied du lit, la tête dans les draps, laissant au regard d'Aline une magnifique croupe rebondie et terriblement féminine !

    Aline aussitôt, toujours sur ordre de notre Divine Reine, dût la prendre à pleines mains, laissant glisser son petit doigt

    jusqu'à un adorable petit trou au bord délicieusement étiolé !

    Il se contractait, il se détendait semblant faire appel à plus de pression encore. le regard de notre Divine l'y invitait aussi !

    Alors, le doigt disparaissant là où vous devinez, Aline accroupie entre les cuisses de Natacha, goba goulument ses deux petites boulettes rose bonbon toujours ficelées d'élastiques multicolores ! Là encore, combien dura ce moment d'éternité. Aline ne saurait vous le dire. Maîtresse S peut-être, encore que, elle aussi semblait prendre son plaisir. C'est elle, en tout cas qui y mit fin, exigeant soudain l'inversion des rôles. Natacha active, Oh combien. Aline assise au bord du lit, cuisses ouvertes, lui offrant son intimité dont aussitôt, elle s'empara oh combien énergiquement !

    Quelle ardeur à l'ouvrage ! Salivant, bavant, décalottant le gland turgescent d'Aline, ses lèvres et, je crois bien ses dents aussi, lui imprimant des pressions et va et vient violents accompagnés d'un regard irrésistible !!

    Bien heureuse Aline qui ne savait plus bien où elle était et où elle en était ! Douceur des lèvres de Natacha, morsures de ses dents alternaient à un, rythme fantastique.


         Impressions d’Aline suite au moment partagé avec Natacha.

    Souffrance/jouissance sous le regard bienveillant de notre Divine Domina !

     

    Tout le corps d'Aline se tendait. Natacha sentit le moment venu de lui offrir à nouveau son sexe en bouche et de laisser Aline, doucement puis follement se masturber énergiquement jusqu'au divin moment de la délivrance. En une puissante décharge libératrice d'une semence dense qu'Aline eut du mal à contenir en ses mains.

    Libérée, épuisée, Aline était dans un autre monde, un monde d'apaisement, un monde de bonheur par la magie de notre Divine Domina qui souriait heureuse pour ses soumises et pour elle aussi, j'ai cru le deviner !

    Une belle histoire, un divin moment qu'Aline et je crois bien Natacha aussi ne sont pas prêtes d'oublier !

    Merci, merci encore Divine Domina.

    Merci aussi à vous, belle et fraîche Natacha !

    Aline aux Anges et qui rêve d’y retourner !!

         Impressions d’Aline suite au moment partagé avec Natacha.

         Impressions d’Aline suite au moment partagé avec Natacha.

         Impressions d’Aline suite au moment partagé avec Natacha.

     


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    Impressions de Natacha suite au moment partagé avec Aline.

             

    Sous Vos Yeux…

    Voilà, je quitte la route principale et emprunte cette petite route qui me mènera dans le vallon, écrin de verdure, de Madame S.

    Il ne me reste plus que neuf minutes à rouler alors cela fait neuf années que je ne me suis retrouvée aux pieds de ma Maîtresse.

    Le trajet a été l’occasion de me remémorer notre dernière entrevue, pleine de sensualité, d’espièglerie... Plus le but de mon voyage approchait et plus le temps semblait s’étirer, un étrange mélange de sérénité et d'excitation s'emparait peu à peu de moi.

    Je suis encore déguisée (en homme) alors que j’arrive devant la maison de ma Dame.

    Je ne peux empêcher mon cœur de bondir alors qu'Elle sort de sa demeure.

    Ma Dame m’apprend très vite qu’Aaron ne pourra malheureusement pas rester et devra incessamment partir.

    Alors que nous franchissons le seuil de sa maison, je croise Aaron et nous échangeons un bonjour joyeux. Je n’aurai pas eu le temps de mieux faire connaissance avec Aaron, alors qu’il me laisse admirative, et regrette un peu de le voir partir.

