Pour être un bon soumis il faut déjà se connaître soi-même, et savoir pourquoi désire-t-on être soumis ?

Pourquoi ce fantasme ce désir profond de servitude, peut-être ne pas se précipiter, ne pas brûler les étapes, oui au début je voulais tout essayer sans vraiment connaître les effets.

Il est important de bien se connaître soi-même, le plus important dans le BDSM c'est la communication avec son partenaire, la meilleure des Maitresses est bien celle qui écoute et comprend son soumis, qui accepte et comprend les limites de son soumis. En plus de cela, il y a de très bon sites pour les débutants, à mon époque de débutant tous ceci n'existait pas et j'ai bien dû commencer sans vraiment savoir par quoi commencer.

Pour être un bon soumis la qualité du dressage de la Maîtresse et très important par sa formation, les attitudes la sévérité, corriger les erreurs, le respect, l'obéissance et les automatismes.
Chaque maîtresse à sa façon d'éduquer mais le principal reste que chacun y trouve son compte et le plaisir de partager ces moments uniques.

Je devrais me considérer comme un bon soumis mais je reste humble face mon ressenti, je dois toujours faire des efforts pour m’améliorer, je remercie ma Maîtresse actuelle pour sa patience dans mon dressage et mon éducation. Madame S pour son soutien à me libérer de mes envies et mes doutes, j'ai su grâce à elle à libérer ma paroles, elle m'a redonné confiance en moi bien que cela restera toujours difficile pour moi à justement mieux me comprendre.

Mon épouse bien aimée qui a su me soutenir dans cette démarche.

Être un bon soumis c'est compliqué mais cela m'a beaucoup aidé  à évolué dans la vie.

Chriss SV 68 VD 175 20

 

Tu abordes là une question très importante à se poser. Il faut déjà que le soumis se connaisse lui-même et pourquoi il désire être soumis ! Je crois que ces questions sont essentielles et qu’avant de se jeter à l’eau il est nécessaire de se remettre en question et de se découvrir dans cette condition. Mais pas si facile ; Quand on est débutant on a sans doute envie de tout essayer ; moi-même en tant que Maîtresse j’ai voulu à une période brûler les étapes, mais c’est une erreur ; Il faut savoir se canaliser et avancer à son rythme ;
La communication est essentielle, vitale. Et savoir pour moi ou sont les limites de mon soumis est très important ; Lui faire « mal » pour mon plaisir, alors que lui n’apprécie pas, ne m’intéresse nullement ; Je dois le « sentir », le jauger et savoir ce qu’il est prêt à accepter ou non.
Chaque Maîtresse est différente il est vrai, tout comme chaque soumis !

Un « bon » soumis n’existe pas, il y a toujours des imperfections et il doit toujours évoluer pour sa Maîtresse. Le dressage sur le long terme consiste pour moi à éduquer selon mes attentes, envies ; Le soumis n’est pas toujours sur la même longueur d’onde mais il doit s’adapter. Je respecte ses envies, mais les miennes priment.

J’ai su, avec toi, il est vrai, te libérer de certains doutes, je t’ai permis d’exprimer tes envies et cela est pour moi une véritable avancée et une récompense belle à mes yeux…

Madame.S

 

Il y a longtemps que je n’ai pas publié de photos de Madame.S

Vous aimez les jolis pieds ? Particulièrement ceux de Madame.S ?

Aujourd’hui et comme nous sommes en période estivale,

voici mes gambettes joliment parées de chaussures étincelantes et qui vont vous donner envie de lécher votre écran,

vous qui aimez vous imaginer à genoux, face à moi,

à espérer pouvoir les regarder, les caresser…

Régalez-vous…

Madame. S

             

 

 

Je voulais dans cet article exposer ma position de femme Dominante dans la vie.

Comme sur cette photo, cachée derrière mon masque, je vous regarde. Mais vous comment me contemplez-vous ?

Car chacun d’entre nous à une vie parallèle, nous avons nos familles, notre vie quotidienne et nos engagements divers, notre travail et ce que nous souhaitons faire de nos journées. Dans la vie je ne porte pas de masque, il y a, cette vie autre, cette facette que je cache si bien à ceux qui me croisent justement dans mon quotidien.

Peu de gens savent qui je « suis » vraiment. Peu importe.

Je sais également que certaines personnes de mon entourage ne pourraient pas « entendre » qui je suis, ce que je peux être dans certains moments ; Les blesser ne m’intéresse pas ; Je sais faire la part des choses. Et je n’ai pas envie de leur faire mal.

