• Souvenir de ma première fessée "BDSM" administrée en public par une dominatrice (2009). Par Titou.

    Souvenir de ma première fessée "BDSM" administrée en public par une dominatrice (2009). Par Titou.

    L’Antre. Une Première.

     

    A force de surfer sur le Web, il arrive qu’on tombe par hasard sur des perles du Net. C’est ainsi que j’ai découvert le site de l’Antre, un site tenu par Caïman, le Maitre de sa ‘S’oumise, et qui parle d’une certaine vision du SM et d’un lieu parisien dans lequel on pratique un SM conviviale et décomplexé. J’ai de suite aimé l’ambiance de ce site, ainsi que la qualité des textes et des récits proposés par certains internautes.

    Je n’ai pas résisté longtemps au besoin d’envoyer un récit et de profiter ainsi de cette tribune pour m’exhiber un peu plus. Ma seconde publication va attirer Maîtresse Olivia et elle va prendre contact avec moi, me prenant pour un autre soumis. Le ton de son premier mail qui ne s’adresse pas à moi m’impressionne immédiatement, et j’ose lui répondre. Une fois le quiproquo levé, je ne résiste pas à l’envie de dialoguer avec elle, et c’est ainsi que j’apprends l’existence de ces après-midi organisés les jeudis dans l’Antre, dirigés par Maîtresse Olivia et Madame Isis.

    Il est 14 H, je suis à deux pas de l’Antre, et j’admire les devantures de fabricants de chemises. Il faut maintenant se décider, franchir le porche de cet immeuble cossu, sonner à la porte du fond de cours, et …

    Et j’entends des pas qui se dirigent vers la porte d’entrée, des talons qui résonnent à l’intérieur. Une main actionne la poignée et la porte s’ouvre enfin sur une femme.

    Madame Isis est une belle femme. Habillée d’une robe noire, elle arbore un sourire engageant et rassurant, même si son visage exprime une certaine autorité mêlée d’une attention féminine toute maternelle. Après m’avoir pris mon manteau, elle me fait pénétrer dans l’Antre, et plus particulièrement dans le petit salon bar, derrière lequel officie un homme souriant dans la force de l’âge. A l’annonce de mon pseudo, le visage de Caïman - car c’est bien de lui qu’il s’agit- s’illumine, et il m’offre une poignée de main chaleureuse. Caïman semble heureux de découvrir son nouvel écrivain.

    Cet accueil chaleureux me rassure, et la présence de Xavier, totalement nu au bar, finit de lever toutes mes inhibitions et mon stress. Après avoir rempli un petit formulaire destiné à mieux me connaitre, Madame Isis me prend en charge et me conduit à travers un escalier en colimaçon dans le cœur de l’Antre.

    Il s’agit d’une cave voûtée, au fond de laquelle trône une croix de Saint-André et un grand miroir dans lequel la soumise ou le soumis peuvent se regarder souffrir. Un grand tapis orne le centre de la pièce, et au milieu du plafond une corde montre que les suspensions sont de mise dans ce donjon. A l’entrée, un siège à fesser qui doit en avoir vu. Je pénètre pour la première fois dans un véritable donjon, pas une de ces pièces aménagées à la va vite,  et je suis pris tout de suite par l’atmosphère mythique de ce lieu, relayée par les chants grégoriens qui tournent en boucle. J’ai déjà l’impression d’entendre les cris des esclaves fouettés attachés sur la croix, de ces soumis suspendus et torturés criant pitié sous les coups de leurs bourreaux, des soumises enfermées dans la minuscule prison sous l’escalier et réclamant leur liberté.

    Madame Isis me rappelle à la réalité, et me présente un tréteau sur lequel elle m’ordonne de poser mes vêtements.

    Tout se passe trop vite, et je me voilà nu devant Madame Isis, à genoux sur le tapis. Elle remonte chercher Xavier, et nous échangeons quelques mots afin de détendre un peu cette atmosphère pesante. Ce matin, nous ne connaissions pas cet endroit, n’imaginions pas l’existence de l’autre, et seuls dans ce donjon, à genoux, attendant inquiets les tourments que nous sommes venus chercher, nous avons besoin de nous réconforter l’un l’autre. Ce qui n’est pas du gout de Madame Isis qui nous impose rapidement le silence de la pièce du haut. Madame Isis, en dominatrice expérimentée, connait bien les rouages de la soumission, le stress qu’engendre l’attente.

    Des bruits de talons résonnent enfin sur les marches de l’escalier, ce qui a finalement le don de me rassurer. Nous allons enfin passer aux choses concrètes, et les neurones vont cesser de tourner en boucle, au profit des sensations physiques. Madame Isis me conduit directement sur le banc à fessées, Xavier ayant déjà reçu la sienne.

    Je me retrouve à genoux, les fesses bien en évidence. Madame Isis va prendre mes deux globes en main. Elle commence par une caresse, comme si elle voulait sentir la peau de la chienne qui vient chercher son attention. Les premières claques s’abattent sur mes fesses, douces au début, puis de plus en plus fort. La douleur commence à poindre, et le plaisir avec. Une main, deux mains, l’une après l’autre, puis les deux ensembles. Ouf, ça fait mal ! Merci Madame. Je sens mes fesses chauffer, mais ce n’est vraiment que le début. Madame Isis s’est munie d’un martinet qu’elle fait siffler au-dessus de mon cul. Quand les lanières s’abattent enfin sur la chair rougie, je ne peux réprimer un sursaut. Mais la douleur fait place à la chaleur, qui fait place au plaisir. Xavier est surpris de ma résistance, et moi, j’adore qu’on s’occupe ainsi de moi. Madame Isis à bien noté que je souhaite ne pas avoir de marques afin de préserver mon jardin secret auprès de ma famille, elle fait donc bien attention à y aller progressivement.

    Souvenir...

    Souvenir...

    Souvenir...

    Enfin, des bruits de talons se font entendre. C’est Maîtresse Olivia qui nous rejoint, suivie de Bertrand.

    Maîtresse Olivia est une travesti dominatrice. Elle est grande, haut perchée sur de magnifiques cuissardes qui montent jusqu’au milieu de ses cuisses. Ses yeux sont perçants et envoûtants, sa bouche d’une grande sensualité. Fine et carrée à la fois, on imagine rapidement l’effet que ses mains produiront sur nos fesses.

    Et sur nos trous du cul. Bertrand vient de subir un lavement, et Maitresse Olivia est venue me chercher pour la même raison. Permettez-moi de vous épargner les détails de ce moment intime, intimité qui n’existe dorénavant plus pour Maitresse Olivia qui m’a déjà totalement dominé en m’administrant ce lavement. Je ne peux plus prétendre à un soupçon d’indice de dignité face à cette Maitresse  qui m’a rempli les intestins de cette manière.

    Quand je redescends, je découvre un nouveau collègue, « lèche botte » qui s’occupe des cuissardes de Maîtresse Olivia, Bertrand est en position sur le meuble à fessée, et subit les faveurs de Madame Isis. Elle s’ingénie à lui rougir les fesses, et il ne va pas tarder à craquer. J’enrage de ne pas être à sa place, alors que Xavier continue de mater.

    Madame Isis, Maîtresse Olivia, offrez-moi vos mains, offres-moi votre expérience, offrez-moi votre perversité !!

