Ai-je des sentiments pour ma Maîtresse Madame. S ?

Oui mes sentiments sont très forts pour ma Maitresse et effectivement je suis amoureux mais je garde cela au fond de moi. Je suis pudique, c'est beaucoup d'affection de tendresse aussi et de sentiments que nous partageons ensembles.

De plus je ne veux plus connaître d'autres déceptions ou faire souffrir qui que ce soit.

Je connais ma Maîtresse Suisse depuis des années ; Nous avons eu des hauts et des bas.
De longs moments sans nous rencontrer ; Mais le lien est là.

Mon épouse sait et connaît mes sentiments pour ma Maitresse. Elle me maîtrise aussi, elle garde le contrôle mais je ne dépasse jamais les limites, de plus elle fait confiance à ma Maitresse qui n'abuse jamais de la situation.

Je reste attentif au besoin de ma femme et de ma famille.

Je me maîtrise bien et j'ai basé mes objectifs sur mes envies d'obéissance et de soumission sur la durée donc pas de bêtise.

Vous-même vous contribuez à ses envies de performance, j'essaye bien que mal de garder la tête froide mais je reste un homme.

J'essaye de trouver le bon équilibre entre ma soumission et ma dévotion de respecter les règles, j'ai des devoirs aussi bien pour ma Maitresse que pour vous.

Nous échangeons des sentiments intimes qui nous lient forcément. Quand vous me dites que je suis discret c'est aussi une forme de soumission que de garder ma place et d'être discret et de ne pas vous envahir. Ce besoin de vous respecter toujours et encore un peu plus. Que le contrôle vient de vous, je fais la part des choses entre nos échanges intime et ma soumission et je sais m'adapter à ces circonstances.

 

Est-ce que je pourrais être amoureux de Madame S ?

Mais je le suis bien sûr à ma façon.

J'aime cette femme que je n'ai jamais rencontré peut-être à cause de son côté mystérieux, authentique, sa sensibilité, elle est comme moi elle me touche.

Elle me comprend, elle me contrôle et j'apprécie cela.

Elle m’a séduite par ses mots, son visage d'ange.

Je suis aussi cet homme qui doit être là pour elle, la rassurer, l’encourager et être là pour elle dans les bons et les mauvais moments.

Nous sommes honnêtes et sincères, elle me parle de sa vie de ses sentiments de ses larmes de son cœur triste, je la console comme je peux et si je peux la faire sourire et lui faire plaisir c'est réussi.

Ces mots infiniment précieux me touchent le cœur. Notre souhait serait d'être ensemble en Italie ou à Paris et c'est merveilleux d'avoir ses rêves. Nous nous rencontrerons un jour ; Nous le savons.

De se sentir proches même si loin.

Recevez Madame S…

Toute mon attention et mon affection et que tous mes secrets sont à vous.

 Votre Chriss. SV 68 VD 175 20

 

  Chriss,

Là encore tu as le don de m’émouvoir. Je me souviens à l’époque où tu m’avais écrit ces mails, il y a 4 ans déjà, j’étais déstabilisée car je ne pensais pas que tu pouvais avoir des sentiments à mon égard ; puis je t’ai lu et j’ai compris aussi avec le temps qu’il y a avait certes des sentiments, mais que tu étais capable d’y mettre une distance pour protéger ta femme et ta famille ; Alors je te dis bravo ;

Si l’on me pose la question, pour ma part…

Je crois que si l’on est honnête, chaque personne soumise, qui connaît une relation dite durable avec une Maîtresse, doit avoir des sentiments à l’égard de sa Maîtresse.

Car la relation est si forte, que ne peuvent que s’installer des sentiments.

Mais inversement, je pense que la Maîtresse éprouve elle aussi des sentiments forts à l’égard de son ou ses soumis ;
Alors je ne dis pas que tous ces sentiments ressemblent au véritable amour ; Il peut exister, je crois, différents stades d’intimité entre les deux personnes ;

Il peut y avoir également des sentiments plus forts pour le soumis, pour la Maîtresse ; cela peut se confirmer ou non. Dans le temps. Et selon la relation vécue.

Tout est possible non ! Et les sentiments arrivent quelquefois alors qu’on ne les attendait pas ; Et nous surprennent.

J’ai souvent vu dans les yeux de mes soumis qu’ils m’aimaient. Et c’était très beau il faut l’avouer ;
Ensuite, est-ce que je pensais que ces regards étaient amoureux ? Ou était-ce des regards de vénération et donc d’une autre teneur ? Je ne sais.
Et peu importe ; ce que je voyais était si beau généralement.

Et ces instants partagés valent d’être vécus.

J’ai connu pour ma part une réelle histoire d’amour avec un soumis. Je n’ai pas souhaité réitérer l’expérience ensuite, car j’ai beaucoup souffert de ce qui était pourtant et sans doute ma plus belle histoire bdsm.

Oui, je crois que l’attachement à l’autre semble inévitable dans ces formes qui demandent tant d’engagement. Qui demande une complicité forte ; une confiance. On rentre dans l’intimité de l’autre, profondément.

Mais il m’est souvent arrivé de ne pas « savoir » si mon soumis avait des sentiments à mon égard. Tout simplement car je n’ai pas alors posé la question à ces personnes. Et ou que je me doutais que ces personnes en avaient et que je n’ai pas souhaité enfoncer le clou.

Car j’ai connu deux hommes qui ont été très amoureux de moi et pour qui la relation au final a été douloureuse.
Cela n’est pas mon but.

 

Pour une rencontre d’un soir, je ne pense pas qu’il y ait alors des sentiments ; Mais je peux me tromper.
A moins de ne tomber amoureux de la personne qui vous domine ou que vous dominez…

 

Et vous chers lectrices, lecteurs, pensez-vous que l’amour entre une Maîtresse et son soumis ou sa soumise peuvent être compatibles dans la relation ?

Ecrivez-moi…            madame.sdu67@yahoo.fr

Madame. S

        

     

Comment j’ai été puni d’avoir fauté avec une autre femme ; et qu’une punitrice m’a permis de reprendre le bon chemin…
J'aime beaucoup devoir à expliquer sans mentir sur mes sentiments et toujours vous faire partager ces moments.

 

J'ai eu une aventure avec une autre femme avant de rencontrer ma Maitresse.

J’avoue que je n’ai pas fait le bon choix à l’époque et je regrette ce qui s'est passé à l’époque…

Mais je vais vous raconter.