Par contre, j’ai toujours eu un principe. Dire à celui qui partage ma vie, que j’aime, doit savoir. Ainsi, à chaque rencontre avec un homme, je parlais rapidement de ma passion parallèle. Tous ont « compris », accepté, sans vraiment participer pour certains. Mais ont compris, intelligemment, que j’avais besoin de cela pour mon équilibre personnel.

Je me suis découverte Dominatrice, alors que j’étais jeune et rapidement j’ai compris que cela était plaisant pour moi. Être vénérée, adulée, entendue, pour moi cela était une découverte de ce « moi » autre, qui sommeillait et que je pensais étrange ;

Je me suis cherchée, longtemps. En ayant peur de ne pas être comme les autres femmes.

Et puis… Quand j’ai su mettre des images, comprendre ce mot : « Dominatrice » et que j’ai consulté différentes revues, livres, puis sites internet j’ai enfin compris que je n’étais pas folle ; non, j’étais simplement une femme dominante en quête de relations « différentes ». Avec des hommes soumis, qui m’ont beaucoup appris avec le temps, m’ont quelquefois déçu ; mais m’ont fait avancer.

J’aimerais voir la tête des personnes que je côtoie au quotidien si je leur annonçais un jour « je suis une femme dominatrice ! ».

Je pense que la plupart me regarderaient de travers et auraient de moi une image des plus faussée ! Ou encore imagineraient que je ne suis qu’une simple dominatrice avec le cliché de la cravache à la main et dont on ne connaît rien au final !

Quel dommage, je suis tellement plus que cela !

Que j’aimerais quelquefois crier aux gens qui critiquent ce monde qu’ils ne connaissent rien à ma passion, ma vie parallèle. Que je vis cela au quotidien ; que mes deux facettes m’aident à être réellement celle que je SUIS profondément et qui m’épanouit…

Malheureusement, peu de personnes peuvent comprendre. Et finalement je m’en fiche. Je chemine, depuis des années, dans mon jardin secret. J’ouvre ma porte à certaines personnes et je sais que je fais à chaque fois un pari. Celui d’être déçue ou celui d’être surprise.
J’ai également appris, avec le temps, que j’étais sensible et cela je ne le cache pas, cela fait partie de celle que je suis profondément. Qui me différencie des autres femmes Dominatrices et me fait me sentir à part.

J’évolue à mon rythme, en faisant comme tout le monde des erreurs, mais à contrario en grandissant et en me sentant chaque jour un peu plus sereine et hautaine !

Je suis une Femme Dominatrice, heureuse de sa condition et sans modestie aucune, je sais que me croiser est une chance pour le petit soumis qui recherche sa Belle Maîtresse pour le guider sur le bon chemin…

Je ne suis pas une Maîtresse de pacotille. Je ne veux pas de soumis qui soit joueur une fois dans l’année. Passez votre chemin, vous, soumis qui ne veut que s’amuser une soirée. Ma recherche s’oriente vers un sujet à dresser et guider, qui est soumis dans l’âme, au plus profond de lui. Et donc heureux de sa condition.

N’oubliez jamais, petites choses, que Votre Maîtresse, la plus belle, la plus inaccessible, la plus… Est aussi, simplement, une Femme, autre, dans la vie et qu’Elle n’est pas qu’Une Dominatrice ; Votre Maîtresse à une vie, des soucis, des joies, des peines, des bonheurs…
Elle a un cœur et une sensibilité.

Et Elle vous donne beaucoup. Mais je ne sais si vous vous en rendez compte, vraiment.

Si vous avez la chance d’avoir une Maîtresse, n’oubliez jamais tout cela.

Et vénérez-là, car Elle vous offre tant. Le respect dans la relation voudrait que vous lui offriez tout autant.
Et la relation peut alors être belle et si épanouissante. En communion…

Madame.S

 

 

Il y a des mots, une phrase, un moment intemporel qui se fixe à mon esprit, elle m'obsède à y retourner la lire chaque jour depuis sa diffusion, un vœu et un souhait à l'ordre établi que le relâchement n'a pas de place dans ma vie de soumis, vous savez me pousser à être toujours meilleur à effacer la moindre erreur de ma part ou mon devoir d'obéissance est impératif.