    Ais-je parlé à voix haute ou sont-elles télépathes ? J’ai droit à une nouvelle séance sur le banc à fesser, les coups pleuvent, la brulure monte, je suis au Nirvana. Les instruments sont magnifiquement maniés par ces deux dominatrices, parfois cruellement, mais leurs mains sont toujours douces à mon postérieur. Mes fesses vont à la rencontre de ces mains, les cherchent comme si elles étaient aimantées.

    Et pour éviter que les marques ornent ma chair, Madame Isis, après cette séance musclée, tartine copieusement mes fesses de crème apaisante. Quelle délicatesse !

    Dans une pièce annexe, les gémissements de Bertrand expriment son plaisir mélangé à la douleur que lui procure Maîtresse Olivia. Elle tente un fist, et cela s’entend. Pendant ce temps, Madame Isis a déployé une bâche en plastique pour recouvrir le tapis. Elle me fait mettre à quatre pattes, et je comprends que la cire va couler. L’attente, l’inquiétude, et subitement, la première coulure de cire sur mes fesses, puis une seconde, une troisième, et je ne sais plus compter. Avec la cire, la douleur est assez vive, mais elle s’estompe rapidement. J’adore. La bougie rouge fait place à la noire, et mon trou du cul commence à se boucher à la cire. Maitre Caïman n’est pas encore content de son œuvre, et Madame Isis revient avec un accessoire pour finir cette œuvre. C’est un balai à chiotte, dont le manche se trouve rapidement fiché dans mon cul, dans l’hilarité des spectateurs. Lèche botte prend quelques photos pour immortaliser cet instant.

    Et le top, c’est qu’il faut retirer la bougie, et muni de l’énorme couteau de Caïman, Madame Isis racle la cire collée à mes fesses. La froidure du métal au contact de mes fesses brulantes me procure un effet surréaliste, je ne peux m’empêcher de tortiller du cul ce qui me vaut les réprimandes de Madame Isis qui craint de me blesser. Je me trouve ainsi frustré de ce plaisir physique que j’ai interdiction d’extérioriser. La frustration, une des facettes du SM.

    Tout le monde est monté marquer une première pause pendant que je nettoie mes cochonneries.

    A l’étage, je profite d’un petit moment de répit, entouré de mes collègues d’infortune et de deux superbes Dominas. Merci Caïman pour ce moment de convivialité. Celui-ci vient de découvrir mon gout pour les jeux de cire, et propose à Madame Isis de me faire une petite surprise. Faut-il craindre le pire ? A la fin de ce petit moment de convivialité, j’explique que j’ai amené mon collier, et propose de le mettre.

    Mon collier autour du cou, je redescends dans le lieu des supplices avec mes collègues. Les soumis sont répartis entre Madame Isis et Maîtresse Olivia. N’ayant pas annoncé plus tôt l’existence de mon collier (je vous raconterai un jour l’histoire de ce collier), je me trouve enfermé et attaché dans une minuscule prison sous l’escalier. Interdiction de baisser les yeux, car la punition consiste à regarder mes collègues soumis subir les outrages auxquels j’aspire tant. « Lèche botte a amené son appareil photo, et il se fait fesser sous l’objectif. Les deux dominas sont autours de lui, et je suis réduit au rôle de simple voyeur.

    Enfin, Maitresse Olivia vient me libérer. Je la crois très à l’écoute des mots que je ne prononce pas. Elle me libère de ce mini cachot, avant de m’emprisonner les tétons de pinces à seins reliées par une chaine. Je suis très sensible de cette partie de mon corps, et je souffre énormément. Mais je n’ai pas le temps de le dire, car Maitresse Olivia m’entraine, tiré par la chaine, vers une salle annexe. Elle veut me fister. J’avoue avoir très envie de ce moment car je suis un peu frustré d’une expérience avortée, mais plutôt anxieux après avoir vu la taille de ses mains.

    Installé à quatre pattes sur une table, Maîtresse Olivia enduit mon anus de gel. Un doigt, deux doigts, massage, va et vient que j’amplifie afin d’augmenter mon plaisir. Les doigts se multiplient, mon plaisir aussi, mais des raisons techniques ne permettent pas à Maîtresse Olivia d’aller plus loin. Quel dommage !

    Après une courte pause, je me retrouve à genoux au centre de la pièce. Caïman est descendu pour apprécier le spectacle. J’entends un énorme claquement qui résonne dans cette cave voûtée. La tension vient de montrer d’un cran au son du fouet manié de main de Maître par notre hôte. Sentant « lèche botte » particulièrement inquiet (et c’était probablement le but du jeu), Caïman tente de démontrer que cet engin n’est pas si violent quand on sait l’utiliser. Je deviens son jouet de démonstration, et je reçois les premiers coups de fouet de ma vie. En effet, Caïman titille mon dos et mes fesses. La douleur est fulgurante mais s’estompe quasi immédiatement, pour faire place à une nouvelle, le dos, les fesses, à gauche, à droite. J’avoue prendre un certain plaisir à ce qui ressemble plus à une démonstration qu’à une punition.

    Madame Isis me sort de mes pensées extatiques, et m’ordonne d’installer à nouveau la bâche en plastique pour recouvrir le tapis, pendant que « lèche botte » et Xavier se font torturer. A peine la bâche mise en place, Caïman me demande de m’installer à quatre pattes.

     Ma surprise va débuter, et c’est Caïman qui va s’en charger. Il a allumé une bougie et rapidement je sens une succession de gouttes bruler mes fesses. La cire coule et s’approche inexorablement de mon trou du cul. Je me tortille pour anticiper les coulures, j’attends cette sensation intense de brulure sur mon anus. Caïman s’amuse de me voir ainsi chercher la douleur, et quand il a enfin bouché mon cul à la cire, il m’ordonne de me coucher sur le dos. La cire s’attaque dorénavant à ma queue, et force est de constater que j’adore la violence de cette sensation, même si je ne peux réprimer quelques soupirs de douleur. La cire coule et recouvre petit à petit ma bite, Caïman m’obligeant à diriger les parties vierges de cire vers la douleur à venir. Quand la douleur est trop forte, j’ai le plaisir de sentir la cuisse chaleureuse de Madame Isis, qui s’occupe à coté de « lèche botte ». Caïman est fier de lui, ma bite est dorénavant totalement noire, et je prends un grand plaisir à cette torture. Mais Caïman en veut plus.

    Après avoir éliminé le surplus de cire noire avec son énorme couteau, il reprend une nouvelle bougie rouge. Comment savez-vous que le rouge est ma couleur préférée ? Ah !!! La douleur est bien plus violente, et j’ai du mal à résister. Mais le plaisir reprend le dessus. Petit à petit, mon sexe devient tout rouge. Que donnerais pour pouvoir l’admirer. Caïman n’est toujours pas content de son œuvre, et c’est avec un plumeau dans le cul bouché à la cire que finira mon supplice. Caïman a manifestement pris du plaisir, il est fier de son œuvre et demande à « lèche botte » de prendre des photos. Merci Caïman ! Dans son grand humanisme, Caïman retire lui-même la cire dont il a recouvert mes parties génitales, et nous adorons le moule de mon gland qu’il réussit à récupérer.

    Un grand moment, plein d’émotions, de douleur, de soumission et de plaisir vient de se passer.