    Enfin, "voir" est une façon de parler, car dès notre arrivée dans la cuisine de Madame S. je me suis précipitée à Ses pieds.

    C’est à genoux, mon front contre Ses pieds délicats que j’entends Aaron faire ses préparatifs. Ma Dame discute avec Son sujet, évoque leurs activités du matin, s'amuse de me voir à genoux, je me permets de déposer de délicats baisers du bout des lèvres sur Ses orteils frais, j'entends parler d’aiguilles, je frissonne, je caresse avec mes joues lisses Ses chevilles, j' apprends que Aline a eu la permission de se reposer suite à la séance matinale, je promène le bout de mon nez sur Ses pieds. Comme si toutes ces années passées n'existaient pas, me voilà revenue à ma place, là où je suis moi, aux pieds de ma Maîtresse. Je savoure chaque minutes passées ainsi agenouillée, je savoure le contact de Ses pieds toujours frais, je me délecte du son de Sa voix qui souffle le chaud et le froid, de temps en temps Ses ongles parcourent mes cheveux....

    Ma Dame m indique qu’Aaron va partir, je me redresse et c'est un peu triste que je lui dis au revoir.

    Ma Dame me permets de la suivre jusque dans la salle de bain et me dis que je peux me changer, alors qu'Elle se rend auprès d'Aline.

    Impressions de Natacha suite au moment partagé avec Aline.

    Je quitte très vite ces habits masculins et ouvre le sac dans lequel j'ai emmené mes petites affaires.

    Je suis nue, nue de toute pilosité, dans tous les recoins de mon intimité.

    J'enfile mes bas résilles, les ajustant très haut sur mes cuisses. Puis je glisse mes pieds dans des ballerines noires vernies à petits talons sans prétention. Perchée un peu plus haut, mes hanches s'arrondissent, mes fesses sont légèrement cambrées. Je referme autour de ma poitrine le soutien-gorge noir et promène mes mains sur le tissu, caressant au travers mes sensibles petits tétons.

    J'entends Madame S. et Aline parler au rez de chaussé sans bien distinguer leurs propos, mais la bonne humeur règne.

    Je coiffe du bout des doigts mes nouveaux cheveux blonds qui tombent sur mes épaules et encadrent mes yeux. Je me glisse dans la petite robe que j'ai achetée quelques jours plus tôt. Elle est noire, fendue, s'arrête sous le genou, cintrée autour de mes hanches, elle laisse mes bras nus. Dans le sac, une culotte noire en dentelle transparente ou un string noir sobre.... Dilemme....

    Je pose poliment la question à ma Dame depuis l'étage supérieur, et pour s'amuser ma Dame demande Aline de choisir. Je découvrirai un peu plus tard qu'Aline n'est aucunement dénuée d'humour, et je l'entends répondre : "sans culotte", suivi d'un petit rire.

    Pour que cette partie de mon intimité soit aussi habillée, je place autour de mes couilles douze élastiques de quatre couleurs différentes. Ma Dame et Aline sont à l'étage à présent, et Elle choisit la tenue pour sa soumise. J'entends parler de corset, de bas, j'entends ma Dame rire.

    Me voilà presque prête....

    Ma Dame me rejoint dans la salle de bain.

    Nos regards se croisent et je sais alors que suis là. Vivante, libre d'être moi, Natacha, grâce à Elle, Sylvania. Il y a neuf ans, dans un acte de bonté ma Dame m'a donné le jour, et je ne La remercierai jamais assez pour cela. Nous revivons les mêmes instants.... Mon menton posé dans le creux de Sa main, ma Dame me poudre le visage, je sens Son souffle sur mes joues, Ses yeux verts forêt sont si proches des miens... J'ai tellement envie de plonger dedans, mais mon statut ne le permet pas et je baisse le regard de manière candide. Du fard bleu et gris métallique et du mascara noir sur mes paupières. Du rouge sur mes lèvres. Me voilà prête. Heureuse de me montrer à Madame S.