 

Parce cette pensée je déclare :

 

« Chriss SV 68 VD 175 20

Déclare être inférieur à ma divine Madame S et de la sublimer et de penser à elle en toutes circonstances, de parfaire ma soumission dans une servile attitude liée à mon appartenance.

De progresser chaque jour à mon devoir de petite chose, de me prosterner devant sa grandeur si belle, envoûtante déesse aux yeux d'opale, je succombe à cette force majestueuse et sa puissance, de toujours lui délivrer mes intimes pensées sans rien lui cacher.

Sans elle je ne suis rien et je vis par son regard posé sur moi.

Par sa juste demande à mon devoir de soumission, j’acquière à ses volontés et demande son pouvoir naturel et éternel.

Chriss SV 68 VD 175 2 »

L’échange pour moi entre un soumis et ma personne est très important dans les mots.

Si l’on ne s’adresse pas à moi en me disant Madame ou Maîtresse (Maîtresse quand je le permets !)  j’avoue que cela a le don de hérisser mes poils et de me rendre désagréable. J’ai alors instantanément envie de remettre à sa place le soumis qui ne sait pas s’adresser correctement à moi !

Il se dit que les mots sont révélateurs des faits, et qu’en forçant les mots, on induit quelquefois les faits.

Pour ce qui est du respect, il est clair qu’en laissant les autres vous parler n’importe comment, on accepte indirectement qu’ils ne nous respectent plus. Cela arrive fréquemment avec les enfants qui entrent dans l’adolescence.

Dans cet article, nous allons mettre en œuvre ce principe pour poursuivre un but plus agréable : amener votre soumis débutant, voir votre mari, à vous respecter de façon plus formelle, plus verbale, et donc à vous respecter tout court.

Si un jour vous arrivez à vraiment prendre le dessus, vous constaterez qu’une femme qui domine son soumis, mari a un rang. L’homme ou la femme ne peut pas et ne doit pas s’exprimer n’importe comment. Ça devient alors une évidence. D’ici là, il y a une progression. Et vous allez voir, c’est très agréable … et pas si compliqué !

Je voudrais donc aujourd’hui proposer à celles qui veulent démarrer dans ce registre d’interdire les « mots courts ».

Les mots courts ? Les voilà : « bonjour, merci, d’accord, attends, s’il te plaît, etc. « … tout ce qui se dit en 1, 2 voire 3 mots.

Vous devez expliquer avec gentillesse ou fermeté, comme vous le sentez, qu’il doit dorénavant dire « oui Madame », «S’il vous plaît Madame », etc. …

En attendant qu’il doive vous appeler « Maîtresse », si vous ne l’avez pas encore permis.

Quand il oublie, faites-lui remarquer à votre façon. Ce peut être un « oui qui ? » bien sonnant, ou bien un « dis donc, on n’avait pas dit que … » Chacune a son ambiance, sa façon, le tout est de faire remarquer et de l’imposer. Dites-lui que pour vous c’est important, que c’est une question de respect.

Gentiment au début, mais plus fortement ensuite. Ça va devenir un réflexe. Vous pouvez lui fixer des gages, ou des «gentilles punitions », voire des petites privations … Puisqu’il ne vous respecte pas, vous ne mettrez pas cette jolie robe décolletée,  ou bien vous ne le reverrez pas avant qu’il n’ait compris la leçon … Cela doit devenir naturel pour un soumis.

Progressivement, il va apprendre le respect verbal systématique. Et du même coup, cela va imprimer un rapport un peu différent. C’est à peine perceptible, mais ça compte beaucoup.

L’étape suivante, est qu’il ne dise pas ces mots à la volée, ou en partant, mais bien devant vous, les yeux dans les yeux. De votre côté, quand il s’applique, souriez de satisfaction, mais pas de reconnaissance. C’est bien qu’il le fasse, mais c’est normal. Et c’est un résultat qui vient de votre volonté, pas de la sienne. N’oubliez pas l’objectif à terme : Vous décidez, il exécute !

Plus tard, vous exigerez la reformulation. Vous lui direz « va me préparer un café ». Il devra systématiquement vous répondre « oui Madame, je vais tout de suite vous le préparer ». Et cela bien devant vous, attendant un petit signe du menton, de la main ou du regard pour y aller effectivement.

Le vouvoiement est normal pour lui ;

Le tutoiement est normal pour la Maîtresse.

Le soumis va alors progresser, un débutant à besoin d’un peu de temps, il va s’habituer, et ce faisant, il vous laisse progressivement le pilotage de la relation verbale, et donc de l’activité.