    Nous montons faire une seconde pause, toujours aussi conviviale. Bertrand est occupé à masser les pieds de Maîtresse Olivia, et les conversations sont toutes axées autour du SM. Ce moment de répit, après toutes ces émotions, fait du bien aux soumis, mais également à nos dominatrices qui ont donné de leur personne pour s’occuper de nous. Pendant cet intermède, et sans que je m’en aperçoive, les conversations tournent autour de « la chose », et je n’y prête que peu d’attention, tout à l’intériorisation des sensations et des émotions que je viens de vivre.

    Quand Madame Isis nous indique qu’il est temps de redescendre dans l’Antre, tout le monde remarque que je suis le premier. J’en veux encore, je ne suis pas rassasié. Pourtant, si l’après-midi se finissait maintenant, je ne serai pas déçu bien au contraire.

    Je suis le premier à me présenter à genoux, attendant nos dominatrices. « Lèche botte » m’a rejoint, suivi de Bertrand. Quand nos Maitresses descendent enfin, elles nous font nous rapprocher les uns des autres, les mains positionnées en forme d’offrande, les yeux fermés.

    Subitement, Madame Isis pose sur nos mains « la chose » et nous autorise à ouvrir les yeux. Nous découvrons une sorte de Paddle en cuir, très épais et long d’au moins 50 cm de long, et nous comprenons que nous allons la tester.

    « Lèche botte » est le premier, bien cambré sur la croix de Saint André, mais il crie pitié assez rapidement.

    Bertrand souhaite passer avant moi et ne subira que quelques coups.

    C’est à mon tour de subir « la chose » et au vue de la réaction de mes collègues, je n’en mène pas large. Je tends mes fesses au maximum, et quand tombe le premier coup, la douleur me fait sursauter. Madame Isis me demande de compter, et après quelques assauts, elle me fait reprendre à zéro le comptage. Belle perversion. J’égrène les coups, et arrivé à sept, les numéros sortent de plus en plus difficilement de ma bouche. Je souffle un huit comme dans un râle, il me faut plusieurs secondes pour lâcher le neuf, quant au dix, je réussi à sortir ce chiffre juste à temps pour éviter un retour à zéro. Merci Madame Isis pour cette nouvelle expérience.

    Et pour continuer à faire monter l’ambiance, Madame Isis entreprends de nous rougir le ventre, Bertrand et moi, à coups de cravaches, pendant que Caïman s’occupe de nous fouetter les fesses avec une badine qui me brule comme jamais. On nous demande de chanter, ce qui est au-dessus de mes forces, tant je dois me concentrer pour retenir mes cris et mes larmes. Bertrand s’écroule terrassé par la douleur ; il est en larmes. Madame Isis me réclame alors un alphabet, que je dois réciter à chaque coup de cravache sur le ventre, alors que Caïman n’a pas lâché sa badine. J’égrène tant bien que mal les lettres, et c’est avec un sentiment de victoire et un grand soulagement que j’arrive enfin au Z. Je dois être tout rouge, et je sens quelques gouttes de sueur perler sur mon visage. Quelle épreuve !

    Après une courte pause destinée à calmer Bertrand, je reprends place sur la chaise à fesser, et c’est Maitresse Olivia qui prend un malin plaisir à faire rougir pour la dernière fois mon cul qui ne demande que cela. J’aime sentir ses mains sur mes fesses, sur ma peau déjà rougie. Elle y va crescendo, et c’est bon. Quand enfin, épuisé, elle s’assied dans le fauteuil, Maitresse Olivia m’offre ses cuissardes à lécher, un moment que j’attendais avec impatience. Je me délecte de ses pieds si joliment bottés, je les caresses de ma langue, de ma bouche, je nettoie avidement ses semelles dans un râle de plaisir, d’autant que Maitresse Olivia m’a autorisé à me caresser. Elle me permet également de sortir du banc à fesser pour pouvoir remonter le long de sa jambe, toujours plus haut.

    Madame Isis et les deux soumis nous ont quitté et ont regagné le petit salon, nous laissant dans notre intimité. Je bande un peu plus quand elle me laisse approcher de son entre cuisse. Je me jette goulument sur sa petite culotte, et je sens avec délectation que ma langue ne la laisse pas indifférente. J’ai enfin le droit de sortir sa bite déjà bien dure de son string, et me précipite pour la lécher et la prendre dans ma bouche. Quelle belle queue, son gout est vraiment délicieux. Ses mains me caressent les cheveux, ses ongles griffent mes épaules et mon dos. Je m’enfonce le plus profondément possible cet objet de plaisir au fond de ma gorge, réprimant régulièrement des haut de cœurs, ce qui me fait monter les larmes aux yeux. Je me sens vraiment dans mon élément, je suis plus salope que jamais.

    Maitresse Olivia me donne des conseils pour lui procurer toujours plus de plaisir, mieux utiliser ma langue autours de son gland, et quand elle sent que je ne pourrai réprimer le mien bien longtemps, elle m’ordonne d’éjaculer sur ses bottes et de lécher ensuite ma semence. Ma bouche quitte cette queue si dure et si belle, et je me répands en longs jets  blanchâtres sur ses bottes noires. Je crois n’avoir jamais éjaculé autant de sperme, et ce sont quatre ou cinq jets qui maculent ses cuissardes. Et quand enfin j’ai vidé toute ma jouissance sur ses bottes, je m’emploie à nettoyer au mieux les traces que j’ai faites, léchant la moindre goutte de sperme qui pourrait souiller les cuissardes de Maitresse Olivia. J’adore ce moment où je suis la salope de ma Maitresse, et prends énormément de plaisir à me transformer en chienne.

    Merci Maitresse Olivia pour avoir transformé cette fin d’après-midi en apothéose.

    Merci, merci, merci !!!

     

    L’après-midi s’achève dans le petit salon, autours d’un verre, de conversations conviviales et d’échanges de coordonnées.

    J’ai rarement passé un moment aussi intense.

    Merci Mesdames, merci Messieurs, je reviendrai…


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    Journal intime Titou - Semaine 21

    • Lundi 22 mai

    Une journée professionnelle très chargée, un comité de direction qui s’est terminé bien tard. Je n’ai pas eu beaucoup de temps à consacrer à Madame S. Elle m’a fait une suggestion pour la croiser pendant mon week-end alsacien qui approche. Je rêve de cette possibilité…

    • Mardi 23 mai

    J’ai du mal à bouger aujourd’hui, suite à l’arrachage des orties de dimanche matin. J’ai mal au dos et aux arrières cuisses suite à des mouvements que j’ai peu l’habitude de faire. A chaque pas, je pense à ces orties, je pense à Elle.

    Madame S a publié un article sur les bienfaits des relations BDSM. Cela m’a rappelé des souvenirs anciens, et j’ai publié un long commentaire relatant ma dernière séance BDSM, au donjon parisien de Cris et Chuchotements. Je crois qu’Elle sait combien je suis en manque, ne serait-ce que d’une bonne fessée progressive et humiliante.