    …. Je fais un petit tour sur moi-même. Je rougis en en entendant Ses compliments.

    Elle pose un dernier regard, semble réfléchir puis me tend des petites boucles d'oreilles fleurs bleues assorties à mes yeux. Mon cœur fond, heureuse, troublée, fière de porter ces ornements que ma Maîtresse a Elle-même portés.

    Elle m'invite à la suivre dans Sa chambre. J'ose à peine franchir le pas de cette porte. Jamais je n'aurais pu imaginer que je pourrais voir l'endroit où ma Dame passe Ses nuits; là où Elle lit, écrit, rêve...

    Me voilà face à Aline, toute intimidée, mes paupières papillonnent. Je lui décoche des petits sourires timides et enjôleurs. Je suis une petite chienne timide. 

    Madame Sylvania prend place dans Son fauteuil qui est face au lit et nous regarde, Aline et moi, debout devant Elle, suspendues à Ses lèvres, dans l'attente d'un ordre.

    Ma Dame décide d'être spectatrice et de nous laisser aller à nos envies.

    Impressions de Natacha suite au moment partagé avec Aline.

    Je ne connais Aline que depuis quelques minutes seulement, mais je me retrouve instantanément à genoux devant elle, le nez au niveau de son sexe encore caché par un pan de tissu noir.

    Impressions de Natacha suite au moment partagé avec Aline.

    Les mains dans le dos, je pousse le bout de tissu de côté avec mon nez et peu admirer une jolie queue parcourue de jolies veines, je ne peux résister aux deux couilles qui se présentent devant moi et les gobe délicatement l'une après l’autre. J'entends ma Dame soupirer d'aise et sourire doucement, je devine Son regard malicieux.

    Il faut dire qu'une certaine frénésie s'empare d'Aline et de moi. Je l’entends respirer, ronronner, lâcher des petits bruits de contentement. Je prends son membre dans la bouche, le décalotte dans ma bouche et le caresse avec ma langue. Ma Dame s'amuse de voir les traces de rouge à lèvres laissées sur sa queue tendue, sur ses couilles rondes.

    Impressions de Natacha suite au moment partagé avec Aline.

    J'ai du mal à me souvenir avec précision de l’enchaînement des événements, tout va très vite mais au ralenti....

    Je prends au fonds de ma gorge la belle bite d'Aline, je me sens chienne, je suis chienne, ma Dame plonge Son regard dans le mien alors que je m'étouffe sur le sexe d'Aline et que coule mon mascara sur mes joues. Mes doigts caressent les couilles d'Aline, mais aussi ce petit endroit lisse entre les couilles et le petit trou. Je prends un malin plaisir à tourmenter Aline en n' allant pas plus loin, je suis une petite allumeuse.

    A tout moment je cherche ma Maîtresse du regard, j'aime La voir nous regarder, j'aime le sourire sur Sa bouche, j'aime entendre Ses commentaires alors que je donne du plaisir à Aline :

    "Quelle petite chienne cette Natacha, n'est-ce pas Aline ? Tu as vu sa croupe ?"

    Il faut dire que ma robe est remontée sur mes fesses et que ma Dame peut voir mes couilles étirées entre mes cuisses gainées.

    Je ne sais plus comment, à quel moment, mais Aline est allongée en dessous de moi maintenant et mes couilles se retrouvent dans sa bouche, oui, les deux. Et, non satisfaite, Aline met un point d'honneur à aussi avaler ma queue et les trois se retrouvent au chaud dans sa bouche.

    Je capte à nouveau le regard de ma Dame. Je vis à travers lui.

    Je ne sais combien de temps nous avons passé dans la chambre de Madame S. à nous caresser, à nous sucer, lécher pour Son plaisir. Aline me suce, effleure doucement mon petit trou.