Le respect verbal est une préparation et une étape indispensable, qui a l’avantage de la progressivité.

Et n’oubliez jamais un de nos grands principes : on progresse, lentement s’il le faut, mais on ne revient jamais en arrière.

A bientôt !

Madame. S

 

                              

 

Maîtresse, Vous m’aviez écrit cette phrase dans un échange de courriel…

« J’aime la façon dont tu perçois les choses et comme tu les espères… »

 

Vous me dites souvent que je parle avec mon cœur et il est vrai que sans vous ou sans votre façon de me comprendre, de dépendre exclusivement de cette envie de mes réponses sincères, je me dois par cette chance de pouvoir m'exprimer  honnêtement de ne rien garder au fond de moi, que l'image que je reflète correspond à celle que je veux être pour vous…

Je me mets toujours à votre place en laissant mon égoïsme de côté et ne penser qu'à la seule vraie réponse que vous attendez de moi, apprendre à ne jamais se tromper, c'est un contrat moral et consensuel qui nous lie à jamais.

Je donne ce que je peux et j'en récolte la satisfaction que le plaisir de donner est mon plaisir que de vous combler et d'avoir réussi à partager mon point de vue. Cela me prend du temps à répondre à trouver la bonne formule qui vous plaira, j'essaie toujours de m'améliorer et combler mes lacunes.

J'apprendrai toujours de vous aimer, vous plaire, vous comprendre et vous soutenir, vous êtes un vrai courage et un véritable bonheur dans ma vie.

 Parce que je suis votre Chriss… SV 68 VD 175 20

 

Je me pose des questions, vous le savez et j’aime savoir ce que vous pensez dans vos petites têtes de soumis.

Alors aujourd’hui j’aimerais que vous réfléchissiez sérieusement à la question que je vais vous poser.
Et que de ce fait, vous me répondiez, comme toujours, avec votre sincérité il va sans dire.

Dans cette démarche, voici la question que j’aimerais vous exposer :

‘Pour vous, que doit avoir comme « qualités », démarche ou autres intentions un soumis ? »
Oui, « QUI » doit-on être pour être un bon sujet pour sa Maîtresse ?

Je ne pense pas que l’on puisse être un soumis de « temps en temps ». Je crois, en toute sincérité que l’on est soumis, profondément, même si l’on ne veut pas toujours se l’avouer. Que votre cœur fait de vous ce que vous êtes. Que vous êtes distant quelquefois de ces pensées, mais qu’elles reviennent à vous sans que vous le souhaitiez quelquefois.
Que vous avez peur de vivre votre passion, vos rêves, vos engagements.

Vous avez des rêves fous, inassouvis, que vous n’oserez jamais avouer. Mais pourtant, vous aimeriez les vivre au grand jour. Il faut oser !!

Pour être un bon soumis ; oui, que devez-vous avoir comme « qualités » et « sentiments » !?

Je ne trouve pas les mots adéquats à votre condition.
Dites-moi ce que vous en pensez…

Madame.S

 

 

 

Cela fait déjà quelques années que je fréquente le monde du BDSM. J’ai commencé par une attirance pour la fessée, et ma première rencontre fut déclenchée par une annonce dédiée à la fessée, et c’est un homme, Francis, qui m’a initié. J’ai depuis rencontré plusieurs Dominatrices lors de séances plus ou moins réussies.

Je me suis également inscrit sur un site dédié à la fessée entre hommes. Ce site permet des rencontres le week-end dans un club parisien, mais également de faire des rencontres. C’est en répondant à une annonce sur ce site que j’ai rencontré le fesseur qui m’a mis en scène dans ce reportage.

 

Nous n’avons eu que peu d’échanges. Il est fesseur, je suis fessé, il reçoit chez lui, et comme je ne crains jamais de faire une nouvelle rencontre, tous les ingrédients sont réunis pour concrétiser une rencontre.

Il habite dans un appartement proche de la gare de Lyon, et nous avons rendez-vous à la sortie d’une bouche de métro. Aucune photo n’a été échangée, l’usage des smartphones ne s’est pas encore démocratisé.

Stressé de nature, je suis arrivé largement en avance, et j’attends de longues longues minutes.

Comment vais-je le reconnaitre, ne vais-je pas tomber dans un traquenard, et s’il ne venait pas, et bla bla bla. Mon cerveau bouillonne, l’attente me pèse. Le stress est à son comble quand un homme, que je n’ai pas vu arriver, m’interpelle.