 

J'ai rencontré cette femme sans vraiment le vouloir, lors d’une sortie à ski avec les copains nous sommes sortis le soir en discothèque.

Une femme dansait très mal en faux rythme et elle était vraiment ridicule alors je suis allé vers elle et je lui demandé si elle voulait que je lui montre quelques pas. Elle a alors accepté et nous avons discuté ensuite sans rien de plus.

Je n’avais pas son téléphone, juste son nom et où elle habitait, Berne la capitale à 100 km de Lausanne.

Le lendemain je l'ai revue sans rien nous dire et nous nous sommes même ignorés. Étonnant.

Le week-end est passé, je rentre chez moi…

6 mois passent je sors en boîte à Lausanne avec un copain et je la rencontre de nouveau et c'est le coup de foudre ! Je ne comprends plus rien, nous nous jetons dans les bras l’un de l’autre, on échange, on se parle et on s'embrasse.

Et l’on se quitte à nouveau.

1 mois sans échange avec elle. Et puis, un soir je reçois un message : «  je veux te revoir ». Oui mais elle vit à 100 km de chez moi.

Je prends le temps de réfléchir et le lendemain alors je suis seul le soir chez moi je lui propose de faire la moitié du trajet et moi l'autre et de nous retrouver.

Et  là c'est de nouveau le coup foudre nos rencontres durent 6 mois d'une passion débordante que je n'avais jamais connu de ma vie on se voit dès que l’on peut je monte à Berne etc…

Mais ce sont les circonstances de notre rencontre qui ont tout déclenché en moi, je sors peu et me retrouver dans un club le même qu’elle j'aurais pu  aller ailleurs et je ne l'aurais jamais la rencontré ;

Je n'avais pas pensée à elle, car de son côté elle ne venait jamais à Lausanne alors pourquoi cela m’est arrivé ?

Cela m’a longtemps questionné. Oui pourquoi le destin nous avait à nouveau réuni ? Pourquoi l’avais-je revu alors que je sors si peu d’habitude…

L’histoire a pris fin.

La souffrance de notre séparation a été terrible et jamais plus nous ne nous sommes revus…

Je n'ai jamais couru après les femmes surtout que je n'ai jamais eu de succès avec les femmes ;

Mais cette histoire m’a beaucoup changé sur le partage et ma vie, j'ai fait souffrir mon épouse et jamais plus de ma vie je ne pourrais recommencer, cela été une vraie leçon pour moi.

Cette femme voulait que je quitte tout pour elle mais jamais de ma vie je n'aurais pu faire cela. Une vraie lâcheté de ma part mais j'aimais ma femme 

Mon épouse ma pardonné et nous nous sommes retrouvés, nous avons fait une petite thérapie qui nous a fait beaucoup de bien ou nous avons pu chacun vider notre sac sur nos problème et sur mes envies BDSM.

 

Un jour avec l'accord de mon épouse j'ai contacté une punitrice de passage à Genève, j'ai pris contact et rdv, elle m’a expliqué sa démarche et demandé pourquoi je voulais la rencontrer.

Je suis allé au rdv un peu tendu mais je voulais vraiment faire ça.

Cette punitrice était d'origine espagnole habitant à Paris, elle était très gentille et compréhensive

Elle m’a expliqué le déroulement de la séance en buvant du thé.

Ensuite je me suis mis debout,  habillé face au mur et à quelques centimètre de ce mur et je devais pendant 10 min environs expliquer et expier mes péchés à haute voix.

Ensuite elle m’a fait placer sur ses genoux pour la punition, je me suis mis cul nu et en travers de ces jambes elle a commencé par une fessée à la main 20 ou 30 claques bien appuyées, elle a ensuite prit un Paddle en bois et d'autres instruments.

Après 20 min elle m’a fait allonger sur le lit pour plus de puissance avec d'autres outils encore plus durs à supporter.

Je devais à chaque changement d'objet citer pour qui la punition étais destinée.

Pour finir la punition j'ai reçu debout, bien cambré et en avant environ 200 coups de cannes sur les fesses et le bas des cuisses.

Un moment fort. J'ai expié  mes fautes dans la douleur j'ai résisté jusqu'au bout d'une souffrance surnaturelle que ne pensais jamais subir de ma vie.

Les punitions terminées, la punitrice m’a pris dans ses bras pour me féliciter de mon engagement elle a pris soins de mes blessures et nous avons encore bu du thé et parler ;

C’était formidable de parler avec ce petit bout de femme très joviale que je n'ai jamais revue et que je remercie de m'avoir aussi bien traité, mais je devais faire cela pour moi et mon épouse, pour me faire pardonner.

Quand je suis rentré à la maison mon épouse était très contente de mon geste elle m’a aussi soigné pendant des jours.

Je dois oser vous dire que je pleure en écrivant ce texte tellement j'ai souffert d'avoir fait mal à ceux que j'aime ;

Je ne cherche pas d'excuses à tout ça c'est arrivé et jamais je ne souhaite connaître d'autres souffrance du cœur.

Et je souhaite vous demander aussi si je peux vous demander pardon Madame S et à toutes les femmes de ma vie actuelle que je les respecte et que je les aime pour tous ce qu’elles me donnent chaque jour.

Vous faites partie de ma vie et je ne dois rien vous cacher de mes sentiments ils sont sincères et importants.

Je pense à vous beaucoup chaque jours parce que vous êtes une personne qui compte maintenant beaucoup pour moi et j'aspire à ne jamais vous décevoir comme homme ou soumis.

Je vous réponds donc à votre demande sur l'amour par  une première partie qui explique ce qu'est l'amour pour moi et ces dérivés.

Ma soumission est devenue si importante dans ma vie qu'il est difficile de concilier l'une et l'autre mais nos échanges changent beaucoup de chose.

Sachez que je vous admire et vous respecte et que je vous aime à ma façon.

Recevez toute la tendresse du monde.

Votre Chriss. SV 68 VD 175 20

 

Chriss,

Les photos de la punitive que nous découvrons sur toi et tes jambes sont hallucinantes ! Elles me feraient presque peur tant la violence des coups a dû être inouï. Intense. Un incomparable moment à ceux que tu as du connaître ensuite.
Mais cela t’a permis de découvrir tes limites et ce qu’était une véritable punition pour faire mal.

Bravo pour avoir supporté cela ! Et bravo à celles qui t’ont soigné ensuite ; par leur douceur.

Et je dois dire que ce que tu m’as écrit il y a déjà 4 ans restera gravé en moi à jamais.