    Je l'entends respirer de plus en plus vite, remarque qu'il se branle à mes pieds alors que ma queue palpite dans sa bouche.

    Ma Dame lui permet d'avoir du plaisir....

    Ma tête tourne doucement. J’imagine qu'un sourire ne quitte plus mes lèvres.

    Ce n'est pas grave si je n’ai pas joui. Mon bonheur est ailleurs. C'est celui d'exister aux yeux de ma Dame, de pouvoir être moi sous Ses yeux, grâce à Ses yeux. La petite Natacha est Sa petite chose, Son petit chat, Sa petite chienne. Chaque instant passé en Sa compagnie est gravé dans ma mémoire.

    Une douce nostalgie, s'empare déjà de moi. Il parait qu'un mot russe décrit à la fois la tristesse et le bonheur, c'est un peu comme ça que je me sens alors que j'ai quitté ma petite robe.

    Nous sommes attablés à la cuisine, au service de ma Dame qui nous permet de manger en Sa compagnie un délicieux filet mignon qu'Elle a Elle-même préparé.

    Je suis honorée (et un peu surprise) de pouvoir partager Son repas.

    La soirée se terminera doucement autour de la table. C'est toujours une joie immense que de pouvoir converser avec ma Dame.

    J'aurai du mal à parler de mon retour. Alors que dans l'obscurité je laisse derrière moi la demeure de ma Dame, cette joyeuse nostalgie m'envahi à nouveau. Les kilomètres s'égraineront lentement à contre cœur...

    Impressions de Natacha suite au moment partagé avec Aline.

    Impressions de Natacha suite au moment partagé avec Aline.


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  •         Je défaille…

    Bonjour Maîtresse,

    Quand Albin nous plonge dans l'univers de ce à quoi nous sommes utiles... je défaille… je ne vais pas bien parce que je ne le vis pas réellement...

    C'est bizarre, mes meilleurs moments actuellement c'est d’être seule dans une chambre d’hôtel… Là, nue tournée vers Vous, je suis bien dans mes pensées et rêves à vous vénérer...

    Je passe beaucoup de temps plongée dans des scénarios qui m'obnubilent…

    OUI, je suis devenue une servante mâle soumise virtuelle qui ne sait pas s'assumer...

    Je lis et fouille revues, lit et relit votre blog.

    J'ai retrouvé ces dessins qui me troublent beaucoup et que j'ai envie de partager avec Vous…

    Je vous souhaite Maîtresse une très belle journée ensoleillée.

    Votre Godeline.

            Je défaille…


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  • Etirage de couilles.

    Etirage de couilles.

     

    Bonjour maîtresse.

    En lisant votre blog Godeline m’a rappelé à mon devoir de soumis et se matin étirage de couilles.

     

    Il est 7 h 30 et il va falloir tenir le plus longtemps possible pour être digne de maîtresse.

    On ne le voit pas trop sur la photo mais les couilles commencent à bien changer de couleur.

    Je vous souhaite une agréable journée.

    Etirage de couilles.

     

     

     

     

     

     

     

     

    9 h de retour de promenade au parc et toujours avec mon étire couilles  photo dans les escaliers puis dans le parc mais la trop de monde puis caméra de surveillance je me suis contenté d'un selfie.

    Etirage de couilles.

     

     

     

     

     

     

     

    Etirage de couilles.

     

     

     

     

     

     

     

    Etirage de couilles.

     

     

     

     

     

     

     

    Dernière photo avant libération 4 heure pour le bon plaisir de maîtresse.

    Soumis Albin.

    Etirage de couilles.


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    Journal intime Titou -  Semaine 24

    • Lundi 12 juin

    Après quelques jours à Séville, me voici de retour à Paris, et le train-train quotidien reprend. Je me suis rapproché de l’Alsace, mais je sens que Madame S est bien loin, fatiguée, triste, et je ne sais quoi faire pour lui remonter le moral.