C’est lui, il s’excuse pour son retard et me demande de le suivre chez lui. Il me questionne, me parle de choses et d’autres en marchant vite. Il me questionne, je réponds, mais de quoi, impossible de m’en souvenir. Je sais que je suis déjà dans un état de stress intense, à la fois inquiet et impatient de ce qui va suivre.

Nous sommes enfin arrivés chez lui, un petit une pièce, et il me conduit dans un salon dans lequel se trouvent un lit d’une place, une petite table et un mini bureau.

Je suis invité à me déshabiller en conservant mon slip, ce que je fais dans le couloir. Je suis encore très timide. Lui bien sûr est resté habillé.

Le déroulé de cette séance est aujourd’hui bien flou dans ma mémoire. Heureusement, il a décidé d’immortaliser ces instants en me prenant en photos tout au long de la séance.

Il me rougit les fesses de manière progressive, me fait prendre des positions de soumission, les mains sur la tête, à quatre pattes, sur le lit, à terre, penché sur la table, debout, les fesses blanches puis rouges. Nul doute qu’il aime les fesses rouges car il mitraille mon fessier avec insistance.

Il ligature mon sexe, il me sodomise avec un gode sans que cela ait été prévu. Entre chaque séance de photo, il me rougit les fesses, encore et encore.

Peu de souvenir du déroulé, mais un souvenir ému de cette séance, à une époque où je suis encore en découverte du monde du BDSM.

Cette séance de fessée m’a conforté dans mon parcours vers le BDSM et j’ai hâte de revivre un tel moment.

Pour moi, la fessée est une des pratiques les plus jouissives dans le BDSM si elle est administrée par la bonne personne. Ce fut le cas ce jour-là, alors merci Madame S de m’avoir encouragé à me remémorer cet épisode, et je pense que les photos parleront d’elles-mêmes.

Merci encore.

Anton.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

J’apprécie encore une fois ce partage intime venant de toi. Il nous fait découvrir une facette de ta personnalité de soumis que j’aime découvrir, sur ton cheminement vers la soumission.
Bravo pour oser nous écrire ces mots et les photos qui accompagnent ce récit touchant et émouvant.

Madame.S

 

Ce matin à mon réveil dimanche 15 mai une seule envie à l’esprit, ce décalage, ces deux images mises ensemble me perturbent cette impuissance à résister

Je passe ma main sur mon membre, il est doux et lisse à peine voilé du désir d'une caresse plus franche et je caresse mon sein percé.

Il lui faut peu pour ressentir un désir profond, fermant les yeux à cet instant. Le décalage de cette image de ce pied magnifique à sauver. Je suis comme réfugié au creux de son pied…
Je la déchausse, à son envolée pour y déposer mes lèvres, qui remontent le long de sa cuisse.

Je bande plus fort déjà à l'idée d'évoluer plus proche de son ventre.

Le décalage de changer d'image à vos yeux magnifiques, ce regard si beau, troublant. Ce visage paisible mais si profondément sérieux, elle me laisse faire, passer mes mains dans ses cheveux, de mes lèvres à ses lèvres.

A ressentir son souffle de plaisir, son cou si délicat. J'y dépose ma bouche. J’ouvre les boutons de son chemisier, elle ne dit rien et me laisse faire. Je ne suis rien à ses yeux que cette coccinelle n'est plus utile que ce ver qu’elle domine.

Je glisse ma langue sur son épaule fragile et lisse délicate et douloureuse.

Insinue ma langue recherchant la chaleur de son aisselle et sans effort je pénètre sous son bras que je lèche de bas en haut je ne suis rien, mais décalé dans le temps je me caresse gentiment je ne veux pas de plaisir juste ce décalage entre nous me suffit, le respect de mon devoir à vous vénérer me suffit.

Sur sa gauche son sein apparaît ; source de sa générosité envers moi de me laisser l’aimer, son esclave transparent à ses yeux, entre ses seins je descends jusqu'au nombril, ligne droite à ce pourquoi je me prosterne devant la splendeur de son corps. Ainsi coule la fontaine sans bruit qui éclabousse mon visage et mon palais, rien ne me distrait de ma tâche, je remonte ma langue sur sa peau tâchée pour adoucir ses lèvres perlées du reste de mon sérum.

A mon réveil me voilà si excité que j'en écris ces quelques phrases, de ce matin restant humble à mon plaisir qui est simplement de dévoiler mon intime et passionné de soumission à Madame S.