    Ce soir, je suis allé au théâtre voir une de mes nièces qui fait du standup. Je ne l’avais pas vu depuis qu’elle avait 4 ou 5 ans. Nous avons beaucoup ri pendant le spectacle, et c’était assez bizarre de faire la bise à la fille de mon frère, alors qu’elle ne connaissait mon visage que par ma ressemblance avec mon frère. J’ai envoyé des selfies à Madame S, j’aime cette complicité avec Elle, j’aime échanger avec Elle alors que je suis dans ma vie personnelle.

    • Mercredi 24 mai

    Que cette journée de travail est longue. J’ai hâte de prendre la route pour l’alsace.

    • Jeudi 25 mai

    Nous ne sommes pas partis de bonne heure, nous n’avons les clés du gite que vers 16 h. J’ai pu échanger quelques mots avec Madame S. Je suis si content de ma rapprocher d’Elle, en espérant la croiser sur les chemins alsaciens.

    Les enfants nous ont rejoint un peu plus tard, et c’est un tel bonheur de voir le sourire de ma petite fille.

    • Vendredi 26 mai

    La journée ne commence vraiment qu’après déjeuner car la petite se repose le matin. Nous sommes allés nous promener à Obernai, une jolie petite ville typique, et en fin de journée, nous sommes allés respirer l’air de la montagne du Hohwald. Cela nous a fait rentrer assez tard, mais un peu de fraicheur nous a fait du bien avec la chaleur caniculaire de cette fin mai.

    Je viens de comprendre que l’idée de Madame S de nous croiser va tomber à l’eau car mon épouse a vraiment trop de mal à respirer dès qu’elle marche un peu trop !

    • Samedi 27 mai

    Nous sommes allés à Kaysersberg, j’aime cette petite bourgade dédiée au tourisme. C’est joli, les boutiques sont propices aux dépenses, et avec ce beau temps, tout le monde semble détendu et heureux.

    J’ai une pensée pour Madame S, je sais maintenant que ce n’est pas encore aujourd’hui que je la rencontrerai !

    • Dimanche 28 mai

    Les enfants sont partis de bonne heure. Moi, je me suis réveillé oppressé, avec une boule au ventre. Le départ annoncé, je sais que ma rencontre avec Elle a avortée, je suis malheureux….

    Journal intime Titou - Semaine 21


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            Défi sentiments par Aaron.  

       Rappel du dernier défi.

    Pour votre prochain défi… Sujet de philosophie, l’amour de Votre Maîtresse….

    J’ai imaginé vous demander de m’écrire ; Mais cette fois avec votre cœur. Sujet délicat, intime, peut-être trop intime pour vous ? Mais je souhaite avoir un écrit reflétant votre sincérité.

    J’aimerais, que vous osiez parler de vos sentiments à votre Maîtresse ; ou celle qui n’est pas (encore) Votre Maîtresse mais que vous rêveriez de rencontrer… Ou encore Celle dont vous rêvez mais qui vous semble Inaccessible !

    Ou celle à qui vous êtes fidèle, votre Maîtresse attitrée…

    Que sais-je encore ? Je ne suis pas vous et je suis encore moins dans vos pensées.

    J’aurais donc deux questions pour votre dissertation du jour ; qui pourrait devenir, un jour, un sujet de philosophie du bac.

    -           Pensez-vous possible qu’un soumis puisse avoir des sentiments amoureux pour sa Maîtresse.

    Et inversement ? Une Maîtresse peut-elle avoir des sentiments amoureux pour son soumis ? Sa soumise ?

    -           Et le soumis, la soumise, doit-il (elle= parler de ces sentiments profonds, ou les taire à jamais ?

    Pour finir, j’aimerais que vous m’envoyiez une photo de vous, ou une photo que vous aurez choisie et qui représenterait vos pensées.

    Vous avez jusqu’au 30 mai pour y réfléchir et me faire parvenir vos copies.

    Madame.S

     

            Défi sentiments par Aaron.  

    Maîtresse,

    Je pense sincèrement que Votre Sujet de dissertation est terrible, tellement il force chacun d'entre nous, à nous dépasser, pour tenter d'analyser quelque chose que l'on fait tous les jours par instinct au-delà de notre propre conscience.

    En effet, comment arrive t on sans cesse à penser à Votre Splendeur, à Vous idolâtrer, à nous incliner devant Votre Propre Personne sans jamais évoquer de connexions amoureuses dans un rapport singulier ???...

    j'ai longtemps pensé que notre relation se rapprochait avant tout d'un amour platonique, mais en approfondissant le sujet sur internet, j'ai cru comprendre que l'amour platonique faisait souvent abstraction à toute considération amoureuse, or dans notre cas, même si il me serait inconcevable de penser à un rapport érotique, il existe cependant un désir et l'envie de déposer mon cœur à Vos Pieds.

    L'amour que je Vous voue, sans aucune arrière-pensée, est comme une flamme qui oserait ainsi concourir à Votre Propre Image du Plaisir sans rien attendre d'autre....

    Serait-ce alors l'incarnation de ce formidable sentiment d'abandon pour moi, l'esclave de Vos Sentiments et le gardien de Vos Rêves, même les plus Érotiques ??

    Je Vous avoue que je n'ai pas trouvé de réponse même si cette question provoque en moi beaucoup de sérénité et d'émoi.... même si je l'avais d'ailleurs trouvé , peut-être la garderais-je juste pour Vous et moi...??

    Le fait de nous retrouver dans notre communauté SM, ressemble un petit peu à un rapport amoureux basé sur l'échange, sauf qu'il peut revêtir des aspects étranges en faisant abstraction au sexe.

    Du sommet de Votre Féminité, Vous réussissez mieux que quiconque à maîtriser les contours de la cérébralité de l'autre, tout en maîtrisant toujours mieux la Vôtre, d'où cette forme d'échange qui a de quoi décontenancer les non-avertis qui préfèrent eux, la banalité sexuelle, en confondant généralement violence, maltraitance et profits avec complicités, sincérité, et respect...

    Vous savez admirablement jouer la symbiose entre l'esprit, le corps et le cœur, c'est ce qui fait Votre Force et qui s'avère être une réponse ensorcelante, à celui qui oserait se pose la moindre question...

    On a pas vraiment envie de perdre une Dame telle que Vous, Vous qui privilégiez la méditation spirituelle, c'est peut-être plus simple pour moi de parler de la sorte, n'ayant plus vraiment usage de mes attributs...

    Malgré tout, Votre Féminité recèle quelque chose d'excitant cérébralement qui restera toujours un mystère, au point de me sentir frustré, sauf quand Vous prenez les reines en mains, au point de me laisser méditer au sommet de la vague du plaisir où l'on peut se retrouver, tous deux heureuses et comblées par ce moment de partage.

    De plus, Vous incarnez une image indéniable de la pureté, à l'opposé de personnes qui se retrouvent tant frustrées quand l'amour est passé...

    Je suis sûr qu'une liaison amoureuse ne recèle pas autant d'ouvertures ou de possibilités que notre Lien basé sur la dépendance, l'obéissance, l'abandon et le respect mutuel.

    Si Vous et moi, évoluions, dans un rapport corporel conventionnel, il nous faudrait être dotées d'un sexe grand comme un nénuphar géant et d'un membre de bonobo... pour répondre à notre quête perpétuelle du désir, car celui-ci existe belle et bien, depuis bientôt 12 ans.

    Sauf que l'amour que nous nous portons, s'exprime par des caresses en cuirs noires...