Je te remercie pour ces confidences.
Pour le fait de me permettre également de les publier.

A mon tour d’être très émue ; Pensive. Pleine d’émotions.

Tu sais Chriss, j’ai été très touchée que tu oses me raconter ce qui t’a amené à moi, aux autres femmes dominatrices et à celles qui te rendent heureux ;
Il y a un réel cheminement dans ta vie de soumis ; Et je sais depuis fort longtemps que tu es soumis dans l’âme et que cela est profondément ancré en toi.

Chaque personne soumise à son histoire, un cheminement qui est propre à chacun.

Ton parcours est très beau. Et cette femme punitive t’a aidé à te remettre dans le bon chemin.

Tu nous expliques avec force cette pensée intime, ce qui a vibré en toi, à jamais.
Il est tout à fait honorable de te présenter à moi, avec cette mise à nu que je trouve très forte et puissante ;
Oui, tu oses tout dire et t’ouvrir. Cela n’a pas de prix pour moi.

Nous avons un lien très particulier, comme je peux en avoir avec de rares personnes qui partagent ma vie intime.
Tu es là, depuis des années ; même si nous ne vivons pas à côte l’un de l’autre.
Mais il y a une puissance dans nos vies ; celle de nos échanges et l’intimité que nous avons la chance de partager.
Tu es une très belle personne. Un soumis de qualité ; sincère et droit. Ne l’oublie jamais.

Madame. S

 

PS : Une suite à ce premier écrit de Chriss arrive dans quelques jours…

 

 

Vous posiez la question, « Pourquoi consulter Votre blog Madame. »

Voici ma réponse…

 

Madame. S

En réponse à Votre interrogation si légitime au fond, Vous qui nous offrez en partage un si délicieux blog, une fois n'est pas coutume je vais me permettre de Vous écrire en me lançant dans un début de réponse tellement Votre question est ouverte !

Comme Vous nous aimons cette sublime relation pleine de signification !

En quelques mots, une métaphore de la Vie en accélérée.

Une expérience, une pratique entre personnes aux tempéraments souvent opposés pour mieux s'accorder sur une vision commune partagée.

 

Comme Vous, nous aimons les beaux écrits ciselés, les beaux témoignages, les belles expressions.

Comme Vous, nous aimons les belles photographies.

Comme Vous, nous aimons la différence.

Comme Vous, nous aimons le respect.

Comme Vous, nous aimons l'authenticité.

Comme Vous, nous aimons la simplicité.

Comme Vous, nous aimons le courage.

Comme Vous, nous aimons l'engagement.

Comme Vous, nous aimons l'écoute.

Comme Vous, nous aimons l'attention.

Comme Vous, nous aimons la patience.

Comme Vous, nous aimons la cérébralité.

Comme Vous, nous aimons toujours rêver comme des grands enfants.

Comme Vous, nous aimons les Belles émotions.

Comme Vous, nous aimons la Liberté.

 

Comme VOUS, nous aimons toutes ces belles Valeurs HUMAINES, qui nous font nous dépasser et avancer les yeux fermés dans la vie à condition d'être guidé, pris en main par une personne Majuscule à l'instar de la MAÎTRESSE des lieux.

Votre site inspire, nous entraine dans votre magnifique monde intérieur qui s'esquisse lentement.

Il constitue assurément une " œuvre" d'utilité publique tellement il se fait rare.

Merci Beaucoup oui Merci Beaucoup pour tout.

Et continuez très Respectée Madame S en tant qu'éclaireuse, de tracer pour nous ce magnifique sentier escarpé. De par Vos prédispositions Sociables et Humaines,  Vous devriez poursuivre de faire également, de Très Belles Rencontres Partagées.

Comme je le ferai pour Celle qui guide mes pas, je Vous adresse sincèrement et sans hésiter Madame S, mes plus Belles pensées.

Laurent à Vous,  Madame s pour ce beau partage et surtout Gardez la Clé du mystère.

Un admirateur régulier de votre site. Soumis, heureux, dévoué et fidèle à Maitresse MURIEL.

 

Laurent,

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J’ai été heureuse de retrouver ce mail, qui à l’époque m’avait vraiment fait plaisir, alors que je me posais beaucoup de questions quant à l’écriture et le temps que je passais sur mes pages.

Aujourd’hui, j’ai envie de revenir vers ce monde ; Avec l’espoir d’y retrouver des choses oubliées.

Et de nouvelles aventures, à partager tous ensemble ;

 

Madame. S

 

 

Le gode ceinture est un ustensile constitué d’un harnais, qui entoure le bassin de la femme un peu comme un porte-jarretelles, et d’un « gode » qui simule un sexe masculin mais peut prendre des formes et des dimensions variées.

En général, les deux sont indépendants : on peut changer de harnais, mais surtout changer de gode.

Maintenant, pourquoi ce titre ?

Parce que dans l’imagerie admise (j’allais dire l’imagerie populaire mais pas vraiment encore…) le gode-ceinture correspond à des activités très « hard », très « sado-maso », genre dominatrice en cuissardes le fouet à la main…

Or le gode-ceinture, comme plein d’objets qui deviennent progressivement plus « communs », peut être un objet de plaisir personnel pour la femme, et ensuite un instrument de plaisir et d’initiation très soft dans un couple qui veut changer un peu les choses et sortir du train-train…

Pour commencer, et avant de vous expliquer comment vous amuser un peu avec, je vais vous proposer 2 modèles.

J’ai pris des modèles dont le gode est noir, je trouve que cela est plus esthétique.

Il y en a des violets et des fuchsias, et bien sur des couleurs chair, mais je trouve que le noir est à la fois simple et classe.

Le premier est le : Gode « normal ».

 

Le second, tout aussi noir, est le : Gode « creux ».

Le premier est donc ultra classique, pas trop long, mais pas ridicule non plus, avec un harnais sérieux. Le tout reste financièrement correct.

Le second est plus original, car il est creux, et pourrait aussi être porté par votre compagnon si vos jeux se font en couple ou si vous êtes homosexuel, je vais y revenir.

 

La première chose, c’est de ne pas se dépêcher. Si c’est votre soumis qui vous l’a suggéré (voire offert), ne vous sentez pas tenue de l’utiliser là maintenant tout de suite.

Il faut que la Maîtresse ait envie de se servir de cet objet !

Tout comme la belle lingerie, le gode ceinture est avant tout pour vous-même. Je vous conseille donc de trouver un moment où vous êtes sure d’être tranquille, seule, et de vous mettre devant une glace.