    • Mardi 13 juin

    J’ai finalisé mon journal de la semaine dernière, et j’y ai joint des photos de Séville.

    Madame S s’est occupée de son blog, et cela fait vraiment du bien de la retrouver sur la toile.

    Le fossé qui se creuse avec mon épouse me fait mal. Cela fait 467 jours que je ne l’ai pas touchée, et cela me manque. J’ai besoin de câlins, j’ai besoin de me blottir dans les bras d’une femme pour m’abandonner un peu et oublier la pression du quotidien, pour lui donner du plaisir.

    J’ai un souvenir ému de ma dernière rencontre tarifée, et je me connecte au site sur lequel j’ai l’habitude de faire des rencontres. Je lance une recherche sur des profils de plus de 30 ans, et je recherche des femmes bien en chair. Cela peut paraitre idiot, mais cela me donne moins l’impression de tromper ma femme. Et j’essaye de ne pas aller voir des gamines exploitées par d’affreux maquereaux. J’aime voir ses femmes en lingeries qui affichent leurs poitrines plantureuses et leurs fesses bien rondes. Elles sont brunes ou blondes, elles sont noires, latines ou maghrébines. Les voir ainsi m’émoustille, mais j’ai promis à Madame S, à la suite de ma dernière rencontre, que je ne céderais pas à l’appel de mes hormones en ébullition la prochaine fois que cela m’arriverait, en guise de punition.

    Je suis tombé sur l’annonce de Monika, c’est avec elle que j’avais pris du plaisir la dernière fois. Pour augmenter le sentiment de frustration et aggraver la punition, je laisse libre court à mon imagination. Je m’imagine le visage enfoui dans sa poitrine généreuse, léchant ses tétons déjà dur. Je m’imagine plongeant entre ses cuisses à la recherche de son bouton, léchant avidement son antre, sentant sa main appuyer sur ma tête pour accroître son plaisir. Je sens presque son plaisir couler dans ma bouche, une fois, deux fois, trois. Je revis cette rencontre au cours de laquelle, fatiguée de jouir, elle m’avait mis sur le dos pour me faire une fellation, un doigt mouillé massant mon anus avide de pénétration. Je me souviens de cette jouissance paisible et tendre. Mais j’ai promis, je veux me faire du mal en imaginant tout ce bien que je ne vais pas prendre en acceptant la punition de Madame S.

    Je suis frustré, mais je suis heureux, car ce moment de plaisir que je n’ai pas vécu, je l’ai compensé par un moment de soumission virtuel administré par Madame S. Ce soir, Elle a pris le contrôle de ma sexualité.

    • Mercredi 14 juin

    La journée a été assez calme au boulot, mais ce soir, j’ai vraiment envie de sexe. Je cherche un homme pour me baiser, mais même à Paris, c’est vraiment difficile de trouver un plan cul. J’ai dialogué avec un type qui propose un plan uro/scat réciproque. Il a l’air d’un habitué. J’ai bien envie de me laisser tenter, mais cela se prépare, ce ne sera pas pour aujourd’hui. Je rentre bredouille.

    Et puis une rage de dents me fait souffrir, au point de me réveiller dans la nuit. Mauvaise journée, moral en berne, ce n’est pas ainsi que je vais lui redonner le sourire !

    • Jeudi 15 juin

    Madame S m’a envoyé des photos d’Elle, de ses pieds, de son visage. Son regard me trouble, je me sens totalement dominé juste en plongeant dans ses yeux émeraude. Je sens qu’une force irrépressible me pousse à baisser la tête, à me mettre à genoux pour embrasser ses pieds nus, les masser, lécher ses orteils, caresser mon visage avec la plante de ses pieds humides de ma salive, à m’humilier devant Elle. Mon sexe en est d’ailleurs tout émoustillé.