    C'est tellement beau, émouvant, palpitant et exaltant, que pour rien au monde, je ne voudrais échanger le sort que Vous m'avez réservé à Vos Pieds, par la signature de ce Contrat.

    Plus fort que le reste, nos intimités resteront liées à tout jamais, parce que Vous avez su mettre en valeur Votre Liberté, Vôtre Volupté ainsi que Votre Féminité si Captivantes.

    Aaron.

            Défi sentiments par Aaron.  


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  • Vous. Ma Dame…

    Nue, à genoux à vos pieds que je rêve, à nouveau, de lécher, de sucer d'humidifier, d'aspirer, de purifier, glissant ma langue entre chaque doigt puis les introduisant profondément entre mes lèvres, les sentant chatouiller mon palais dans

    une jouissance infinie de votre soumise. Dans quelques jours, enfin, je serais près de Vous…

    Aline en folie !

     

    Vous. Ma Dame…

    Vous m'hypnotisez.

    Vous me paralysez.

    Vous me féminisez.

    Vous me castrez.

    Vous m'utilisez.

    Vous m'humiliez.

    Vous me dominez.

    Je Vous adore.

    Je Vous admire.

    Je Vous vénère.

    Je suis Votre chose.

    Je suis Votre jeu.

    Je suis Votre soumise.

    Je Vous appartiens.

    Je ne suis rien sans Vous.

    Je suis à Vous…

     

    Votre Aline.

    Vous. Ma Dame…


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    Défi sentiments par Aline. 

     

    Rappel du dernier défi.

    Pour votre prochain défi… Sujet de philosophie, l’amour de Votre Maîtresse….

    J’ai imaginé vous demander de m’écrire ; Mais cette fois avec votre cœur. Sujet délicat, intime, peut-être trop intime pour vous ? Mais je souhaite avoir un écrit reflétant votre sincérité.

    J’aimerais, que vous osiez parler de vos sentiments à votre Maîtresse ; ou celle qui n’est pas (encore) Votre Maîtresse mais que vous rêveriez de rencontrer… Ou encore Celle dont vous rêvez mais qui vous semble Inaccessible !

    Ou celle à qui vous êtes fidèle, votre Maîtresse attitrée…

    Que sais-je encore ? Je ne suis pas vous et je suis encore moins dans vos pensées.

    J’aurais donc deux questions pour votre dissertation du jour ; qui pourrait devenir, un jour, un sujet de philosophie du bac.

    -           Pensez-vous possible qu’un soumis puisse avoir des sentiments amoureux pour sa Maîtresse.

    Et inversement ? Une Maîtresse peut-elle avoir des sentiments amoureux pour son soumis ? Sa soumise ?

    -           Et le soumis, la soumise, doit-il (elle= parler de ces sentiments profonds, ou les taire à jamais ?

    Pour finir, j’aimerais que vous m’envoyiez une photo de vous, ou une photo que vous aurez choisie et qui représenterait vos pensées.

    Vous avez jusqu’au 30 mai pour y réfléchir et me faire parvenir vos copies.

    Madame.S

      

    Défi sentiments par Aline. 

     

    Le sentiment amoureux entre soumis et Maîtresse. Le cas d’Aline et de sa Divine Domina MS.

     

    L’exercice n’est pas facile. Par nature, le soumis obéit. La Maîtresse commande.

    Jamais ne sont évoqués dans leurs échanges les sentiments. Ils restent intériorisés de part et d’autre.

    Cela veut-il dire qu’ils n’ont aucun sentiment l’un pour l’autre ? À priori, sûrement pas.

    Pour le soumis, à l’évidence, la reconnaissance, bien sûr, l’admiration, l’adoration, la vénération, mais l’amour ?

    Peut-il seulement se le permettre ?

    Quelle prétention de sa part, lui qui n’est rien, moins que rien !

    L’idée peut, sans doute, parfois effleurer son esprit, ses rêves, mais comment oser, l’exprimer, l’avouer ?

    En a-t-il seulement le droit ?

     

    Et voilà que justement, sa Divine Maîtresse lui demande non seulement de l’avouer mais de l’exprimer aux yeux de tous ! Redoutable épreuve, torture de l’âme. Avouer l’inavouable !

     

    Pour Aline, l’épreuve est plus difficile encore. Aline, en effet, n’existe que par la volonté de sa Divine Maîtresse. C’est elle qui l’a conçue, qui l’a révélée à elle-même. Aline est sa création, sa conception. Alors, puisqu’il faut l’avouer, quel autre sentiment que l’amour peut avoir Aline vis à vis de celle qui, quelque part, est sa mère. L’amour d’une fille pour sa mère !

    Un amour infiniment respectueux, un amour intime, un amour absolu, un amour infini, puisque sans Elle, Aline n’existerait pas, n’existerait plus, alors qu’elle adore sa vie de soumise aux ordres de sa Divine Domina ! Voilà je vous ai tout dit…

     

    Pour Elle, ma Maîtresse et mère, je ne peux imaginer qu’elle n’ait pas un profond sentiment d’amour pour celle qu’elle a conçue, son Aline, sa volonté, sa création ;

    En effet, Aline lui appartient totalement jusqu’au dernier jour !

    Merci Divine Domina de lui avoir permis d'être !!!

     

    Défi sentiments par Aline. 


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  • Défi sentiments par Stéphane.

     

    Rappel du dernier défi.

    Pour votre prochain défi… Sujet de philosophie, l’amour de Votre Maîtresse….

    J’ai imaginé vous demander de m’écrire ; Mais cette fois avec votre cœur. Sujet délicat, intime, peut-être trop intime pour vous ? Mais je souhaite avoir un écrit reflétant votre sincérité.

    J’aimerais, que vous osiez parler de vos sentiments à votre Maîtresse ; ou celle qui n’est pas (encore) Votre Maîtresse mais que vous rêveriez de rencontrer… Ou encore Celle dont vous rêvez mais qui vous semble Inaccessible !

    Ou celle à qui vous êtes fidèle, votre Maîtresse attitrée…

    Que sais-je encore ? Je ne suis pas vous et je suis encore moins dans vos pensées.

    J’aurais donc deux questions pour votre dissertation du jour ; qui pourrait devenir, un jour, un sujet de philosophie du bac.

    -           Pensez-vous possible qu’un soumis puisse avoir des sentiments amoureux pour sa Maîtresse.

    Et inversement ? Une Maîtresse peut-elle avoir des sentiments amoureux pour son soumis ? Sa soumise ?

    -           Et le soumis, la soumise, doit-il (elle= parler de ces sentiments profonds, ou les taire à jamais ?

    Pour finir, j’aimerais que vous m’envoyiez une photo de vous, ou une photo que vous aurez choisie et qui représenterait vos pensées.

    Vous avez jusqu’au 30 mai pour y réfléchir et me faire parvenir vos copies.

    Madame.S

     

     

    Bonjour Madame S,

    C'est d'un sujet fondamental... et difficile que vous nous demandez de travailler pour ce défi. Je dois l'aborder bien évidemment au regard de ma situation que vous connaissez... donc peut être idéalisée mais il n'est pas impossible d'envisager que dévoiler ses sentiments à sa maîtresse soit peut être plus simple qu'à sa compagne...