 

Votre Chriss… SV 68 VD 175 20

 

Récit torride d’un rêve troublant. Comment être insensible à ces mots, qui transpirent le désir ?

 J’en suis toute retournée et j’aime ces mots d’un érotisme à fleur de peau…

Torride et évocateur, cela donne envie d’y « être »…

Je suis émue, comme tu as sans doute pu l’être en faisant ce rêve qui t’a plongé dans des instants si délicats et respectueux de celle qui te fait vibrer.

Madame. S

 

Chère et charmante Madame S,

Je vous avoue que vous m’êtes de plus en plus agréable, tant vous brillez par un flegme exceptionnel et une sévérité acérée….

Je me dois donc de vous signifier, que ma Majestueuse et Charmante Divine s’est faite une joie, de m’apprendre douceur et délicatesse …..

En effet, il lui arrivait d’avoir besoin d’une longue pause plaisante et bienveillante et il m’était demandé de prouver mes compétences en papouilles et messages relaxants ….

J’obtenais donc l’autorisation après un bon bain de pieds au vinaigre cristal tiède, si délassant, de faire mes preuves, en tant que lécheur de pieds et masseur bienséant de tout le corps ….

Évidemment certaines zones m’étaient formellement interdites, telle la raie des fesses et l’opposé et sans même avoir essayé, je suis certain que fouet et cravache de dressage auraient calmé mes ardeurs …..

Ma Respectueuse Divine se contentait de bons messages et de doux bisous sur tout son corps ….

Elle avait toutefois un rituel, qui consistait en une récompense pour tout travail exécuté dans les règles de douceur et vous avoue que le travail de mes tétons, particulièrement sévère et rigoureux, consistait ma récompense après que j’eus flatté, embrassé, et massé ses si jolis seins avec délicatesse et doigté !!!

La moindre incartade me valait séjour au cachot aux fers et dans les orties mais ma douceur était récompensée d’un travail des tétons d’une sévère cruauté que j’appréciais jusqu’à l’orgasme, toutefois formellement interdit …..

Le vinaigre cristal était si piquant sur mes tétons et la Javel au gland, me rappelait rapidement les bonnes manières et l’obligation de m’y tenir ….

J’étais pris en mains par une Duchesse rare, d’une fermeté enthousiasmante et d’une sévérité exceptionnelle  et …… c’était le bonheur …..

Humbles mais plus que respectueuses Salutations, Divine Madame S,

Élève Pascal.

Bonjour Madame, j'ai commencé à écrire il y a quelques temps une nouvelle histoire.

Je trouvais cela intéressant de parler de la domination par la taille, que certain soumis comme moi ont ce fantasme de la supériorité par la grandeur et d'infériorité par la petitesse, je comprends aussi certain homme qui son complexé par leurs petites anatomie sexuelle et en font une cause de soumission, en voici une partie très soft, mais dites moi ce que vous en pensez.

Chriss. SV 68 VD 175 20

 

Le règlement :

 

Je dois l'appeler Madame S. C’est important pour Elle de lui donner un nom qui la caractérise, me permets d’être un bon nain, respectueux envers sa personne.

 

Quand elle me convoque elle sonne la cloche extérieure si je suis dehors…

En intérieur même chose.

 

Je dois me mettre à genoux pour être le petit possible face à Elle et tenir mon petit pénis avec deux doigts.

Toujours le pénis en avant.

 

Interdiction de me tripoter je suis sous surveillance.

Toujours demander pour aller aux toilettes.

 

Faire ma chose dans la cabane du fond du jardin.

Toujours faire pipi dans mon pot sur la terrasse. 

 

Je mange à la petite table et assis sur la petite chaise. 

Je mange et je bois ce qu'on me donne et je n’ai en rien le droit de dire quoi que ce soit.

 

Je mange avec une cuillère en bois dans un bol en bois.

 

Je me lave à la fontaine. A l’eau froide. Je dois être propre pour me présenter à Elle et sentir bon.

Je dois me changer dès mon arrivée avec la tenue exigée par Madame S. Être présentable face à cette Femme.

 

Toutes les infractions seront notées sur un tableau noir par des coches sous le titre (rééducation du nain !)

Le règlement change à tous moments et je dois m'adapter à lui ; Aucune réclamation n’est possible ni envisageable.

 

Le travail est de ma propre initiative tant qu'il est bien fait est accompli.