Je souligne ici qu’ayant de jolies formes rondes, j’ai du mal à trouver mon bonheur concernant un tour de taille adapté à ma morphologie ; Dommage.

Vous enfilez le harnais, vous le réglez bien. C’est important, il ne faut pas que ça flotte. Vous devez sentir votre bassin bien serré, et le gode fera partie de vous comme si vous aviez un pénis. Oui imaginez que vous avez un sexe d’hommes Mesdames ! L’espace d’un instant !

Si cela flotte, la sensation ne sera pas la même.

Une fois bien en place, mettez le gode dans son emplacement s’il n’y était pas.

Regardez-vous, sous tous les angles. Profitez bien.

Ensuite commencez à caresser le gode, exactement comme un homme qui se masturbe. De préférence ajoutez un gel adapté (il est systématiquement proposé je crois, il faut un gel tout simple, à base d’eau sans plus).

Quand vous vous sentez bien avec, continuez en ondulant le bassin, vous allez voir que c’est une sensation assez puissante.

Prenez le temps, plusieurs fois s’il le faut, de vous offrir ce plaisir avant de passer à la suite (ça peut aussi s’arrêter là, mais ce serait dommage).

 

L’étape suivante, c’est bien sûr de le faire découvrir à votre soumis ou compagnon. Là, chacune sa méthode…

Le laisser traîner, et dire « ah oui, j’avais acheté ça en me disant que ce serait sympa… »

Ou bien surgir dans la chambre avec l’objet en place un jour et l’imposer car vous êtes Maîtresse !

Là aussi, la priorité, c’est de ne pas se précipiter. Les préliminaires, ça vaut pour tout le monde haha !

Il faut donc arriver à le conduire à caresser ce sexe, à l’embrasser, et ensuite à le sucer.

Au début, jouez la réciprocité. Vous caressez le sien pendant qu’il caresse le vôtre.

 

En tous cas, chère consœur qui lit ces lignes, je t’assure que de voir ton soumis te sucer pendant que tu lui caresses la nuque, en bougeant lentement ton bassin d’avant en arrière pour qu’il enregistre le mouvement, c’est un vrai délice, un ravissement, et surtout une découverte à deux d’un nouvel espace d’aventures.

L’étape qui suit est bien sûr de venir derrière lui et de découvrir ensemble.

A ce stade les conseils sont les suivants (sans vouloir casser l’ambiance) : beaucoup de gel, sur son anus et sur le gode. Sur ce dernier la combinaison préservatif + gel est la meilleure pour réussir.

« Ouvrir » avec un doigt, puis deux, voire trois avant de…

Et ensuite aller très doucement : petits mouvements le temps qu’il faut (soyons patientes...) et quand le nez est dans la grotte, on peut entrer un peu mieux, pas avant.

Ensuite, il faut imaginer ce qui est possible. Mais surtout il ne faut pas du tout le premier soir faire l’amazone et chevaucher son soumis comme si vous étiez une vedette de rodéo...

Le gode creux peut être utilisé par l’homme. Dans ce cas, il glisse sa nouille dans le gode, et il est un peu restreint, il faut avouer. Vous profitez d’une performance inhabituelle (taille, raideur, durée, tout y est haha !) et lui se retrouve plutôt frustré par l’absence de sensations directes.

Un jeu que tous les hommes n’apprécieraient pas. Mais dans des jeux homosexuels pourquoi pas ; et si vous êtes en couple, cela peut être amusant.

 

Dans les deux cas, je me permets d vous faire remarquer, petits soumis, que tout le plaisir est pour moi !

Mais je reste persuadée que les petites salopes que vous êtes, aiment ce genre d’objet et qu’être possédée par sa Maîtresse est d’une rare puissance cérébrale non !?

Madame. S

 

Délicieuses journées à vous toutes et tous.

Amusez-vous bien avec les œufs de vos soumis Mesdames !

Et n’hésitez surtout pas à vous faire plaisir

comme vous l’entendez !

Belle journée.

Madame. S

 

 

Un lien qui nous sépare mais nous rapproche, voyageant à travers la contrée j'arrive sans être attendu, illuminant par ma couleur et mon odeur votre intérieur.
De votre regard, vôtre émotion  je suis maintenant en votre possession.

Déballé puis dirigé par vos mains délicates, m'arrangeant à votre goût mes tiges délicates, ma verdure vous soulage de votre nostalgie mais je suis là pas très loin.

Virtuelle présence, pensée enivrante de vous appartenir, ma sève prolonge mon existence de vous savoir si belle et rayonnante par ma  présence ?

Je me bats chaque jour pour survivre, posé sur la table à votre passage une douce brise se dépose sur moi…

Fleur du mal et fleurs du mâle, petite chose éphémère, mes pétales se fanent, se recroquevillent, je baisse la tête de cet honneur de vous avoir servi de mon mieux et de vous avoir par ces instants donner ma vie à votre bonheur.

Madame je ne suis pas mort, je dors, vous n'aurez plus de fleurs ce soir mais demain vous me garderez encore, fané. Puis un jour je disparaîtrais au compost, pour revivre différemment, mais un jour je reviendrais encore pour revoir ce sourire embellir mes fleurs.

 

Votre Chriss

Chriss SV 68 VD 175 20

 

Chriss,

J’ai beaucoup aimé ce récit qui parle des bouquets de fleurs que tu m’envoies. J’apprécie les mots et la poésie qui en découle ; tu écris avec ton cœur et c’est d’autant plus beau.

Tu sais combien j’aime les fleurs. Et combien j’aime être surprise, quand le livreur sonne à ma porte et qu’il m’apporte ce rayon de soleil qui illumine mes journées de couleurs.

Je suis sensible à ces attentions ; ces fleurs délicates que je vois sur la table dans mon salon. Que je laisse vivre et faner, pour égayer mes journées et penser à toi…

Madame. S

 

 

Cet article concerne essentiellement les cages de chasteté, et c’est un article plutôt technique.

On trouve sur le marché des petits cadenas plastiques numérotés qui ne s’utilisent qu’une fois, et qui peuvent rendre de nombreux services.