    Une relation Maîtresse/soumis ne peut perdurer dans la durée sans une véritable complicité; affranchie des contraintes diverses (au de manque de courage...) qui maintiennent un couple classique, la relation BDSM est donc une relation consentie, désirée et je suppose forte. Elle se prolonge uniquement par le plaisir et le besoin partagé... et des sentiments forts, fruits d'une relation construite entre les protagonistes...

    Il est très envisageable qu'une relation BDSM soit, pour autant, dépourvu de sentiments amoureux. Mais comme dans la vie, pour exister durablement, une relation durable, intime, débouche sur des sentiments amoureux. "Chacun cherche sa moitié" écrivait Platon s'agissant de l'amour, il en est certainement vrai aussi pour une Maîtresse ou un soumis... Trouver son soumis idéal et dont la définition de ce dernier est propre à chacune et inversement, trouver sa Maîtresse idéale dont mon imaginaire a du mal à se départir de sentiments amoureux absents tout du moins sur la longueur.

    M'affranchissant d'un idéal, des sentiments de crainte et de respect peuvent conduire à une relation qui  répondrait à un besoin de soumission pour l'un et d'autorité pour l'autre. Dès lors les sentiments amoureux peuvent être absents... mais l'intellect est-il comblé ? Je pense que l’on ne se soumet pas spontanément à une personne. Certes un soumis à des "prédispositions", mais il doit être charmé, admiratif, conquis... tout ce qui mène aux sentiments amoureux pour se dévoiler et vivre tel qu'il est... renaître... comment ne pas aimer celle qui vous a mis au monde ?

    Comment ne pas aimer l'être que vous avez mis au monde? La maîtresse initiatrice, architecte d'un modèle de soumission ; fruit de sa volonté et du regard qu'elle porte… Ce dernier ferme certes, mais pourquoi ne serait-il pas  bienveillant et porté par des sentiments amoureux pour celui qui s'abandonne tant...

    Quand à les exprimer, il me semble difficile, dès lors qu'ils existent, de ne pas les dévoiler… Chacun porte une forme de pudeur par rapport à cela mais il ne me semble pas nécessaire de mettre des barrières au prétexte qu'une relation BDSM ne soit pas considérée, aujourd'hui, comme une relation "normale". D'autres (nombreux) savent en ériger et tant que nous sommes acteurs de nos sentiments autant les exprimer…

     

    Toute connaissance commence par les sentiments disait Léonard de Vinci...

     

    Très Respectueusement

    Stéphane.


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  •      

        Je ne me lasse pas de la regarder…

     

    Maîtresse,

    Je sais humblement que même si Vous et moi ne pouvons jouer sur une même égalité, Votre Supériorité ne faisant aucun doute, c'est pourtant dans une même réciprocité que nous pouvons affirmer que notre Lien nous fait tant de biens pour l'âme.

    Quand je regarde Vos Photos c'est comme si Elles avaient profité d'un flash, tellement Vous me paraissez plus Proche du soleil.

    Et je n’ai qu’une envie, me jeter à Vos pieds…

    Aaron.


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  • Défi orties et vinaigre Albin.

    Défi orties et vinaigre Albin.

    Défi orties et vinaigre Albin.

     

    Bonjour maîtresse.

    Mais que contient Ce sac ? Un cadeau peut être ? Ha oui un cadeau piquant !!

    Bon plus le choix il faut y aller, Madame à demander de réaliser un défi !

    Aïe, ouille ça pique ! Mais il faut faire plaisir à Madame.S.

    J'espère que l'on voit bien les boutons sur le bout de ma queue petit à petit la douleur s'estompe…

    Je vous souhaite une agréable journée sous le soleil.

    Soumis Albin.

     

    Défi orties et vinaigre Albin.

    Oh superbe oui on voit bien que les orties ont bien agit sur ta queue !!

    On voit bien que cela à gonflé !!

    J'adore le résultat c'est bien mon Albin.

    Et tu as réalisé de bien jolies photos pour ta Divine Maîtresse.

    J'apprécie car tu as tout fait pour trouver ces orties, difficiles à cueillir dans le Sud !!

    Madame.S

    Défi orties et vinaigre Albin.


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  • L’esclave dans la cave…

    L’esclave dans la cave…

    L’esclave dans la cave…

    L’esclave dans la cave…

    L’esclave dans la cave…

    L’esclave dans la cave…

    Bonjour Madame S.

    Voilà une situation qui pourrait nous arriver ?

    Après divers manquements, travaux mal effectués, désobéissance et mauvais comportements la sanction tombe sans préavis, Madame S prend son esclave en laisse et le descend à la cave il sera enchaîné et restera là le temps qu'elle estime ;

    Il devra prendre conscience et réfléchir de son mauvais comportement ? Seulement un peu de pain et d'eau lui suffisent, il fera ses besoins dans le seau, pissera dans la grille et dormira à même le sol…

    La Maitresse descendra quand elle le souhaitera expliquer au goret sa façon de penser et en subir les conséquences !?

    Elle éteindra la lumière et le laissera à ces pensées, la prochaine fois, il y réfléchira à deux fois.

    Soumis Chriss.

    Je voudrais préciser… Madame S j'ai voulu expliquer une situation de soumission mais en aucun cas altéré votre jugement ou une de vos décisions vous savez la place qui nous conviens.

     

    L’esclave dans la cave…

    L’esclave dans la cave…

    L’esclave dans la cave…

    L’esclave dans la cave…

    L’esclave dans la cave…

    L’esclave dans la cave…

    Rassure-toi, tu ne m’as pas offensée, au contraire j’aime quand on me proposer divers scénarios tout à fait envisageables et qui m’inspirent ! Alors j’apprécie !! Et les photos m’inspirent elles aussi !

    Madame.S

    L’esclave dans la cave…

    L’esclave dans la cave…

    L’esclave dans la cave…

    L’esclave dans la cave…

    L’esclave dans la cave…

    L’esclave dans la cave…


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  • Dans la nuit…                Dans la nuit…

     

    Dans la nuit…

    Dans la nuit…

    Dans la nuit…

     

    Bonjour Maîtresse,

    Ce réveil de nuit vers 4 h 30 faute à un clitoris trop indiscipliné.

    La moindre réaction faisait réagir mes muscles anaux autour du Gode bien en place…

    Impossible de me rendormir cloué analement, je ne pensais qu'à Vous Maîtresse, j'ai relu des articles de votre blog avec passion.

    A 7 h du matin, il fallait que je me lève, j'ai enlevé les lanières du gode et là il tenait tout seul bien au chaud.

    J'ai dû pousser pour le retirer à regret avec cette sensation de brûlure.

    J'ai fait des photos en gros plan pour vous montrer cette corolle qui n'est plus tout à fait ronde pour Vous…

    Un peu de lubrifiant commence à perler.

    Agréablement, je mouillerai ma culotte ainsi toute la matinée.

    Souillée, la culotte collée entre mes fesses, j'ai vraiment ressenti cette condition de salope soumise pour Vous notre Divine Maîtresse.

    Là je vous écris de mon garage avec une chaîne de 500 grammes qui étire mes bourses.

    Je pense à VOUS.

    Belle journée Maîtresse.

    Godeline.

    Dans la nuit…                   Dans la nuit…

     

    Dans la nuit…

    Dans la nuit…

    Dans la nuit…


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  • Défi orties et vinaigre Stéphane.