Je ne dois discuter aucun ordre ou me plaindre. 

Madame S a un contrôle total sur les droits du nain. 

Je dois me faire le plus petit possible. 

M'adapter aux règles est exigé.

Divers thèmes me seront imposés.

A suivre…

 

Bonjour Madame, j'ai commencé à écrire il y a quelques temps une nouvelle histoire.

Je trouvais cela intéressant de parler de la domination par la taille, que certain soumis comme moi ont ce fantasme de la supériorité par la grandeur et d'infériorité par la petitesse, je comprends aussi certain homme qui son complexé par leurs petites anatomie sexuelle et en font une cause de soumission, en voici une partie très soft, mais dite moi ce que vous en pensez.

Chriss. SV 68 VD 175 20

 

« J'ai écrit un premier règlement pour que tu comprennes que je ne plaisante pas sur ton éducation de nain, apprend le et fais ce que je te demande et tout se passera bien, sinon je me fâcherai ! »

Pour commencer tu me donnes toutes tes disponibilités et horaires de travail au début du mois, tes week-ends tu les passeras ici, tu dois t'organiser en sorte. Si pour quelques circonstances tu n'es pas disponible tu me le fais savoir rapidement, ta non-disponibilité entraînera des pénalités pour les heures perdues que je prendrais soin de noter sur le tableau. Tu arrives à l'heure, tu rentres et tu te changes en nain et tu attends à genoux sur ce tapis que je vienne…

Il se peut que je ne sois pas là alors tu recevras des ordres par SMS, rien ne dois te retourner de tes tâches.

Tu dois être disponible le plus souvent pour moi, tu travailleras  dehors et à l’intérieur de la maison, ici c'est ta chambre de nain, tu y dormiras si besoin.
Pour le reste de la maison tu peux aller partout pour les travaux que je t'ordonne de faire, tu ne vas pas où tu n'as pas besoin d'aller seulement si tu dois y travailler, compris l'asticot !?"

"Oui madame S."

Bonjour Madame, j'ai commencé à écrire il y a quelques temps une nouvelle histoire.

Je trouvais cela intéressant de parler de la domination par la taille, que certain soumis comme moi ont ce fantasme de la supériorité par la grandeur et d'infériorité par la petitesse, je comprends aussi certain homme qui son complexé par leurs petites anatomie sexuelle et en font une cause de soumission, en voici une partie très soft, mais dite moi ce que vous en pensez.

Chriss. SV 68 VD 175 20

 

Elle sortit encore le principal élément de ma panoplie, un bonnet en laine rouge où il était inscrit sur le devant "petit pénis !"

"Voilà mon petit nain très joli, tu resteras toujours ainsi dans ma maison à moins que j'en décide autrement ou que je te change de costume mais tu resteras toujours la bite dehors et molle. Je te veux en permanence dans cette tenue le zizi dehors, je veux le voir bouger et quand tu te présentes à moi c'est le pénis face à moi, compris le nain ?"

" Heu oui Madame S."

Elle termina son nain par un petit anneau déjà bien lourd autour de mes testicules.

"Voilà un petit plus pour que mon nain ai les couilles bien longues, voilà tu es prêt pour me servir, maintenant sache qu'il y a des règles ici et que tu devras les suivre sinon je me fâcherai ; je ne laisserais rien passer, ici chez moi tu m'obéis, tu es mon nain pathétique et ridicule, tu es tous petit devant ma grandeur, compris petite chose !?" Oui Madame S."

Debout face à elle la honte me submergea, la tête basse elle remonta ma tête par le menton."

"Ben alors quelque chose ne va pas le nain, ne sois pas triste je vais bien m'occuper de ton éducation.

Elle me gifla et me cria dessus :

"Ah non je ne suis pas d’accord, tu as accepté hier soir de venir chez moi et maintenant tu fais la moue, si tu n'es pas content tu te rhabilles et tu t'en va mais si tu fais ça ne revient jamais et je ne veux plus entendre parler de toi c’est bien compris !?"

"Oui Madame S, désolé je veux rester j'ai  peur et tout ceci est nouveau pour moi, mais permettez-moi de rester je suis désolé je serais sage et obéissant."

"Bien je comprends ta peur mais je dois être ferme d'entrée avec toi pour que tu comprennes bien mon fonctionnement je suis autoritaire et juste et dès aujourd'hui tu m'appartiens…

A suivre…

Bonjour Madame, j'ai commencé à écrire il y a quelques temps une nouvelle histoire.