On peut en trouver ici :

Voici un lien de site internet qui en propose : mais il y en a d’autres, de nombreux sites à prix divers et sans doute de qualité toute autant diverses :

https://www.google.com/shopping/product/10361199575288721898?q=cadenas+num%C3%A9rot%C3%A9s+pour+cage+de+chastet%C3%A9&client=firefox-b-d&biw=1492&bih=640&dpr=1&prds=eto:11005757883511008766_0,rsk:PC_4925734701383342588&sa=X&ved=0ahUKEwiS_dnQ39v1AhVPLBoKHdQqBCcQ8gIIzAYoAA

 

A quoi ça sert ?

Principalement à 2 choses :

1 : passer des portiques (aéroports, musées, organismes officiels comme les préfectures, ministères etc.) avec une cage de chasteté en plastique ou silicone, sans que le cadenas en métal ne fasse sonner et déclenche une fouille qui peut être gênante…

Tout en maintenant celui qui porte la cage bien verrouillée, car il ne peut pas enlever le cadenas sans le casser.

2 : envoyer à distance un cadenas à quelqu’un pour qu’il « s’auto- verrouille », mais en pouvant vérifier ce verrouillage par l’envoi d’une photo sur demande, ou une vidéo, avec une preuve de date de la photo (journal, écran ordi ou smartphone avec date, etc.).

 

Comment ça marche ?

Le cadenas se « clipse » en l’enfonçant complètement, et on ne peut plus le retirer sans le couper ou le casser.

Donc il sert de témoignage du fait que la cage n’a pas été ouverte (sauf triche, voir plus loin). Il ne peut pas être remplacé par un autre, car les numéros sont différents.

Ce cadenas peut être envoyé très facilement par la poste dans une simple lettre, en 24 ou 48h.

C’est un gros avantage pour celles qui dominent à distance, ou partiellement à distance pour les soumis qui voyagent.

Le soumis peut aussi en avoir un ou deux dans son sac ou son portefeuille.

 

Points faibles ?

Bien sûr, contrairement à un bon cadenas, pas la peine d’une disqueuse pour se libérer.

Donc il peut se libérer, le cas échéant, et essayer de gérer ensuite seul…

Le cadenas peut se casser accidentellement, ce n’est pas d’une solidité à toute épreuve.

Et il peut se prêter à des tricheries quand on n’est pas très expérimentée.

 

De la triche ?

Oui, cela est envisageable, selon les soumis ;

Donc si vous êtes dans ce cas, faites bien attention, et demandez la preuve en phot où l’on voit bien tout, le N°, et la fermeture complète et sans équivoque.

Sachez également que vous pouvez vérifier la date et heure sur le cliché. Vous pouvez effectuer cette vérification très facilement en consultant les paramètres de la photo envoyée.

Mais il existe bien plus simple comme contrôle ;

Demandez à ce que votre soumis vous contacte par le biais d’une vidéo conférence et vous vérifiez alors le numéro du cadenas que le soumis a attaché à sa cage la veille au soir, voire plusieurs jours auparavant ;

 

Pour finir, il faut un minimum de confiance entre vous et le soumis qui portera ces cadenas ;

J’ai testé cette façon de fonctionner avec Albin et j’avoue que j’ai été totalement satisfaite de ce mode de contrôle.

Quand il y a une confiance réciproque, cela fonctionne.

 

Essayez à votre tour !

Madame. S

 

 

Une question que je me suis posée et qui me questionne fortement…

La tenue que porte la Maîtresse quand elle vous domine est-elle très importante pour vous ?

Être apprêtée est certes important pour moi, le regard de l’autre me semble incontournable, quand on est face à des personnes.

Mais votre Maîtresse ?

Faut-il qu’elle soit forcément habillée en femme dominatrice et cela la rend-t-elle alors plus sévère à vos yeux ?

Sa tenue va alors accentuer et multiplier votre soumission ?

Qu’elle porte du cuir ?

Du latex ou toute autre matière sur la peau ?

Des dessous suggérés, en dentelle affriolante ?

Cela vous excite ? Fait partie du décorum ?

Qu’elle soit, pourquoi pas, nue, cela vous inspire ? Vous dérange qui sait ? Vous intimide ?

Vous ne pourriez pas la voir nue, cette femme en tenue d’Eve serait pour vous nous imaginable !?

Qu’elle soit habillée en tenue de ville ? Vous déplait ? Ne vous dérange pas ?

Ou au contraire aura une importance ? Ou pas du tout pour vous ?

Doit-elle être toujours maquillée ? Mais si elle aime être naturelle et sans fards ?

Aimez-vous son odeur corporelle ? Son odeur intime ?

L’odeur de ses pieds après une longue journée de travail. Ses aisselles ?

Sa coupe de cheveux est-elle importante également à vos yeux ?

La couleur de ses yeux ? Sa bouche ?

Son parfum ? Ses chaussures à talons, ses bottes, ces chaussures de ville ?

Ses bijoux ? Intimes ou portés ?

 

Oui, à quoi êtes-vous particulièrement

sensible quand vous la regardez ?...

 

Racontez-moi. OSEZ tout me dire !

Et faites-moi parvenir vos impressions,

suggestions, à mon adresse mail :

Madame.sdu67@yahoo.fr

 

A vos claviers ! J’ai hâte de vous lire…

Madame.S

 

 

 

Vous rêvez de toutes ces situations,

illustrées par ces 3 charmantes photos !?

Je suis persuadée que vous avez eu envie

d’être à la place de l’un d’entre eux ;

Et si Madame. S réalisait vos rêves !

 

Nous pourrions envisager de regrouper

une journée plusieurs soumis.

Et de vivre ensemble l’une de ces scènes bdsm ?

 

Mais…

 

Vous m’avez cru, l’espace d’un instant !?

J’en suis fort aise.

Et je me gausse en vous imaginant déçus,

vous qui étiez plein d’espoir et prêts à ramper jusqu’à moi.

Madame. S adore le 1^er avril et vous faire espérer l’inatteignable…

 

Nous avons beaucoup de choses à vivre ;

mais Madame. S est la seule à décider de votre karma ;

 

Bonne journée !

 

Madame. S

 

 

Charmante Madame S,

C’est un réel plaisir de vous adresser ces quelques lignes :

De par nos échanges si constructifs, vous êtes une personne que je ne connais pas en réel mais que j’apprécie énormément, tant vous collez si bien, à l’image si envoûtante que je me fais de la véritable Dominatrice…..

Vos flegme et apparence m’ont charmé dès le premier entretien et j’ose espérer que vous avez pu tester les quelques conseils que je vous ai narrés dans mes récits, avec ma Maitresse qui a réellement changé mon existence pendant plus de dix années ….