    Défi orties et vinaigre Stéphane.

    Défi orties et vinaigre Stéphane.

    Défi orties et vinaigre Stéphane.

    Défi orties et vinaigre Stéphane.

    Défi orties et vinaigre Stéphane.

    Défi orties et vinaigre Stéphane.

    Bonjour Madame S,

     Je suis très conscient en vous adressant mes photos du défi que vous m'avez fixé, Madame S, du retard dans l'exécution de celui...Il m'a fallu trouver une opportunité pour le réaliser, opportunité que j'ai trouvé aujourd'hui...Je m'excuse de ce retard. Préparé de longue date, j'ai d'abord repéré un endroit où j'allais pouvoir me procurer ce qu'il serait le prolongement de vos mains...Désagréable surprise, par ailleurs, constatant devant l'étal d'AUCHAN que le vinaigre 9 degré n'était pas en rayon...Pas proposé du tout après 2 passages supplémentaires… Je me résigne alors à acheter du 8°...Ayant rassemblé le nécessaire je m'exécute selon votre volonté... (Photos jointes)

    J'ai une grande pensée vers vous au moment où j'applique les orties. Les piqûres sont immédiates mais je prends le spray pour compléter le masque intime régénérateur...La douleur s'amplifie légèrement avec l'ajout du 8°c...Madame S, Vous êtes dans mon esprit toujours quand les première cloques apparaissent parmi ma peau rougie et échauffée...Vous l'avez été tout le long de ce défi, aussi bien dans la préparation que dans la mise en œuvre… et heureux, je l'espère, de vous avoir fait plaisir.  Je vous renouvelle mes excuses, Madame S pour ce retard.  Très Respectueusement. Stéphane.

    Défi orties et vinaigre Stéphane.

    Défi orties et vinaigre Stéphane.

    Je dois te dire que je m’attendais à ces excuses et voilà qui me satisfait pleinement. Pour te soulager un peu l’esprit, j’imagine comme je le dis toujours, qu’il n’est pas aisé de trouver l’endroit approprié pour réaliser mes défis ;

    Et j'aime ces boursouflures sur ta peau après la morsure des orties bien fraîches et urticantes.

    Aussi, j’apprécie d’autant plus que tu aies pris le temps de tout avoir pour le réaliser dans les meilleures conditions ; Et pour moi le résultat est bien là ! Bravo donc, car tu as réussi ce pari de m’étonner et me faire plaisir ! Madame.S

    Défi orties et vinaigre Stéphane.

    Défi orties et vinaigre Stéphane.

    Défi orties et vinaigre Stéphane.


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    Journal intime Titou - Semaine 20

    • Lundi 15 mai

    J’ai encore bien mal dormi, et ce matin je ne rêve que d’une seule chose, retourné me coucher. Ah si seulement je pouvais me coucher aux pieds de Madame S. Pas sûr que cela me reposerait, mais au moins je serais auprès d’Elle !

    Le gite que j’avais réservé en Alsace pour cette semaine n’est finalement pas disponible. J’ai réussi à trouver un nouveau gite, moins champêtre, mais plus central et plus grand. Je serai encore un peu plus proche de Madame S !

    • Mardi 16 mai

    Madame S ne va pas bien, je la sens triste et je ne sais pas comment lui donner le sourire. Je ne peux que lui faire part de ma compassion et lui envoyer des pensées positives. Cela sera-t-il suffisant ?

    Il y a quelques temps, je m’étais inscrit sur le site de Jacquie et Michel, pour publier mes photos en soubrette que j’avais prises pour Madame S. Malheureusement, seules les photos de femmes ou de couples sont publiées. Néanmoins, j’ai reçu un message d’un pseudo « Véro-nique », un couple la soixantaine, dont le Monsieur souhaitait me dilater. Nous avons échangé quelques messages, il me proposait de m’humilier devant sa femme, de me baiser en m’insultant et de me faire boire la pisse du couple, toutes sortes d’images qui m’ont bien excité. Avec le recul, j’ai quand même l’impression qu’il s’agit d’un faux couple, et uniquement d’un mytho. A suivre.

    • Mercredi 17 mai

    Je confirme ne plus avoir de nouvelles de mon contact sur Jacquie et Michel.

    J’ai beaucoup discuté par mail avec Madame S, qui a répondu à tous les commentaires de son blog et qui m’a envoyé quelques photos de son jardin. Quel plaisir, j’ai parfois l’impression de vivre à ses côtés juste grâce à ces échanges épistolaires.

    Madame S m’a proposé de participer à une rencontre qui devrait avoir lieu en juin avec plusieurs soumis. Malheureusement, cette réunion tombe à une date pour laquelle je ne suis absolument disponible. C’est dommage. En même temps, je me dis que pour une première rencontre, un tête à tête aurait été moins stressant pour moi. Ou pas !

    • Jeudi 18 mai

    Une grosse journée de boulot, une journée stressante au départ car des rendez-vous un peu stratégiques et à risque, et une fin de journée qui se termine vidé car tout s’est bien passé. Au final, c’est un peu comme une de ces journées de l’ancien temps, où j’avais rendez-vous avec ma Maitresse, où je ne dormais que très peu avant stressé de ma capacité à être à la hauteur de ses attentes, et où je finissais épuisé et serein car tout s’était bien passé.

    Un jour, cela arrivera après un rendez-vous avec Madame S.

    • Vendredi 19 mai

    Madame S m’a envoyé une image qui m’a rappelé des souvenirs. Il s’agissait d’une photo d’un jeune homme fessé par une femme. Cela m’a rappelé ma première visite à l’Antre, un club privé équipé d’un donjon et tenu par Maitre Caiman, un endroit aujourd’hui fermé. J’ai retrouvé le récit que j’avais écrit à l’époque. Je l’ai envoyé à Madame S, j’espère qu’Elle le publiera.

    Ce soir, mon fils est venu diner avec sa fille, nous avons un peu préparé notre voyage en Alsace de cette semaine. J’ai hâte.

    • Samedi 20 mai

    Madame S a répondu aux commentaires de son Blog, cela a éclairé ma journée.

    • Dimanche 21 mai

    Ce matin, j’ai fait du jardinage. J’ai arraché les orties qui commençaient à envahir certains recoins du jardin. Malgré les gants de jardins, je me suis brûlé les avants bras et même parfois un peu le visage. J’ai adoré arracher ces orties car cela me ramenait à Madame S.

    Dans la soirée, j’ai hésité à aller faire le plein de la voiture de ma femme. J’ai préféré ne pas y aller car je savais que je ne résisterais pas à aller voir la jeune roumaine qui tapine dans le coin. Et comme j’ai promis à ma Maîtresse de m’abstenir lors de la prochaine envie, j’ai préféré rester calmement à la maison.


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  • Article du jour… Billet d’humeur…

     

    Un article intéressant à découvrir…

    Bonne lecture.

    Madame.S

     

    https://www.topsante.com/couple-et-sexualite/sexualite/pratiques-sexuelles/insolite-le-sado-masochisme-aurait-les-memes-consequences-que-la-meditation-54623

     

    Selon une étude américaine, une expérience sadomasochiste entre adultes consentants pourrait conduire à un état de conscience proche de la méditation.