Je trouvais cela intéressant de parler de la domination par la taille, que certain soumis comme moi ont ce fantasme de la supériorité par la grandeur et d'infériorité par la petitesse, je comprends aussi certain homme qui son complexé par leurs petites anatomie sexuelle et en font une cause de soumission, en voici une partie très soft, mais dite moi ce que vous en pensez.

Chriss. SV 68 VD 175 20

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Toute joyeuse elle sortit un rasoir et de la mousse. 

"Je vais enlever tous ces poils disgracieux, moi je veux un nain tous lisse et propre ce sera à toi ensuite de t'entretenir pour être présentable devant moi !"

Elle appliqua de la crème sur mon pubis et commença mon rasage intime puis elle écarta mes fesses et me rasant les fesses. 

"Voilà une petite limace toute chauve comme j'aime de plus je vais te mettre de la crème spéciale pour ton petit pénis, tu vas ressentir un engourdissement à ce niveau-là elle aidera ton asticot à rester sage toute la journée."

Elle passa cette crème sur mon gland et le reste de mon sex, l’effet fut immédiat comme anesthésié.

"Aller debout maintenant !"

Elle m'enfila le petit short en cuir qu'elle l'ajusta bien comme il faut.

Ce short était particulier avec une ouverture devant qui laissait juste mon pénis a l'air libre et se fermait bien devant avec une petite sangle qui séparait mes testicules et un petit cadenas fermait la ceinture du haut.

Je senti aussi une ouverture derrière qui laissait mes fesses et mon petit trou apparent, elle m'enfila ensuite une chemise à carreaux rouge les bras nus et termina par une paire de bretelles en cuir.

" Voilà mon petit nain tu es tout mignon comme ça."

"La clé du cadenas est pendue a la porte quand je te congédie tu viens ici te changer tu ranges tes affaires comme il faut et tu peux partir. Compris le nain ? "

"Oui Madame S…"

A suivre...

 

Bonjour Madame, j'ai commencé à écrire il y a quelques temps une nouvelle histoire.

Je trouvais cela intéressant de parler de la domination par la taille, que certain soumis comme moi ont ce fantasme de la supériorité par la grandeur et d'infériorité par la petitesse, je comprends aussi certain homme qui son complexé par leurs petites anatomie sexuelle et en font une cause de soumission, en voici une partie très soft, mais dite moi ce que vous en pensez.

Chriss. SV 68 VD 175 20

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Ok alors demain matin tu viens à 8 h précise pour commencer ton éducation de nain et dorénavant tu m'appelleras Madame S !

"Bien Madame S."

Nous avons terminé la bouteille de vin en discutant de choses et d’autres, elle me troublait de plus en plus et ma fascination commença à être très forte.

Je me présentais donc à 8 h précise, elle m'attendait devant la porte, elle portait une robe blanche et un bustier rouge montée sur des escarpins rouges elle était magnifique me sentant tout petit face à elle.

Elle me fit entrer et je la suivi dans une des chambres, la chambre était décorée comme une chambre d'enfant avec des poster de Blanche neige, une table à langer un petit lit. Un parc pour bébé bien que rien n'était décoré pour un bébé mais pour un enfant de 10 ans.

Elle ouvrit une armoire pleine de vêtements et de costumes différents ; Et elle en choisi un sur un cintre, une paire de short en cuir brun. 

"Aller mon petit nain déshabille toi !"

J'enlevais mes vêtements un peu gêné de la situation je m'exécutais sans broncher.

"Allez mon petit maintenant tu montes sur la table à langer."

Assis sur le rebord de la table elle me poussa sur le dos et écarta mes cuisses. 

"Alors mon petit nain tu as un tout petit pénis tous poilu c'est très bien je suis très contente que ton sexe soit tout petit cela donnera plus de crédibilité à ton statut de nain."

Elle riait encore en se moquant " tu es vraiment ridicule avec ta petite nouille ça me plaît beaucoup !"

Elle prit mon sexe a deux doigts et me décalotta le gland "je te veux toujours la peau tirée en arrière j'aime voir ton pénis bien sorti en plus tu coules cela signifie bien que tu es mon nain maintenant."

Elle passa son doigt sur mon gland dégoulinant puis le porta à ma bouche.

"Regarde et goûte ton jus, tu es ma petite chose !"

"Oui Madame S…"

A suivre…