Vous sachant experte des orties dans vos séances avec Aaron, qui apparaissait comme un redoutable demandeur, j’espère au fond de moi-même qu’en plus du défi que vous aviez exigé de vos soumis, consistant à se frotter le gland au vinaigre cristal après le charme des orties fraîches, peut-être avez-vous testée cette thérapie en réel ?

De même, la pastille de Javel enfoncée au gland et délicatement agrémentée de quelques gouttes de Javel pure, pour une fonte si instructrice pour vos soumis qui n’ont su garder leur contrôle durant vos si bons traitements….

Si vous avez testé, je serai ravi de connaître vos sentiments et tiens à vous spécifier que l’on trouve depuis peu en hypermarché du vinaigre blanc à 20 degrés d’intensité aromatisé à la framboise, ce qui laisse un souvenir déchirant aux tétons des soumis mais sans altérer le plaisir de leur Maitresse par l’odeur peu sympathique de la lotion, la pièce de la punition étant savoureusement parfumée à la framboise ….

Mes respects, charmante Madame S …

 

Votre élève Pascal.

 

Élève Pascal,

Malheureusement, je n’ai pas encore trouvé le soumis capable de vivre cela avec moi.

Je vais me pencher sérieusement sur la question. Quand il fera beau et que les orties seront fraîches et bien urticantes !
Mais qui sait, je ne désespère pas, je vais donc me décider à tester les gouttes de Javel pure et les orties pour le gland sur lequel je déverserais le vinaigre cristal ;

Et je te raconterai…

Madame. S

        

Il y a quelques jours, je vous posais ces questions…

« Madame.S vous pose ses questions…

Vous le savez, Madame.S est curieuse…

Aujourd’hui, elle aimerait savoir quel est votre meilleur souvenir BDSM.

Celui qui vous a fait le plus vibrer ?

Vous a envoyé au septième ciel ?

Vous a rendu encore plus soumis et heureux de votre condition…

Et légitimement, ma seconde question sera…

Votre souvenir, le plus douloureux !?

Le plus compliqué, le pire à vivre. »

 

 

Chère Madame S,

C’est avec un peu de retard, mais avec grand plaisir, que je vais répondre à votre question du 12/03, concernant mes expériences !

D’abord, je dois vous stipuler que j’accorde une grande importance au cérébral et à la psychologie, choses qui m’ont sans fausse prétention, permises de rarement me tromper !

Après comme tout le monde, c’est l’expérience qui permet d’affiner ses orientations ….

Je suis du genre optimiste et très épicurien, j’aime donc les relations de long terme, qui vont plus loin que la séance pure type confrontation/punition !

J’aime savourer ma relation et évidemment si la saveur est réciproque, c’est incontestablement chose gagnée …..

Ainsi très attiré par l’autorité féminine depuis l’âge de 25 ans, j’en ai 55 dans 4 mois, j’ai trop des doigts des deux mains pour compter mes bonnes expériences ….

Ne comprenez surtout pas que je le déplore, j’en suis plutôt fier au contraire car le peu de rencontres prouve mes bons choix et assiduité !

Vous l’avez compris, ma dernière Divine en a été la palme, grâce à une incroyable polyvalence, particulièrement instructive, tant elle savait jouer la charmante compagne, cultivée et alerte au restaurant, sans omettre la phase punitive, où elle excellait grâce à une sensualité non dénuée d’une extrême sévérité….

Le bonheur si vous me le permettez ….

Bref, j’ai eu grande chance dans mes rencontres de côtoyer des Dames intelligentes, pleines de charme et d’autorité…..

Je me suis toujours évertué à une espèce de classement en deux catégories :

La Dame particulièrement stricte et très fière de l’être, qui concevait son rôle dans la plus rigoureuse Discipline sans effort toujours, car le martinet pendait en permanence dans sa cuisine, ne serait-ce que pour une Éducation correcte de ses enfants ….

Et celle plus subtile, pas particulièrement attachée à la Sévérité éducative mais particulièrement douée, pour le faire croire en séance …..

Après physiquement, ma recherche a toujours favorisée les Dames élancées, plutôt vintage avec un chignon ou une coupe au carré, mais toujours avec des lèvres du visage très fines, qui représentent incontestablement une Sévérité hors pair ….

J’ai le souvenir de deux rencontres vraiment peu intéressantes :

Une Maîtresse voulait absolument me rougir les fesses mais sans conviction et sans même me laisser le temps d’une incartade, bref une mariée à sa montre pour laquelle chaque seconde non passée à manier la badine était une seconde perdue …. Bonne chance ! Si vous voyez ce que je veux dire …..

Puis j’ai une fois été attiré par une Dominatrice Dijonnaise qui m’a trompé à cause d’une voix plus qu’autoritaire au téléphone mais c’était sans compter sa pseudo connaissance de la Domination :

Je suis arrivé chez Elle, ai été invité à me déshabiller, puis ai été emmené au cachot, avec une récitation incompréhensible à apprendre par cœur !

Après une heure d’attente à tenter d’y comprendre quelque chose, Maitresse est arrivée fouet en mains, mais ai déclaré forfait car même la meilleure punition, ne m’aurait fait d’effets, si ce n’est de me marquer le dos et le popotin …..Très peu pour moi !!!!

Hormis ces deux rencontres hasardeuses, j’ai toujours eu le plaisir de rencontrer des Femmes intelligentes, cultivées et charmantes et a hormis une d’entre Elle, qui est malheureusement décédée, j’ai avec toutes les autres des rapports amicaux, nombre d’entre Elles ayant décidé d’arrêter pour raisons personnelles….

Bien triste le soumis qui pense que la compagnie d’une Dominatrice est juste une relation de pan pan cul cul, c’est au contraire une découverte très très enrichissante qui permet un incroyable lâcher-prise, tant recherché par tout homme ayant des responsabilités importantes et ayant besoin d’évacuer en toute intimité …..

Tristement mon existence a bien changé aujourd’hui car de gros soucis de santé m’ont obligé à arrêter toute activité professionnelle et notre beau pays demeure incapable de rémunérer les personnes en situation de handicap dignement et à la hauteur de leur antérieure compétence ….

Bref, les Femmes Dominatrices m’ont énormément apporté et je ne pense pas changer un jour …..

Merci de m’avoir permis cette remémoration si envoûtante, Madame S.

Croyez et acceptez mes plus humbles mais respectueuses et très sincères Salutations ….

Vous êtes sans contexte une Personne que j’aurai pu connaître avec un plaisir infini …..