    Journal intime Titou -  Semaine 24

    • Vendredi 16 juin

    Ce matin, Madame S m’a envoyé un nouveau selfie, j’avoue qu’Elle me trouble et m’affole. J’ai envie de me noyer dans son décolleté, dans ses yeux, à ses pieds.

    Cet après-midi, je me suis décidé d’aller voir le dentiste. Je rêve de souffrir de la main de Madame S, mais j’appréhende cette rencontre avec un médecin qui torture pour l’argent, et non pour le plaisir d’en donner à ses soumis. Ouf, elle ne rien fait d’autre que me donner des antibiotiques, et elle me rassuré sur la qualité de mes dents. J’y retourne la semaine prochaine pour un détartrage, il parait que cela ne fait pas souffrir.

    Avant mon départ pour l’Espagne, j’étais allé faire une séance de Reiki, l’objectif étant de me détendre avant cette échéance importante. Cela fait plusieurs fois que je vais voir cette personne, elle me connait bien et elle avait constaté combien j’étais à fleur de peau. Mais manifestement, son intervention n’a pas suffi et je suis encore facilement débordé par mes émotions. Ainsi cette semaine, en rentrant du boulot, et alors que j’écoutais à la radio une émission sur l’anorexie, j’ai fondu en larmes tant les témoignages étaient émouvants. Pourtant, je ne suis pas concerné par cette maladie, ni de près ni de loin. J’espère que cette nouvelle séance de Reiki me fera du bien.

    Aujourd’hui, ma petite fille a 1 an.

    • Samedi 17 juin

    Mon fils a organisé une grande fête : il a eu 29 ans il y a quelques jours, et sa fille 1 an hier. Pour cette occasion, ils ont invité environ 80 personnes. La fête commencera vers 16 h avec un buffet de dessert, et continuera jusqu’au dîner.

    Ce matin, je l’ai un peu aidé à organiser les tables dans son jardin. Il a décoré sa tonnelle avec de grandes fleurs roses en papier, les nappes sont roses également, c’est tout mignon.

    Vers 17 heures, ils ont organisé une petite cérémonie. Celle-ci consiste à déposer toutes sortes d’objets autours d’elle, et en fonction de ce qu’elle choisit, cela aurait des conséquences sur sa vie future. Il y a des choses à manger, des livres, un stylo, des clés de voitures, un billet de banque. Les jeunes avaient parié sur la nourriture, et ils ont gagné !

    Tout est parfaitement organisé, il y a des jeux pour les enfants, l’apéritif pour les adultes. J’aime ses rencontres avec la belle-famille sri-lankaise de mon fils, ils sont tous très gentils. Malheureusement, ils ne parlent pas tous très bien le français, et ont un fort accent tamoul, ce qui complique un peu les échanges.

    Nous sommes restés jusqu’à 22 heures, et j’ai envoyé quelques photos à Madame S, petit moment de complicité.

    • Dimanche 18 juin

    Il fait déjà très chaud ce matin. Je devrais passer la tondeuse, mais la pelouse est en plein soleil le matin, et je ne me sens pas de faire de l’exercice dans ces conditions caniculaires.

    Madame S vient de publier un article important, portant sur sa propre vision des sentiments amoureux. Je dois dire que cet article m’a profondément troublé. Comme je suis à la maison, je n’ai pu le lire au calme et en toute sérénité. Je savais que Madame S travaillait à sa rédaction, mais je ne m’attendais pas à la forme qu’Elle lui a donné, en décrivant sa vision sous le prisme de sa relation avec Aaron. J’ai lu cet article comme une ode à Aaron, et si contenu de du texte de Madame S ne m’a pas surpris compte tenu des échanges que j’ai pu avoir avec Elle, c’est la forme utilisée qui m’a troublé. Mais Elle a mis un petit mot pour moi à la fin de son article, cela m’a fait du bien.

    Il faut que je trouve le temps de répondre à cet article.

    Journal intime Titou -  Semaine 24


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