     

    En psychologie, le sado-masochisme est une perversion sexuelle dans laquelle se combinent l'agressivité propre au sadisme et l'attitude de soumission qui caractérise le masochisme. Mais voilà qu’une étude américaine tente de redorer quelque peu le blason de cette pratique sexuelle.

     

    Selon cette étude menée par les chercheurs de l’Université du Nord de l’Illinois, aux Etats-Unis et publiée sur le site du Huffington Post, le sado-masochisme (c’est-à-dire les  pratiques sexuelles basées sur le couple de pulsions sadique et masochiste) pourrait être considérée comme une expérience méditative. Selon cette étude, les adeptes des expériences sado-masochistes consenties, acceptées et ritualisées seraient en meilleure forme psychologique que la population générale et seraient surtout beaucoup moins sujets à l’angoisse et à l’anxiété. « Cela peut sembler paradoxal » expliquent les auteurs de l’étude qui ont recruté 14 couples pour mener cette expérience. « Mais la douleur qui accompagne la pratique du sexe sado-masochiste peut entraîner le cerveau à shunter le flux sanguin loin du cortex préfrontal... provoquant un état de conscience altéré proche de celui de la méditation ». Et ce serait précisément cet état de conscience altéré qui rendrait l’expérience sado-masochiste aussi attirante, plus d’un point de vue spirituel que purement sexuel.


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  • L’attente interminable…

    Aline ne pense plus qu’à cela ; Vous revoir…

    Je n’ose imaginer que cela se fera dans quelques semaines,

    si rapidement…

    Je m’inflige une douleur, en Votre Honneur.

    Je ne pense qu’à Vous.

    J’espère croiser mon frère dans la soumission ;

    Aaron, lors de mon séjour chez Vous ;

    J’en serais si heureuse…

    Votre Aline en manque de Vous…


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  • Journal intime Titou - Semaine 19

    • Lundi 8 mai

    Encore un jour férié bien morne. Le mois de mai, au moins en région parisienne, n’apporte pas beaucoup de chaleur ou de soleil.

    Aujourd’hui, une de mes nièces est venue déjeuner. Un peu de jeunesse, cela fait du bien. Elle nous a raconté la séparation avec son compagnon, une séparation qui se fait plutôt dans le calme et le respect. C’est vraiment bien, car j’ai trop vu de séparations de couples qui se déchirent pour les enfants ou pour l’argent !

    • Mardi 9 mai

    16 h 30. Depuis quelques minutes, j’échange des SMS avec Madame S. J’ai voulu lui envoyer un petit mot pour rompre son silence assourdissant. Et puis, à 16 h 45, mon téléphone a sonné.

    C’était Elle qui appelle, Madame S, dont je n’ai jamais entendu le son de sa voix, le téléphone qui vibre. Pour être sincère, j’ai failli raccrocher, trop de stress, trop d’émotion. Mais comment oser ne pas décrocher ce téléphone qui me semble brûlant. Après 3 sonneries, j’ai pris sur moi, j’ai décroché et enfin, j’ai entendu sa voix, une voix dynamique, joyeuse, pleine d’entrain, et subtilement directive.

    Heureusement que j’étais seul dans mon bureau, j’étais tout tremblant, tout rouge, au bord des larmes, j’avais des difficultés à articuler. Et Elle, à l’autre bout du fil, était enjouée et sûr d’elle, fière de son coup et de l’emprise qu’Elle venait de prendre sur moi en une fraction de seconde. J’étais comme un petit garçon, ne sachant que dire, les joues brûlantes de mille feux et la voix chevrotante. De quoi avons-nous pu parler ? Je me souviens que c’est Elle qui a mis fin à la conversation, que j’ai failli fondre en larmes en raccrochant tant l’émotion avait été intense, et que j’avais les mains toutes tremblantes.

    Je me suis précipité sur mon journal pour raconter ce moment merveilleux, et c’est encore en tremblant que je finis cette phrase. Je me souviens l’avoir remercié, je le fais à nouveau à travers ce journal.

    • Mercredi 10 mai

    Je serai en déplacement à Lyon demain. J’ai essayé d’organiser ma soirée en publiant des annonces, à la recherche d’un mâle qui pourra me baiser. J’ai l’impression que les lyonnais ne sont plus aussi chauds que dans mes souvenirs. J’ai contacté un homme que j’avais déjà rencontré à deux reprises, son plaisir étant l’uro, une pratique que j’adore. Lors de notre seconde rencontre, il m’avait fait vivre ma toute première rencontre scato. J’avais toujours refusé ce genre de pratique, mais il m’y a emmené dans l’excitation du moment. Arrivé dans ma chambre, il s’était déshabillé en conservant son boxer. Moi j’étais totalement nu, un plug fiché dans le cul. Il m’avait dirigé, m’avait obligé à mettre la tête dans son boxer pour lui lécher la queue et le cul, et il avait commencé à lâcher les pets. J’étais incapable de désobéir, comme souvent avec un Dominant, j’étais humilié et je continuais à suivre ses directives. Il m’a ensuite emmené dans la douche et m’a obligé à lui lécher le cul pendant en faisait sortir des excréments. Il m’en a mis partout sur le visage, j’étais devenu une véritable chiotte, j’en avais même dans la bouche. Il a ensuite décidé de me nettoyer avec sa pisse, mais il était trop excité. Il m’a alors mis sa queue pour ma baiser la bouche, son sexe était souillé de sa merde et je l’ai sucé jusqu’à ce qu’il me jouisse dedans. J’avais mon propre sexe dans la main, et j’ai joui en même temps que lui. J’avais adoré cette séance particulièrement dégradante et humiliante.

    Je l’ai donc recontacté, mais il n’était pas disponible.

    • Jeudi 11 mai

    La journée de travail fut chargée et épuisante. J’ai pris mon TGV pour Lyon vers 17, j’étais épuisé et j’ai fait une grosse sieste dans le train.

    Comme je m’y attendais, je n’ai eu aucune réponse à mon annonce. Après un dîner avec mon collègue, je suis remonté dans ma chambre et j’ai commencé à prendre des photos pour Madame S. J’avais amené une bougie pour finaliser des photos que j’avais entreprises en mars, l’idée étant de ma boucher le cul avec la bougie fondue. Malheureusement, j’ai pu tenir la chandelle pendant 20 minutes, mais cela n’a pas suffi. J’ai quand même fait un petit reportage avec de la cire pour Madame S, et tenter de la divertir.

    Cela a duré, je me suis couché à 2 H du matin, un peu épuisé.

    • Vendredi 12 mai

    Je suis au rendez-vous avec mon prestataire, mais j’avoue que les premiers instants ne sont pas faciles. J’ai un peu mal partout du fait des positions un peu acrobatiques que j’ai prises cette nuit, et j’ai trop peu dormi.

    • Samedi 13 mai

    Un samedi bien calme, quelques échanges de SMS avec Madame S. Heureusement que le smartphone existe.

    • Dimanche 14 mai

    J’ai commencé à organiser mon week-end de l’ascension. Je vais emmener la famille en Alsace ! Mon épouse adore l’Alsace. Pour ma part, cela frise le masochisme extrême, toujours plus proche de Madame S, sachant qu’il ne sera pas possible de la voir. Torture !...

    Journal intime Titou - Semaine 19


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