Élève Pascal.

 

Tout comme toi, les rencontres d’un soir avec un soumis ne m’intéressent pas ;
J’aime le long terme, apprendre à découvrir l’autre, lui faire dépasser ses limites.

Ensuite, pour le choix de la Dame qui va te dominer, tu as su trouver celles pour bien t’entourer et tant mieux, cela n’est pas toujours aisé.

Les mauvais souvenirs, nous en avons tous à raconter ! Merci à toi de nous partager ces instants que l’on préfère oublier très vite.

Il faut de tout pour faire un monde et oui ! Certaines personnes vont correspondre à tes attentes, d’autres pas du tout ; c’est ainsi.

Le cérébral et le psychologique ont une réelle importance effectivement. Je me permets d’ajouter à cela la finesse et l’intelligence de la femme qui te domine ; Elle doit être un tant soit peu attentive à tes vibrations, ton ressenti, comment tu vis l’instant et comment tu supportes ces sévices et ou délices.

Cela n’est pas toujours fait dans les règles de l’art. Oui je considère mes pratiques comme un art, un savoir-faire et être. Et surtout, être très attentive au soumis qui est face à moi et qui réagit, vibre, vit et pleure…

Malheureusement, certaines femmes se disant dominatrices n’ont pas une once d’intelligence et de finesse.

Madame. S

 

 

 

Lolomaso,

Je veux que tu me détailles ces photos.

Que tu me dises comment tu as fait pour en arriver là.

Ce que tu souhaitais faire.

Quel plaisir tu as eu en le faisant ?

MS

 

Bonjour Madame S,

C’était un dimanche après-midi tranquille, et finalement j’attendais la visite d’une amie domina et voici la tenue qu’elle m’avait demandé de porter pour son arrivée.

Avec ces pinces, je peux vous dire que mes tétons étaient bien sensibles à son arrivée !

Le mordant des pinces était saisissant !

Et la dame s’est bien amusée avec mes tétons, qui vous l’imaginez bien, étaient en feu.

C’était fou ; je me suis abandonné.

J’aime beaucoup sentir mes tétons étirés et pincés ainsi, j’adore la douleur que cela me produit et surtout ensuite ils sont prêts à être travaillés, comme le désire la Divine Maîtresse qui fait de moi ce qu’elle souhaite.

Je reste à votre disposition, Madame. S

Humblement,

Lolomaso.

 

Il y a quelques jours, je vous posais ces questions…

« Madame.S vous pose ses questions…

Vous le savez, Madame.S est curieuse…

Aujourd’hui, elle aimerait savoir quel est votre meilleur souvenir BDSM.

Celui qui vous a fait le plus vibrer ?

Vous a envoyé au septième ciel ?

Vous a rendu encore plus soumis et heureux de votre condition…

Et légitimement, ma seconde question sera…

Votre souvenir, le plus douloureux !?

Le plus compliqué, le pire à vivre. »

 

Bonjour Madame. S     

Mon meilleur souvenir n’est pas la « séance » qui a été toujours aussi intense qu’a l’habitude avec Maitresse Alexandra. C’est  le final que je n’ai vécu qu’une seule fois de cette manière-là…
Attaché sur le dos, bras et jambes immobilisées ; une cagoule sur le visage avec des petits trous ou la vision était en partie cachée, un  godemiché dans la bouche et Maitresse Alexandra s’est empalé dessus et s’est donné du plaisir.

Un souvenir inoubliable…

J’étais devenu « Sa chose » et elle a pris beaucoup de plaisir avec ce vrai gode vivant avant de me récompenser en me branlant et de me faire jouir…

J’en garde le souvenir que ce jour-là j’étais une toute petite chose au bon plaisir de Maitresse Alexandra que je n’oublierais jamais paix en son âme.

 

Le pire souvenir…

Je réponds à une annonce d’un couple qui propose des séances de domination en couple ou seul avec Madame. Je prends donc rendez pour une séance en précisant que je voulais avoir à faire uniquement avec Madame et je me présente donc au rendez-vous et là c’est monsieur qui me reçoit et me demande d’aller me déshabiller dans  les WC.

Je m’exécute et là il vient me rechercher et me présente à Madame. Mais ce monsieur reste présent je n’étais pas très à l’aise mais j’ai finit par accepter la situation…

Ce personnage était vraiment vulgaire même si les insultes sont tout à fait normales vis-à-vis d’un soumis là c’était vraiment méchant et vulgaire.

Finalement la soi-disant Maitresse ne faisait que faire que ce que son mari lui disait, un véritable piège ou je ne me sentais pas à ma place et j’avoue même vraiment avoir eu peur que cela ne se finisse pas très bien.

Car il revendiquait certaines pratiques que je ne tenais pas à faire comme les aiguilles j’étais a mes débuts dans la pratique du bdsm et j’avais encore beaucoup de tabous, depuis j’ai évolué.

Donc expérience mauvaise qui m’a fait abandonner le bdsm un certain temps avant de retrouver quelque chose qui me correspondait mieux.

Voilà la pire et la meilleure.

Je vous souhaite une agréable lecture.

Soumis Albin.

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 Albin,

Maîtresse Alexandra était effectivement une grande Dame. Tu m’en as parlé, on m’en a parlé également. Cette personne avait une grande classe et c’était une très jolie femme qui plus est. Elle évoluait dans ce que j’appelle la cour des Grandes ; Dont je ne fais pas partie. Car je me sens plus provinciale et distante de ce monde ; On m’avait proposé d’intégrer une équipe d’un club parisien très connu il y a quelques années, j’ai décliné ; Je préfère mon monde en Alsace.

Maîtresse Alexandra n’est plus parmi nous. Paix à son âme oui… Mais je peux tout à fait comprendre que tu as vécu à ses côtés des moments magnifiques, inoubliables.

Ce que tu écris sur ton souvenir est pour moi très émouvant ; merci de l’avoir partagé. Je le partage avec mes lecteurs, qui je l’espère ressentiront eux aussi tout autant ce partage pour le meilleur souvenir.

Quant au pire souvenir, mon dieu quel cauchemar ! Mais tout le monde a eu des mauvaises expériences dans ce monde fait de belles personnes, mais aussi de gens profiteurs et sans âmes…

C’est terrible car on se rend compte que certaines personnes malveillantes pourraient nous décourager. Mais non !

Heureusement, tu ne t’es pas découragé et tu as poursuivi ta quête du bdsm. Et il aurait été dommage que tu ne persévères pas car tu es un bon soumis dans l’âme et très respectueux…

 Madame. S

 

    

 

"Il ne faut jamais oublier que vous devez respect et présence pour Votre Maîtresse…"

Des mots importants, à traduire, à vivre, à respecter. Ne jamais être égoïste et penser à Elle, avant tout.

Je suis celle qui vous fait vibrer, vous inspire, vous fait respirer…

Madame. S

 

Voilà une phrase que je mets dans mon apologie de ma dévotion à Madame S

Ne jamais oublier la place qu’elle nous a donnée, une chance unique.

Ne jamais la décevoir.

Ne jamais penser à son propre destin.

Ne jamais être égoïste mais s’accomplir.

Ne jamais demander mais attendre, respecter sa parole comme respecter la sienne.

 

Elle m’a accepté je suis venu à Elle.

Elle m’a vaincu j'ai perdu. Mais j’ai gagné sa puissante domination et son respect.

 

Je suis l'esclave de Madame S.

Chriss SV 68 VD 175 20

 

 

        

 

Vous ne connaissez pas ? Je vais vous éclairer.

Ageplay : entre ABDL et DDLG, point sur les jeux de régression

 

Aujourd’hui nous allons aborder les jeux de régression, ou ageplay en anglais. En bref, les jeux de régression consistent à jouer à retomber dans un état antérieur, allant de la petite enfance (nouveau-né) à l’adolescence.

L’âge sera déterminé par chacun des pratiquants, en fonction du type de jeu auquel ils s’adonnent.

Ces jeux occupent une place dans le BDSM car l’on retrouve les codes de la domination et de la soumission. Ces jeux sont une niche dans le BDSM comme le Petplay.

ABDL : Adult Babies – Diapper Lovers

Encore des acronymes dans la famille BDSM ! On vous aide à y voir plus clair.

Pour rappel le BDSM signifie « Bondage, Discipline, Domination, Soumission, Sado-Masochisme »

Vous êtes peut-être déjà tombé sur une annonce, ou un profil indiquant dans ses pratiques « ABDL » et vous ne savez pas ce que c’est ?

ABDL se classe dans la catégorie des fétiches, notamment d’infantilisation, comme les couches culottes. Il fait partie de la grande famille des jeux de régression, ou « ageplay », mais ici l’âge est bien définit, il s’agit de revenir à son état de nourrisson.

Cet acronyme signifie « Adult Babies / Diapper Lovers », littéralement des adultes bébés qui aiment porter des couches. Toutes les régressions sont permises, comme s’habiller avec des vêtements de bébés (grenouillères, body, gigoteuse), avoir une tétine, boire dans un biberon…

Dans le fabuleux milieu ABDL, il y a un vocabulaire à respecter afin de s’y retrouver.

Les « littles » ou « AB » sont les petits, autrement dit les adultes se déguisant ou se comportant comme des bébés, ceux qui vont régresser.

Les « DL » pour Diapper Lovers, ceux en culottes courtes, autrement dit les porteurs de couches.

Et enfin, car ce jeu ne se joue pas seul, les « grands » qui se feront appeler « mommy » ou « daddy ».

Il n’y a pas de règle concernant le sexe de la personne soumise ou dominante. Cela peut être un homme ou une femme qui porte une couche ou qui prend soin de son petit.

Lorsque l’humiliation implique un homme qui porte des vêtements qui ne lui sont pas destinés et tient le rôle d’une petite fille, on parle de sissification (autre terme répandu dans le BDSM).

DDLG : Daddy Dom for a Little Girl

Quelle différence entre les ABDL et DDLG ?

Et oui encore un acronyme ! DDLG signifie « Daddy Dom for a Little Girl » littéralement « Papa dominant pour petite fille »

Nous sommes dans les 2 cas sur un registre de régression. Dans le cas du DDLG, c’est forcément la femme qui sera soumise et aura une attitude de « petite fille chérie à son papa », l’âge est à définir entre les participants contrairement à l’ABDL qui met forcément en scène un bébé.

Physiquement la soumise fera tout pour ressembler à une enfant ou une adolescente, et cela peut même être parfois bluffant ! En revanche, elle ne va pas jusqu’à porter une couche, ce privilège est réservé uniquement aux Diapper Lovers.

Comme dans la vie courante, les grands vont prendre soin des petits qui vont se faire chouchouter, et avoir toute l’attention qu’ils demandent.

Les petits eux seront dans leurs bulles, dans l’insouciance d’un enfant, laissant totalement de côté les problèmes auxquels nous sommes confrontés une fois adulte.

Comme Peter Pan disait à Wendy « ne grandis pas, c’est un piège ». Ces jeux de régression permettent aux petits une forme de lâcher prise, et de détente.

Bien sûr, cela provoque également une forme d’excitation, et c’est pour cela que les jeux rentrent dans les pratiques sexuelles.

Concernant les Diapper Lovers, pour certains, porter des couches n’est pas forcément un acte sexuel. C’est juste pour eux un plaisir d’en porter. Cela peut aussi être excitant du fait que ce soit tabou, interdit ou peu avouable en société. Pour d’autres cela fait partie des actes sexuels et ils vont aimer se faire masturber quand leur Daddy ou Mommie changera leur couche. Ici la couche n’a pas pour objectif de remplir sa fonction (c’est à dire qu’on ne fait pas obligatoirement ses besoins dedans), c’est plutôt un symbole de dépendance, de soumission à celui qui doit la changer.

Pour les grands, ils prennent plaisir à prendre soin de quelqu’un d’autre. Cet altruisme et cette bienveillance les rend heureux. Ils trouvent leur récompense dans la confiance que leur ont accordée les petits. Les petits ont tendance à idolâtrer les grands, qui en retirent une satisfaction et peuvent exercer leur pouvoir de domination sur eux (on retrouve ici les codes du BDSM avec la relation D/s). Les grands tiennent donc plus un rôle de protecteur bienveillant que réellement de parent.

 

J’ajouterais, personnellement, que ces pratiques demandent un réel respect de la personne dominante, qui accompagne la personne soumise dans une envie particulière et qui demande une participation fine et psychologique de la personne avec qui vous le pratiquez.

Ne soyez pas critiques. A chacun ses goûts ! Respectez les envies et attentes de toutes et tous.

Le monde BDSM est déjà assez souvent mal perçu et à quelquefois une image bien noire ; Alors qu’il y a tant à dire sur le sujet et de bien jolies façons…

Madame. S